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Ptitchat72 Ptitchat72
29/01/2024 18:22:19
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Le constructeur automobile Renault renonce à l'introduction en Bourse d'Ampere
Aujourd'hui à 17:46

Le constructeur automobile Renault a annoncé lundi 29 janvier qu'il renonçait à l'introduction en Bourse de sa filiale dédiée aux véhicules électriques et aux logiciels Ampere.
Ce projet avait été lancé en 2022, et Renault avait ségrégé les comptes de cette filiale (c'est-à-dire qu'il les a isolés du reste du groupe) en novembre dernier.

Pour justifier ce virage à 180 degrés, le constructeur automobile explique que "les conditions de marché actuelles" ne sont pas réunies. Ce qui signifie, en clair, que les investisseurs n'étaient pas prêts à accorder une valeur à Ampere aussi élevée que le groupe le souhaitait.
"Comme annoncé précédemment, le plan stratégique de Renault Group, Renaulution, est autofinancé. Les résultats attendus pour 2023 confirment la capacité du groupe à générer du cash durablement pour financer son futur (y compris le développement d’Ampere)", a par ailleurs expliqué Renault.
Au passage, le groupe confirme tous les objectifs financiers qui avaient été annoncés ou confirmés en novembre lors d'une journée investisseurs dédiées à Ampere.
La filiale de Renault compte parvenir à l'équilibre tant en termes de génération de cash que de marge opérationnelle d'ici à 2025.


Une cible de valorisation contestée
Le constructeur automobile avait décidé de mener ce projet d'introduction en Bourse pour cristalliser de la valeur, c'est-à-dire qu'Ampere aurait été mieux valorisé par le marché avec une cotation en Bourse à part que sans.
Le directeur général de Renault, Luca de Meo, avait précédemment indiqué viser entre 8 milliards et de 10 milliards d'euros de capitalisation pour Ampere.
Mais plusieurs analystes avaient émis des doutes sur de telles ambitions. Si Bernstein arrivait à une évaluation comprise entre 20 et 30 milliards d'euros, Barclays retenait de son côté 5 milliards d'euros. Vendredi, UBS est allée encore plus bas, parvenant à une estimation située entre 3 et 4 milliards.

Nissan et Mitsubishi au capital
"L'introduction en Bourse d'Ampere c'était une bonne idée il y a deux ans, quand ils l'ont évoquée pour la première fois. Depuis les conditions de marché ont totalement changé, l'entrain du marché est retombé pour l'électrique. Il n'y a qu'à voir Tesla qui plonge, avec ses incessantes baisses de prix de ses véhicules électriques", expliquait un analyste à BFM Bourse, il y a deux semaines.

Tesla connaît effectivement une véritable descente aux enfers boursiers depuis le début de l'année, avec un titre en baisse depuis le 1er janvier de 24%. Ce recul s'explique par de nombreuses raisons (nouvelles baisses de prix, une concurrence féroce en Chine ou encore l'arrêt de la production sur son site de Berlin). La semaine dernière Tesla a prévenu que sa croissance en 2024 connaîtrait un net coup de frein, ce qui a fait plonger son action de plus de 12% sur une séance.

Pour revenir à Renault, le groupe au losange avait réussi à convaincre plusieurs partenaires de prendre une participation, dont ses alliés japonais Nissan (jusqu'à 600 millions d'euros) et Mitsubishi (jusqu'à 200 millions d'euros), ainsi que le groupe américain Qualcomm.

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
07/12/2023 04:37:16
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Renault espère lever bientôt la malédiction de sa valeur négative
mercredi 6 décembre 2023 à 19h46

PARIS (Reuters) - Renault espère commencer à lever l'an prochain la malédiction de sa valeur négative grâce à la création de ses deux entités spécialisées Ampère et Horse et aux fruits de sa nouvelle organisation avec Nissan et Mitsubishi, ont dit plusieurs dirigeants du groupe au losange.

Bien que le constructeur automobile français ait vendu l'an dernier plus de deux millions de véhicules à travers le monde, et affiché au premier semestre 2023 une profitabilité record, la valeur intrinsèque de son coeur de métier reste obstinément inférieure à zéro.

Mardi soir, la capitalisation boursière du groupe se montait à environ 10,6 milliards d'euros.
Si l'on enlève la valeur de marché des actions Nissan détenues par Renault (6,6 milliards d'euros), la position nette financière de l'activité automobile (2,2 milliards au 30 juin) et les services financiers de Mobilize (6,1 milliards à la même date), on obtient une valeur "core" de -4,3 milliards d'euros pour les actifs automobiles du groupe.

"Ce n'est pas à moi de décider ce qu'est la 'core value' de l'entreprise, mon travail est de garantir que nous fassions les choses justes pour que les investisseurs et le marché comprennent qu'il y a beaucoup de substance dans Renault", a déclaré le directeur général du groupe au losange, Luca de Meo, au cours d'une conférence de presse sur sa nouvelle alliance avec Nissan et Mitsubishi.

