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CAC 2020 : au troisième Top, on va se coucher - Page 3

Cours temps réel: 8 088,24  0,89%



gars d'ain gars d'ain
13/03/2020 18:19:36
0
  
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manuborelli manuborelli
13/03/2020 16:46:48
0

ah ce philou tous les mercredi matin dans le face a face sur bfm business

  
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tirelire19 tirelire19
13/03/2020 16:44:48
1

Systématiquement chaque rebond est shorté et pas n' importe comment , on laisse des portes de sorties très hautes aux acheteurs puis après les vendeurs canardent tout sur les plus hauts du jour , c' est comme cela que çà se passe , inutile de vous dire que toutes les liquidités des banques centrales sont utilisées à shorter le marché sur rebond , la confiance , le bouclier anti baisse ne fonctionne plus .

  
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colet colet
13/03/2020 16:41:51
0

et comme on est partis de tout en haut

quand je le disais qu'il fallait propulser le cacou dans les nuages ... histoire de bien planer

la chute n'en serait que plus sévère.


plouf plouf et on recommence


  
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gars d'ain gars d'ain
13/03/2020 16:38:50
1

91%

c'est le taux de corrélation entre le Krack boursier du 12 mars 2020 et le Krack de 1929 .


Pour ceux qui doutaient de ce que j'ai écrit ces derniers jours...

Message complété le 13/03/2020 16:39:20 par son auteur.

Info donné par Philippe Bécharde

  
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gars d'ain gars d'ain
13/03/2020 16:35:45
0

La Bourse au Quotidien - C'est reparti comme en 29 !

https://www.youtube.com/watch?list=PLG452EEp1i9vUruZ-h9ymG5DCDtZbSa_u&time_continue=266&v=NF0B8OskMfM&feature=emb_logo


Bécharde enfonce le clou sur la nullité de l'intervention de LAGARDE hier...

  
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manuborelli manuborelli
12/03/2020 18:20:25
1

12.28 c'est un record mais dans le future il sera battu.

je ne le verrai peut être jamais mais il sera battu.

je bosse sur les écarts et les records sont toujours battus un jour ou l'autre.

c'est mathématiquement impossible de rester a l'intérieur de bornes, ça serait trop facile.

Message complété le 12/03/2020 18:30:35 par son auteur.

pour la petite grippe, un con qui marche ira toujours plus loin qu'un intellectuel assis. c'est connu.
quand pas mal de monde va commencer a comprendre tu verras tu vas courir.
ça va être la grosse panique, quand tu vas payer ton paquet de pates 200€.
ils parlent déjà de remettre les jeux de tokyo.

  
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gars d'ain gars d'ain
12/03/2020 18:06:35
1

Il faut se consoler comme on peut : Médaille d'or "hors catégorie" pour la chute monumentale du CAC 40 ce jour à -12,28% et 4 044,26 pts.


On vient d'effacer en ligne droite 30% de la valeur des entreprises françaises cotées en bourse pour une malheureuse histoire de virus la plupart du temps non mortel... Comme dirait Coluche, ce qui restera de ce jeu de dupes dans la barque, ce sont les chômeurs à venir sur le carreaux. Des années d'efforts économiques réduits à néant pour des intérêts personnels et une peur totalement démesurée...

On vient de laminer des pans entiers de l'économies, les personnes actuellement au pouvoir dans la plupart des pays sont des incapables qui sont là avant tout tenter d'inscrire leur petit nom dans l'histoire : pas de doutes, ils vont y rester et pour longtemps.


L'histoire le dira, mais il se profile actuellement la crise boursière la dure après 1929...

Sur le podium, également la chute de lundi à -8,39%. Pour ceux qui n'avaient pas encore vécu de krack boursier, nous voilà rendu au pied du mur. C'est bien Macron qui voulait plus d'actionnaires, comment voulez-vous que le pays est plus d'actionnaires individuels avec de telles erreurs d'appréciations économiques.


Non seulement le pays est toujours taxé à 47% avec le bonneto fiscal, mais en plus maintenant, va falloir ramer dure parce que tissu économique est au tapis est pour un moment. Je suis parfaitement scandalisé de voir un tel niveau d'incompétence et d'amateurisme à la tête des états et des organisations monétaires...


Et dites-vous bien que c'est pas fini : lisez ce qui suis pour 2008, ça promets de belles veillées d'armes financière pour écoper l'eau qui fait voie de toute par dans le navire amiral...



