Ses jours sont-ils déjà comptés ? - Page 2

Imaginez-vous si, d'une façon ou d'une autre, le budget soit adopté; imaginez-vous aussi qu'il n'y ait point de censure, alors l'important est de s'imaginer comment nos grands politiciens que sont Wauquiez, Attal, Philippe et consorts vous raconteront qu'ils ont choisi la stabilité ou autre chose pour que le grand cirque continue.

il n'empêche que le bateau fuit de toutes parts en UERSS et ils n'arriveront pas éternellement à Bruxelles à colmater les trous par des menaces ou des éliminations ciblées. En bref on voit bien que la hyène commence à être submergée, elle comme tant d'autre qui a de la famille dans l'ancien régime teuton commence à voir son rêve d'une europe fasciste s'éloigner

il est où son mentor ce nostalgique des année 30/40, planqué à Davos ?

L’UE ne laissera pas l’Espagne sortir du machin MCM.

Perso je me méfie autant de certaines vidéos qu’on trouve sur YouTube que des mérdias.

Un sacré tri s’impose et on détecte vite les médias alternatifs crédibles par rapport aux daubes créées pour essayer de discréditer la totalité des publications youtube.

Debout les crabes, la mer monte et les mouettes arrivent…

3015 C'quiqu'a pété ? ça sent le gaz… pour suivre les horaires de la marée.

Je vous offre un peu de poésie que certains trouveront ringards, mais visiblement, c'est d'actualité. Faut évoluer, hein…

; )

Comme le chantait Herbert Léonard, (Extraits choisis) :

"Sans en attendre rien
Mais pour le plaisir…

Sans même aller plus loin…

Prendre le temps, de temps en temps…

S'offrir ce qui n'a pas de prix…

Et faire plaisir
Pour le plaisir
Ne plus courber le dos…

Que sourire sur commande
Avoir pendant des mois
Trimé comme un fou
Et un soir, tout claquer
D'un seul coup, oui…

On peut aussi tout foutre en l'air
Faire souffrir comme on a souffert…

Oh, pour le plaisir
Oublier qu'on a dit un jour
Ça sert à rien …"

Bref, le grand bal annuel des cloportes fartés s'annonce déjà à l'assemblé nationale de la criée aux morues, et il devrait y avoir de nombreux nuisibles rampants pour donner le change aux cafards et aux blattes qui jonchent les couloirs.

Vivement les punaises de lit sur les chaises de l'hémicycle ! Au moins, la classe poly-tique n'aura pas besoin de se demander pourquoi ça la démange…

Pitoyable et affligeant…

Budget 2026 : on vous explique pourquoi son adoption par le Parlement paraît de plus en plus compromise

Publié le 03/11/2025 05:52

Alors que le délai fixé par la Constitution pour adopter le budget en première lecture s'approche à grands pas, certains élus évoquent la possibilité de passer par des ordonnances, une loi spéciale... ou même l'article 49.3.

Le Parlement va-t-il réussir à adopter un budget en temps et en heure ? Après plus d'une semaine de débats tendus à l'Assemblée nationale, la question est sur toutes les lèvres lundi 3 novembre. D'autant que les débats s'enlisent et que les compromis semblent difficiles à atteindre dans l'hémicycle. Alors, certains responsables politiques ne cachent plus leur volonté d'envisager des alternatives, comme une loi spéciale pour le budget, un recours aux ordonnances ou même le retour de l'article 49.3 de la Constitution. On vous explique pourquoi ces scénarios sont de plus en plus probables.


Budget 2026 : les députés entament le dernier jour de débats sur la partie "recettes"
Parce que les débats sont interminables

Le temps file à l'Assemblée nationale. Alors que le vote en première lecture de la partie recettes du projet de loi de finances (PLF) devait avoir lieu mardi 4 novembre, plusieurs centaines d'amendements doivent encore être étudiées. Les députés vont même devoir mettre les débats sur pause pour se consacrer, dès mardi, à l'examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS). La première partie de ce texte doit en théorie être votée le 12 novembre... sauf en cas d'un nouveau dépassement des délais. Les députés reprendront ensuite l'examen et le vote du projet de loi de finances avant de le transmettre au Sénat.

