Ce sera pour tes enfants 
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Bon alors regarde la page 61. C'est écrit en gros en gras
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ça n'explique pas tout, mais aujourd'hui on rentre dans l'emploi, en moyenne, bien plus tard qu'il y a 50 ans
Mais au final la redistribution va être générationnelle car des sommes énormes vont être transmises entre la génération du baby boom et la suivante, ou la n+2. Hélas en France, l'état va encore se servir, et pas qu'un peu, mais à l'échelle des pays développés on attend un transfert très très important du fait des successions. Je n'ai plus le chiffre en tête, mais je l'avais entendu pour les USA et c'était démentiel.
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C'est les queues de distribution qui te plombent un modèle :)
Message complété le 18/03/2024 13:11:07 par son auteur.
Au moins Rodolphe avec les années on me fourni de plus en plus de données qui vont dans mon sens. A l'époque (2016) on me parlais d'un "sentiment" de transfert mdr
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bon Jean-Marc Sylvestre, c'est pas non plus la norme des retraités français
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Est-ce que vous pensez que Jean-Marc Sylvestre ne reçoit que 25.000€ par an ?
Le pauvre a des dépenses, avoir plusieurs maisons et des voitures de sports c'est des coûts à prendre en compte
Je remarque que on fait cotiser dès l'age de 1 an d'après cette courbe
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C'est vrai Rollier1, ça mériterai une correction par le nombre d'individus, mais elle risquerai de faire mal sur la tranche 65-85 au vu de notre pyramide des âges.
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Ne tiens pas compte de l'année de service militaire perdu en année de travail pour celui qui l' a fait, au pur bénéfice de l’état.
donc en gros en estimant:
à 5000 euros le salaire en fin de carrière, perte de 60000 euros
à 4000 euros le salaire en fin de carrière, perte de 48000 euros
à 3000 euros le salaire en fin de carrière, perte de 36000 euros
Ne tiens pas compte des 35 heures donc du nombre plus élevé de travail de certains.
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La courbe présentée mérite un complément. En effet, s’il est bien naturel que le coût par tête soit plus élevé dans la tranche très haute (90-100) que dans les précédentes, et d’ailleurs il eut été surprenant qu’il en soit autrement, la quantité d’individus de cette tranche est drastiquement inférieure à celles des autres.
Il faut pondérer cette courbe par la quantité d’individus de chaque tranche pour obtenir un résultat en Euro bien plus représentatif.
😊
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A vomir Rodolphe
Message complété le 18/03/2024 10:02:53 par son auteur.
Au passage on me prend 3000 par mois donc ça donne 36k par an :)
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Les recettes sont complexes car le modèle tel qu'il a été inventé en 1945 est totalement inadapté à la situation de 2024 et malheureusement comme il est collectiviste on ne peut pas le débrancher comme ça.
Les graphiques sont assez impressionnants quand on voit le transfert social de la tranche 20-60 vers la 60-100. Après évidement c'est le système de retraites qui en explique une grande partie : on cotise pendant sa période active et on reçoit ensuite.
Une première anomalie à corriger me semble il, la CSG réduite sur les retraites. Aucune justification à cette exception, notamment au vu des dépenses de santé de la tranche.
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Oui bien entendu le système français de retraites par répartition et le vieillissement constant de la population sont parfaitement symbolisés par ces derniers graphiques !!!
Que faire pour changer cette tendance ??
1 - Continuer à dégrader le système de santé et multiplier les EHPAD qui abrègent les fins de vie ?
2 - Changer le système des retraites en revenant à un système par capitalisation (ou en diminuant les retraites après 80 ans) ?
3 - Reprendre une politique favorisant la natalité afin de rajeunir la population ?
4 - Travailler jusqu'à 75 ans et plus pour moins peser sur les jeunes ?
etc ......
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Tiens Luncyan c'est pour toi
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Et il pleut beaucoup en ce moment...vaut mieux être dans un bon bateau sans trou dans la coque, que d'avoir de la coke dans son trou.