Les dix plus fortes baisses de l'histoire du CAC 40

Par Challenges.fr le 07.11.2008 à 08h24, mis à jour le 07.11.2008 à 12h30

https://www.challenges.fr/finance-et-marche/les-dix-plus-fortes-baisses-de-l-histoire-du-cac-40_369086


Rude anniversaire pour le CAC 40 : créé le 15 juin 1988, l'indice le plus connu de la Bourse de Paris a connu cette année cinq de ses plus fortes baisses en vingt ans. Voici les dix plus fortes baisses jamais enregistrées, de la plus forte à la moins forte :


• 6 octobre 2008 : -9,04%. L'extension de la crise financière au secteur bancaire européen (l'allemande Hypo Real Estate, sous perfusion des autorités allemandes, ou Dexia, plus que jamais en difficulté) affolent la Bourse, qui essuie sa plus forte chute depuis la création de l'indice.


• 10 octobre 2008 : -7,73%. La Bourse de Paris poursuit son plongeon, emportée dans le tourbillon de panique mondiale. Le CAC 40 conclut la pire semaine de son histoire, et revient au plus bas depuis cinq ans, quelques heures avant la tenue du G7-Finance.


• 11 septembre 2001 : -7,39%. Les attaques terroristes menées aux Etats-Unis par Al-Qaida, qui cible notamment le World Trade Center, symbole du capitalisme américain, paniquent les marchés.


• 19 août 1991 : -7,29%. Mikhaïl Gorbatchev est évincé de la tête de l'Union soviétique par des tenants de la "ligne dure" au sein du Parti communiste.


• 21 janvier 2008 : -6.83%. La crise des "subprimes" inquiète la Bourse, d'autant que le plan d'aide à l'économie américaine de 150 milliards d'euros, présenté trois jours plus tôt, reflète son extension à l'économie réelle.


• 6 novembre 2008 : -6,38%. Le marché est rattrapé par les inquiétudes économiques, le Fonds monétaire international anticipant une récession dans les pays développés en 2009. La Bourse se montre également peu sensible aux fortes baisses de taux en zone euro et en Angleterre.


• 8 octobre 2008 : -6,31%. Les derniers développements de la crise inquiètent des marchés erratiques, pas rassurés par la perspective d'une baisse des taux par les banques centrales.


• 16 octobre 1989 : -6,29%. Les salariés de la compagnie aérienne américaine United Airlines abandonnent leur projet de rachat, alors que la crise des junk bonds (obligations spéculatives) bat son plein.


• 30 septembre 2002 : -5,87%. Une avalanche de mauvaises nouvelles plombe la Bourse. France Télécom, par exemple, perd 12% et voit son cours tomber à un plus-bas historique.


• 24 mars 2003 : -5,67%. Quatre jours après l'invasion de l'Irak par une coalition emmenée par les Etats-Unis, les marchés s'inquiètent du résultat des opérations militaires.


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gars d'ain gars d'ain
10/03/2020 17:11:15
2

Les gilets jaunes et la réforme des retraites ont bons dos. C'est finalement assez facile d'incriminer les autres plutôt que de se regarder le nombril...


Et surtout Avec la sur abondance médiation politique orchestrée autour du COVID 19, on va faire un carton au T1 / 2020.


Zone euro: Croissance confirmée à 0,1% au 4e trimestre 2019


10/03/2020 | 11:32

ZONE EURO: CROISSANCE CONFIRMÉE À 0,1% AU 4E TRIMESTRE 2019

L'économie de la zone euro a vu sa croissance ralentir à 0,1% au quatrième trimestre 2019, la progression de l'investissement et de la consommation privée et publique ayant à peine compensé l'impact d'une forte hausse des importations, a confirmé mardi Eurostat, l'institut européen de la statistique.

Le produit intérieur brut (PIB) des 19 avait progressé de 0,3% sur les trois mois précédents.

Eurostat a revu en légère hausse la croissance en rythme annuel, à 1,0% pour la période octobre-décembre contre 0,9% dans l'estimation précédente.


Ce chiffre marque toutefois encore un ralentissement puisque la croissance avait atteint 1,3% sur un an au cours de la période juillet-septembre.


La formation brute de capital fixe a apporté une contribution positive de 0,9 point de pourcentage à l'évolution du PIB au quatrième trimestre, les dépenses de consommation des ménages et les dépenses publiques des contributions de 0,1 point chacune.

