Alstom: le titre monte, vers une offre améliorée de GE.
Actualité publiée le 28/05/14 12:37
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(CercleFinance.com) - L'action Alstom figure parmi les plus fortes hausses de l'indice SBF 120 mercredi matin, alors que GE semble revenir dans la course avec sa proposition de rachat du groupe français.
Vers 12h30, le titre s'adjuge 1,4% à près de 29,1 euros, signant la sixième meilleure performance de l'indice parisien.
Les investisseurs spéculent sur une possible amélioration de l'offre du groupe américain après la visite de Jeff Immelt, son PDG, ce matin à l'Elysée.
'Force est de constater que le décret sur le patriotisme économique qui vise explicitement les tractations autour d'Alstom a eu les effets escomptés', commente Christopher Dembik, analyste chez Saxo Banque.
'General Electric est contraint de renforcer son offre, notamment en maintenant l'activité nucléaire d'Alstom en France et en fournissant des garanties sur l'emploi', explique le professionnel.
D'après le stratège, GE va devoir faire de nouvelles concessions, en particulier en transférant ses activités signalisation à Alstom Transport.
'Face au duo Alstom-GE, Siemens - qui bénéficie du soutien de l'Etat français - ne fait pas le poids', ajoute Christopher Dembik.
'Le montant évoqué de l'offre potentielle - sept milliards d'euros en numéraire - est bien trop inférieur aux besoins financiers d'Alstom', souligne l'analyste, qui évoque par ailleurs la possibilité d'un veto de la part des autorités européennes de la concurrence.
Alstom a reçu le mois dernier une offre ferme de GE pour l'acquisition de ses activités d'énergie à un prix de 12,3 milliards d'euros. GE a récemment accepté de prolonger jusqu'au 23 juin le délai d'étude de son offre par le conseil d'administration d'Alstom.
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Vers 12h30, le titre s'adjuge 1,4% à près de 29,1 euros, signant la sixième meilleure performance de l'indice parisien.
Les investisseurs spéculent sur une possible amélioration de l'offre du groupe américain après la visite de Jeff Immelt, son PDG, ce matin à l'Elysée.
'Force est de constater que le décret sur le patriotisme économique qui vise explicitement les tractations autour d'Alstom a eu les effets escomptés', commente Christopher Dembik, analyste chez Saxo Banque.
'General Electric est contraint de renforcer son offre, notamment en maintenant l'activité nucléaire d'Alstom en France et en fournissant des garanties sur l'emploi', explique le professionnel.
D'après le stratège, GE va devoir faire de nouvelles concessions, en particulier en transférant ses activités signalisation à Alstom Transport.
'Face au duo Alstom-GE, Siemens - qui bénéficie du soutien de l'Etat français - ne fait pas le poids', ajoute Christopher Dembik.
'Le montant évoqué de l'offre potentielle - sept milliards d'euros en numéraire - est bien trop inférieur aux besoins financiers d'Alstom', souligne l'analyste, qui évoque par ailleurs la possibilité d'un veto de la part des autorités européennes de la concurrence.
Alstom a reçu le mois dernier une offre ferme de GE pour l'acquisition de ses activités d'énergie à un prix de 12,3 milliards d'euros. GE a récemment accepté de prolonger jusqu'au 23 juin le délai d'étude de son offre par le conseil d'administration d'Alstom.
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