La baisse s’arrêtera en toute logique quand le coronavirus sera sous contrôle et que les dégâts économiques et financiers auront été calibrés,
Donc les 4500 points de polux1602 sont, tout compte fait, un niveau raisonnable, non ?
Il y a aussi « mes » 3468 points ( 4% de rendement annuel moyen depuis le 01/01/1088 ).
On verra ce soir sur les graphs ce que ça nous donne.
Au fitness c’est compliqué, l’environnement est ... perturbateur ... Oups !
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oh la, si Dubaisan voit ça tu vas te faire démonter.
une dictature pfff
efface vite
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La Chine est une dictature donc elle fait circuler de fausses informations pour montrer que c'est une grande puissance donc faut faire attention a ceux que les journalistes disent sur le coronavirus en Chine.
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C’est bon, ça s’arrange !
Coronavirus : « La Chine a franchi le pic de l'épidémie »
Alors que le virus Sars 2-CoV-2 devient une pandémie et fait trembler le monde entier, de Chine parviennent enfin des nouvelles encourageantes.
Par Jérémy André à Hong Kong
« Le nombre de cas a commencé à baisser après le 15 février. [...] L'épidémie devrait être globalement sous contrôle en avril. » C'était une déclaration attendue de tous : ce matin, le professeur Zhong Nanshan, l'expert officiel des maladies respiratoires de la République populaire de Chine, a le premier confirmé ce que les statistiques officielles laissaient entrevoir, lors d'une conférence de presse à Guangzhou, grande ville dans le sud du pays. Alors que les cas de coronavirus explosent à l'étranger , la Chine semble, elle, engranger les fruits de ses mesures drastiques pour lutter contre l'épidémie.
Au 27 février, les statistiques chinoises font état de 78 500 cas confirmés, dont près de 8 350 patients dans un état grave, et 2 747 décès. Néanmoins, le pays a connu une chute sensible du nombre de nouveaux cas : de près de 4 000 confirmés par jour, en moyenne, dans les deux premières semaines de février à seulement 450 dans la journée du 26 février. Surtout, ces cas sont quasi entièrement concentrés dans la province du Hubei, où est apparu le virus. En dépit de ces signes encourageants, le président chinois Xi Jinping restait prudent vendredi dernier, se refusant à faire des déclarations similaires à celles de Zhong Nanshan.
Lire aussi Coronavirus : les vieux remèdes du docteur Xi
« La Chine a franchi le pic de l'épidémie », confirme au Point le docteur Ivan Hung, l'un des meilleurs spécialistes de l'épidémie à Hongkong. Après une journée passée sur le « front » à suivre les 10 cas dont il a la charge, ce professeur de médecine et chef du service des maladies infectieuses à l'université de l'ancienne colonie britannique, entre dans son bureau de l'hôpital Queen Mary avec une demi-heure de retard, enlève son masque et souffle deux secondes.
À 18 h 30, il vient d'inspecter son dernier patient, mais sa journée n'est pas terminée : « Je dois aller au Ruttonjee Hospital, dans l'est de l'île. J'y mène des essais cliniques. » Son visage garde les traces des masques et des lunettes de protection qu'il a portés toute la journée en salle d'isolement. Ce spécialiste des coronavirus avait reçu une médaille pour sa participation à la lutte contre le Sras (syndrome respiratoire aigu sévère) en 2003. Et il rempile pour le virus « Sars 2 », qui a atteint Hongkong, comme la plupart des grandes villes de Chine au cours du mois de février.
