Va-t-on battre ce lundi 9 mars 2020 le record de baisse de 27 % du mois d’octobre 1987 ?
Les records sont faits pour être battus, non ?
Christine va-t-elle intervenir ?
Si oui, à quel niveau ?
“ MES “ 4536 points seront-ils atteints dans la journée ?
Des sociétés, des courtiers, des banques, des traders “sauteront-ils “ aujourd’hui?
Ceux qui n’ont pas encore lâché le feront-ils ?
Vendront-ils tout ?
Peux-t-on racheter sur les 4536 points où faudra-t-il attendre les 3468 points ?
Je ne voudrais pas être bull encore investi aujourd’hui.
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Une ferme, un potager, un poulailler, retour vers le futur ?
Sans oublier de l’OR ?
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Certains parlent de flash krach à- 16 % !!!
Message complété le 09/03/2020 06:13:11 par son auteur.
Jdh@francebourse.com
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Macron doit être content
😀
QUI VOUDRA PRENDRE LE POUVOIR DAMS DE TELLES CONDITIONS ?
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France 40 (.FCHI)
France 40
Vente
4828.3
Achat
4833.3
5
-314.8pts
(-6.12%) !!!!!!!!!!!!!!
Ouvrirait-on sur des -7 % ?
Message complété le 09/03/2020 05:41:15 par son auteur.
Les 4536 points ce serait pour aujourd’hui ?
Message complété le 09/03/2020 05:42:45 par son auteur.
OU VA-T-ON ?
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Et ça accélère !
-267.6pts (-5.2%) sur le France 40 !!!
10 % de hausse avec des bx4
je vous laisse imaginer avec des leviers 5, 10 ou 15 !
Je comprends mieux pourquoi " ils " disent que les fortunes boursières se font à la baisse !
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Futures US !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Futures Dow 30 Mar 2020 24.815,5 25.307,0 24.682,0 -998,0 -3,87% 23:46:21
Futures S&P 500 Mar 2020 2.841,62 2.909,38 2.831,12 -121,76 -4,11% 23:46:21
Nasdaq Mar 2020 8.164,88 8.342,75 8.151,25 -350,62 -4,12% 23:46:21
Russell 2000 Mar 2020 1.376,35 1.419,75 1.373,45 -66,90 -4,64% 23:43:29
S&P 500 VIX Mar 2020 42,72 43,17 38,85 +6,57 +18,17% 23:46:23
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Mamma mia la journée de demain !
Du moins 10 % ?
Actuellement le France 40 (.FCHI) est à -255.3pts (-4.96%) !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Plus Haut: 5164.6
Plus Bas: 4861.9
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Entre moi qui suis miné et toi qui est mité, comment veux tu que la bourse s'en sorte ?
....
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Quelques élucubrations ...
Dans le screener :
- en Chine, autre que la province du Hubei, d'après ce que nous dit l'ami dubaisan, ça s'améliore nettement, la production reprendrait bien,
- dans le Hubei : si le nombre de décès continue de baisser, le nombre de contaminés à repris un peu à la hausse,
- en Italie : 15 millions de personne sont confinées en Italie du Nord
- les chiffres officiels du 1er TRIM des entreprises cotées ne sont pas encore tombés mais ils vont être, ils devraient être carabinés ( ACCOR : 270 établissements sur les 300 que le groupe a en Chine seraient à l'arrêt ... Air France : sa directrice générale " envisage tous les scénarios ..." )
Alors :
- est-il temps d'acheter ? Réponse : certainement pas, c'est une évidence, à la limite c'est une question stupide, non ?
- est-il le temps de vendre ou de continuer à vendre ? Réponse : attendre la réaction des marchés ce lundi ou cette semaine sur la zone des 5135 /5058 points.
- objectifs de hausse ? Réponse : question quasi stupide ( excepté un petit " nouveau rebond du chat mort " qui apparaîtrait après chaque jambe brutale de baisse ( prise de bénéfices des shorteux qui, mécaniquement, font grimper les cours le temps d'une respiration )
- objectif(s) de baisse , Réponse : 4536 points voire 3468 points ( 4 % de rendement depuis les 1000 points de 01/1988 ).
Voili, voilou ...
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Autre lecture ( même si souvent Marc Touati est - un peu - trop visionnaire, mais ça vaut le coup d'être lu. Surtout que le risque que les dettes publiques ne soient pas ( toutes ) remboursées nous pend au nez.
Donc voilà l'article.