Le commerce extérieur a au contraire amputé la croissance de 0,8 point, les importations ayant augmenté de 1,8% alors que les exportations ne progressaient que de 0,2%.

Eurostat fait également état d'une hausse de l'emploi dans la zone euro de 0,3% d'un trimestre sur l'autre et de 1,1% en rythme annuel.

  
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gars d'ain gars d'ain
28/02/2020 00:31:20
4

Prospective :

"Je ne vois pas comment nous pourrions échapper à une nouvelle crise financière" : entretien avec Gaël Giraud sur les années 2020"

Propos recueillis par Alexandra Saviana

Publié le 29/12/2019 à 11:07

​Pour fêter 2020, Marianne a interrogé différentes personnalités sur la décennie à venir. Voici l'entretien réalisé avec Gaël Giraud, économiste, directeur de recherche au CNRS, ancien chef économiste de l'Agence française de développement.


https://www.marianne.net/economie/je-ne-vois-pas-comment-nous-pourrions-echapper-une-nouvelle-crise-financiere-entretien-avec

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Parmi les réponses aux question, il y a ceci ....


Où commencerait cette crise ?

Le troisième foyer pourrait être européen : une grande banque du continent ferait faillite, par exemple. Les banques européennes ont beaucoup de Non-performing loans, ou des actifs “pourris" pour parler français : plusieurs centaines de milliers d’euros. Les banques italiennes, notamment, mais elles ne sont pas les seules : des cajas espagnoles vont toujours mal ; les Landesbanken allemandes ne vont pas bien non plu (et l’Allemagne a tout fait pour empêcher la Banque Centrale Européenne d’aller superviser de près ce secteur) ; Deutsche Bank donne régulièrement des signes de fragilité inquiétants. Nous sommes loin d’être à l’abri de la faillite d’un gros établissement bancaire européen. Contrairement à ce qu’elles répètent, les banques n’ont pas fini de nettoyer leurs bilans après la crise de 2008. A l’époque de Christine Lagarde, le FMI avait déjà multiplié les mises en garde à ce sujet.



  
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gars d'ain gars d'ain
28/02/2020 00:23:41
3

Un peu d'éclairage sur le risque de la dette et les entreprises zombies... On est clairement passé largement en dehors des clous. Passer au crible les comptes des entreprises que l'on a en portefeuille va devenir une réalité nécessaire pour affronter l'orage ce qui vient... La foudre pourrait tomber rapidement et comme il n'y a aucun paratonnerre, ça pourrait faire des victimes ...


Crédits : la dette des entreprises sera-t-elle à l’origine de la future crise ?

Publié le 09/01/2020 à 13:11

https://www.marianne.net/debattons/tribunes/credits-la-dette-des-entreprises-sera-t-elle-l-origine-de-la-future-crise


Notons que : En France, le taux d’endettement privé, dépassant 133%, est devenu le plus élevé de la zone euro. Il reste en-deçà des 160% autorisé par le tableau de bord du Six-pack (règlements européens fixant les objectifs macroéconomiques à atteindre sous peine de sanctions), plus indulgents avec la dette privée qu’avec la dette publique, limitée à 60% du PIB. C’est pourtant moins la dette publique, dépassant le taux autorisé, que celles des entreprises privées qui s’avère préoccupante. Explications.


MONTAGNE DE DETTES

L’endettement est une condition nécessaire au financement de l’investissement. Il transite par le crédit bancaire ou par le recours aux marchés, où la dette des uns mobilise l’épargne des autres. Lorsque la confiance est forte en l’entreprise ou l’entité qui empruntent, celles-ci peuvent s’endetter moyennant un taux d’intérêt bas auprès des épargnants. Tel est le cas pour l’Etat français, qui jouit d’une excellente réputation auprès des marchés, malgré son taux d’endettement de 100% du PIB. Comme composante de la dette privée, la dette des ménages français atteint pour sa part 60% de leur revenu. Favorisée par les taux bas, elle est consacrée à 80% à l’acquisition de biens immobiliers grâce à des crédits classiques et s’avère donc peu risquée.