« Les autorités chinoises et celles de Hongkong ont fait un excellent travail pour confiner le virus. »
« Les autorités chinoises et celles de Hongkong ont fait un excellent travail pour confiner le virus », juge ce spécialiste. Alors qu'elle est désormais profondément ancrée dans l'espace chinois, la cité semi-autonome connaît pour le moment seulement 92 cas, et n'a pas vu l'envolée dramatique qui est en train de se produire en Corée du Sud, en Italie ou en Iran. Grâce à la fermeture quasi totale des frontières avec la Chine, les entrées quotidiennes depuis le continent ont chuté de 100 000 à moins de 3 000. Outre la restriction des mobilités à l'échelle nationale, la recette du succès de la lutte a tenu, selon Ivan Hung, à plusieurs facteurs : « D'abord, tous nos citoyens sont conscients de la menace du virus, et tout le monde porte un masque. Nous avons développé le travail à domicile, les écoles ont été fermées. Et peu de gens sortent pour aller dîner, ce qui est le plus grand risque, parce que, quand vous enlevez votre masque, vous pouvez transmettre le virus. » En effet, dans le cas de Hongkong, les cas ont très souvent été liés à des sorties au restaurant et des réunions de famille du Nouvel An chinois.
« Ensuite, la rapidité du diagnostic est décisive », rappelle-t-il. « Dès que nous sentons que quelque chose ne va pas, nous isolons les patients et nous conduisons des tests d'urgence. Si vous avez un traitement précoce, le taux de guérison est très élevé. » L'ampleur de l'épidémie « dépend donc beaucoup de la qualité du système de santé ».
La Chine sortie d'affaire fin avril ?
Cependant, Ivan Hung met en garde contre un optimisme excessif : « Le virus continue de se répandre, il s'étend en Corée du Sud, au Japon, en Iran et en Italie. Le virus produit désormais une pandémie. Nous devons toujours trouver le meilleur moyen de le traiter, et le plus important sera de produire un vaccin pour le prévenir. Malheureusement, il semble que ce virus va rester pour toujours parmi nous. »
Le risque est aussi qu'en Chine le retour des centaines de millions d'ouvriers et d'employés sur leur lieu de travail provoque un rebond. « L'économie en Chine devra repartir », prévient le chef de service hongkongais. Si les gens sont très prudents, portent tous des masques, se lavent les mains et évitent tout rassemblement, durant le déjeuner et le soir, ce ne sera pas un problème. Souvent, les employés ont commencé à retourner au travail il y a une semaine à peine. Il va falloir attendre pour savoir quel effet cela aura. Et s'il n'y a pas de rebond, cela prouvera que ces mesures suffisent pour prévenir la contagion. »
Lire aussi Coronavirus : le Tchernobyl de la mondialisation chinoise
D'où le délai indiqué par Zhong Nanshan lors de sa conférence de presse. « Cela pourrait être terminé après avril, en Chine continentale et à Hongkong », approuve Ivan Hung. « Pour les autres pays, ils devront probablement attendre un mois de plus pour atteindre leur plateau et voir l'épidémie diminuer sur leur sol. » À la toute fin de la discussion, l'information tombe de la mort soudaine d'un patient détecté la veille dans un hôpital parisien. « C'est très mauvais signe quand un patient meurt aussi rapidement. Cela veut dire qu'il y a une épidémie locale depuis un certain temps et que les cas vont augmenter dramatiquement. » Et de filer vers son deuxième hôpital…
Publié le 27/02/2020 à 12:48
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Je rigole mais cette chute dans fin ça me fait penser à Kerviel en 2008.
Comme si une grosse maison de gestion liquidait des prises de positions devenues maintenant très problématiques, non ?
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Je rigole mais les 4500 points de polux1602 ne sont plus très loin ...
Quoique certains ne doivent pas rigoler ...
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Ça chute beaucoup les 5400 sont tous prêt, si ça casse. La chute s'accélèra.
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ouais en 1350 aussi ils avaient confiance en l'avenir.
faut sortir les grigris.
faut mettre un cierge au dessus de l'ordi.
Message complété le 27/02/2020 12:36:46 par son auteur.
tu crois que les chinois vont s'arreter de bouffer pendant 6 mois.
si ça se trouve ils sont peut etre tous morts et personne ne le sait.
ben ouais ça bouge plus.
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Et pourtant le consommateur a espoir ...
