Donc, pendant des années les gouvernements nous ont dit que la dette n'était pas un problème car c'était un investissement.
Donc, soit la France doit actuellement toucher les bénéfices de cet investissement régulier depuis 30 ans, soit les Français (qui ont gobés leurs mensonges) ont été trahis.
Quant à ceux qui avaient avertis des erreurs commises, et qui ont été critiqués avec virulence sur les médias et au sein de notre forum, ne croyaient pas qu'ils vont reconnaître que nous avions raison, oh non, au contraire ils vont persister encore plus dans leurs erreurs.
Donc JCROIPLU n'y crois toujours pas, et poursuit son chemin tranquillement, son bateau n'ayant pas de trous dans la coque.
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Albert en 1963 : « Ce n’est pas avec ceux qui ont créé les problèmes qu’il faut espérer les résoudre »
ne perdons pas notre temps !
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même monnaie l’euro même crises covid énergie guerre ukraine et pourtant on se prend une pastille? 🤔🤡
18 milliards dans le cornet le nono 🤣👍
et l’autre blaireau continu à distribuer
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Hélas, les déficits et les dettes de l'Etat ne sont pas les seules !!! Dans beaucoup de grandes villes les municipalités (ou les métropoles) ne sont pas toujours bien gérées et laissent de jolies ardoises aux contribuables sur des dossiers divers et variés pouvant s'apparenter à celui de la gare flambant neuve que la municipalité de Paris a peut-être participé à subventionner au détriment des contribuables parisiens.
Quand on regarde par exemple ce qui s'est passé lors des travaux de réfection des routes et des ponts endommagés par les catastrophiques inondations dans le Haut-pays Niçois on a pu découvrir que certains d'entre eux avaient pris du retard faute de paiement d'entreprises alors que les fonds avaient bien été débloqués et on cherche où une partie de ces fonds a mystérieusement disparu. Et là les choses se compliquent et les accusations fusent contre des personnes qui se renvoient la balle et veulent impliquer politiquement le maire et son entourage, lesquels se défendent en accusant des fonctionnaires indélicats contre qui ils portent plainte en justice ....
Au final c'est toujours les contribuables qui paient l'addition !!!
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Les 80 batons n'ont pas du etre perdus pour tout le monde
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Vous connaissez « chapelle international ».
C’est une gare au nord de Paris, inaugurée en 2019, qui devait faire du fret ferroviaire en empêchant 43 000 camions de rentrer dans Paris.
Ça a coûté des millions.
Aucun train n’est jamais venu.
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Publication INSEE du 26 Mars 2024
Sommaire
Les dépenses ralentissent de nouveau en 2023 (+3,7 % après +4,0 %)
Les recettes décélèrent fortement : +2,0 % après +7,4 %
Les déficits de l’État et des APUL augmentent tandis que les administrations de sécurité sociale accroissent leur excédent
La dette au sens de Maastricht augmente de 147,4 Md€ en 2023 et s’établit à 110,6 % du PIB
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Le déficit public pour 2023 s’établit à 154,0 Md€, soit 5,5 % du produit intérieur brut (PIB), après 4,8 % en 2022 et 6,6 % en 2021. Les recettes ralentissent nettement en 2023 : elles progressent de 2,0 % après +7,4 % en 2022. Le taux de prélèvements obligatoires diminue et s’établit à 43,5 % du PIB après 45,2 % en 2022, à un niveau proche de l’avant Covid (43,9 % en 2019). Les dépenses ralentissent un peu : elles augmentent de 3,7 % après +4,0 % en 2022. En proportion du PIB, les dépenses continuent de reculer et s’établissent à 57,3 % du PIB après 58,8 % en 2022 et 59,6 % en 2021, cependant, elles demeurent sensiblement supérieures à l’avant Covid (55,2 % du PIB en 2019). La dette des administrations publiques au sens de Maastricht atteint 110,6 % du PIB fin 2023 après 111,9 % fin 2022 ; elle était de 97,9 % du PIB en 2019.
