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Bonjour LBWB,
Oui bien entendu si la logique technique suit, l'AT prendra forme..
Bon échéance à mi 2020 et point pivot vers fin du T4 2019..
J'espère sincèrement une contre tendance fondamentale.. du moins pour appuyer les sociétés qui dépendent du secteur (fournisseur et prestataire)
Merci beaucoup pour ton intervention graphique ;))
Message complété le 09/10/2019 16:26:03 par son auteur.
pas actionnaire d'ORA mais de celles qui en dépendent
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Bonjour Obywan
La figure le dit
cherche short vers 14.8 stop > 15 ou 15.50
Phase 3 selon Weinstein
la chute devrait être payante
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Vous la voyez baissière ? (ou pas ?)
J'ai comme qui dirait l'impression que fondamentalement ORA sortira du triangle par le haut.
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Bonjour le GAP est fermé !
Bizarrement !...
Message complété le 23/09/2019 09:59:34 par son auteur.
Ah oui.. le revenu... bah personnellement je ne me fie qu'à l'AT + AF !
Le reste ce n'est pas ma tasse de thé !
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Ça attaque le GAP !
Les volumes sont copieux !
Une valeur qui malgré moi doit faire toujours mieux, et faire évoluer sa clientèle Cloud (Use It Cloud) fournit par Prologue !
De bonne augure pour le T3 (PROL) je l'espère !
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L'action reste dans un couloir haussier CT !
Elle a tout ce qu'il faut techniquement et fondamentalement pour aller chercher ce GAP (pour moi ce n'était pas une rupture)
W&S
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Si vous le dites (alors ?)
ORA augmente son bénéfice, augmente son CA (faiblement)
J'avoue ne pas comprendre comment on peut être baissier sur une valeur croissante et en bénéfice.. et s'intéresser à une valeur en décroissance (CA + marge)
Sur la technique je pense que l'on peut aller chercher le GAP si bien entendu on casse franchement les 13.95€
Elle est il est vrai en zone de surchauffe, mais elle reste sous valoriser.
Avec des échecs sous les MM (différentes UT)
+4/5% ce n'est pas impossible et c'est à mon avis plus justifié que les +20% sur Kerlink !
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Obywan
« « Si tu le dis.. » ».
Je suis du même avis que starox ( l’aurait pu s’appeler starix pour faire vedette gauloise dans l’anonymat.)
Graphiquement,
les gaps ne sont pas forcément et systématiquement refermés, ou alors en LT, le cours butte sur une grosse résistance MT, les 3 dernières bougies sont « un peu faible du jarret », donc pas prêtes pour le saut en hauteur, les volumes bien moins « volumineux » depuis le 13/08, et les (mes) indicateurs ont le regard attiré plus par la pointe des chaussures que par la couleur du bonnet.
Toutes ces petites choses me font penser à une baisse.
orange est le chou-chou de Le Revenu, qui se plante à tous les coups sur ce dossier-là. (l’un des rares sur lesquels ils se plantent, il faut bien le dire.)
Simple avis, et non…etc…etc….
Cours du moment : 13,82
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Si tu le dis...
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les chiffres ne sont pas au rdv, attention au retournement qui pourrait bien aller vers les 13 € voir plus bas encore
non actionnaire
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A venir !
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LES "PETITS POUCETS DES TÉLÉCOMS" ATTAQUENT ORANGE
ANNICK BERGER PUBLIÉ LE 20/07/2019 À 11H34
L’Association des Opérateurs Télécoms Alternatifs accuse l’entreprise de pratiques anticoncurrentielles et de ralentir la numérisation des PME.
Les "Petits Poucets des télécoms" sont en colère contre Orange. Pour la première fois depuis sa création en 2017, l’Association des Opérateurs de Télécoms Alternatifs (AOTA) a décidé de porter plainte contre la société dirigée par Stéphane Richard. Les Échos expliquent qu’elle a décidé de saisir l’Autorité de la concurrence pour ouvrir le réseau fibre Orange à ces opérateurs qui s’adressent principalement aux PME.