Zone Euro: La confiance du consommateur progresse plus que prévu
publié le 27/02/2020 à 11h36
Le sentiment économique dans la zone euro s'est amélioré plus nettement qu'attendu en février avec une hausse de la confiance du consommateur et dans le secteur manufacturier malgré l'épidémie de coronavirus, montrent les enquêtes publiées jeudi par la Commission européenne.
L'indice du sentiment économique dans les 19 pays ayant adopté la monnaie unique a atteint 103,5 contre 102,6 (révisé de 102,8) le mois précédent. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un chiffre de 102,8.
Le sentiment des consommateurs a progressé à -6,6 contre -8,1.
L'indice du sentiment dans l'industrie est remonté contre toute attente à -6,1 après -7,0 (révisé) en janvier alors que le consensus le donnait à -7,3.
La confiance dans le secteur des services, qui représente environ deux tiers du produit intérieur brut, a atteint 11,2 en février, conformément aux attentes, contre 11,0 le mois précédent.
(Rédaction de Paris)
Ça ne va peut-être pas continuer ?
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le péril jaune hahahaha
calmos MITTE .
pourquoi pourquoi? hervé vilard
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Bonjour
c'est pas du Ichimoku
12 h l'heure du Long ?
à la vue des Futures US c'est contre tendance
La Fin de mois approche donc je me dis qu'ils vont tout faire pour corriger le score
Nb le stop n'est pas loin
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M A J
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Oui, ça commence à être très sérieux !
LIRE
" Les vins restent dans les chais, le lait en poudre n'est plus chargé dans les containers et la viande de porc s'empile dans les congélateurs: les exportations agroalimentaires françaises vers la Chine subissent un net ralentissement, depuis l'explosion de l'épidémie de Covid-19 qui bloque les flux logistiques.
"Avec la fermeture de la Chine, on a beaucoup de containers de viandes qui sont bloqués", a reconnu le ministre de l'agriculture Didier Guillaume sur Sud Radio. "C'est un drame. La Chine va avoir un problème de début de pénurie alimentaire avec cette maladie".
"Le Covid-19 commence à sacrément perturber l'ensemble des flux mondiaux et les flux agricoles particulièrement", approuve l'économiste Philippe Chalmin.
Très recherchée par les Chinois, la viande de porc française a vu ses exportations vers la Chine chuter de 22.000 tonnes en novembre 2020, juste avant l'explosion du coronavirus, à 7.000 tonnes en janvier
Très recherchée par les Chinois, la viande de porc française a vu ses exportations vers la Chine chuter de 22.000 tonnes en novembre, juste avant l'explosion du coronavirus, à 7.000 tonnes en janvier, a indiqué Didier Delzescaux, directeur de l'interprofession Inaporc, lors du salon de l'agriculture.
"Tout est grippé en Chine, avec les consignes de confinement, personne n'est dans les entreprises, ni dans les ports", note-t-il.
En 2019, les exportations de viande de porc avaient atteint un record historique à la hausse avec près de 170.000 tonnes, contre 103.000 tonnes en 2018, en raison de la peste porcine africaine qui a décimé les élevages de cochons en Chine alors que ce pays raffole de cette viande, poussant ainsi à la hausse les cours mondiaux.
"On peut imaginer que le coronavirus va ralentir la demande chinoise pendant un temps et limiter l'impact de la Peste porcine africaine", explique M. Chalmin. En janvier, rappelle-t-il, "les prix français (1,60 euro le kilo en moyenne, ndlr) étaient les plus bas de toute l'Europe".
- Baisse des cours du lait -
"L'autre sujet très préoccupant, c'est le lait", selon le ministre français. "Si on arrêtait d'en exporter, ça peut être un danger pour la filière. Ça poserait un vrai problème pour nos éleveurs, les prix s'effondreraient", redoute-t-il alors que les cours des poudres de lait ont déjà commencé à baisser, de l'ordre de 5% en moyenne.
"La Chine est le premier importateur mondial de produits laitiers, mais les bateaux n'étant pas déchargés par manque de personnel, ils attendent en mer", précise Gérard Calbrix, directeur des affaires économiques de l'association de la transformation laitière française (ATLA).