" Bourse : "le coronavirus est un choc comparable au 11 septembre et à la crise de 2008"
Marc Touati Publié le 08/03/2020 à 6h50 Mis à jour le 08/03/2020 à 10h06
L’épidémie de coronavirus fait tomber la planète dans l’inconnu, lui imposant ainsi de changer de modèle économique et sociétal, juge notre chroniqueur Marc Touati, économiste et président du cabinet ACDEFI.
L’épidémie de Coronavirus constitue certainement un choc équivalent à ceux qui ont suivi les attentats du 11 septembre 2001 et la faillite de Lehman Brothers. Avant l’effondrement des tours jumelles, l’équilibre économique mondial apparaissait clair : sortis largement vainqueurs de la guerre froide contre l’URSS, puis de la guerre en Irak, les Etats-Unis semblaient à même d’assurer la sécurité économique, financière et matérielle de la planète. La chute des tours du World Trade Center, quelques mois après l’éclatement de la bulle Internet, a montré que la réalité était loin d’être si évidente.
Cette catastrophe a ainsi mis en exergue les dangers sécuritaires, tout en affaiblissant durablement la suprématie des pays développés. Neuf ans plus tard, autre choc, nouveau plongeon dans l’inconnu et nouveau changement de paradigme. Cette fois-ci, toutes les certitudes sur le système bancaire et financier s’écroulent en quelques jours. Et pour cause : contredisant le fameux principe du Too big to fail (trop gros pour qu’on puisse se permettre de laisser faire faillite, NDLR), les autorités américaines décident de mettre en faillite la quatrième plus grande banque d’affaires de la planète, en l’occurrence Lehman Brothers.
Par là même, elles mettent également fin au règne sans partage de la finance mathématisée à l’extrême qui a laissé croire un temps que l’on pouvait augmenter les rendements sans augmenter le risque. Après avoir frôlé la faillite, les banques des pays développés s’amendent, arrêtent de spéculer avec leurs fonds propres et s’engagent à limiter leurs risques.
En contrepartie, le monde va engager sa plus forte relance depuis le plan Marshall : baisse massive des taux d’intérêt de toutes les banques centrales, relance budgétaire mondiale de 5.000 milliards de dollars à l’échelle de la planète (soit, à l’époque 9% du PIB mondial), “planche à billets” généralisée, qui atteindra 4.000 milliards de dollars du côté de la Réserve fédérale américaine et 3.000 milliards d’euros pour la Banque Centrale Européenne.
Si cette débauche de moyens a évidemment permis d’éviter la réédition de la crise de 1929, elle a également créé une multitude de bulles financières, et notamment sur les bourses et les marchés des dettes publiques. Avec en toile de fond, la montée inaltérable de l’économie chinoise, qui est devenue à la fois l’usine du monde, la locomotive incontestable et incontestée de la croissance mondiale, mais aussi la créancière d’un grand nombre d’entreprises et d’États à travers le globe.
Seulement voilà, les investisseurs et les citoyens de notre belle Terre oublient souvent une règle de base incontournable : les arbres ne montent pas au ciel. La Chine est en train d’en faire la douloureuse expérience. En effet, de 1980 à 2019, son PIB réel (c’est-à-dire hors inflation) a flambé de 3200%. Sur la même période, son poids dans le PIB mondial en parités de pouvoir d’achat est passé de 2% à 20%.
Un succès que personne n’a osé contester, d’autant qu’il a permis de réduire nettement l’inflation des produits consommés à travers le monde. Cet avantage majeur a ainsi fait oublier que les normes sanitaires et démocratiques de l’Empire du milieu étaient loin d’être satisfaisantes. L’épidémie du Coronavirus de Wuhan est venue mettre les pendules à l’heure de façon dramatique. Les conséquences économiques de cette triste situation sont déjà observables : récession historique en Chine, qui va malheureusement se généraliser à l’ensemble de la planète.
Dans ce cadre, comme en 2001 et en 2008-2009, la crise économique va s’imposer, les marchés boursiers vont s’effondrer et le chômage va durablement augmenter. Face à ce nouveau chaos, certains n’hésitent pas à appeler à la fin de la mondialisation et au repli sur soi. Réaction évidemment excessive. Il ne faut effectivement pas jeter le bébé avec l’eau du bain. N’oublions pas que sans la mondialisation, les pays émergents n’auraient pas pu se développer et la pauvreté dans le monde reculer.
Pour autant, les crises étant toujours des phases d’opportunité, il faut tirer les leçons des erreurs passées pour ne pas les rééditer. Autrement dit, la mondialisation ne sera plus jamais la même : augmentation des contrôles sanitaires, réduction des importations des produits chinois, relocalisation de certaines activités et productions dans les pays développés… Comme souvent, la crise actuelle porte donc en elle les germes de la rédemption.