En revanche, la montée du taux d’endettement des entreprises privées, s’élevant à 73,9%, s’avère particulièrement inquiétante dès lors que cette dette n’est que marginalement consacrée au financement de l’investissement. Peu dynamique, ce dernier était en 2018 à 93% autofinancé. Seulement 7% des besoins de financement en formation de capital fixe nécessitaient donc un recours à l’emprunt. Ainsi, entre 2008 et 2018, sur un total de 1.435 milliards de dettes, seuls 124 milliards étaient destinés à l’investissement. A quoi a donc servi cette montagne de dette accumulée par les entreprises ? D’une part à financer des opérations de fusion-acquisition, d’autre part à verser des dividendes afin d’attirer les actionnaires, pour soutenir les cours en bourse des entreprises ainsi rachetées et restructurées.


Les LBO (Leverage Buy out – i.e. acquisition à effet de levier) sont l’un des véhicules empruntés pour financer ces fusions-acquisitions-restructurations. Produit phare issus de la déréglementation financière, les LBO sont à la haute finance ce que le crédit hypothécaire est aux ménages modestes désirant accéder à la propriété avec peu d’apport. Les acquisitions sont gagées sur la valeur future des actifs achetés. A la tête d’une holding, le capitaliste qui réalise l’opération en s’endettant doit par conséquent tout faire pour que les actifs acquis prennent de la valeur en bourse. Il faut pour cela restructurer l’entreprise achetée de telle sorte qu’elle dégage les profits permettant non seulement de rémunérer les actionnaires, dont le comportement détermine la valeur de marché de l’entreprise, mais aussi de rembourser l’emprunt acquitté. Le capitaliste s’endettera de surcroît pour verser directement les dividendes nécessaires pour s’assurer la confiance des actionnaires. Il pourra lui-même s’endetter pour racheter ses propres actions, puis éventuellement les détruire, pour en faire monter le cours boursier. Dans cette séquence, ce capitaliste du nouveau monde n’aura pas nécessairement investi dans l’économie réelle. Il en aura même pu détruire du capital fixe, dans le cadre de la mise au rencart des "doublons" et des emplois surnuméraires dont le maintien plomberait le taux de marge.


L'EFFET DE LEVIER

Ce "modèle" à fort effet de levier (i.e. à forte rentabilité financière), peut perdurer tant que l’entreprise à laquelle les titres acquis sont adossés dégage le profit nécessaire au versement de dividendes. Si cette source venait à se tarir, les actionnaires se détourneraient desdits titres, dont la valeur s’effondrerait. Si la source de dividendes s’asséchait peu à peu pour toutes les entreprises, un retournement interviendrait tôt ou tard sur le marché action. Les dérivés de LBO deviendraient toxiques, gangrénant le bilan des banques, dont les valeurs seraient à leur tour attaquées en bourse...

Pour que le nouveau monde ne tombe pas en panne, on saisit dès lors pourquoi le "gouvernement des riches" reste crispé sur deux nouveaux "critères de convergence".

Le tarissement des profits est susceptible de se produire si l’activité des entreprises s’avérait insuffisante et/ou si la part des salaires dans la valeur ajoutée venait significativement à remonter. La première éventualité devient une probabilité non négligeable dès lors qu’un nombre important d’entreprise cotées (dont dépendent les carnets de commandes des PME sous-traitantes) est engagé dans une logique purement financière. Au plan macroéconomique, l’investissement est alors peu dynamique et la modération salariale finit par peser sur la consommation. Seule, la consommation des classes riches tire la croissance, pour peu que leur propension à épargner n’augmente pas. Tel est le contexte qui tend à s’installer dans notre pays. Mais, pour autant que la croissance décline, la source de dividendes que sont les profits peut continuer de jaillir, tant que le rapport de force permet aux capitalistes de réduire la part des salaires dans la valeur ajoutée, ce qu’ils parviennent à obtenir avec l’appui des politiques publiques telles que celles les exonérant de verser le salaire indirect que représentent les cotisations sociales.

Mais la source se tarirait sérieusement si le rapport de force s’inversait à la faveur d’un retour de balancier dans la lutte des classes, relancée par la réforme des retraites. Pour que le nouveau monde ne tombe pas en panne, on saisit dès lors pourquoi le "gouvernement des riches" reste crispé sur deux nouveaux "critères de convergence", brandis comme des fétiches : limiter à 28,12% le taux des cotisations sociales finançant le régime de retraite par répartition, et à 14% du PIB la part des pensions versées par ce système assurant le paiement du salaire différé auquel ont droit les travailleurs en fin de vie active.


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Ces indicateurs qui montrent que la crise est de retour (septembre 2019)

https://www.marianne.net/economie/au-secours-la-crise-revient

  
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gars d'ain gars d'ain
28/02/2020 00:09:36
3

Cupidité, always cupidité...