Cette substance doit s'incarner dans Ampère, un "pure player" de l'électrique et des logiciels qui pourrait être introduit en Bourse au printemps prochain si les conditions de marché le permettent et pour lequel le directeur général de Renault a évoqué en septembre une valorisation pouvant aller jusqu'à dix milliards d'euros.

Mais aussi dans l'activité historique de motorisations thermiques Horse, co-détenue avec le chinois Geely et en attente d'un investissement de Saudi Aramco. Des sources ont dit à Reuters que le groupe pétrolier saoudien comptait prendre environ 20% de la JV. L'annonce du montant et du pourcentage définitifs - en fin d'année ou début 2024, selon Luca de Meo - pourrait changer la donne.

"Bientôt on va pouvoir montrer la valeur de Horse, parce qu'on aura un investissement d'Aramco (...), et quand on aura fait l'IPO, on aura une valorisation sur Ampère", a dit le mois dernier à des journalistes le directeur financier Thierry Piéton en marge du capital market day de l'entité électrique.
"Donc il va graduellement, on espère, devenir plus difficile de dire : Horse vaut tant, Ampère vaut tant, des milliards à chaque fois, et (...) tout le reste vaut (moins que rien)", a-t-il ajouté.

Prié de dire si l'anomalie de la valeur négative pouvait être corrigée un jour, Thierry Piéton a répondu à Reuters : "Si je ne (le) pensais pas, je donnerais ma démission tout de suite."

DES LIENS PLUS SIMPLES AVEC NISSAN
Le problème de la valeur négative du coeur de métier de Renault est enraciné depuis des années. Cas d'école dans des formations financières sur la valorisation des entreprises, le constructeur souffre du syndrome du conglomérat, où le tout vaut moins que la somme de ses parties.

Pour simplifier la lecture de Renault, les marchés financiers ont prôné à de nombreuses reprises, soit une fusion totale avec Nissan, soit une séparation complète entre les partenaires français et japonais.

Renault et Nissan ont dévoilé cette année une vaste restructuration de leur alliance fondée plus de vingt ans plus tôt, avec un montage capitalistique plus simple et rééquilibré, la fin des achats commun et une ambition plus pragmatique par projet et par région.

"Il est certain que ce mouvement sur l'alliance est susceptible d'aider", a ajouté Luca de Meo. "Mais nous n'avons pas fait cela pour la 'core value', nous l'avons fait (pour) trouver un système qui nous permette d'être plus efficaces, et rapides, et concrets."

Selon lui, les résultats de cette nouvelle approche avec Nissan et Mitsubishi seront le véritable juge de paix aux yeux du marché.

Dans une note publiée récemment, les analystes de Bernstein ont rappelé, à travers une expérience théorique, que la valorisation du groupe au losange restait étonnamment basse malgré une hausse de 16% environ de l'action depuis le début de l'année.

"Qu'il soit possible aujourd'hui, par exemple, d'utiliser 10 milliards d'euros d'excès de cash chez Stellantis ou Volkswagen pour racheter Renault démontre l'absurdité des valorisations automobiles et la nécessité d'une meilleure allocation des capitaux. Même Renault, avec ses ressources actuelles, pourrait racheter Renault", ont-ils écrit.

  
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JD1976 JD1976
29/06/2023 08:50:44
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Renault surprend agréablement et annonce, ce matin, relever son objectif de marge opérationnelle à 7-8%, alors que le groupe espérait auparavant 6%. C’est plus que l’anticipation des analystes (6,2%). Une nouvelle qui intervient dans un marché de l’automobile menacé par l’inflation et les réductions de dépenses des consommateurs.

  
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JD1976 JD1976
27/06/2023 14:49:05
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Renault : le point sur la nouvelle configuration

27/06/2023

Découpé en cinq entités...


Configuration. On commence à y voir plus clair dans la nouvelle configuration souhaitée par Luca de Meo pour Renault. Le constructeur automobile va désormais s'articuler autour de plusieurs pôles. Dédié aux moteurs thermiques et hybrides, l'ensemble Horse va accueillir à son capital le chinois Geely et le saoudien Aramco. La nouvelle filiale Ampere se consacre aux motorisations électriques et aux logiciels. Une introduction en bourse est prévue d'ici fin 2023 pour Ampere qui pourra ainsi lever des capitaux et nouer des partenariats capitalistiques...


Alpine. Alpine est un ensemble à part avec de grandes ambitions dans les véhicules sportifs. Mobilize intervient dans les nouvelles solutions de mobilité. Enfin, l'entité The Future is Neutral est dédiée à l'économie circulaire... Renault se découpe donc en cinq entités différentes. Cela risque de donner lieu à une certaine confusion. On peut aussi craindre que le constructeur au losange s'apparente désormais à un holding avec la décote classique à la clé. On sait que les investisseurs apprécient davantage les pure players... En tout cas, la stratégie envisagée doit apporter à Renault les moyens financiers lui permettant de faire face aux mutations en cours.