Mais ne rêvons pas : la reprise prendra du temps. Avant que la France ne produise ses propres ordinateurs, il est par exemple clair que de l’eau coulera sous les ponts… De plus, ce mouvement de relocalisation produira des effets pervers. A commencer par une baisse forte et durable de l’activité chinoise. Or, la Chine étant la principale locomotive de la croissance mondiale et réalisant environ chaque année 40% de cette dernière, il faut se préparer à une activité internationale durablement plus molle.
De même, la réduction des achats de produits en provenance des pays à bas coûts et les processus de relocalisation généreront mécaniquement une augmentation des pressions inflationnistes. Ce qui, in fine, suscitera une tension sur les taux d’intérêt des obligations. Et ce, d’autant que les dettes publiques vont encore augmenter massivement à cause de l’actuelle crise. Là aussi, il faut se préparer à des restructurations conséquentes des dettes publiques, avec certainement des annulations qui coûteront cher aux créanciers.
Un nouveau paradigme mondial va bien s’imposer au cours des prochaines années. Et si l’incertitude autour de ce nouvel ordre international demeure forte, une chose est sûre : le monde sortira de la crise par le haut.
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A lire ( si vous le voulez ) et, surtout, à méditer en extrapolant juste ce qu'il faut.
On ne voit pas comment, par quel miracle, le cataclysme pourrait être évité et, tout au-moins ne pourrait pas laisser de sérieuses traces.
Logiquement, les faillites pourraient s'enchaîner et comment absorber leurs effets retentissants, sachant que ces faillites pourraient concerner des centaines d'opérateurs économiques, grands, moyens, petits, en société, en nom propre etc ....
C'est lorsque ces sociétés " craqueront " et on peut supposer que des cas comme Air France sont légion, que les graphs craqueront.
Une question de jours, de semaines, de mois ? La BCE, pour l'Europe, acceptera-t-elle de " tout financer " ? J'en doute.
Alors ce serait l'hélicoptère " Ben " pour les particuiers, pour les entreprises ? Je vois mal la reine Christine le faire; Elle n'en prendra pas la responsabilité.
" Coronavirus : Air France "en situation d'urgence économique"
Air France
Frédéric Sergeur Publié le 07/03/2020 à 11h04 Mis à jour le 07/03/2020 à 15h00
Coronavirus : Air France "en situation d'urgence économique"
C’est ce qu’explique Anne Rigail, directrice générale d'Air France, dans un courrier envoyé aux salariés.
Le coronavirus continue d’impacter l’économie mondiale. Et les compagnies aériennes, dont Air France, ne sont pas épargnées par les conséquences de cette épidémie. La Tribune relaye ainsi un courrier qu’Anne Rigail, directrice générale de la compagnie aérienne française, aurait envoyé aux salariés. Elle tente de les rassurer, mais avoue qu’Air France rencontre de fortes difficultés liées au coronavirus. "Nous continuons d'adapter quotidiennement notre programme en fonction de l'évolution des réservations mais aussi des décisions plus soudaines de certains pays quant aux conditions d'entrée sur leur territoire", explique la dirigeante dans ce courrier
Elle évoque aussi des "mesures commerciales sans précédent" prises pour les clients. Air France est ainsi l’une des seules compagnies qui propose aux passagers d’annuler ou de reporter leur vol sans frais jusqu’au 31 mai. Et alors que la compagnie a déjà annoncé un impact de 200 millions sur son résultat d’exploitation le 20 février après l’annonce de la suspension des vols vers la Chine, les perspectives ne sont pas reluisantes.
Congés sans solde
"L'ampleur et la durée de la crise s'accentuant, nous savons aujourd'hui que ses effets économiques seront encore plus significatifs. Les incertitudes quant à son évolution et ses conséquences nous conduisent à anticiper tous les scénarios", ajoute Anne Rigail, pour qui Air France est "dans une situation d’urgence économique qui peut nous rappeler de précédentes crises, telles que celle du 11 septembre 2001, ou encore la crise financière mondiale de 2008".
Plusieurs conséquences directes sont avancées par la directrice générale : "toutes les dépenses, projets et investissements non indispensables à la sécurité, à la sûreté et à nos opérations, sont reportées ou annulées" notamment et les "recrutements sont limités aux seuls besoins opérationnels indispensables de la compagnie". "Des mesures de réduction du temps de travail sur la base du volontariat vont être proposées", conclut-elle. Selon france info, Air France proposerait ainsi à ses salariés de poser leurs congés, avec ou sans solde, durant cette crise. Les temps partiels ou alternés sont aussi encouragés par la compagnie aérienne. "On va attacher les ceintures et voir quand on sort de cette zone de turbulence", glisse un délégué syndical, espérant que la situation reviendra normale au début de l’été.
