Alstom: une quinzaine de TGV pour 'sauver' Belfort ?
Actualité publiée le 04/10/16 10:39
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(CercleFinance.com) - Avant que le gouvernement n'annonce officiellement comment il entend sauver le site d'Alstom à Belfort, les informations de presse fourmillent déjà. L'Etat pourrait commander, en son propre nom, une quinzaine de TGV, et reconvertir Belfort en centre de maintenance.
Selon notamment France Info, l'Etat envisagerait de commander directement, et non par l'intermédiaire de l'opérateur ferroviaire public, la SNCF, une quinzaine de rames (15 ou 16) de trains à grande vitesse (TGV) et leurs 32 motrices, ce qui assurerait environ une année d'activité sur le site de Belfort.
Cet étrange montage ne serait pas, selon France Info, la seule curiosité de cette annonce éventuelle, alors que la campagne présidentielle a bel et bien commencé : 'ces TGV seront destinés à alimenter des lignes Intercités, gérées par l'Etat, et non des lignes à grande vitesse', rapporte le site Internet de France Info.
Les rames de TGV commandées par l'Etat seraient mises en service sur des lignes Intercités avant d'être cédées, potentiellement, à un opérateur alternatif à la SNCF. La possibilité que cette dernière rachète les rames pour la future ligne de TGV Bordeaux-Toulouse est également évoquée, ajoutent de leur côté les analystes d'Aurel BGC.
Troisième et dernier point : le site de Belfort serait transformé, moyennant 70 millions d'euros d'investissements environ, en 'centre européen de la maintenance ferroviaire', indique France Info.
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Selon notamment France Info, l'Etat envisagerait de commander directement, et non par l'intermédiaire de l'opérateur ferroviaire public, la SNCF, une quinzaine de rames (15 ou 16) de trains à grande vitesse (TGV) et leurs 32 motrices, ce qui assurerait environ une année d'activité sur le site de Belfort.
Cet étrange montage ne serait pas, selon France Info, la seule curiosité de cette annonce éventuelle, alors que la campagne présidentielle a bel et bien commencé : 'ces TGV seront destinés à alimenter des lignes Intercités, gérées par l'Etat, et non des lignes à grande vitesse', rapporte le site Internet de France Info.
Les rames de TGV commandées par l'Etat seraient mises en service sur des lignes Intercités avant d'être cédées, potentiellement, à un opérateur alternatif à la SNCF. La possibilité que cette dernière rachète les rames pour la future ligne de TGV Bordeaux-Toulouse est également évoquée, ajoutent de leur côté les analystes d'Aurel BGC.
Troisième et dernier point : le site de Belfort serait transformé, moyennant 70 millions d'euros d'investissements environ, en 'centre européen de la maintenance ferroviaire', indique France Info.
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