La dette des administrations publiques au sens de Maastricht, soit la dette brute consolidée en valeur nominale, augmente de 147,6 Md€ en 2023 pour s’établir à 3 101,2 Md€. Exprimée en pourcentage du PIB, la dette publique diminue, à 110,6 % après 111,9 % fin 2022 et 113,0 % fin 2021. Le besoin de financement des APU est principalement financé par une hausse de son endettement, mais aussi par une diminution de sa trésorerie (-44,4 Md€). Ainsi, la dette publique nette s’accroît plus que la dette brute, de 187,4 Md€, et s’établit à 102,4 % du PIB.
https://www.insee.fr/fr/statistiques/8061907#titre-bloc-11
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Bruno Lemaire va être obligé de dire comment il peut remédier à une situation qui continue de se dégrader et qui va laisser les générations suivantes dans une situation financière de plus en plus difficile à redresser. Mais il va encore trouver des échappatoires, comme depuis tant d'années chaque gouvernement l'a plus ou moins fait.
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La BCE, le FMI, les agences de notation sont insensibles aux coups de poing !!!
Malheureusement ....
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Comment se sortir de nos dettes ?
A Bercy, on se montre de plus en plus pessimiste sur le résultat du déficit 2023, qui déterminera la hauteur des marches à franchir pour revenir sous la barre des 3 % du PIB de déficit en 2027. Un objectif a priori intangible. Le trou entre les recettes et les dépenses devait se creuser de 4,8 % du PIB à 4,9 % en 2023, mais les mauvaises rentrées fiscales montrent que le résultat sera beaucoup plus dégradé : entre 5,2 % et jusqu'à 5,8 %, craint-on. De quoi semer la panique.
Effort colossal. Le chiffre ne sera dévoilé que le 26 mars par l’Insee, indépendant. Mais dans les têtes, l’objectif de revenir à 4,4 % de déficit cette année, en 2024, est déjà enterré. Ce qui va obliger le chef de l’Etat à devoir trouver des dizaines de milliards d’économies lors de ses trois dernières années de mandat : plus de 50 milliards d’euros. Autant dire qu’il faudra que la majorité relative au Parlement ait les reins solides. « Ça va être assez dur, euphémise un responsable. Nous ne réussirons pas le redressement des finances publiques si nous ne réussissons pas à dire, regardez, l’effort est partagé. » Autrement dit, les grandes entreprises et les plus aisés devront être mis à contribution. D’une manière ou d’une autre.
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LR est prêt à aller jusqu'à une motion de censure contre tout budget correctif présenté par le gouvernement ce qui pourrait compliquer encore la prise de mesures pourtant nécessaires.
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Brèves des Echos du jour
Le chef de l'Etat a reçu ce mercredi les leaders de la majorité au sujet des finances publiques. Les dernières prévisions de l'exécutif tablent sur un déficit ayant dérivé à 5,6 % du PIB fin 2023 au lieu de 4,9 % attendu. Un tel niveau rendrait quasi caduc l'objectif d'un déficit à 4,4 % du PIB en 2024.
Emmanuel Macron n'est pas réputé se passionner pour les questions de finances publiques. A plusieurs occasions durant ses deux mandats, il n'a pas hésité à déverser les milliards d'euros de dépenses publiques pour faire face à des crises majeures (« gilets jaunes », Covid, Ukraine). Autant dire que la tenue de deux réunions, coup sur coup, avec les principales figures du gouvernement et de la majorité sur cette thématique, dit bien la gravité de la situation.
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Mauvaise nouvelle pour le système de protection sociale. Le déficit de la Sécurité sociale a été plus important que prévu en 2023. Attendu à 8,7 milliards d'euros, il a terminé l'année dernière proche de 11 milliards d'euros, selon nos informations. De quoi pousser Bercy à chercher à réaliser davantage d'économies.