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Ichimoku - DJ30 - UT JOUR
On notera :
Bougie verte : clôture supérieure au cours d'ouverture même si inférieure à celle d'hier
Canal haussier de faible pente
Le " virus " us aura-t-il migré en Europe lundi matin ?
Après on verra bien.
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Écrit ce soir en commentaire de la séance du jour :
" Donc :
- ou on pète les 5135 points et c'est direction les 4536 points,
- ou nouveau rebond technique dans un range 5470/5200 "
Concernant l'option rebond technique : on peut noter que si le DJ a ouvert en baisse par rapport à sa clôture d'hier, il a clôturé en hausse par rapport à son cours d'ouverture.
On devrait savoir dans les commentaires de séance qui vont tomber ce soir et demain l'origine de cette " remontada " ( toute chose étant ce qu'elles sont, bien évidemment ).
Date Ouverture Plus haut Plus bas Clôture* Cours de clôture ajusté** Volume
06 mars 2020 25 457,21 25 994,38 25 226,62 25 864,78 25 864,78 599 779 738
05 mars 2020 26 671,92 26 671,92 25 943,33 26 121,28 26 121,28 477 370 000
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Démonstration convaincante et structurée.
Merci
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UT 4 heures :
Écrit hier : " MITTE - 05/03/2020 - 18:48:15
" Résumé : sans news majeure et consistante, la zone 5470 / 5200 points pourrait accueillir les cours pendant quelque temps "
Et bien nous y sommes.
Ichimoku nous avait donné avant-hier, en UT 4 heures, la résistance des 5470 points sous laquelle la lagging span avait effectué un triple top et comme écrit hier nous avons traversé aujourd'hui toute la zone des 5470 /5200.
Nous clôturons sur les 5139,11 points , c-a-d juste 4 points au-dessus du 1er support ( extension de plat de SSB hebdomadaire ) donné ce matin :
" Les cours ne doivent surtout pas casser le bas du nuage en hebdo et la zone constituée des supports suivants : 5135 / 5114 / 5106 / 5078 et 5051 points constituée de plats de SSB et d'extensions de plats de SSB et de kijun hebdomadaires "
Cette zone est capitale et les haussiers le savent bien. S'ils ont fait un nouveau plus bas de clôture ce jour ( plus bas significatif ? ) ils se sont bien gardé de sortir du nuage en Ichimoku, en connaissant parfaitement les conséquences.
La lagging span hebdomadaire ( dans l'ellipse rouge sur la gauche ) est juste au-dessus de son nuage qui est hyper mince et une clôture sous les 5078 points ( en gros 1 % de baisse ) aurait pour effet de faire basculer l'hebdo en quasi tendance baissière, la lagging span en sortant de son nuage, elle aussi, validerait graphiquement parlant la sortie du nuage par les cours.
Donc semaine prochaine : la zone 5135/5114/5106/5078 et 5051 points sera à surveiller comme le lait sur le feu.
C'est, amha, la porté d'entrée, le sas, vers les 4536 points. Cette zone franchie, de nouvelles positions baissières pourraient être prises.
On notera que la tenkan et que la kijun, toutes deux à 5614,49 points, forment DEPUIS LA SEMAINE DERNIÈRE, une katana hebdomadaire, cette fusion des deux droites traduisant un puissant mouvement en place.
Ce n'est que quand la tenkan se détachera de la kijun que le mouvement devrait monter son affaiblissement. Apparemment ce n'est pas encore le cas.
Néanmoins la tenkan et la kijun étant toutes les deux sur les 5614,49 points, c-a-d près de 500 points au-dessus des cours, un rapprochement de ces derniers de leurs deux droites n'est pas à exclure.
On évoluerait donc dans le range 5470 / (5200/5139) comme indiqué hier. Quelques points à gagner dans un rebond technique ?
Le news flow du week-end en servira peut-être de combustible.
Donc :
- ou on pète les 5135 points et c'est direction les 4536 points,
- ou nouveau rebond technique dans un range 5470/5200.
Message complété le 06/03/2020 21:36:45 par son auteur.
J'oubliais : des volumes largement au-dessus de la moyenne.
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Il faudrait que les Bears clôturent sous le SSB pour “régler” cette affaire de la 1ere jambe de baisse et attaquer la semaine prochaine dans de bonnes conditions :
Retenter le nuage et redescendre.
Message complété le 06/03/2020 16:25:35 par son auteur.
Retester
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