La "quasi-totalité" du commerce de produits laitiers français vers la Chine est bloquée par le nouvau coronavirus, le 27 février 2020
Selon lui, la "quasi-totalité du commerce de produits laitiers est bloquée". Du coup, la vingtaine d'entreprises françaises du secteur qui exportent essentiellement des poudres de lait vers la Chine "ne chargent plus les containers, et attendent que les flux logistiques se rétablissent", ajoute M. Calbrix.
"Cela commence à poser de gros problèmes de stockage, il faut trouver des clients rapidement", note l'économiste. "Si la situation ne se débloque pas dans les trois ou quatre semaines à venir, les marchés laitiers vont connaître un gros problème d'équilibre", prédit-il.
La situation du vin est plus floue. "On voit un ralentissement sur les exportations de vins, mais qui n'est pas encore quantifié", note une source à la Fédération des exportateurs de vins et spiritueux (FEVS) qui compte avoir des chiffres d'ici quelques semaines. "Car les bouteilles consommées aujourd'hui ont été exportées il y a deux mois", explique cette source.
Néanmoins, les exportations de vins et alcools vers la Chine avaient déjà ralenti de 4,7% en 2019 par rapport à 2018, essentiellement en raison de l'affaiblissement du rythme de la croissance économique chinoise.
Face aux difficultés qui fragilisent les échanges agroalimentaires, l'ambassadeur de Chine en France Lu Shaye est venu lui-même encourager les professionnels français au salon de l'Agriculture et a rencontré M. Guillaume.
Le diplomate chinois a surtout mis l'accent sur le développement d'une voie ferrée régulière France-Chine. Elle permettra à terme des échanges plus rapides que par voie navigable, dans le cadre du projet chinois "Routes de la Soie" visant à développer des réseaux commerciaux transcontinentaux.
Actuellement la seule liaison ferroviaire existante entre les deux pays, à raison d'un train par semaine, est arrêtée depuis fin janvier car elle est reliée à Wuhan, l'épicentre de l'épidémie.
"Bien sûr, il faut régler les problèmes techniques comme l'écartement des rails, (différent en Europe et en Russie, par où passe le train), mais on peut améliorer largement l'efficacité du commerce par voie ferroviaire" et "le potentiel d'exportation des produits agroalimentaires de qualité de la France vers la Chine", estime le diplomate chinois.
© 2020 AFP
A PART LA MÉTHODE DE L'HELICOPTERE BEN, QUE RESTERA-T-IL ?
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Cà dégage sévère , les volumes explosent , c' est inquiétant , c' est vraiment l' ascenseur verticale .
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Tout est question d'échelle de temps. En hebdo, sur deux ans, trois mois... point de vert. Je ne veux pas vous faire paniquer, chacun est libre de ses choix, mais le Cac40 a fait déjà aujourd'hui trois tentatives infructueuses pour recoller à la BB. À chaque fois, il repart à la baisse, sur une pente descendante depuis une heure. L'analyse graphique ne trouve-t-elle pas sa limite en terrain inconnu ? Le temps le dira. Je pense à un rebond (trompeur) au moment des dividendes.
La baisse doit se nourrir de la hausse. Sans rebond véritable la baisse ne peut pas se poursuivre. Il faut faire monter des gens dans le train de la baisse pour qu'elle reparte, donc il faut un rebond.
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Salut !
Quelle est ton approche actuelle sur le Cac 40 ?
Pas facile de répondre, hein ?
A TTLT, comme le graph en trimestriel semble le montrer, on ne voit pas comment le cycle normal des cours n'amènerait pas ceux-ci à descendre assez bas ( kijun, BB inférieure, cf le graph posté hier soir ).
Mais ta question porte plus précisément, me semble-t-il sur le court terme et sur la possibilité et le degré d'intervention - s'il y en a donc une - des BC.
1ère question : les BC peuvent-elles se désintéresser des marchés ?
réponse : non mais remarquons que la BCE avait mis presque 3/4 ans avant que Draghi lance son QE. Remarquons aussi, amha, l'oxymore ( le silence assourdissant ) de la reine Christine ...