Censée être officialisée en début de semaine, cette déconvenue était attendue. Il faut dire que depuis le début de l'année, les mauvaises nouvelles s'accumulent sur le front des finances publiques. En janvier, Bercy a dû reconnaître que le déficit de l'Etat s'était creusé en 2023 plus que prévu (à 173 milliards d'euros) sur fond de rentrées de recettes fiscales décevantes.
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Dans une interview aux « Echos », le président de LR, Eric Ciotti, dénonce le « manque de courage » de Bruno Le Maire face à la « situation dramatique » des comptes publics. Il menace d'une motion de censure le prochain texte budgétaire du gouvernement. Pour réduire l'endettement, il veut faire peser l'effort sur « ceux qui ne travaillent pas et qui cumulent les prestations sociales ».
Le Premier président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici, estime nécessaires « des efforts d'économies sans précédent dans l'histoire récente ». Que vous inspire ce diagnostic ?
Ce diagnostic est lucide mais bien tardif de la part de Pierre Moscovici que je trouve très complaisant depuis quelques années avec le gouvernement. De toute évidence, la réalité est extrêmement préoccupante : 900 milliards d'euros de dette supplémentaires depuis 2017, un déficit public d'au moins 4,9 points de PIB en 2023, une charge de la dette à 57 milliards d'euros en 2024.
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De quoi s'inquiéter sérieusement sur une future augmentation des impôts, des taxes, et sur la réduction un peu partout des aides et du "quoi qu'il en coûte".
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Tel un saumon j'avance à contre courant qui a une puissance phénoménale
Le trans-classe en action
Message complété le 18/03/2024 23:04:34 par son auteur.
Si j'étais américain je serai déjà multimillionnaire
Message complété le 18/03/2024 23:05:34 par son auteur.
Ou suisse, suédois, anglais, norvégien, canadien, finlandais, néerlandais bref tout sauf français
Message complété le 18/03/2024 23:06:02 par son auteur.
J'échange mon passeport qui veut qui veut passeport français pas cher
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La question que g a te poser Lulu,
est ce que ce type de raisonnement t'aide ?
Si ça t'aide, il faut continuer. Si c'est un frein à tes épanouissements tant familiaux, professionnels, amoureux, entrepreneuriaux .... c'est qu'il faut chercher une cause ailleurs qu'à l'extérieur de soi.
Pareil, c'est du vécu.
Et pour ce qui est de mon enterrement, mes enfants, les plus âgés, ont commencé à se reproduire.
M
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Pas sûr que tes enfants seront encore en vie pour le voir.
Je t'aiderai à les enterrer si ça peut te faire plaisir
L'égoïsme mène à la dette et la dette à la guerre c'est un cycle de mort incessant causé toujours par le même vice
Malheureusement vous nous menez tous dans le mur donc si hier je pouvais espérer que des jours meilleurs aujourd'hui je ne peux que vous promettre d'être là pour aider le jour où vous aurez besoin de moi pour enterrer vos enfants
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Et après quelques années de guerre, une nouvelle génération de boomers arrivera, qui fera le bonheur de ceux qui les critiqueront 70 ans après.
Donc en gros vers l'an 2100.
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Notre leader suprême a trouvé la solution
La guerre
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Si la démographie ne diminue pas c'est le crash assuré un jour ou l'autre.
Et si la démographie diminue,aïaïe,le capitalisme ne marche plus. Les économistes ont du pain sur la planche !
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Peut être.
Mais je suis pas bourgeois et je parle a partir de mon vécu.
54 c'est boomer ?
Je pense que d'une manière générale il est préférable de laisser couler la vie. Si possible sans se prendre la tête
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Ok boomer
Phrase typique de vieux bourgeois privilégié et condescendant pour ceux qui le suivent :)
Sans animosité aucune, simple constat
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Si tu réfléchis en terme économique, effectivement, tu n'es pas prêt à avoir des enfants....
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Pas les moyens d'avoir des enfants. C'est le sujet du moment d'ailleurs si tu fais attention aux discussions sur la natalité mais pourquoi dieu les jeunes n'ont pas d'enfants comme c'est bizarre lol
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Suivez les marchés avec des outils de pros !