Paradoxalement, ça aurait du mettre la puce à l'oreille des dirigeants et des conseillers économiques. Ce graphe montre que les 5 matières essentielles pour faire tourner l'économie mondiale sont finalement délaissées plusieurs mois pour l'or qui à part être stockée et offert en bijou ne sert à rien.


L'économie vivrière des pays est supplanté par la convoitise de l'or : triste constat amer... Faut pas s'étonner qu'on aille au clash financier.

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CRI74 CRI74
27/02/2020 23:41:45
1

Selon un décompte réalisé par l'AFP , l'impact de l'épidémie liée au coronavirus sur les grandes entreprises françaises avoisine déjà le milliard d'euros de pertes .

Du manque à gagner plutôt que pertes , ce qui est différent .

Au niveau transactions , après plus de 6 milliards hier sur les actions françaises , ce jeudi voit le chiffre astronomique de 8.5 milliards dépassé , rarement atteint y compris lors des journées des sorcières ; moyenne habituelle ~ 3 à 3.5 milliards .

  
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gars d'ain gars d'ain
27/02/2020 23:28:08
3

Hause importante des volumes depuis lundi ...


Et les 5387 pts annoncés dans mon graphe ci-dessous déjà en ligne de mire...

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gars d'ain gars d'ain
27/02/2020 23:02:56
1

La crainte d'une pandémie entraîne une correction boursière


27/02/2020 | 18:42

LES BOURSES EN EUROPE FINISSENT EN BAISSE

Un vent de panique a soufflé jeudi sur les places financières, la crainte d'une pandémie pénalisant l'économie mondiale entraînant les indices boursiers en territoire de correction en Europe comme aux Etats-Unis.

L'indice large européen Stoxx 600 a cédé jusqu'à plus de 4% en séance, portant à plus de 10% ses pertes par rapport à ses récents plus hauts, en l'occurrence son record du 19 février, ce qui caractérise une correction.


Même phénomène à Wall Street, où les trois indices de référence ont creusé leurs pertes peu après l'ouverture pour les porter à plus de 10% par rapport aux plus hauts touchés lors de la séance du 19 février.


Le CAC 40 parisien a perdu 3,32% à 5.495,60 points. Le Footsie britannique 3,5% et le Dax allemand 3,19%.


L'indice EuroStoxx 50 a cédé 3,4%, le FTSEurofirst 300 3,49% et le Stoxx 600 3,75%, ce dernier indice clôturant à un creux de plus de quatre mois.


A l'heure de la clôture en Europe, les trois indices phares de la Bourse de New York cèdent autour de 2% après avoir un peu réduit leurs pertes.


L'épidémie de coronavirus apparue en Chine ne cesse de s'étendre en Asie, en Europe, au Moyen-Orient et aux Etats-Unis, ce qui fait craindre un impact négatif fort sur l'économie mondiale et remet en question le scénario d'un environnement demeurant favorable aux actifs risqués.


"L'épidémie de coronavirus a remplacé les guerres commerciales, provoquant la panique sur les marchés financiers mondiaux qui craignent désormais un choc sur l'économie mondiale", résume Ritu Vohora, directeur de l'équipe actions chez M&G.


"Les niveaux records et les valorisations élevées des marchés boursiers rendent les marchés plus vulnérables aux chocs économiques et aux déceptions en matière de bénéfices", ajoute-t-il.


Pour illustrer la nervosité des marchés, l'indice mesurant la volatilité implicite de l'EuroStoxx 50 a bondi de jusqu'à plus de 50% en séance.


Son équivalent américain, rattaché au S&P-500 et connu sous le nom d'"indice de la peur", prend près de 20% pour renouer avec ses plus hauts de décembre 2018.


"Les investisseurs ont fait un virage complet pour passer en moins d'une semaine de l'optimisme inébranlable du début de l'année à un pessimisme déclaré", constate l'analyste Michael Hewson (CMC Markets).


VALEURS EN EUROPE


Tous les indices sectoriels européens ont terminé profondément dans le rouge, avec des replis particulièrement marqués pour les voyages et le tourisme (-5,68%), les banques (-5,02%) et les ressources de base (-5,67%).


Les plus fortes baisses du CAC 40 sont pour STMicroelectronics, Renault et Société générale, qui ont perdu chacun plus de 6%.


Contre la tendance, Engie a pris 2,33%, la seule hausse du CAC 40, après des résultats bien accueillis.


