OK
Accueil > Communauté > Forum Cac 40

Brexit: Londres brandit les dangers d'une absence d'accord - Page 3

Cours temps réel: 7 957,57  0,54%



Dubaisan Dubaisan
02/08/2018 12:27:40
0
Si vous ne comprenez rien....en francais, je peux essayer en chinois....
  
Répondre
joseph_P joseph_P
02/08/2018 12:00:46
0
Dubaisain.
je vous ai répondu très largement sur une autrre file, ici : https://www.abcbourse.com/forums/msg643077_la-france-abaisse-sa-prevision-de-croissance-mais-maintient-son-objec


Où sont vos arguments ? pas dans votre saillie juste dessous en tour cas.
  
Répondre
Dubaisan Dubaisan
02/08/2018 10:27:03
1

Joseph P,
" Lors du passage à l'Euro, chaque pays a du reste procédé à un taux de conversion de son ancienne monnaie qui correspondait à la réalité de son économie. Pour la France, de mémoire ce taux est de 1.665..."
Heureusement que ca a ete fait comme ca !! les salaires, les prix, les taux d'interet etc, tout etait proportionnel au poids economique de chaque pays. Si la parite avait ete la meme pour tous, cela aurait ete une stupidite monumentale et une catastrophe.
Apres il appartenait a chaque pays de faire evoluer son economie dans un sens positif. Certains l'ont fait: RFA/ Pays du nord de l'Europe/ Netherlands.... d'autres au contraire, assis sur leur lauriers, se sont contentes de gerer (mal en plus) leur haut systeme social, alourdissant leur charges, obliterant leur propre marge d'action et aggravant leur endettement.... Bref des vrais cigales!
Le taux de conversion etait de 1franc= 0.1524 euros ou 1 euro = 6.561679 francs
A propos, savez-vous comment en Chine finissent les jeunes cigales a peine sorties de leur carapaces? Frites au poivre du Sicuan, comme ca et c'est assez gouteux!

Message complété le 02/08/2018 10:29:51 par son auteur.

Michel 1993,
Ps : Si soit disant les USA / Russie / Chine / Inde et autre voulaient réellement la mort de l'europe comme le clame à longueur de journée les européistes , ils essaieraient d'aider le R-U à obtenir une bonne sortie de l'UE , hors ce n'est pas le cas : ils en ont rien à cirer . La propagande européiste ne tient pas debout ( comme Juncker ).

Avec ce genre de raisonnement, je vous conseille d'ores et deja d'apprendre a manger avec des baguettes!

Message complété le 02/08/2018 10:30:44 par son auteur.

...poivre du Sichuan! 对不起!

  
Répondre
michel1993 michel1993
01/08/2018 22:28:56
3

l'Europe est au pied du mur : une sortie réussie du RU ( au moins non-négative ) signerait son suicide


Donc on comprend aisément les gesticulations des politichiens et des merdias derrières.

Message complété le 01/08/2018 23:03:53 par son auteur.

Ps : Si soit disant les USA / Russie / Chine / Inde et autre voulaient réellement la mort de l'europe comme le clame à longueur de journée les européistes , ils essaieraient d'aider le R-U à obtenir une bonne sortie de l'UE , hors ce n'est pas le cas : ils en ont rien à cirer . La propagande européiste ne tient pas debout ( comme Juncker ) .

  
Répondre
joseph_P joseph_P
01/08/2018 18:03:30
3
melise.
À qui le RU a demandé des faveurs ? sans rire ?Quant à l'UE qui, selon vos termes, ne se fera jamais, est de votre part un aveu d'impuissance, au demeurant hautement comique. L'UE n'est qu'une chimère de papier, dont la construction repose sur l'incongruité de la monnaie unique.
Si je vous traite de comique, c'est parce que vous en êtes à dire que, si le RU sort, l'UE pourrait se faire sans eux (!). Le coupable c'est donc la perfide Albion ! Mais très cher, l'UE est faite, elle existe, hélas, et depuis nous en bavons des ronds de chapeaux.


L'Europe existe bien avant l'UE, arrêtez moi si je me trompe ? Les pays européens se portaient plutôt très bien ante UE, démontrez moi le contraire svp, merci. Et évitez la fable de l'UE c'est pas la guerre, car c'est justement l'inverse, ce sont les nations et la paix entre elles, qui ont permit cette aberration qu'est l'UE.


Arrêtons nous à la monnaie unique. Une monnaie ce ne sont pas que des pièces de monnaie ou des billets de banque. La monnaie d'un pays est le miroir de sa richesse, de son commerce, de son industrie, de sa production, bref, de son économie et aussi de la confiance que ce pays inspire à ses partenaires.


En créant l'Euro, tous les pays se sont retrouvés prisonniers d'une monnaie qui est au seul service de l'Allemagne, cette dernière ne permettant pas la moindre fluctuation. Lors du passage à l'Euro, chaque pays a du reste procédé à un taux de conversion de son ancienne monnaie qui correspondait à la réalité de son économie. Pour la France, de mémoire ce taux est de 1.665...


