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Believe or not Believe - Page 3

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JD1976 JD1976
07/04/2022 16:35:42
0

Quels sont les indicateurs qui augurent de cette déconvenue ? 🧐🥺

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
07/04/2022 12:16:01
1

Attention...

j'ai comme l'impression que la Licorne 🦄 va bientôt se transformer en une simple Anesse..

un passage sous les 10€.. je prévois.

  
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JD1976 JD1976
07/04/2022 09:51:43
1

FOCUS LICORNE | Believe, la pépite musicale cotée en Bourse

06 avril 2022

💡 Chaque semaine, découvrez une licorne de la French Tech, ses chiffres et ses perspectives de développement. Forbes France vous propose un état des lieux des différentes pépites tricolores valorisées à plus d’un milliard.


La pépite française de l’industrie musicale Believe est devenue officiellement une licorne le 10 juin 2021 en bouclant un tour de table de 300 millions d’euros qui marquait par ailleurs son introduction en Bourse parisienne. Fondée en 2005 par Denis Ladegaillerie propose des services numériques de distribution musicale à destination d’artistes de renom comme Jul, Jeanne Added, Naps, Djadja & Dinaz, Gims ou encore Marc Lavoine, Avishai Cohen, Valentine, Don Broco, etc.

Présente dans 50 pays, Believe multiplie les acquisitions et vise des partenariats stratégiques – à l’image de celui avec Spotify – pour enrichir leur base de données afin d’améliorer le marketing numérique et la notoriété de ses artistes.


| Les derniers chiffres de croissance :

En 2021, la croissance du chiffre d’affaires du groupe a atteint 577 millions d’euros soit une augmentation de 30,7% par rapport à l’année 2020 où la croissance avait atteint 441 millions d’euros. Parmi les autres éléments relatifs à sa croissance, en 2021, Believe a accru sa croissance organique de 29,9% et ses ventes numériques de 33,6%.


Dernière levée à ce jour :

La dernière levée de fonds a été réalisée pour l’entrée en bourse de Believe à Euronext Paris (le 10 juin 2021). Le montant de la levée de fonds s’élevait à 300 millions d’euros.


Effectifs :

Believe compte 1 430 collaborateurs dans plus de 50 pays dont 560 en France.


Nouveaux partenariats stratégiques en 2021 :

Play Two, label de TF1, avec une participation de Believe à hauteur de 25%

Jo&Co, label indépendant français, dont la participation de Believe atteint 51%

Viva Music, label philippin majeur dans la région d’Asie du Sud-Est, pour lequel Believe a une participation de 15%

Think Music, label indien spécialisé dans les bandes annonces de film pour l’Inde du Sud. La participation de Believe atteint 76%.


Nouveaux objectifs pour 2022 :

Believe prévoit de poursuivre son accompagnement auprès des artistes et des labels grâce à des solutions digitales innovantes.

Believe prévoit de continuer à bénéficier des tendances de marché structurelles favorables et de l’attractivité de son modèle de plateforme numérique, qui a été renforcée tout au long de l’année 2021. Le Groupe table sur une croissance organique solide pour 2022.

Le Groupe prévoit de continuer à investir dans sa plateforme centrale et ses équipes locales en 2022 afin d’alimenter sa croissance rentable dans le futur, tout en gérant son cycle d’investissement de façon active dans l’environnement actuel.

Believe prévoit de donner des objectifs plus précis le 3 mai lors de la publication du chiffre d’affaires du premier trimestre 2022.

Citation du fondateur Denis Ladegaillerie :

« Believe ambitionne de poursuivre ses efforts pour fournir aux artistes et labels un accompagnement toujours plus proche de leurs besoins. Nous continuerons de développer des solutions digitales innovantes afin de devenir la meilleure plateforme de développement et de monétisation pour les artistes et labels sur le digital. Nous continuerons à recruter et former les meilleurs profils de notre industrie. De même que nous poursuivrons notre stratégie qui repose sur nos valeurs de respect, d’équité, de transparence, d’expertise et au service de notre stratégie RSE ‘Shaping Music for Good’. »


  
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JD1976 JD1976
22/03/2022 15:38:03
1

believe : une valorisation raisonnable

22/03/2022 09:56 | Boursier

Après la parution des résultats annuels...


