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Message complété le 02/08/2018 10:29:51 par son auteur.
Michel 1993,
Ps : Si soit disant les USA / Russie / Chine / Inde et autre voulaient réellement la mort de l'europe comme le clame à longueur de journée les européistes , ils essaieraient d'aider le R-U à obtenir une bonne sortie de l'UE , hors ce n'est pas le cas : ils en ont rien à cirer . La propagande européiste ne tient pas debout ( comme Juncker ).
Avec ce genre de raisonnement, je vous conseille d'ores et deja d'apprendre a manger avec des baguettes!
Message complété le 02/08/2018 10:30:44 par son auteur.
...poivre du Sichuan! 对不起!
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Message complété le 01/08/2018 23:03:53 par son auteur.
Ps : Si soit disant les USA / Russie / Chine / Inde et autre voulaient réellement la mort de l'europe comme le clame à longueur de journée les européistes , ils essaieraient d'aider le R-U à obtenir une bonne sortie de l'UE , hors ce n'est pas le cas : ils en ont rien à cirer . La propagande européiste ne tient pas debout ( comme Juncker ) .
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Message complété le 01/08/2018 18:26:06 par son auteur.
même en Angleterre il ne faut pas oublier les résultats... les opinions sont tellement changeantes...que certains pourraient bien le regretter rapidement... le RU devenant, de fait, pour moins de 2%, anti Brexit...Mais il devra malgré tout continuer sa politique Brexit...
c'est quoi 2 ou 3 ans dans une vie humaine? alors je me garde d'avoir une opinion catégorique
http://www.atlantico.fr/decryptage/brexit-vote-51-pourquoi-moitie-voix-plus-ne-sont-pas-suffisantes-pour-engager-toute-nation-mathieu-mucherie-2748507.html
''le Brexit voté à 51% : pourquoi la moitié des voix plus une ne sont pas suffisantes pour engager toute une nation
Le jeudi 23 juin, le Royaume-Uni a fait le choix du Brexit, quittant de facto l'Union Européenne, après un référendum réunissant 51.9% des voix en faveur du départ. Une majorité absolue, certes, mais dont la légitimité peut tout de même être mise en doute face à une question d'une telle ampleur....''
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Message complété le 01/08/2018 16:29:14 par son auteur.
Dans le genre "bonnes nouvelles "des tenants du Brexit :
Le départ d'Unilever qui ferme son siège anglais représente "un énorme coup pour le gouvernement britannique et montre ce que les milieux d'affaires pensent vraiment de la décision du Royaume-Uni de quitter l'UE .
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Le chef de la diplomatie britannique Jeremy Hunt a agité mercredi l'épouvantail d'un Brexit sans accord, soulignant ses conséquences négatives pour son pays mais aussi pour l'UE, dans le cadre d'une offensive de Londres envers les dirigeants européens.
"Le risque d'un divorce houleux est réel, ce qui serait une énorme erreur géostratégique", a-t-il déclaré après une entrevue à Vienne avec son homologue autrichienne Karin Kneissl, dont le pays assume la présidence tournante de l'Union européenne.
Devant la lenteur de l'avancée de négociations sur les futures relations avec les 27, Londres a lancé une offensive envers les dirigeants européens, convaincu que s'adresser directement à eux, en premier lieu aux Allemands et aux Français, peut permettre de débloquer le processus, en contournant la Commission européenne.
"Ce n'est pas du tout notre attitude", a pourtant assuré Karin Kneissl à la BBC mercredi. "Il doit y avoir des efforts des deux côtés mis dans les négociations", a-t-elle dit.
"La France et l'Allemagne doivent envoyer un signal fort à la Commission", a affirmé Jeremy Hunt dans un entretien au quotidien Evening Standard mercredi "parce que pour chaque emploi perdu au Royaume-Uni, il y aura des emplois perdus en Europe si le Brexit se passe mal".
- "Supplique" -
Le négociateur européen Michel Barnier a refusé fin juillet une disposition clef du plan de sortie de l'UE de la première ministre Theresa May visant à éviter l'instauration d'une frontière coupant l'île d'Irlande après le Brexit entre le nord, membre du Royaume-uni, et le sud.
Theresa May reprendra le flambeau en s'entretenant vendredi du Brexit avec le président français Emmanuel Macron au fort de Brégançon (sud de la France). Le ministre britannique du Brexit, Dominic Raab, sera lui à Paris jeudi.
La France est perçue au Royaume-Uni comme l'un des principaux -voir le principal- obstacle à un assouplissement de la position de l'UE dans les négociations.
Paris ne s'est pas caché de vouloir profiter du Brexit pour tailler des croupières à la place financière de Londres en récupérant des emplois. Et l'exclusion des firmes britanniques des futurs contrats du projet européen de navigation par satellite Galileo, à la grande fureur de Londres, est par exemple susceptible de profiter à des firmes françaises.
"La supplique de May à Macron sur le Brexit", titrait ainsi mercredi le quotidien conservateur The Times. Car la Première ministre est en train de jouer son avenir politique, et fera tout pour ne pas être dans les livres d'histoire celle qui a échoué à faire sortir son pays "de façon ordonnée" de l'UE.
- Crainte de troubles -
En attendant, le Brexit est devenu au Royaume-Uni synonyme de psychodrame permanent, aussi bien au sein du Parlement, majoritairement europhile et en guerre contre l'idée d'un Brexit sans concession, qu'au sein du gouvernement conservateur, déchiré entre farouches partisans et adversaires du Brexit.
Il devient aussi ces derniers temps source de sombres scénarios, allant de pénuries en nourriture et en médicaments jusqu'à la crainte de désordres sociaux, dans l'attente de la publication, annoncée par le gouvernement pour août et septembre, d'une série de "notes techniques" indiquant la marche à suivre aux citoyens et aux milieux d'affaires en cas d'absence d'accord.
La chaine de télévision Sky a révélé mercredi une série de rapports des autorités locales reflétant leurs inquiétudes: craintes des éleveurs de moutons des îles Shetland d'une chute de leurs revenus liée à des taxes supplémentaires, craintes pour le système de protection sociale lié à la baisse de la main d’œuvre européenne...
Les autorités de Bristol (sud-ouest) craignent même des "troubles sociaux" au cas où "ni les partisans, ni les adversaires de l'UE ne trouvent leurs préoccupations prises en compte".
C'est pourtant l'un des scénarios envisagés par le quotidien des affaires Financial Times: Bruxelles accepterait de conclure un accord vague en tous points qui repousserait à plus tard, voire indéfiniment, la définition précise des futures relations entre les deux parties.
© 2018 AFP
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