2023. A court terme, Renault prévoit une marge opérationnelle 2023 d'au moins 6% après un score de 5,6% l'an dernier. A horizon 2025, la marge devait dépasser les 8% avant d'être à deux chiffres en 2023... Même si les défis sont nombreux à surmonter, la politique mise en place par l'actuelle équipe dirigeante a déjà permis à Renault de sortir de l'ornière. La réduction des coûts et l'enrichissement de la gamme se traduisent par une remontée des résultats et une free cash-flow largement positif. A moins de 4 fois le bénéfice net attendu cette année, la valorisation reste très abordable.

  
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JD1976 JD1976
20/06/2023 15:32:05
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Carlos Ghosn poursuit Nissan, réclame un milliard de dollars - source AFP


20/06/2023

Beyrouth (AFP) -- L'ex-patron de l'alliance Renault-Nissan, Carlos Ghosn, a déposé un recours devant la justice libanaise contre Nissan, réclamant au groupe japonais un milliard de dollars de dommages et intérêts, a déclaré mardi une source judiciaire à l'AFP.

M. Ghosn a été arrêté fin 2018 au Japon où il devait être jugé pour des malversations financières présumées quand il était à la tête du groupe nippon.

L'homme qui possède les nationalités libanaise, française et brésilienne, vit à Beyrouth après avoir fui de manière rocambolesque le Japon fin 2019.



Selon la source judiciaire, M. Ghosn a déposé un recours en mai devant la Cour de cassation au Liban contre Nissan et certains de ses employés. Il estime qu'ils "avaient inventé des accusations à son égard au Japon, ce qui a entraîné son arrestation et les poursuites à son encontre".

M. Ghosn réclame "un milliard de dollars de compensation". La date de l'audience a été fixée à la mi-septembre, selon la source judiciaire.

Sollicitée par l'AFP, l'entreprise Nissan n'a pas fait de commentaire sur le sujet, disant avoir découvert cette action en justice dans la presse et cherchant à vérifier ces informations en interne.


L'avocat de M. Ghosn au Liban n'a pas répondu aux sollicitations de l'AFP.

Déjà visé par une notice rouge Interpol à la demande de Tokyo, M. Ghosn fait l'objet depuis avril 2022 d'un deuxième mandat d'arrêt, cette fois français, dans le cadre d'une enquête pour abus de biens sociaux, abus de confiance, blanchiment en bande organisée et corruption passive.

Arrêté à Tokyo en novembre 2018, M. Ghosn, qui clame son innocence, avait justifié son évasion en assurant avoir voulu "échapper à l'injustice".

Il dénonce un "complot" ourdi, selon lui, par Nissan avec l'appui du gouvernement japonais, pour le faire tomber et éviter ainsi une unionplus étroite avec Renault.


En raison de la notice rouge d'Interpol, la justice libanaise lui a interdit de sortir du pays. Le Liban n'extrade pas ses ressortissants.



  
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JD1976 JD1976
21/03/2023 11:44:01
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21/03/2023 09:18

Renault : une consolidation opportune...


Ligne. Secoué par les déboires du secteur bancaire, le titre Renault a rendu une bonne partie de ses gains. Nous décidons en conséquence de reconstituer la ligne après la prise de bénéfices réalisée le 10 février dernier... Le plan de relance actionné par Luca de Meo commence à donner ses premiers fruits. Trois principaux leviers sont activés avec le renouvellement de la gamme, la fin de la course aux volumes et l'abaissement du point mort. Cela a permis de générer sur le dernier exercice une marge opérationnelle de 5,6% contre 3,6% en 2021 avec un free cash-flow de 2,1 MdsE vs. 1,1 MdE.


Electricité. Le redressement devrait se confirmer avec une marge opérationnelle prévue au-dessus de 6% en 2023 et au-dessus de 8% en 2025... Sur l'an dernier, 39% des ventes de Renault provenaient de voitures électriques ou hybrides. Au cours du second semestre, la Megane E-Tech a pris la tête du classement des véhicules électriques sur le marché français... Pour ce qui est de l'alliance avec Nissan, elle est désormais équilibrée dans la mesure où Renault va réduire sa participation au capital de son allié japonais à 15%. Logées au sein d'un trust, les actions Nissan à vendre sont valorisées 3,6 MdsE ce qui représente 35% de la capitalisation du constructeur français...


Organisation. Concernant l'organisation générale de l'entreprise, un vaste chantier est en préparation. Il va se traduire par la création de plusieurs ensembles où des minoritaires entreront au capital. Power sera dédié aux moteurs thermiques, Ampère à l'électrique, Mobilize aux nouvelles solutions de mobilité... Il est difficile de savoir si ce nouveau schéma va plaire aux investisseurs. Renault risque de perdre en lisibilité en devenant une sorte de conglomérat... En attendant, le titre se paye seulement 4 fois le bénéfice net prévu cette année. Cela semble peu cher au vu de la recovery déjà bien engagée...