Obligations. Believe a rempli ses obligations avec des résultats 2021 meilleurs qu'attendu. La croissance interne s'est élevée à +29,9% alors que l'objectif présenté lors de l'IPO était de +20%. L'entreprise de Denis Ladegaillerie accompagne les artistes dans le monde du numérique qu'ils soient débutants ou confirmés... La capacité à monétiser l'audience online contribue à attirer les talents. Face aux grandes majors de la musique, Believe se développe plus rapidement. La société assoit son développement sur la dynamique interne tout en enrichissant son offre à travers des acquisitions. L'an dernier, quatre opérations de croissance externe ont été menées avec notamment deux transactions en Asie où Believe est très actif.


Croissance. Pour soutenir la croissance, les investissements sont soutenus à la fois pour étoffer les équipes mais aussi pour améliorer la technologie. L'effort mené en ce moment pèse sur la rentabilité immédiate mais l'effet de levier à moyen terme paraît prometteur. Grâce à la forte hausse des revenus, la marge d'Ebitda de Believe est tout de même ressortie plus forte que prévu à 4%. Dans un premier temps, l'ambition consistait à ce qu'elle soit du même ordre qu'en 2020, soit autour de 1,7%... Grâce à l'argent levé lors de l'introduction en bourse, la trésorerie nette représentait 262 Millions d'Euros à fin décembre 2021. Dans ces conditions, la société a les moyens de poursuivre sa stratégie de développement...


2022. Le programme sur la période 2021-2025 consiste à afficher une progression des ventes de +22% à +25% par an... A horizon 2025, la marge d'Ebitda devait atteindre à 5-7%. Mais l'effet vertueux de la croissance pourrait porter cette marge d'Ebitda à 15% sur le long terme... En juin dernier, l'IPO de Believe s'est effectuée à 19,50 Euros. Le titre a fortement baissé depuis pour se situer aujourd'hui autour de 13 Euros. Déduction faite de la trésorerie nette, Believe se négocie sur la base de 1,4 fois ses facturations prévues cette année. Ce niveau est plus conservateur que chez les comparables anglo-saxons alors que la plateforme tricolore enregistre un développement plus soutenu. Nous profitons de la faiblesse des cours de Believe pour acheter une ligne...


On profite du passage à vide de Believe pour acheter des titres... 🧐❓❓❓


  
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Ptitchat72 Ptitchat72
21/03/2022 14:32:52
1

le 21/03/2022 à 11h22

(AOF) - UBS a relevé sa recommandation à Acheter sur le titre Believe, contre Neutre précédemment, avec un objectif de cours de 17 euros (16 euros auparavant). La banque helvète reconnaître s'être montrée prudente lors de l'introduction en bourse l'an dernier du spécialiste de l'accompagnement digital des artistes, préoccupée par la rentabilité à long terme et par la capacité de la direction à atteindre des objectifs de croissance à moyen terme jugés trop optimistes (+22-25%) malgré un contexte sectoriel positif.

"Depuis lors, l'action a chuté de 40 % (sous l'effet de la vente d'actifs de croissance et de l'exposition à la Russie, qui représente 9% du chiffre d'affaires), constate UBS, alors que Believe a constamment affiché une meilleure croissance du chiffre d'affaires, avec une croissance organique de 30% pour l'exercice 2021, supérieure à l'objectif de +20% fixé lors de l'introduction en bourse".

"En outre, ajoute la banque, un meilleur contrôle des coûts centralisé a permis d'obtenir des marges d'EBITDA de 4%, contre des prévisions de 2% environ. Seule la performance de TuneCore a été plus faible. Le titre se négociant désormais avec une décote importante par rapport à notre objectif de cours de 17 euros, nous pensons que le risque à court terme sur les bénéfices de la Russie est plus que pris en compte, tandis que les résultats de la direction sont désormais plus visibles".