Ces retards à répétition pourraient bien faire capoter tout le budget. Et pour cause, la Constitution fixe au 23 novembre à minuit la limite pour adopter le budget en première lecture et au 23 décembre pour l'ensemble du débat sur le budget de l'Etat. Un calendrier très serré compte tenu de la lenteur des débats au Parlement depuis le début des débats. Dans ces conditions, il paraît "hautement probable" que l'Assemblée nationale ne puisse pas aller au bout de l'examen du budget, a estimé le député des Républicains et rapporteur général du budget Philippe Juvin, dimanche 2 novembre, sur LCI.

Parce que les divergences semblent insurmontables

Derrière ces difficultés à tenir le calendrier du débat budgétaire se cache un problème de fond : des divergences qui semblent de plus en plus insurmontables entre les différents blocs qui composent l'Assemblée nationale depuis la dissolution de l'été 2024. "Le changement culturel n'intervient pas aussi vite dans nos esprits que ce que j'avais imaginé", a dû reconnaître le Premier ministre devant les députés. Le "pari" du renoncement au 49.3 "fonctionne un peu, mais pas complètement", a-t-il concédé. Et pour preuve : aucun groupe ne semble certain d'approuver ce budget aux dispositions teintées de couleurs politiques très diverses.

Les Républicains considèrent ainsi que le texte n'est "pas votable en l'état". Même son de cloche du côté du Rassemblement national, qui souhaite toujours une dissolution et dénonce, par la voix de son vice-président Sébastien Chenu, "un budget de bric et de broc, sans aucune cohérence, qui ne s'attaque pas aux dépenses toxiques de l'Etat". La France insoumise maintient également son opposition farouche au projet et tacle les socialistes, plus favorables à un compromis et accusés d'avoir "changé d'alliance" par Jean-Luc Mélenchon(Nouvelle fenêtre). Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, continue de menacer le gouvernement d'une censure si de nouvelles concessions n'étaient pas faites pour davantage de justice fiscale. Même au sein du parti présidentiel Renaissance, certains ne cachent plus leur agacement face à certaines mesures votées par la gauche ou le RN.

Dans ce contexte, dans une interview au Parisien(Nouvelle fenêtre), Sébastien Lecornu a une nouvelle fois prôné un "changement de méthode" et une "stratégie des petits pas". Ses ministres réuniront prochainement tous les responsables budgétaires désignés par les groupes parlementaires, loin des caméras, pour tenter d'avancer sur "les grands principes de l'atterrissage". Le chef du gouvernement donne donc rendez-vous en "seconde lecture" à l'Assemblée, après le passage du projet de loi par le Sénat. Ce qui consituera selon lui "le moment de vérité".

Parce que d'autres scénarios sont sur la table

Face au risque de ne pas adopter de budget d'ici à la fin de l'année, certains élus commencent à envisager – voir à préférer – d'autres solutions. "On sait très bien qu'on va nous faire le coup des ordonnances", a lancé le chef des sénateurs centristes Hervé Marseille sur Public Sénat(Nouvelle fenêtre). "On part tout droit vers les ordonnances", a également estimé Marine Le Pen. Car si le Parlement ne s'est pas prononcé dans un délai de 70 jours, le gouvernement peut mettre en place son projet initial par ordonnance, une procédure inédite sous la Ve République. "L'enlisement des débats budgétaires risque de nous mener tout droit vers l'usage des ordonnances", analyse le constitutionnaliste Benjamin Morel sur X(Nouvelle fenêtre).

Autre option envisagée en cas de rejet du budget : le dépôt d'une loi spéciale avant le 19 décembre, pour autoriser l'Etat à percevoir les impôts existants. Les dépenses seraient gelées par décret, en attendant le vote d'un budget début 2026. C'est ce qui avait été fait à la fin de l'année 2024 après l'échec du vote du budget. Mais cette option coûterait 11 milliards d'euros à l'économie, selon Bercy. Toutefois, ces scénarios séduisent une partie des parlementaires du bloc central, car ils leur permettraient d'éviter de voter des mesures contraires à leurs convictions, comme des hausses d'impôt ou de dépenses.

Reste une autre option : le retour de l'article 49.3, que le Premier ministre a promis de ne pas utiliser. Le président du groupe MoDem, Marc Fesneau, préférerait cette option à la fin de la discussion budgétaire, ce qui éviterait aux socialistes d'avoir à voter le budget, une incongruité pour un groupe d'opposition. "Ce serait un 49.3 de compromis, non pas pour forcer le Parlement, mais pour acter ce sur quoi il y a un accord", estime le député dans Libération(Nouvelle fenêtre).