Les 47 membres de l’AOTA estiment ainsi ne pas avoir suffisamment accès au réseau de l’opérateur historique, et ce, malgré des demandes répétées. Ils estiment également qu’Orange a des pratiques anticoncurrentielles, et que l’entreprise ralentit la numérisation des PME. Un enjeu pourtant crucial pour le développement et la compétitivité de nombreuses entreprises françaises, notamment dans les départements les plus isolés de l’Hexagone.
Les "petits" évincés du marché ?
Pour pouvoir proposer des offres internet ADSL ou fibre à leurs clients, les opérateurs télécoms régionaux doivent "emprunter" les réseaux d’Orange ou de SFR. Netalis, PacWan ou encore Fullsave louent ainsi aux "grands" des accès et leur achète à prix de gros, de la voix ou de la data qu’ils revendent ensuite aux entreprises régionales. Mais aujourd’hui, ces "petits", ne parviennent pas à se brancher de façon suffisante au réseau fibre d’Orange et estiment qu’ils sont évincés du marché des entreprises. Un secteur particulièrement lucratif, rappellent Les Echos, puisqu’il pèse à lui seul environ 10 milliards d’euros, soit un tiers du marché français de télécoms.
L’AOTA n’est pas la première association à critiquer le réseau Orange. En 2017, un autre lobby représentant les "petit" des télécoms, Alternative Télécom, avait déjà exigé davantage d’ouverture. Mais le problème subsiste. Il est lié au manque de régulation sur la fibre pour les professionnels : Orange est en effet obligée de proposer des offres de gros aux petits opérateurs souhaitant accéder à son réseau ADSL, mais pas sur la fibre. L’opérateur rechigne ainsi à ouvrir à la concurrence ce réseau construit à coup de milliards d’euros.
En janvier dernier, l’AOTA avait déjà alerté l’Autorité de la concurrence sur la situation. Elle avait alors demandé l’avis de l’institution sur la possibilité de scinder en deux Orange, explique l’Express. L’idée était de créer une branche comprenant l’infrastructure de l’opérateur et une autre comprenant ses activités de service. Les "Petits Poucets" de l’AOTA, qui représentent 500 emplois directs et plus de 100 millions de chiffre d’affaires, estiment en effet que dans la situation actuelle, il leur est impossible de proposer des offres commerciales identiques à celles du leader des télécoms français, concernant la fibre. Orange contrôle aujourd’hui environ 70% du marché pour les entreprises.
Pour tenter de mettre fin à ce monopole, l’Arcep de son côté a décidé de faire émerger un troisième acteur, Kosc, pour tenter de venir concurrencer le duo Orange-SFR. Cet opérateur "de gros" développe ainsi lui-même son réseau de fibre pour le louer aux petits opérateurs régionaux de l’AOTA ou d’Alternative Télécom. Les Echos rappellent cependant que l’arrivée de cet opérateur en 2016, soutenu par la Caisse des Dépôts, n’a pour le moment, pas vraiment changé la donne.
© CAPITAL
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J-1. Orange est sous tension en ce début de semaine : mardi, son PDG Stéphane Richard connaîtra le verdict du procès sur l'arbitrage de 2008 dans le dossier Crédit Lyonnais, qui pourrait lui coûter son poste s'il venait à être condamné. Le parquet a requis trois ans de prison dont 18 mois de sursis contre celui qui était à l'époque directeur de cabinet de la ministre de l'Economie et des Finances, Christine Lagarde. Bruno Le Maire avait indiqué qu'en cas de condamnation, Stéphane Richard, en dépit d'un bilan positif aux commandes de l'opérateur, devrait lui remettre immédiatement son mandat.
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ALLO ??? Ne coupez pas la ligne violette, SVP....
Attention, on menace d'enfoncer le pied de cartouche de conolidation latérale vieux de 2015. En cas de rupture, ça pourrait aller vite, car mis à part le dividende, les actionnaires depuis 2015 n'ont rien à se mettre sous la dente creuse...
En cas de sortie baissière, y'a du grain à moudre en direction des supports...
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Message complété le 21/02/2019 13:49:32 par son auteur.
Gap de 2014 à combler vers 10.86 euros.
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