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
17/03/2022 18:08:39
1

Une forte performance en 2021, soutenue par l’attractivité de Believe auprès des artistes et labels, qui illustre la solidité de son modèle de plateforme numérique
* Croissance du chiffre d’affaires Groupe : +30,7% avec une croissance organique de +29,9%
* Croissance des ventes numériques : +33,6%, reflétant de solides gains de parts de marché
* Marge d’EBITDA ajusté de 4%, une hausse de 230 points de base s’appuyant sur la forte croissance
de l’activité


Paris, le 17 mars 2022 – Believe (Ticker : BLV, ISIN : FR0014003FE9), l’un des leaders mondiaux de la
musique numérique, a publié aujourd’hui son chiffre d’affaires et ses résultats pour l’exercice 2021.

Denis Ladegaillerie, Fondateur et PDG, a déclaré :

« En 2021, Believe a une nouvelle fois démontré sa
capacité à générer une croissance forte et rentable tout en continuant à investir pour l’avenir. Nous sommes
fiers d’avoir attiré tout au long de l’année un nombre record d’artistes et de labels indépendants
formidables dans le monde entier, dont nous avons soutenu le développement. Nous avons continué à
recruter et former les meilleurs profils de notre industrie et à développer des solutions digitales innovantes
afin de devenir la meilleure plateforme de développement et de monétisation pour les artistes de musique
numérique. Nous poursuivons ainsi notre stratégie sur nos valeurs de respect, d’équité, de transparence,
d’expertise et au service de notre stratégie RSE ‘Shaping Music for Good’. Nous avons terminé l’année sur
un trimestre particulièrement soutenu et avons dépassé nos objectifs opérationnels et financiers par
rapport à nos engagements lors de l’introduction en bourse, une étape clé de 2021. La situation actuelle
aura des répercussions à court terme, mais l’attractivité de notre modèle nous permettra de pleinement
bénéficier de la croissance à long terme et de la transformation du marché de la musique numérique, et du
marché de l’artiste digital. »


Perspectives 2022
En 2022, Believe prévoit de continuer à bénéficier des tendances de marché structurelles favorables et de l’attractivité de son modèle de plateforme numérique, qui a été renforcée tout au long de l’année 2021.
Le Groupe table sur une croissance organique solide en dehors de la Russie. Par ailleurs, la performance organique sera impactée positivement d’environ 2% par l’extension des contrats de service concernant Play Two, Jo&Co, Think Music et VMAG, qui ont été négociées dans le cadre des partenariats stratégiques signés au cours du second semestre 2021.
Le Groupe prévoit de continuer à investir dans sa plateforme centrale et ses équipes locales en 2022 afin d’alimenter sa croissance rentable dans le futur, tout en gérant son cycle d’investissement de façon active dans l’environnement actuel.
Le Groupe aura plus de visibilité sur la situation de l’activité en Russie et en Ukraine au cours du deuxième trimestre étant donné que la situation évolue rapidement et constamment. Par conséquent, Believe prévoit de donner des objectifs plus précis le 3 mai lors de la publication du chiffre d’affaires du premier trimestre 2022.
Plus généralement le plan stratégique visant à construire la meilleure plateforme de développement d’artistes est en bonne voie et le Groupe confirme sa trajectoire moyen terme. Celle-ci comprend un TCAM 2021-2025 entre 22% et 25% et une marge d’EBITDA ajusté de 5% à 7% pour le Groupe d’ici 2025, qui implique une marge des segments avant prise en compte des coûts de la plateforme centrale de 15% à 16%, ce qui correspond à une marge de période de forte croissance, le chiffre d’affaires étant réinvesti en
grande partie. Believe est confiant dans sa capacité à atteindre son objectif long terme d’une marge d’EBITDA ajusté du Groupe de 15%.


