on ne voit déjà plus les oreille du lapin !
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pas encore mon lapin...
ceci dit, il y a de fortes chances que le bull ait une espérance de vie relativement courte désormais.
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soyez bear ou mourez !
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le bull a la chiasse et c'est pas le coquevide !!
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tu dis quoi jeune loup?
La mm30 va tenir pas tenir?? Le moment de revoir la bol inf?
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C'est ce que nous allons voir d'ici peu
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""""""""vous ai dit 6800 ce matin, on y est et demain joli rebond de démarrage avant ....?"""""
on "est demain"
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rappel : le mensuel on réalise un "avalement " baissier
suis tjrs à voir les 6000
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vous ai dit 6800 ce matin, on y est et demain joli rebond de démarrage avant ....?
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Aucun effort, c'est pas là que je te reconnais :D
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On a déjà jouer à ton jeu la semaine dernière plus bas
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"@ ptichat
Jouons à un jeu, je te met ce graphique du NASDAQ composite et tu me dis en MP quel est l'indicateur utilisé."
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On attendait un cygne noir..
pour le moment, on a la nuit avec son étoile filante
le sombre avec tes 3 corbacs
manque plus qu'à apercevoir la dame blanche.
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C'est pas un canal de resistance/support (pas assez propre) c'est juste pour matérialiser qu'on était dans une certaine volatilité depuis des mois et on risque d'en sortir
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on jouera la mm30 vers 6800 avec ces 3 corbeaux noirs
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Le scenario (irréalisable) de goldman sachs. Et on me dit que c'est moi qui voit le chaos partout
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De retour en fevrier 2020
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En France le covidshow a planifié la ruine des artisans et des petites entreprises. La bête a repoussé le remboursement des PGE après l'élection mais la réalité va donc refaire surface et il va bien falloir digérer ces milliers de faillites à venir non? L'activité tourne à crédit comme jamais, on peut aussi refaire de la dette pour maintenir cette fausse activité mais c'est pas leur but donc la croissance va s'effondrer au deuxième trimestre
Le krach c'est pour cette année, suffit de regarder le barnum aux US de regarder l'activité chinoise et le prix du baril, un cocktail détonnant attisé par des tensions du block chine russie iran contre US
S'il y avait quelqu'un de non soumis non aux US et donc avec un cerveau à la tête de l'UE il suffirait de s'allier au block russe pour se débarrasser définitivement des us, un pays totalement en crise et dirigé par des dégénérés en train de piller l'industrie européenne !
la bête à la tête de l'UE va tenter de développer le programme de ses gourous, c'est la goutte qui va faire déborder le vase
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22/01/2022 | 06:46
WASHINGTON (awp/afp) - Un petit vent de panique a soufflé sur Wall Street cette semaine après la vive chute du Nasdaq, les investisseurs se demandant si le marché va s'en tenir à une correction ou si on aborde une déprime prolongée, risquée pour l'économie et l'administration Biden.
Depuis son dernier record mi-novembre, l'indice Nasdaq, à forte dominante technologique, a lâché plus de 15%, ce qui l'ancre nettement en zone de correction, avec son pire mois depuis octobre 2008, en pleine crise financière.
L'indice élargi S&P 500, plus représentatif du marché américain dans son ensemble, a lui cédé 8,3% depuis son dernier sommet, au début de l'année.
La spectaculaire chute de l'action Netflix (-21,79% vendredi), pourtant une des coqueluches de Wall Street ayant atteint presque 700 dollars en novembre pour tomber autour de 400 dollars, faisait froid dans le dos et commençait à inquiéter les petits porteurs et leur plan d'épargne retraite (401k) investi en bourse.
"Votre 401(k) est probablement de 40% inférieur à ce qu'il était il y a trois mois. J'ai 65 ans et je n'ai pas le temps de me refaire. Merci Joe Biden", se plaignait un internaute.
"Les gens sont en train de perdre beaucoup sur leur 401(k). C'est le portefeuille qui décide des élections alors attendez-vous à ce que les démocrates soient complètement défaits", ajoutait un autre.
Le président Joe Biden, déjà à un creux de popularité à cause de l'économie, doit faire face à l'automne à des élections législatives de mi-mandat difficiles.
C'est la perspective d'une hausse des taux d'intérêt par la Banque centrale américaine (Fed), pour juguler une inflation au plus haut depuis une génération, qui fait trembler Wall Street.
On s'attend à ce que les taux, maintenus à zéro ou presque depuis le début de la pandémie, remontent d'un point de pourcentage environ cette année. Beaucoup pensent aussi que la Fed a manqué le virage de l'inflation et qu'elle pourrait opérer un tour de vis plus sévère.
Du taureau à l'ours
Mais la question est de savoir à quel point une correction peut se transformer en "bear market", c'est-à-dire en baisse prolongée, par opposition au "bull market", au contraire optimiste.
"Il est vrai que le marché agit sans rime ni raison, sauf pour le Nasdaq", a reconnu Peter Cardillo, analyste pour Spartan Capital, évoquant le vent de panique. Mais il pense que la saison des résultats d'entreprises, plutôt positifs, va changer la dynamique.
Pour Gregori Volokhine, gestionnaire de portefeuille chez Meeschaert Financial Services, "on est encore loin du +bear market+ mais si on commence à anticiper un ralentissement de l'économie avec la hausse des taux, alors on continuera à vendre ce qui pourrait nous faire passer d'une simple correction à un +bear market+".
L'économie américaine est censée encore croître vigoureusement en 2022 se remettant de l'impact de la pandémie, mais les prévisionnistes ont déjà élagué leurs projections.
Un marché boursier qui cale, pourrait-il encore affecter la croissance ? "Cela pourrait ralentir la reprise mais pas nous jeter en récession", assure à l'AFP Sam Stovall de CFRA.
"Nous venons de réduire notre prévision de croissance du PIB de 4,6% en 2022 à 4,2% mais cela a plus à voir avec la durée de l'inflation et avec les attentes selon lesquelles la Fed va relever les taux chaque trimestre cette année", ajoute l'expert.
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SPMENSUEL
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