C'est ici que réside la supercherie, la conversion des monnaies s'est bien faite en tenant compte de la réalité économique de chaque pays. C'est donc que tout le monde admettait l'évidence des disparités économiques des pays européens.
Ces disparités n'ont pas disparues comme par enchantement, au simple fait d’une adhésion à une monnaie unique. Tout au contraire, elles se sont accentuées et n'ont de cesse de le faire. La chose est pourtant simple à comprendre, l'UE n'est pas une nation, et elle ne le sera jamais, l'Allemagne n'a rien à voir avec la Grèce, ni l'Italie avec l’Espagne, etc.
Ainsi, pour entretenir l'illusion, les pays n'ont d'autre possibilité que de recourir à l'emprunt, créant ainsi une dette qui, je pense que vous en avez conscience, ne sera jamais réduite et encore moins remboursée.


L'UE c'est une fuite en avant, son carcan étant sa monnaie unique, monnaie qui, c'est la première fois dans l'histoire, n'est pas émise par un pays mais par un club !

  
Répondre
Pictou Pictou
01/08/2018 18:00:12
0

pourquoi toujours ne voir qu'un côté (médaille ou propos...)
je dis simplement que les Anglais ont foncé tête baissée dans le Brexit, sans voir les effets pervers pour eux??? chacun dont l'EU, regarde de son côté... Quant à dire la Macronie, il n'est pas le seul à décider, et pour le moment l'EU est assez ferme sur ses positions, le contraire en arrangerait certains.

Message complété le 01/08/2018 18:26:06 par son auteur.

même en Angleterre il ne faut pas oublier les résultats... les opinions sont tellement changeantes...que certains pourraient bien le regretter rapidement... le RU devenant, de fait, pour moins de 2%, anti Brexit...Mais il devra malgré tout continuer sa politique Brexit...
c'est quoi 2 ou 3 ans dans une vie humaine? alors je me garde d'avoir une opinion catégorique

http://www.atlantico.fr/decryptage/brexit-vote-51-pourquoi-moitie-voix-plus-ne-sont-pas-suffisantes-pour-engager-toute-nation-mathieu-mucherie-2748507.html

''le Brexit voté à 51% : pourquoi la moitié des voix plus une ne sont pas suffisantes pour engager toute une nation

Le jeudi 23 juin, le Royaume-Uni a fait le choix du Brexit, quittant de facto l'Union Européenne, après un référendum réunissant 51.9% des voix en faveur du départ. Une majorité absolue, certes, mais dont la légitimité peut tout de même être mise en doute face à une question d'une telle ampleur....''

  
Répondre
jipes jipes
01/08/2018 17:39:06
0

Alors d'après toi, le bon côté de la médaille serait la Macronie ?
Quelle plaisanterie.
  
Répondre
Pictou Pictou
01/08/2018 17:27:58
0
en complément...
https://www.abcbourse.com/marches/brexit-londres-brandit-les-dangers-d-une-absence-d-accord_444138_PX1p
on peut y lire, entre autres...La France est perçue au Royaume-Uni comme l'un des principaux -voir le principal- obstacle à un assouplissement de la position de l'UE dans les négociations.

Paris ne s'est pas caché de vouloir profiter du Brexit pour tailler des croupières à la place financière de Londres en récupérant des emplois. Et l'exclusion des firmes britanniques des futurs contrats du projet européen de navigation par satellite Galileo, à la grande fureur de Londres, est par exemple susceptible de profiter à des firmes françaises.

"La supplique de May à Macron sur le Brexit", titrait ainsi mercredi le quotidien conservateur The Times. Car la Première ministre est en train de jouer son avenir politique, et fera tout pour ne pas être dans les livres d'histoire celle qui a échoué à faire sortir son pays "de façon ordonnée" de l'UE.-------------

c'est pahtétique! ce n'est pas parce qu'ils parlent anglais qu'ils s'appellent Trump pour faire ce qu'ils veulent dans le monde. Ils ont oublié le revers de la médaille.

Pour un peu d'ironie d'ironie... à cette époque mon père travaillait encore avec des chevaux...un gamin parisien, dans les années 30, avait dit à son père d'un ton admiratif: il parle ''anglais'' à ses chevaux!... (HUE!... HARRIE... ! il y avait apparemment trouvé une note de prestige, ou d'autorité!
  
Répondre
melise melise
01/08/2018 16:58:03
0
incroyable que RU puisse demander des faveurs, quand on prend la décision de sortir, on sort... sinon l'union européenne ne se fera jamais
  
Répondre
lfdp lfdp
01/08/2018 16:33:17
2
Très mauvais euro-raisonnement de la France qui devrait laisser sans faire obstacle.
  
Répondre
CRI74 CRI74
01/08/2018 16:27:19
0

Message complété le 01/08/2018 16:29:14 par son auteur.

Dans le genre "bonnes nouvelles "des tenants du Brexit :

Le départ d'Unilever qui ferme son siège anglais représente "un énorme coup pour le gouvernement britannique et montre ce que les milieux d'affaires pensent vraiment de la décision du Royaume-Uni de quitter l'UE .