TAUX


L'aversion pour le risque entraîne le repli vers les valeurs refuges, obligations d'Etat en tête.


Le rendement des Treasuries à dix ans perd cinq points de base à un plus bas record de 1,26%.


Le Bund allemand de même échéance, référence de la zone euro, à abandonné sept points de base à -0,56%.


"Les nouvelles semblent créer cette hystérie collective partout, une panique de fin du monde, alors les gens se mettent à l'abri des risques et mettent leurs investissements dans des actifs refuges, et le plus important d'entre eux, ce sont les bons du Trésor à 10 ans", a déclaré Stuart Oakley chez Nomura.


CHANGES


La baisse des rendements obligataires affaiblit le dollar qui recule de 0,6% face à un panier de devises internationales dont le yen (-0,5%) et le franc suisse (-0,75%), deux monnaies recherchées en période de nervosité.


Le billet vert souffre aussi des anticipations d'une possible baisse des taux de la Réserve fédérale pour contrer les répercussions du coronavirus sur l'économie américaine.


Selon le baromètre FedWatch de CME Group, la probabilité d'une baisse du taux des "fed funds" le 18 mars désormais évaluée par le marché à 63% contre 33% mercredi.


L'euro gagne près de 1% à 1,094 dollar.


PÉTROLE


Les deux contrats de référence sur le brut s'écroulent sur des craintes d'un effondrement de la demande, en particulier de la Chine, premier importateur mondial. Ils se traitent à 51,32 dollars (-3,95%) pour le baril de Brent de mer du Nord et 46,38 dollars (-4,82%) pour le brut léger américain (WTI).

  
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gars d'ain gars d'ain
27/02/2020 22:27:35
0

Les marchés mondiaux se dirigent vers leur pire semaine depuis la crise 2008


27/02/2020 | 19:11

Paris (awp/afp) - Les indices boursiers mondiaux se sont enfoncés dans la dépression jeudi, se dirigeant vers leur pire semaine depuis 2008, tandis que l'épidémie de nouveau coronavirus s'étend à travers la planète.

Tokyo a donné le la avec une chute de plus de 2% face aux menaces grandissantes que fait peser la crise sanitaire sur l'organisation des Jeux olympiques.

Mis à rude épreuve depuis lundi, les marchés européens ont tous fini en baisse de plus de 3% : de Paris (-3,32%) à Londres (-3,50%), de Francfort (-3,19%) à Madrid (-3,55%) ou encore Amsterdam (-3,75%). La place milanaise a lâché 2,66%.


En une semaine, l'Euro Stoxx, l'indice boursier rassemblant des grandes valeurs de la zone euro, affiche désormais près de 10% de recul (-9,60%).

Vers 17H00 GMT, Wall Street se repliait nettement: le Dow Jones, qui a abandonné plus de 10% par rapport à son record atteint le 12 février, pliait de 2,23%, le Nasdaq de 2,41% et le S&P 500 de 1,57%.


Dans le même temps, le pétrole a poursuivi sa dégringolade jeudi, fléchissant de plus de 4%.

"L'environnement de marché est assez déprimé. Il n'a pas encore cédé à la panique mais il y a des premiers signes de capitulations d'investisseurs", observe auprès de l'AFP Andrea Tuéni, analyste de Saxo Banque.

"On est en train d'enregistrer la pire semaine depuis 2008 sur les marchés. En variation hebdomadaire et en vitesse du mouvement, c'est assez similaire à ce qu'on a pu connaître en 2008", décrit le spécialiste.

Outre les inquiétudes croissantes liées au coronavirus, les marchés affrontent des "vents de panique sur des seuils techniques" qui entraînent "des ventes forcées", c'est-à-dire intervenant automatiquement en se basant sur des algorithmes, explique à l'AFP Laurent Gaetani, gérant chez Degroot Petercam.

L'anxiété des investisseurs grimpe à mesure que l'épidémie de Covid-19 se répand à travers la planète et "si jamais le coronavirus devait arriver vraiment aux Etats-Unis, il est possible que la chute s'accentue", même si le président américain Donald Trump s'est voulu rassurant mercredi soir, poursuit le spécialiste.

Le nouveau coronavirus a contaminé plus de 81.000 personnes et fait plus de 2.760 morts dans le monde. Le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé a estimé jeudi que l'épidémie a atteint un "point décisif", appelant les pays à agir "rapidement" pour endiguer ce "virus très dangereux".