  
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Ptitchat72 Ptitchat72
14/02/2023 13:56:28
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Ce mercredi 8 février, Jean-Dominique Senard, président de Renault et de l'Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, a abordé les contours d'Ampere, la future filiale de Renault dédiée à l'électrique, dans La grande interview.


Video : https://www.bfmtv.com/economie/replay-emissions/la-grande-interview/la-grande-interview-ampere-au-coeur-de-la-strategie-de-renault-08-02_VN-202302080754.html

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
30/01/2023 15:58:39
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Le tandem Renault-Nissan s'apprête à prendre un important virage
Aujourd'hui à 15:42

(BFM Bourse) - Le groupe Renault a confirmé une remise à plat de la gouvernance de l'alliance avec Nissan, qui passe par un rééquilibrage des participations croisées entre les deux groupes. Le marché avait néanmoins largement anticipé ces annonces qui ne décèlent pas de réelle surprise.
Le serpent de mer va enfin sortir de l'eau. Prônée de longue date par les analystes, la refonte de l'alliance Renault-Nissan (à laquelle on ajoute Mitsubishi dont Nissan détient 34%) est dans les starting-blocks.

Le groupe au losange l'a confirmée ce lundi en livrant les grands axes de cette remise à plat. Selon les termes communiqués, Renault, qui détient 43,4% de Nissan, reviendra sur un pied d'égalité capitalistique avec Nissan, chaque groupe automobile détenant 15% de l'autre. Nissan pourra alors récupérer la jouissance des droits de vote attachés à sa participation, ce qui lui est pour l'heure impossible au titre du droit français sur "l'autocontrôle", ce aussi longtemps que Renault détient plus de 40% de son capital .

Les 28,4% restants de la participation de Nissan dans Renault seront logés dans une fiducie française, ce qui neutralisera les droits de vote attachés à cette participation tandis que les droits économiques (dividendes, produits de ventes d'actions) seront conservés. "Renault Group donnerait instruction au fiduciaire de vendre ces actions Nissan si les conditions économiques sont raisonnables pour Renault Group, dans le cadre d'un processus organisé et ordonné, mais il n'aurait aucune obligation de vendre ses actions dans un délai spécifique prédéterminé", a précisé la société dans un communiqué.

"Pas beaucoup de nouveautés"
Nissan de son côté prendra une participation dans Ampère, la future filiale électrique du groupe au losange qui pourrait être introduite en Bourse cette année. L'ampleur de cette participation n'a pas été communiquée. En outre, les alliés expliquent que ce plan – qui doit encore obtenir l'aval des deux conseils des sociétés – relancera le partenariat entre les deux entreprises. Le communiqué cite des "projets clefs" en Amérique latine, en Inde et en Europe dont les détails n'ont pas été précisés. Si ce n'est qu'ils s'articuleront selon trois "dimensions": "marchés, véhicules et technologies".

Pour l'heure le marché prend acte de l'information en effectuant des prises de bénéfices. Vers 14h20, l'action Renault abandonne 3%, accusant le plus fort repli du CAC 40. Depuis le début de l'année, le titre Renault avance de 18%, signant la cinquième plus forte hausse de l'indice phare de la Bourse de Paris.

Comme le souligne UBS, l'annonce de Renault ne prend guère de surprise les investisseurs, car elle n'apporte "pas beaucoup de nouveautés" par rapport aux fuites de presse des dernières semaines.
"Le titre recule, tout simplement parce qu'il n y a pas de mauvaise surprise dans la communication du groupe. Le marché vend ainsi la nouvelle après avoir acheté la rumeur", explique Michael Foundoukidis, analyste chez Oddo BHF.
"Il sera toutefois intéressant d'avoir le détail des nouveaux projets communs entre les deux groupes car c'est cela qui sera générateur de synergies", poursuit-il. En novembre dernier, Renault avait livré des objectifs financiers ambitieux lors d'une journée dédiée aux investisseurs. Mais ce plan n'incluait alors pas les nouveaux projets (et donc les potentiels synergies) qui pourraient ressortir de sa coopération avec Nissan et/ou Mitsubishi.

Des milliards d'euros à monétiser
Reste également à savoir combien rapportera in fine le désengagement capitalistique partiel de Renault dans Nissan. Dans une note publiée la semaine dernière, Bernstein soulignait qu'en appliquant une décote de 5% au cours de l'action Nissan, la vente d'environ 28% des titres Nissan rapporterait environ 3,4 milliards d'euros de cash au groupe au losange.

Il ne s'agit toutefois que d'une estimation théorique, la fiducie pouvant très bien céder au fil de l'eau sur plusieurs années cette participation, ce qui serait d'ailleurs plus facilement absorbable par le marché. Et permettrait à Renault d'attendre que le cours de Nissan retrouve de l'allant avant d'empocher ses gains.