Communiqué de presse (9 pages) :

https://ml-eu.globenewswire.com/Resource/Download/816f58af-5734-459b-9156-a0fd7aace5d1

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
20/02/2022 20:13:34
1

Tiens JD..

si tu veux voir la tête du monsieur


IWF - Denis Ladegaillerie PDG de Believe
le 22 mars 2021

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=5lLOq2FmSVk

Y a de l'humain dans cette personne ça se sent.

mais il me semble stressé, anxieux aussi. il tremble j'ai l'impression. lol

  
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JD1976 JD1976
20/02/2022 17:20:24
2

Believe, le tube d’Euronext

Par Anne Florin - Journal "Entreprendre"

Son histoire :

Le 10 juin dernier, les projecteurs ont été braqués sur Believe, puisque l’entreprise française faisait son entrée en bourse à Paris, sur Euronext. Des débuts un peu chahutés qui n’entament en rien les objectifs de la licorne, à présent valorisée à près de deux milliards d’euros. Son dirigeant, Denis Ladegaillerie, est un homme à part. Fondateur de Believe en 2005, il est allé jusqu‘au bout de son rêve et il a bien fait.


Une levée de 300 millions

Les 300 millions levés lors de cette opération sont d’ores et déjà alloués. Le dirigeant prévoit de mener plusieurs plans d’action, à la fois des investissements en matière d’amélioration des compétences technologiques, un besoin vital dans un monde digital qui ne cesse de progresser, et des opérations de croissance externe. Cette levée va donc permettre l’autofinancement de ses opérations pour les deux années à venir. Le but ultime étant de faire de Believe la plateforme de référence en matière d’accompagnement des artistes et ce, au niveau mondial. Rien de moins.


Un modèle digital unique

Denis Ladegaillerie est un passionné de son entreprise, il a mis au point avec Believe un « modèle unique pour apporter les solutions digitales les plus adaptées aux besoins de chaque artiste et label indépendant ». L’homme prévoit que d’ici six ans, 80% des contenus musicaux mondiaux seront distribués sur des médias digitaux. Certains perdent de vue la révolution qui a eu lieu ces dernières années dans le monde de la musique, qui est passé en l’espace d’un clic de la vente de CD au téléchargement illégal jusqu’au streaming pour tous. Un chamboulement total de ce marché qui a vu des descentes aux enfers et des (re)naissances. Si la réussite de Believe en a surpris et bousculé quelques-uns dans le monde musical, c’est qu’ils n’ont pas procédé à l’analyse du marché comme l’a fait Denis Ladegaillerie. Car la passion n’exclut pas la réflexion chez cet homme, bien au contraire, il est un analyste de haute volée.


Une vision bâtie pas à pas

Le dirigeant de Believe est devenu un homme écouté, et ce n’est pas par hasard. Détenteur de diplômes reconnus tels Sciences-Po Paris, l’ESCP et la Duke University, en master de droit, il passe plusieurs années au Canada où il fait son service militaire, puis travaille en tant qu’avocat au barreau de New-York. C’est à ce moment que le déclic se fait. Il partageait à l’époque un appartement avec quatre jeunes américains, qui avait tous de superjobs, pourtant tous ont démissionné pour tenter leur chance dans des startups, c’était en 1999. Denis Ladegaillerie réfléchit et agit : « Je me suis demandé ce qu’ils faisaient, ce qui m’a amené à réfléchir et à entrer chez Vivendi en mars 2000 en plein éclatement de la bulle internet ».


C’est l’époque Jean-Marie Messier pour ceux qui s’en souviennent, une époque charnière et passionnante où Denis Ladegaillerie dit avoir rencontré des gens extraordinaires. Il est business analyst dans la société au départ et intègre peu à peu tout ce qui fera ensuite le succès de Believe. En se remémorant cette époque, il pense que « J2M » était en avance sur son époque, le concept était novateur, mais la France par exemple n’était équipée, en bas débit, que chez 15% des foyers. Le monde d’avant. Ce passage a été « fondateur pour ma réflexion » confirme le dirigeant, qui a exercé les fonctions de directeur stratégique et financier des activités numériques de Vivendi Universal par la suite.


Un entrepreneur qui y croit

Il faut être sûr de soi et de ses capacités pour s’attaquer à un marché détenu depuis des années par des « Majors » incontournables tels qu’Universal Music, Warner ou Sony Music.

Denis Ladegaillerie l’est. Pas seulement par flair, même si tous les entrepreneurs en sont pourvus. Son instinct est toujours suivi d’une réflexion approfondie, un mode de fonctionnement qui fait partie de sa personnalité et l’a mené à créer un outil adapté au monde de demain. Aux oubliettes le temps où l’on vendait des millions d’albums en maisons de disque et en grande distribution. D’ores et déjà, les ventes digitales prennent le pas sur les ventes physiques. Le nouveau monde en matière musicale est en marche et Believe en est l’un des grands acteurs.