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1980, le boomer à 30 ans quoi mdr
1990 le boomer a 40 ans
2000 50 ans
2010 60 ans
2020 70
74 ans aujourd'hui, Après lui le déluge
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Le graphique me semble effectivement confirmer le "bla-bla" que j'ai pu trouver et qui n'a peut-être aucun intérêt pour ceux qui veulent simplement jeter un coup d'oeil sur l'évolution des dettes.
Pour moi cela ne fait bien que confirmer qu'avec de Gaulle (et avec Rueff et Pinay) l'endettement de la France a baissé jusqu'à 13,5% de notre PIB, avant de remonter jusqu'à ce que Raymond Barre amorce une petite baisse en 1979-1980.
Et en 1981 après l'arrivée de François Mitterand il n'y a plus eu que quelques baisses anecdotiques et limitées quelque soit le gouvernement en place.
Désolé pour ce nouveau "bla-bla" !!!
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@chalb
le "bla bla " ne sert à rien, voici en image mes propos et regarde en quelle année commence le problème....
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L'histoire de la France nous apprend que malheureusement nous ne savons pas réduire notre dette sauf de très rares exceptions.
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Lorsque le général de Gaulle quitte le pouvoir en 1969, la France est endettée à hauteur de 13,5 % de son PIB environ.
Le plan de relance de Jacques Chirac en 1975 creuse le déficit et fait gonfler la dette, qui passe de 16 % en 1976 à 18 % l'année suivante, et à 21 % en 1978.
Le budget sous Raymond Barre est quasiment à l'équilibre (-0,1 %), ce qui empêche le creusement de la dette, mais cela est dû à un accroissement significatif du taux d'imposition (33,6 % en 1974 à 40,1 % en 1980)
Sous le poids de la relance Mauroy on creuse le déficit et on fait augmenter la dette ; cette dernière passe de 20 % à 22 % en 1981, puis 25 % en 1982. Le déficit de la Sécurité sociale augmente de 2 points pour atteindre 4 % du PIB en 1982.
Le Premier ministre Jacques Chirac creuse le déficit, qui atteint 3,2 %, et donc la dette, qui passe de 30,7 % du PIB à 31,3 % en 1986, puis 33,7 % l'année suivante. Mais entre 1986 et 1988, les taux de croissance plus élevés de ces années permettent de stabiliser en 1988 la dette à 33,6 % en 1988.
Une diminution de la croissance fait gonfler la dette, qui passe de 36,5 % en 1991 à 40,6 % en 1992 et 46,6 % en 1993. Puis cette dette passe à 49,4% en mars 1995 à la fin de la présidence de Mitterrand.
Sous la présidence de Jacques Chirac la dette continue d’augmenter et se situe à 61,4% en 1997.
Le passage à l’euro en 2002 a permis une certaine stabilisation de la dette qui monte à 66,4% en 2005 pour redescendre à 63,7% en 2006 et 63,8% en 2007.
Sous la présidence de Sarkozy et suite à la crise de 2008 la dette a encore augmenté fortement et se retrouve à 88,7% en 2012.
Puis sous François Hollande on est passé en 5 ans à une dette atteignant 99,3% en 2017.
Sous Emmanuel macron on est parvenu à 97,4% en 2019, mais après la crise du COVID on se retrouve à 112,1% en 2023.
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Voici une petite récapitulation de cette histoire de la dette sous la 5ème république. Mais il y a eu tout au long de notre histoire et sous tous les régimes de nombreuses banqueroutes et spoliations donc cela ne me semble pas pire que dans les temps anciens.
Pour la réduction de la dette tout le monde sait bien qu'il faut prendre l'argent là où il est par des impôts, des taxes, des emprunts obligatoires sur les épargnants, des confiscations ou des amendes sur des profits illicites, etc ...
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Principe de base en économie :qui ne peut battre sa monnaie ne maîtrise pas son économie
banques centrales : outil de détournement de la souveraineté des pays et du pouvoir des peuples à leur autodétermination financière
Il serait totalement inutile de "frexiter" en conservant l'euro par exemple
Suffit de remercier un type nommé Pompidou banquier de chez Rothschild inféodé au système
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