En attendant les observateurs pourront à loisir commenter cette réorganisation de l'alliance, et se demander s'il s'agit d'un affaiblissement de l'oeuvre initiée par Louis Schweitzer et Carlos Ghosn en 1999. Ou, au contraire, si cela constitue un virage nécessaire pour assainir les relations et garantir la pérennité de l'union entre les deux groupes.
"Ce n'est pas un divorce. L'Alliance fonctionnera beaucoup mieux de façon plus pragmatique avec un rapport 15% -15% et reviendra à des projets très concrets", tranche pour sa part Michael Foundoukidis.

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Jefferies rehausse son objectif de cours
Aujourd'hui à 14:30

(CercleFinance.com) - Jefferies réitère sa recommandation 'achat' sur Renault avec un objectif de cours rehaussé de 43 à 46 euros, considérant notamment que 'les principaux indicateurs de valorisation restent favorables' pour le titre du constructeur automobile au losange.

'Nous sommes encore au début de la transformation de Renault, avec le PDG de Meo et son équipe qui relancent le côté créatif du groupe', juge le broker, qui prévoit 'à nouveau des bénéfices à contre-courant cette année, mais à un rythme plus modeste'.
'Une alliance rééquilibrée devrait aider à réduire les décotes de valorisation, mais la direction doit encore rassurer sur les fuites de valeur dans la planification de l'introduction en bourse d'Ampère et des futurs investissements minoritaires', poursuit-il.

  
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argilo argilo
14/07/2022 08:59:46
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Clin d'oeil

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
12/07/2022 14:00:20
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Les volumes s'effondrent à cause de la Russie, l'électrique progresse

* Ventes -29,7% au S1 juste au-dessus du million d'unités,
* -12% hors impact russe
* Les véhicules électrifiés atteignent 36% des ventes
* La marque Renault entrevoit une amélioration sur les puces au S2


PARIS, 12 juillet (Reuters) - Renault a fait état mardi d'un effondrement attendu de ses ventes en volume au premier semestre après la perte de son deuxième marché, la Russie, mais enregistré de nouveaux progrès sur l'électrique et les canaux de distribution les plus rentables.

Le groupe au losange, engagé dans un délicat exercice de restructuration et de repositionnement stratégique, a vu ses ventes mondiales chuter de 29,7% sur les six premiers mois de l'année à juste un peu plus d'un million de véhicules (1.000.199 unités).
Hors Russie, où il a suspendu son activité dans le sillage de l'invasion russe de l'Ukraine en février, la baisse ressort à 12% "dans un contexte perturbé par la crise des semi-conducteurs", a précisé le constructeur dans un communiqué.

Sur les pénuries de puces, les deux principales marques du groupe, Renault et Dacia, ont souligné que la situation restait compliquée pour écouler le carnet de commandes, mais la marque au losange a dit observer des signes récents d'amélioration.
"Nous pensons que cette tendance va s'accélérer sur les mois qui viennent, donc nous prévoyons un second semestre significativement plus élevé en terme de production (automobile) que le premier", a déclaré Fabrice Cambolive, directeur général délégué de la marque Renault, au cours d'une téléconférence.
Ses propos font échos à ceux de Volkswagen.


UN GROUPE TOUJOURS PLUS EUROPÉEN

L'arrêt de l'activité de Renault en Russie l'a privé de volumes qui avaient dépassé 270.000 véhicules au premier semestre 2021, et a fait disparaître le marché russe du top 15 des marchés Renault, remplacé par l'Italie, désormais deuxième du groupe derrière la France.

Le départ de Russie, auquel s'ajoute la poursuite de la restructuration des activités chinoises, a également considérablement modifié le profil géographique du groupe, longtemps l'un des plus internationalisés du secteur avec des ventes réalisées pour moitié en Europe, pour moitié hors du continent.
Celui-ci pèse désormais au premier semestre pour 65% des ventes et confirme le rôle central que l'Europe est appelée à jouer dans le redressement de Renault, via les modèles électriques et les SUV du segment compact.

Le semestre aura à ce titre été marqué par de nouveaux progrès sur deux leviers importants actionnés pour redresser la situation financière du groupe.

Sur les cinq principaux pays d'Europe, la part des ventes à particuliers - par opposition aux entreprises et loueurs - a atteint 66% contre 53% un an plus tôt.
"Renault Group poursuit sa politique commerciale orientée vers la création de valeur qui conduit à une progression de la part de ses ventes sur les canaux les plus rentables", a ajouté Renault, qui publiera ses résultats financiers complets du semestre le 29 juillet.

Les ventes de véhicules électrifiés, autre fer de lance de Renault qui sera au coeur d'un "capital market day" envisagé pour l'automne, ont quant à elles représenté 36% des ventes de véhicules particuliers de la marque au losange en Europe au premier semestre, contre 26% un an plus tôt.
La marque n'entend plus proposer sur le continent que des véhicules 100% électriques à l'horizon 2030.