Il faut être sûr de soi et de ses capacités pour s’attaquer à un marché détenu depuis des années par des « Majors » incontournables tels qu’Universal Music, Warner ou Sony Music.

Denis Ladegaillerie l’est. Pas seulement par flair, même si tous les entrepreneurs en sont pourvus. Son instinct est toujours suivi d’une réflexion approfondie, un mode de fonctionnement qui fait partie de sa personnalité et l’a mené à créer un outil adapté au monde de demain. Aux oubliettes le temps où l’on vendait des millions d’albums en maisons de disque et en grande distribution. D’ores et déjà, les ventes digitales prennent le pas sur les ventes physiques. Le nouveau monde en matière musicale est en marche et Believe en est l’un des grands acteurs.


Un trio de cofondateurs

Denis Ladegaillerie a fondé Believe en 2005 avec Arnaud Chiaramonti et Nicolas Laclias. L’idée de départ est claire s’appuyer sur deux transitions, celle de l’usage qui se tourne vers le digital, et celle des artistes qui se sont orientés vers l’autoproduction et la distribution numérique. Nous ne sommes alors qu’en 2005 et en pleine anticipation d’une révolution digitale dans le monde de la musique. Les six premiers mois, tout ce beau monde travaille dans la salle à manger de Denis Ladegaillerie, rue Lafayette, avant que de premiers bureaux ne soient loués pour poursuivre la mise au point du concept de Believe. Il faut avoir foi en son idée pour se lancer dans un marché digital quasi inexistant qui représentait seulement 400 000 euros en 200 !


Un peu de patience avant le succès

Pour bien comprendre la profonde conviction de l’entrepreneur, et toute sa passion à faire croître l’entreprise, il faut intégrer le fait qu’il a investi à cette époque l’argent qu’il avait eu l’opportunité d’épargner jusqu’alors et ne s’est pas versé de salaires les trois premières années. Il avait les moyens de le faire, mais tout un chacun ne prendrait pas une voie qui, objectivement, pouvait apparaître aussi risquée. Pour Denis Ladegaillerie, ce risque était maîtrisé, il voulait un modèle de croissance profitable, pour « être libre et avoir le pouvoir ».


Il a fallu travailler intensément et il se souvient encore des gains consécutifs à la première opération menée au mois de juin 2005 avec des artistes en développement pour la fête de la musique. Un gain de 30 euros sur Virgin Mega ! Le démarrage est lent, mais le dirigeant est patient et surtout, il sait où il va. La première phase, jusqu’en 2010 est consacrée à la rédaction du modèle, à l’analyse de la chaîne de valeurs, à la création des contrats et au démarrage du recrutement.


A la pointe de l’innovation

Le point crucial du concept selon Denis Ladegaillerie, c’est que les relations de dépendance sur lesquels fonctionnent les Majors avec leurs artistes sont terminées. Pour Believe, tout doit se faire dans l’accompagnement et la transparence. L’entrepreneur a vu juste. La société devient profitable dès 2009 et s’autofinance jusqu’à la première levée de fonds en 2014 ayant pour but la croissance externe. C’est le moment pour Believe d’une très forte accélération à l’international. A cette époque, Apple fait un audit pour se développer dans une cinquantaine de pays, et Believe fait partie des 3 sociétés sélectionnées, entraînant de nombreux et rapides recrutements.


De 2015 à 2020, Believe est dans un monde qui bascule du téléchargement vers le streaming. Pour ceux qui veulent entrer dans le marché, la barrière technologique s’est renforcée, car la donnée a explosé. Depuis, le défi des équipes est de rester à la pointe de l’innovation dans un marché en pleine accélération.