Alors, loi spéciale ? Ordonnances ? Retour du 49.3 ? "C'est beaucoup trop tôt pour évoquer ces hypothèses. Commencer à parler de l'après, ça sous-entend qu'on a déjà une stratégie pour éviter le Parlement. Ce n'est pas le cas", a balayé Laurent Panifous, ministre des Relations avec le Parlement, sur Public Sénat(Nouvelle fenêtre). Jusqu'à quand ?

fipuaa
« « le ministre polonais des affaires étrangères n'exclut pas la sortie de son pays de l'UE
la liste s'agrandit et c'est extrêmement positif, suffit qu'un domino lâche et .... » »

Hier je suis tombé sur une vidéo affirmant que l’Espagne sort (au présent, donc ce serait acté) de l’E.U. .
Mais, à prendre avec des pincettes.

Si l’info était vraie, cela aurait fait du bruit dans presque toutes les presses. Or, je n’ai rien vu en dehors de ce papier.

Par ailleurs, beaucoup de vidéo parlant d'attaques médiatiques contre macron, Vendez la Hyène et l'E.U. (Méloni, Orban, le Javélisé, ...)

Cela ressemble franchement à une "guerre médiatique", un feu de barrage.

Oui fip un 4eme Reich 2.0 quand on voit les ancêtres de la plupart de ces idiots utiles, même là où l’on s’y attend le moins

le ministre polonais des affaires étrangères n'exclut pas la sortie de son pays de l'UE

la liste s'agrandit et c'est extrêmement positif, suffit qu'un domino lâche et ....

Au crépuscule de sa vie, Mitterrand avait déclarer qu'on connaitrait des présidents bien pire que lui, il était visionnaire!

l'UERSS "en marche" une version du 4ème reich européen

Salut Jipes,

"On va se retrouver aux pires heures du communisme."

Mais, ça fait 45 ans qu'on baigne dans le communisme et celui de la pire espèce: le stalinien. Non?

Et en plus il veut contrôler les réseaux sociaux qui ne sont là que pour véhiculer les messages de la droite.

On va se retrouver aux pires heures du communisme.

l'état qui est à découvert de 3400 milliards d'euros interdit indirectement les découverts bancaires aux particuliers

j'adore 2025 moi

"en marche" à l'envers, nous avons quelqu'un qui transforme l'or en plomb

Impôt sur la fortune improductive:

A quand un impôt exponentiellement progressif sur l'improductivité de nos députés du Taxistan?

... à 'international on s'inquiète désormais de la santé mentale des dirigeants européens GB comprise...

Et oui fip. Des idiots au service de malades mentaux.

Voir ''Le dernier stade de la stupidité : quand l'idiot devient un leader''

https://www.youtube.com/watch?v=RWO493IEMls

On passera outre la retranscription catastrophique, preuve supplémentaire des qualités de l'intelligence Approximative

l'animal est il encore PM? Plus de son plus d'image, le chao est là et à 'international on s'inquiète désormais de la santé mentale des dirigeants européens GB comprise, folle cette année 2025!

Un nouvel accord de l'Union européenne visant à libéraliser les échanges commerciaux avec l'Ukraine est entré en vigueur mercredi, mais la Pologne, la Hongrie et la Slovaquie le contestent en maintenant leurs embargos protectionnistes sur les importations en provenance de ce pays

et nous non? ça en parle sur BFM? Notre PM est il au courant de cela et pense t-il à nos agriculteurs?

11 gugusses ça ferait déjà beaucoup

où peuvent ils trouver encore 11% d'opinion favorable ? 11% d'aveugles en France ça fait beaucoup non?

2025 quelle année quand même!

à Bruxelles, le premier ministre veut raser Moscou! Ils font un concours entre eux?

blackleroc
« « SONDAGE EXCLUSIF : Macron tombe à 11% de confiance (-5). » »

Il manque pas une virgule ? 11% , ça me parait beaucoup.

Mon père a fait fortune grâce à la paperasse.

La France a offert un outils magique.

Savoir utiliser les codes (lois).

J’aime bien vous lire…

SONDAGE EXCLUSIF

Macron tombe à 11% de confiance (-5).

(Barème Figaro Magazine)