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12/07/2022 | 09:49

Renault continue de bien performer sur le marché électrifié. La gamme E-Tech (véhicules électriques et motorisations hybrides) représente 36% des ventes de véhicules particuliers en Europe au 1er semestre 2022 (contre 26 % en 2021). Les ventes de Renault sur le segment C progressent de 12 % par rapport au 1er semestre 202. Le modèle Arkana s'est vendu à plus de 40 000 exemplaires cette année, les versions E-Tech (HEV) étant aujourd'hui les plus demandées (59%).

La Mégane E-Tech Electrique a enregistré 20 000 commandes en quatre mois. Sur le marché des véhicules 100 % électriques, Dacia Spring affiche 5000 commandes par mois en moyenne sur ce premier semestre, quand Dacia Jogger totalise plus de 50 000 commandes à fin juin 2022.

Dacia confirme sa troisième place des ventes à particuliers en Europe et maintient sa progression avec une hausse de 5,9% des immatriculations par rapport au 1er semestre 2021. Un succès porté notamment par Dacia Sandero, modèle le plus vendu aux particuliers en Europe pour la cinquième année consécutive et Duster, modèle SUV le plus vendu aux particuliers en Europe depuis 2018.

La marque Alpine est aussi en forte progression : ses immatriculations progressent de plus de 70% après une année 2021 déjà bien orientée. L'expansion internationale se poursuit avec le lancement de la marque en Slovénie et en République tchèque et celui de la nouvelle gamme A110 dont le niveau de commande a doublé sur la période.


  
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Ptitchat72 Ptitchat72
12/04/2022 18:45:53
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Le puzzle va se mettre en place dans le temps..

au final, plus aucunes industries/marques auto françaises !

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12/04/2022 | 18:29
Luca de Meo, Directeur Général de Renault, a déclaré mardi que les plans du constructeur automobile visant à créer une division distincte pour ses actifs électriques (EV) pourraient éventuellement conduire à une cotation séparée.

"Cela pourrait signifier une inscription distincte. C'est au conditionnel, c'est précisément ce que nous examinons", a déclaré M. De Meo lors d'une conférence de presse.
Le projet de séparer l'activité moteurs à combustion pourrait intéresser Nissan ou les investisseurs à long terme, a-t-il ajouté.

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12/04/2022 | 18:28
RENAULT CONFIRME ÉTUDIER LA POSSIBILITÉ DE PRODUIRE AU ROYAUME-UNI LA FUTURE ALPINE A110 MAIS LA DÉCISION N'EST PAS ENCORE PRISE-DG

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
12/04/2022 17:12:21
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Bank Of America monte au capital du constructeur
12/04/2022 | 16:16

Paris (awp/afp) - Bank of America est désormais le troisième actionnaire de Renault, le groupe détenant 7,34% du capital du constructeur français et 5,44% des droits de vote via ses filiales, selon les franchissements de seuil annoncés mardi l'Autorité des marchés financiers (AMF).

Bank of America a dépassé les 5% d'actions détenues à la suite d'une "acquisition d'actions Renault SA sur le marché et une augmentation des actions Renault SA détenues par assimilation (conclusion de prêt d'actions, d'options et de contrats de +swaps+ à règlement en espèces)", a expliqué l'AMF dans un communiqué.

La majorité de ces actions appartient à la société Merrill Lynch International, sous la forme de plus de 6 millions de "swaps" à des échéances comprises entre le 19 avril 2022 et le 24 janvier 2025, dénouables en numéraire à tout moment jusqu'à leur date d'expiration.

Au 31 décembre 2021, le capital de Renault était notamment détenu à 15% par son partenaire dans l'Alliance, le constructeur japonais Nissan, à 15,01% par l'Etat français (29,05% des droits de vote), à 5,06% par le fonds américain Capital Group et à 3,61% par ses salariés (5,3% des droits de vote).
Daimler (qui s'appelle désormais Mercedes) a cédé fin 2021 ses 3,1% du capital de Renault, où il était présent depuis la conclusion d'un partenariat entre les deux entreprises en 2010.

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Qu'est-ce que c'est que cela des swaps comme actionnaire au même titre qu'1 action ? o_O

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
07/04/2022 15:45:27
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Adieu la galaxie Renault !

il va y avoir du copinage dans l'air..

resterai bien que l'électrique et/ou Alpine dans le futur.

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Renault veut aller vite sur son projet de scission entre électrique et thermique
07/04/2022 | 15:11

PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le constructeur automobile Renault compte avancer vite sur son potentiel projet de scission entre ses activités thermiques et électriques et prévoit de faire un premier grand point en interne sur ce sujet en juillet, a rapporté jeudi Reuters, citant des sources proches du dossier.
"Malgré l'inconnue russe, Luca de Meo veut aller vite sur les deux entités", a déclaré une des sources citées par l'agence.