  
Répondre
floalain floalain
01/08/2018 16:22:40
0
Seuls les Britanniques ont intérêt à ce que le Brexit se passe bien. Pour l'Europe, si le Brexit se passe bien, le prochain candidat à la sortie, sera l'Italie.
  
Répondre
floalain floalain
01/08/2018 16:22:40
0

Le ministre britannique des Affaires étrangères Jeremy Hunt et son homologue autrichienne Karin Kneissl à Vienne, le 1er août 2018 (APA/AFP/HERBERT PFARRHOFER)

Le chef de la diplomatie britannique Jeremy Hunt a agité mercredi l'épouvantail d'un Brexit sans accord, soulignant ses conséquences négatives pour son pays mais aussi pour l'UE, dans le cadre d'une offensive de Londres envers les dirigeants européens.

"Le risque d'un divorce houleux est réel, ce qui serait une énorme erreur géostratégique", a-t-il déclaré après une entrevue à Vienne avec son homologue autrichienne Karin Kneissl, dont le pays assume la présidence tournante de l'Union européenne.

Devant la lenteur de l'avancée de négociations sur les futures relations avec les 27, Londres a lancé une offensive envers les dirigeants européens, convaincu que s'adresser directement à eux, en premier lieu aux Allemands et aux Français, peut permettre de débloquer le processus, en contournant la Commission européenne.

"Ce n'est pas du tout notre attitude", a pourtant assuré Karin Kneissl à la BBC mercredi. "Il doit y avoir des efforts des deux côtés mis dans les négociations", a-t-elle dit.

"La France et l'Allemagne doivent envoyer un signal fort à la Commission", a affirmé Jeremy Hunt dans un entretien au quotidien Evening Standard mercredi "parce que pour chaque emploi perdu au Royaume-Uni, il y aura des emplois perdus en Europe si le Brexit se passe mal".

- "Supplique" -

Le négociateur européen Michel Barnier a refusé fin juillet une disposition clef du plan de sortie de l'UE de la première ministre Theresa May visant à éviter l'instauration d'une frontière coupant l'île d'Irlande après le Brexit entre le nord, membre du Royaume-uni, et le sud.

Theresa May reprendra le flambeau en s'entretenant vendredi du Brexit avec le président français Emmanuel Macron au fort de Brégançon (sud de la France). Le ministre britannique du Brexit, Dominic Raab, sera lui à Paris jeudi.

La France est perçue au Royaume-Uni comme l'un des principaux -voir le principal- obstacle à un assouplissement de la position de l'UE dans les négociations.

Paris ne s'est pas caché de vouloir profiter du Brexit pour tailler des croupières à la place financière de Londres en récupérant des emplois. Et l'exclusion des firmes britanniques des futurs contrats du projet européen de navigation par satellite Galileo, à la grande fureur de Londres, est par exemple susceptible de profiter à des firmes françaises.

"La supplique de May à Macron sur le Brexit", titrait ainsi mercredi le quotidien conservateur The Times. Car la Première ministre est en train de jouer son avenir politique, et fera tout pour ne pas être dans les livres d'histoire celle qui a échoué à faire sortir son pays "de façon ordonnée" de l'UE.

- Crainte de troubles -

En attendant, le Brexit est devenu au Royaume-Uni synonyme de psychodrame permanent, aussi bien au sein du Parlement, majoritairement europhile et en guerre contre l'idée d'un Brexit sans concession, qu'au sein du gouvernement conservateur, déchiré entre farouches partisans et adversaires du Brexit.

Il devient aussi ces derniers temps source de sombres scénarios, allant de pénuries en nourriture et en médicaments jusqu'à la crainte de désordres sociaux, dans l'attente de la publication, annoncée par le gouvernement pour août et septembre, d'une série de "notes techniques" indiquant la marche à suivre aux citoyens et aux milieux d'affaires en cas d'absence d'accord.

La chaine de télévision Sky a révélé mercredi une série de rapports des autorités locales reflétant leurs inquiétudes: craintes des éleveurs de moutons des îles Shetland d'une chute de leurs revenus liée à des taxes supplémentaires, craintes pour le système de protection sociale lié à la baisse de la main d’œuvre européenne...

Les autorités de Bristol (sud-ouest) craignent même des "troubles sociaux" au cas où "ni les partisans, ni les adversaires de l'UE ne trouvent leurs préoccupations prises en compte".

C'est pourtant l'un des scénarios envisagés par le quotidien des affaires Financial Times: Bruxelles accepterait de conclure un accord vague en tous points qui repousserait à plus tard, voire indéfiniment, la définition précise des futures relations entre les deux parties.

© 2018 AFP

  
Répondre

Forum de discussion Cac 40

201808021227 643063
logiciel chart 365 Suivez les marchés avec des outils de pros !

Chart365 par ABC Bourse, est une application pour suivre les marchés et vos valeurs favorites dans un environnement pensé pour vous.
Ma liste