L'épidémie semble avoir atteint un pic en Chine où le nombre de décès quotidiens continue de diminuer. Mais l'épidémie de Covid-19 concerne désormais une quarantaine d'autres nations.


L'espoir de mesures de soutien

Face à cette diffusion, plus personne ne doute de l'impact de l'épidémie sur la croissance mondiale, même s'il est encore difficile à évaluer.

D'ores et déjà, nombre d'entreprises ont révisé leurs objectifs à la baisse ou fait montre de prudence en faisant sans aucune ambiguïté le lien avec le coronavirus, à l'instar de la banque Standard Chartered, du numéro un mondial de la bière AB InBev, ou du groupe aérien Air France-KLM.

Des plans d'urgence avec financement immédiat sont prêts à être déployés, notamment par le Fonds monétaire international, pour venir en aide aux pays qui ne parviendraient pas à faire face à une épidémie du nouveau coronavirus.

Dans l'UE, Bruxelles envisage de proposer dans un mois, si c'est nécessaire, "des mesures d'accompagnement" aux secteurs économiques fragilisés par le coronavirus, a indiqué jeudi le commissaire européen à l'Industrie, Thierry Breton.


"Une réponse de politique monétaire est possible, les marchés jouent avec l'idée de baisse des taux aux Etats-Unis" pour soutenir l'économie, écrit aussi La Banque Postale Asset Management dans une note.

Sur les indices, les secteurs technologiques ont été laminées: le TecDax des valeurs technologiques a lâché 3,33% sur la séance et plus de 9% en quatre jours.

A l'inverse les valeurs refuges faisaient le plein, à commencer par la dette des pays les plus solides. Le taux d'emprunt à 10 ans de l'Allemagne descendait nettement, signe d'une forte demande, tout comme celui des Etats-Unis.

  
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gars d'ain gars d'ain
27/02/2020 19:20:16
0

De Charybde en Scylla, quand les banques centrales veulent jouer à plus malin : ça finit mal... direction 5387 pts


Vous pourrez regarder au dessous de cette file en date du 1er février 2020 que la baisse était parfaitement anticipé. Les banques centrales ont voulu jouer au plus malin. Et le résultat est là, pour l'instant c'est un peu plus pire chaque jour : pourquoi ?


Suffit juste de regarder le graphe qui précisait bien les 2 hypothèses graphiques baissières, mais on a été en chercher une troisième pire... Juste après le 6 février 2020, on est sorti sur gap du biais baissier en pointillés rouges et on est allé chercher un "M" baissier de sommet en effectuant une deuxième jambe".


Ce groupe de cotation du 6 février au 21 février 2020, constitue de plus un Island reversal baissier : la conjoncture cumulée des signaux baissiers déjà mentionné dans mon post du 1er février 2020 et des nouveaux ajoutés dernièrement produit un effet baissier redoutable et important. On baisse plus que la moyenne des bourses mondiales ...


Un peu de lecture ici ce sujet ...


https://www.abcbourse.com/forums/msg744705_small-middle-caps-une-recovery-a-venir


Je vous conseille encore de surveiller le CAC volatilité qui actuellement (et c'est nouveau) est affecté par des trous de cotations depuis plusieurs jours. Les pompiers de la finance utilisent la dynamite financière pour stopper les hémorragies baissières : surement le changement de politique, avec Mario Badmoney, on avait droit à des pics de volatilité fantastiques

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Regardez bien les flèches orange en pointillés que j'avais mis le 1er février 2020 : elle sont parfaitement d'actualité. Concernant la poursuite baissière, on devrait tenter de trouver un point de stop vers 5387 sur la dent intermédiaire en pointillés verts.

Actuellement, on rebondit ce soir sur une oblique baissière en second creux, et fatalement on devra en effectuer un troisième un peu plus bas qui correspond aussi vers le niveau 5387 pts


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Message complété le 27/02/2020 19:57:52 par son auteur.

A NOTER QUE la bougie baissière de ce jour en mèche basse revient sur le niveau du ... 18 MARS 2019 ( Soit presque 11 mois de bourse partis en fumée)
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gars d'ain gars d'ain
27/02/2020 17:00:49
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La BCE "très préoccupée" par l'impact du coronavirus


27/02/2020 | 14:59

LA BCE

La Banque centrale européenne (BCE) est "très préoccupée" par l'épidémie de coronavirus qui pourrait avoir un impact plus important sur la croissance économique que l'épidémie de Sras de 2002-2003, ont déclaré jeudi plusieurs membres du directoire de l'institut monétaire.