Renault avait annoncé lors de la publication de ses résultats annuels, en février, étudier l'opportunité de rassembler, d'une part, ses activités et technologies 100% électriques dans une entité spécifique en France, et d'autre part, de réunir les activités thermiques et hybrides basées hors de France dans une autre entité. La direction du constructeur avait indiqué qu'elle donnerait plus de détails sur ce projet à l'occasion de la journée investisseurs du groupe, prévue à l'automne.

Selon Reuters, des groupes de travail assistés par des consultants planchent sur la création de ces deux entités, ayant pour nom de code "Ampère" pour la partie électrique et "Horse" pour les activités thermiques et hybrides. Cette dernière structure pourrait nouer un ou plusieurs partenariats extérieurs.

Toujours selon l'agence, le directeur général de Renault, Luca de Meo, aurait par ailleurs demandé en interne un effort supplémentaire sur les coûts, sans pour autant arrêter des projets en cours, pour compenser l'impact financier de la Russie. Renault a fin mars suspendu ses activités industrielles dans ce pays, qui représente 9,9% de son chiffre d'affaires, et indiqué qu'il évaluait ses options concernant sa participation de 68% dans le constructeur automobile russe Avtovaz. Il avait alors abaissé ses objectifs financiers annuels.

Contactée par l'agence Agefi-Dow Jones, une porte-parole de Renault n'a pas commenté ces informations, déclarant toutefois que "toutes les options étaient sur la table " concernant le projet de séparation des activités du groupe.

Plusieurs analystes ont rapporté dans des notes publiées la semaine dernière que la direction avait, lors d'une réunion avec les intermédiaires financiers, évoqué la possibilité d'introduire en Bourse la structure dédiée aux activités électriques. L'entité regroupant les technologies thermiques et hybrides pourraient également être rapprochée des activités d'un partenaire, selon ces notes.

  
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argilo argilo
16/03/2022 15:59:52
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BMW et Volkswagen suspendent des usines à travers l'Europe en raison d'une pénurie de pièces importées d'Ukraine

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
16/03/2022 15:31:23
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lol ils ressortent les vieux papiers.. manque de main d'oeuvre.. alors on tricote. l'heure est au recyclage, faut pas gâché !

quant à la dernière phrase, on frôle la voyance haut level dis donc.


"Cette pénurie est principalement liée aux conséquences de la pandémie de Covid-19. Le fabricant allemand de semi-conducteurs Infineon évalue à environ 2,5 millions le nombre de voitures qui ne pourront être produites au premier semestre 2021 dans le monde.

Il prévoit que le déséquilibre entre l'offre et la demande persistera et pourrait durer jusqu'en 2022."


  
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JD1976 JD1976
16/03/2022 15:20:36
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Renault, parmi les plus fortes hausses du SRD à la mi-séance du mercredi 16 mars 2022

16/03/2022 12:20 | AOF

(+7,61% à 24,74 euros)

Le secteur automobile est bien orienté, comme l'ensemble des marchés, sur fond d'avancées dans les négociations entre Kiev et Moscou. Par ailleurs, l'usine d'Avtovaz, le principal constructeur automobile russe contrôlé par Renault, a repris partiellement sa production après plusieurs jours d'arrêt


Le marché automobile français n'est pas encore rétabli du Covid. Seules 141.041 immatriculations de véhicules particuliers ont été enregistrées en mai, selon le Comité des constructeurs français d'automobiles (CCFA). C’est 27,3% de moins que le niveau de mai 2019.


Né en janvier de la fusion entre PSA et Fiat Chrysler, Stellantis est devenu le premier constructeur automobile en Europe au premier trimestre, devançant ainsi le groupe Volkswagen (Volkswagen, Audi, Seat, Skoda, Porsche, Lamborghini…).


Une reprise qui se fait attendre

Sur les cinq premiers mois de l'année, les immatriculations enregistrées en cumul s'élèvent à 723.258 pour les voitures particulières, soit 22,7% de moins que leur niveau de 2019, avant la crise sanitaire.


Stellantis a commercialisé en mai 2021 environ 44.000 véhicules neufs, soit près de 40% en moins comparé à mai 2019. Le groupe a pâti d’un manque de composants, qui pénalise tous les constructeurs dans le monde. Stellantis n’a ainsi pu produire 190.000 véhicules au premier trimestre et mi-mars le groupe Volkswagen estimait que 100.000 véhicules n'avaient pas pu être produits.


A 36.000 unités, les ventes du groupe Renault en mai 2021 ont reculé de 27,8 % par rapport à leur niveau d'avant pandémie.


Les voitures électriques poursuivent leur développement en France et affichent un maintien de leur part de marché à 8% en mai, avec 11.562 immatriculations.


Un secteur pénalisé par la pénurie de semi-conducteurs


Cette pénurie est principalement liée aux conséquences de la pandémie de Covid-19. Le fabricant allemand de semi-conducteurs Infineon évalue à environ 2,5 millions le nombre de voitures qui ne pourront être produites au premier semestre 2021 dans le monde. Il prévoit que le déséquilibre entre l'offre et la demande persistera et pourrait durer jusqu'en 2022.