2 ème question : devraient-elles agir ?
réponse : oui puisque dans le mandat de la FED il y a l'activité économique et l'emploi. Certes pas dans la BCE, tout au-moins pas de manière explicite, mais elle ne peut pas s'en désintéresser.
3 ème question : quand vont-elles agir ?
réponse : QUAND LEURS INTERVENTIONS AURONT UNE CERTITUDE D'ÊTRE EFFICACES, auront un sens. A quoi cela servirait-il d'intervenir à un moment " inapproprié " ?
4 ème question : que peux-t-on entendre par moment " approprié "
réponses :
- le moment où il faut intervenir pour éviter une véritable panique : traduit en termes graphiques : intervenir sur des supports clés. Pour moi le support clé c'est celui correspondant à une valorisation " normale " du CAC 40. On a vu hier que sur la base d'un taux de rendement annuel moyen de 4 %, calculé depuis le 01/01/1988 le cac NR devrait être aux alentours des 3700 points ... Ça c'est " normalement " , mais pour les marchés et les PP IL EST CERTAINEMENT BCP PLUS HAUT.
En fait c'est le moment où l'encéphalogramme du cac 40 sera plat, au moment les algos deviendront létaux : plus d'acheteurs, plus de vendeurs.
- le moment où " l'action des BC " se fusionnera le mieux avec la réalité, c-a-d quand les chiffres médicaux qui remonteront des différentes organismes de santé attesteront d'un plus bas atteint de l'épidémie.
5 ème question : quelle pourrait être la forme de l'intervention des BC ?
réponse : je vais dire une connerie ( ça ne sera pas la 1 ère mais allons-y quand même )
6 ème question : les Etats interviendront-ils ?
- réponse : par quels moyens ? Ils ne peuvent plus, ils sont surendettés.
D'où la solution de l'hélicoptère BEN BERNANKE.
PS : putain ilvient ce rebond dur les 5821 points ?
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Entièrement d' accord pour viser 5821 points , faut pas s' affoler l' épidémie va se développer hors de Chine puisqu' en Chine tout rentre dans l' ordre , les marchés vont de nouveau apprécier la normalisation de la situation c' est juste une question de temps aprs comme le dit TRUMP avec le retour des beaux jours l' épidémie disparaitra toute seule .
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CAC 40 UT JOUR
1 - la lagging span ressort de son nuage, certes, mais :
2 - la tenkan et la kijun passent plates ( comme annoncé hier ) alors qu'elles étaient fortement baissières depuis quelques jours,
3 - en gros, 1 % de repris depuis ce matin, nouvelle bougie verte,
4 - la kijun devrait camper sur les 5821 points,
5 - pour la tenkan, stable pendant 1 jour ou deux, après difficile de dire, faudra voir comment la zone tenkan/kijun se crée,
6 - le nombre de nouveaux décès en Chine a encore baissé et certaines régions accélèrent la reprise du boulot, l'atelier du monde va mettre les bouchées triple ... l'orgueil chinois en a pris un sacré coup et ils savent ce qui les attendent ...
7 - maintien des lvc pour viser les 5821 points ( petite somme )
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Quelle est ton approche actuelle sur le Cac 40 ?
Les banques centrales vont acheter les creux pour endiguer la baisse ....
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OR
Export Excel®
.SG10 PI OPENS (ORL1S) 2,47 V -2,37% 1,365 +80,95% 100,0%
Certificat levier 10 sous-jacent OR pris le 14/10/2019 : + 80,95 %
Petite somme mais grande satisfaction d'un 1er test.
Avec les frais qu'ils vous prennent les leviers 10 ou 15 c'est quasiment une obligation.
Le reste warrants, put, call .... j'y touche pas ( encore )
Rendez-vous compte, si à la place de mes bx4 où j'ai pris 7 et quelque % en une journée, quel aurait été le gain avec un levier 15 ? Surtout que la technique d'approche et la décision sont les mêmes.
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