"Nous sommes tous très préoccupés par ce qui se passe actuellement en ce qui concerne la propagation du coronavirus", a dit Isabel Schnabel, membre du directoire de la BCE, lors d'un discours à Londres.

"Nous savons que cela crée vraiment des incertitudes de grande ampleur, pour les perspectives de croissance mondiale mais aussi bien sûr pour les perspectives pour la zone euro", a-t-elle ajouté.

"Mais ce que nous avons vraiment besoin de comprendre quand on élabore une politique monétaire, c'est quelles sont les implications potentielles à moyen terme et pour le moment c'est flou."


L'épidémie de coronavirus, apparu en décembre en Chine, devrait avoir un impact sur l'économie mondiale plus important que celle du Sras, qui était aussi partie de Chine fin 2002, a prévenu pour sa part Klaas Knot dans un discours à Amsterdam.

"S'il est trop tôt pour mesurer précisément l'impact de cette pandémie, on peut dire sans hésiter que l'effet sur l'économie mondiale sera plus important", a déclaré le président de la banque centrale néerlandaise, perçu comme un "faucon" au sein du conseil des gouverneurs de la BCE.


POINT D'INVERSION

"Le Sras a eu des répercussions sur l'économie mondiale, en effaçant 40 milliards de dollars des marchés boursiers mondiaux. Mais depuis l'apparition du Sras, la Chine est passée de la sixième à la deuxième place économique mondiale", a ajouté Klaas Knot, Le nouveau coronavirus s'est répandu dans plusieurs pays d'Europe, notamment en Italie, faisant craindre un ralentissement voire une paralysie de certains secteurs économiques en raison des mesures prises pour tenter d'endiguer l'épidémie.


Les marchés monétaires ont commencé à intégrer dans leurs cours la probabilité d'une nouvelle baisse de 10 points de base, d'ici la fin de l'année, du taux de dépôt de la BCE, déjà négatif à -0,5%.

Le niveau à partir duquel les réductions de taux d'intérêt pourraient commencer à faire plus de mal que de bien à l'économie n'est toujours pas clair dans la zone euro, a déclaré jeudi Isabel Schnabel.


La BCE a abaissé son taux de dépôt à -0,5 % en septembre dernier et certains économistes affirment qu'il est maintenant proche d'un point d'inversion où les réductions n'ont plus d'impact bénéfique sur l'économie.

"Le concept de taux d'inversion est utile et nous montre si nos outils nuisent au mécanisme de transmission", a déclaré Isabel Schnabel.

"Le taux d'inversion n'est pas un chiffre (...) Il bouge tout le temps", a-t-elle déclaré, ajoutant que la récente décision de la BCE d'instaurer un taux de dépôt à paliers avait créé une marge de manoeuvre supplémentaire.

  
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gars d'ain gars d'ain
17/02/2020 23:33:47
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S&P anticipe 400 milliards de dollars d'émissions mondiales de dette durable en 2020


17/02/2020 | 15:19

S&P Global estime que les émissions mondiales de dette durable devraient dépasser 400 milliards de dollars en 2020, dont près de 300 milliards pour les seules "green bonds" (contre 238 milliards de dollars en 2019). Le spécialiste de l'information et de l'analyse financière affirme que l'Europe consolidera son leadership en matière de financement durable et rappelle qu'en 2019, elle a représenté près de la moitié des nouvelles émissions. Ainsi le secteur privé devrait continuer d'alimenter cette croissance, surtout si les politiques monétaires restent accommodantes.

Banques et entreprises sont à l'origine de 45 % des nouvelles émissions labellisées "vertes" en 2019 (contre 1 % en 2013), avec un quasi doublement des émissions des entreprises en 2019.

La maison d'analyste table, au-delà de 2020 sur une résilience de ce marché à une éventuelle détérioration des conditions de crédit. Il rappelle que les fondamentaux sont solides et les émetteurs notés en catégorie d'investissement prédominants.

  
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gars d'ain gars d'ain
13/02/2020 20:16:08
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Et voici encore le pendant des hausses : les grands perdants du CAC 40 de ce début d'année....

On pourrait les utiliser ultérieurement pour enrayer le baisse du CAC 40 : à suivre donc à condition que les news économiques de ces valeurs soient positives en terme comptables...


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