Néanmoins, les industriels de l'automobile ne subissent pas de la même façon cette pénurie de composants électroniques. Ceux qui ont développé des relations étroites avec leurs fournisseurs sont moins touchés. C’est le cas de Toyota. En revanche Ford a annoncé que sa production serait réduite de 50 % au deuxième trimestre et de 1,1 million de véhicules sur l'ensemble de l'année.




  
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Ptitchat72 Ptitchat72
15/03/2022 13:35:35
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~1 mois plus tard, on peut constater l'appel des gérants avec leurs recommandations positives.

en attendant, le cours lui file dans l'autre sens... 37 ==> 22€ !

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samedi 12 mars 2022 à 07h00
Renault est en queue de peloton du CAC 40 par sa capitalisation

(BFM Bourse) - Le constructeur affiche la plus petite capitalisation du CAC 40. Ce qui questionne sur l’avenir du constructeur à moyen terme.

6,8 milliards d’euros ce vendredi. La capitalisation boursière de Renault est aujourd’hui la plus petite capitalisation de l’indice phare parisien, une capitalisation très loin de celles de ses concurrents (43,2 milliards d’euros pour Stellantis par exemple). Conséquence directe de la guerre en Ukraine – le cours de l’action Renault a perdu 27% depuis le 1er janvier (et 39% en un mois) -, cette petite capitalisation n’empêche pas le constructeur de poursuivre ses opérations.

Mais avec une valorisation à peine plus élevée qu’au printemps 2020 (5,3 milliards d’euros le 26 mai) quand Renault était en très grande difficulté financière, le signal n’en reste pas moins négatif. Surtout pour l’avenir. "Renault vaut six milliards d’euros, ce n’est rien, résume Jean-Pierre Corniou, spécialiste automobile au cabinet Sia Partners. Le groupe n’est pas directement OPAble, mais cette fragilité est dramatique".

Le groupe semble en effet protégé par la composition de son actionnariat avec notamment les droits de vote double de l’Etat (15% des actions, mais 30% des votes). Plusieurs observateurs questionnent même l’idée d’un rachat éventuel de Renault par un autre groupe. Le fonctionnement concret de l’Alliance, la relation avec Nissan, mais aussi le poids de l’outil industriel et des changements à y opérer pour aller vers un monde 100% électrique représenteraient trop d’obstacles pour un éventuel nouvel acquéreur. Mais à seulement 6,8 milliards, Renault n’est-il pas trop petit face aux défis en cours?

Une capacité à lever des fonds restreinte
Le groupe est en pleine mutation pour devenir un constructeur 100% électrique. Le constructeur avait ainsi annoncé le 30 juin un plan de 10 milliards d’euros d’ici 2025 pour la sortie de dix nouveaux modèles de voitures électriques.

"La première menace, c’est la capacité à lever les financements sur les marchés pour réaliser ses plans", nous explique un fin connaisseur du secteur. Dans la pratique, cela n'empêche pas Renault de continuer à tourner mais cela peut induire des taux d'intérêt plus élevés et moins d'options pour lever facilement des fonds sur les marchés voire faire des opérations de rachats.

Renault peut-il incarner cet avenir ?
Le montant de la capitalisation s’interprète en effet comme la confiance qu’accordent les investisseurs à une stratégie et à la capacité de l’entreprise à la réaliser. Et donc à incarner l’avenir. D’où la forte valorisation des entreprises de voitures électriques dont celle stratosphérique de Tesla (866 milliards de dollars).

La guerre en Ukraine survient de plus à la suite d’une série de crise pour Renault: les difficultés dans ce qui étaient appelés les BRIC (Brésil, Russie, Iran et Chine), la crise de gouvernance après le départ de Carlos Ghosn et les difficultés financières, puis la pandémie de Covid ou la panique autour des semi-conducteurs.

La situation du constructeur en Russie amène une question légitime, posée dans Le Monde: n’est-ce pas la crise de trop pour le constructeur ?

Et un spécialiste de rappeler que sans Nissan, la valorisation de Renault équivaudrait à 300 millions d’euros, signe semble-t-il que les marchés sanctionnent cette stratégie de Renault depuis longtemps.

  
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Ribo Ribo
21/02/2022 13:29:23
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Credit Suisse a confirmé son opinion neutre sur le dossier.

L'objectif de cours est légèrement modifié et passe de 36 à 37 EUR.

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
21/02/2022 13:08:26
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Tu m'étonnes qu'ils balancent tous des recos à la hausse..

ils ont besoin de vous !

à chacun de juger pourquoi.


  
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Ribo Ribo
21/02/2022 12:57:18
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Invest Securities remonte sa cible sur Renault de 53 à 70 euros ('achat').

Stifel ajuste sa cible sur Renault de 53 à 55 euros ('achat').

Oddo BHF revalorise Renault de 40 à 45 euros ('neutre').

DZ Bank passe à l''achat' sur Renault en visant 47 euros.

  
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