La technologie au service de l’humain

Il ne faudrait pas déduire de ce qui précède que le dirigeant de Believe est un geek pour qui la technologie est reine. « Je ne suis pas un croyant de la technologie pure, l’équilibre entre technologie et humain joue un rôle fondamental ». Si cet aspect humain est essentiel dans les relations avec les artistes, il l’est aussi en interne où la culture de l’entreprise, l’engagement de respect et d’équité sont des enjeux essentiels. Pour Denis Ladegaillerie, « la partie la plus difficile à gérer est la partie humaine. Chez Believe, le succès n’est que collectif ». Encore un qui connaît la musique.


  
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JD1976 JD1976
17/02/2022 17:29:16
1

Ce major du marché de la musique numérique emploie 1 400 personnes dans plus de 50 pays et a affiché un chiffre d’affaires de 441 millions d’euros en 2020.


Etat-major - Believe :

Denis Ladegaillerie

Xavier Dumont

Romain Vivien

Sylvain Delange

Viktoria Siniavskaia

Alejandra Olea

Romain Becker

Elsa Bahamonde

Andreea Gleeson

Isabelle Andrès

Sandrine Bossard


Coté à Euronext Paris, Believe est l'un des leaders du marché de la musique numérique. La société emploie 1 400 personnes dans plus de 50 pays et a affiché un chiffre d'affaires de 441 millions d'euros en 2020. Elle propose aux artistes des solutions à travers un portefeuille comprenant notamment TuneCore, Nuclear Blast, Naïve, Groove Attack et AllPoints.

Ex-dirigeant de Vivendi Universal aux États-Unis et cofondateur de Believe en 2005, Denis Ladegaillerie (52 ans, ESCP, Sciences Po) est président-directeur général. Ancien de la Fnac et d'Oxybul, Xavier Dumont (51 ans, HEC) officie comme directeur général chargé des opérations et des finances. Passé par les labels Virgin et Capitol, Romain Vivien (49 ans, IUT Descartes et ISC Paris) est directeur général de Believe France. Il mène la stratégie de croissance externe, via des prises de participation dans les labels Tôt ou Tard, Play Two et Jo & Co. Sylvain Delange (41 ans, master à l'université d'Aix-Marseille) est directeur Asie-Pacifique. Viktoria Siniavskaia (41 ans, master à Paris-1) est responsable régionale (Russie, Europe de l'Est, Moyen-Orient, Turquie et Afrique). Alejandra Olea (46 ans, université de Georgetown) est à la tête de Believe Americas. Romain Becker (37 ans, ICN Business School) préside Label & Artist Solutions. Ex de Criteo, Pixmania et Veepee, Elsa Bahamonde (40 ans, Iscom et Instituto de Empresa, à Madrid) dirige Artists Services. Andreea Gleeson (40 ans, licence à l'université Pace) est à la tête de TuneCore. Isabelle Andrès (55 ans, HEC) est directrice chargée des opérations, du produit et de la technologie, et Sandrine Bossard (47 ans, DEA à Paris 2) est directrice des ressources humaines § O. U.


  
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JD1976 JD1976
17/02/2022 17:06:40
1

Le saviez-vous sur Believe ?


Un portefeuille d’artistes élargi

Devenu un acteur majeur du secteur, Believe gère une base d'environ 850.000 artistes, dont Vianney, Jul, PNL et Yseult. En 2008, la jeune pousse avait réussi à signer l’emblématique MC Solaar.


Présent dans 50 pays

C’est en Asie que la société est la plus dynamique avec une croissance de 65% sur les neuf premiers mois de l’année, devant les États-Unis (+36,5%) et la France (+19,2%).


Offre refusée

En 2017, Denis Ladegaillerie aurait refusé la somme de 400 millions d’euros que lui offrait Sony pour racheter Believe. Aujourd’hui, la capitalisation boursière est quatre fois plus élevée.

  
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JD1976 JD1976
04/12/2021 15:20:24
0

Le spécialiste de l’accompagnement des artistes sur les plateformes numériques et les réseaux sociaux s’offre l’indien Think Music, un professionnel actif sur le segment des bandes originales de films en Inde du Sud. Cette acquisition permet à Believe de se renforcer sur un marché particulièrement dynamique. Le groupe va continuer de s'appuyer sur la numérisation croissante de la musique.

  
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damirov damirov
13/09/2021 15:36:55
0

Telle est la question sous les 18

  
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