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days pipés fipuaa-JCROIPLU - Page 84



Luncyan Luncyan
12/01/2022 19:06:48
1

Ce que je trouve dangereux sur cette rotation sectorielle, (foncer sur du value en haut de cycle de marché c'est juste incroyable et inédit) - c'est que au moindre phénomène de "liquidity crunch" c'est le platane pour ces valeurs.

  
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Luncyan Luncyan
12/01/2022 19:05:01
0

inarretable

Message complété le 12/01/2022 19:18:18 par son auteur.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Crise_obligataire_de_1974

  
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Luncyan Luncyan
12/01/2022 18:58:36
0

Va falloir changer de modèle !

  
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Luncyan Luncyan
12/01/2022 18:58:03
1

A quel moment on s'inquiète ? Personnellement, n'ayant pas d'argent 7% de rien ça fait toujours rien :D

  
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waine70 waine70
11/01/2022 20:38:27
2

Fifi boude ?....

  
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Luncyan Luncyan
11/01/2022 20:25:55
0

Obligations ou action ?


Tout dépend de la période

  
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Luncyan Luncyan
11/01/2022 20:24:43
0

MAJ

  
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Luncyan Luncyan
10/01/2022 17:49:43
1

mind the gap

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
07/01/2022 19:58:39
2

C'est peut être du à l'arrivée des trottinettes électriques ? O_o

  
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Luncyan Luncyan
07/01/2022 19:30:54
1

L'inflation qui monte et pas la vélocité. Et oui, encore une erreur pour ceux qui disaient que la velocité était une bonne mesure !

  
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Luncyan Luncyan
07/01/2022 15:20:26
1

C'est ça que tu vois ? En cas de reintegration c'est 1 an de bull minimum donc pas de crack en 2022, va falloir se decider :)

  
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Luncyan Luncyan
07/01/2022 15:13:12
1

Les taux courts en folie

  
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Luncyan Luncyan
07/01/2022 14:49:25
1

MAJ

  
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fipuaa fipuaa
07/01/2022 11:05:56
1

bear

  
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fipuaa fipuaa
07/01/2022 09:32:54
1

on navigue à vue

  
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Luncyan Luncyan
06/01/2022 21:48:03
0

@ fipuaa très beau graphique


https://www.youtube.com/watch?v=A6Z8f6sILsw


Video juste parce que j'adore le directeur de quantalys une personne qui me semble bien doté intellectuellement :)

  
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Luncyan Luncyan
06/01/2022 19:11:15
0

J'aime beaucoup Benjamin Louvet, merci pour ce partage même si j'ai comme l'impression d'avoir déjà lu :)

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
06/01/2022 18:57:58
3

On entend de plus en plus parler d’un nouveau “super cycle” des matières premières, une frénésie de consommation qui emmènerait les cours des matières premières vers des sommets et constituerait une nouvelle opportunité d’investissement. Mais qu’en est-il exactement, s’interroge notre chroniqueur Benjamin Louvet, gérant matières premières chez OFI AM.

Par Benjamin Louvet
Publié le 16/03/2021 à 18h35

Le cours des matières premières dans son ensemble, mesuré par le Bloomberg Commodity Index, s’apprécie de plus de 20% sur un an depuis mars 2020. Sur un an, le prix du pétrole gagne plus de 80%, le gaz près de 100%, les métaux de base progressent tous d’au moins 30%, quand les principaux oléagineux et céréales gagnent tous plus de 25% ! Mais tout ceci est à comparer à une base extrêmement faible, liée au début de la pandémie mondiale. Dès lors, est-ce suffisant pour parler d’un nouveau cycle haussier ?

Pour répondre, il faut se concentrer sur la temporalité de cette hausse. D’abord, les matières premières agricoles. Elles ont énormément progressé depuis un an, mais cette progression trouve son explication principale dans les problèmes météorologiques rencontrés sur les principales zones de production. La Russie, en particulier, a mis en place des restrictions d’exportation sur les céréales en raison d’une baisse de sa production, poussant les prix à la hausse.

Du fait de leur caractère climatique, ces hausses pourraient n’être que temporaires, si la prochaine récolte s’avérait prolifique et permettait de rétablir l’équilibre entre l’offre et la demande. On ne peut donc pas vraiment parler d’amorce d’un super cycle sur ces matières, très dépendantes de la situation météorologique. Cependant, si le changement climatique devait rendre le temps de plus en plus incertain, on peut penser que les phases de stress sur ces marchés, et donc de hausse des prix, pourraient se multiplier.

Le pétrole ensuite. Tombé à moins de 20 dollars le baril en Europe en mars 2020 et en territoire négatif aux Etats-Unis, les prix flirtent aujourd’hui avec les 70 dollars le baril ! Supercycle ? Pas si vite... Il ne faut pas oublier que les prix de l’or noir se maintiennent grâce à l’intervention de l’OPEP et de ses alliés, la Russie en tête. A ce jour, les prix du pétrole sont certes remontés, mais c’est grâce à l’action de l’OPEP, la Banque Centrale du pétrole, qui a réduit sa production d’un peu plus de 7 millions de barils par jour, l’Arabie Saoudite rajoutant de son propre chef une réduction d’1 million de barils pour aider à équilibrer le marché. Dit autrement, si l’ensemble des pays producteurs produisaient à leur maximum, les prix seraient bien inférieurs aux niveaux actuels. Pour être assuré de voir les prix de l’or noir poursuivre sur leur lancée, il faudra compter sur une parfaite gestion de la situation par l’OPEP en sortie de crise, et plus spécifiquement de l’Arabie Saoudite, qui domine le jeu grâce à sa réduction volontaire qui lui permet de dicter à tous les pays producteurs la conduite à tenir. S’il est peu probable que le prix du pétrole s’effondre, la poursuite de la hausse dépendra de la capacité de l’Arabie Saoudite à piloter la sortie de crise sans faire d’erreur. Il est donc encore un peu tôt pour parler de super-cycle sur les produits pétroliers...

Les métaux de base sont un peu dans la même situation. Marché dominé par la Chine et l’Asie du Sud Est, pays qui représentent environ 70% de la demande de la plupart de métaux de base. La reprise plus précoce de cette zone géographique après la crise sanitaire a propulsé le prix des métaux de base sur des niveaux qu’on n’avait plus connus depuis une dizaine d’années ! Mais tout ceci est-il justifié ? Encore une fois, sur le court terme, on est en droit de se poser la question. En particulier, les derniers chiffres macro-économiques en provenance de Chine, tant des directeurs d’achat que de l’immobilier, deux gros postes de consommation de métaux, interrogent.

Tous ces éléments nous laissent à penser que le marché, comme d’habitude, a un peu devancé la reprise économique et que le secteur des matières premières pourrait rester volatile. Il est peut-être encore un peu tôt pour parler du supercycle des matières premières, tant les incertitudes sont nombreuses…

Mais si l’on adopte un point de vue un peu plus long terme, l’image et les perspectives changent. D’abord sur le pétrole. Compte tenu de la période de prix déprimés depuis plusieurs années, encore plus par la crise sanitaire, l’investissement des entreprises pétrolières dans le développement de nouvelles ressources s’est effondré. La conséquence est qu’en sortie de crise, si nous revenons sur notre rythme historique de consommation d’hydrocarbures, la production pourrait être insuffisante pour faire face à la demande. Patrick Pouyanné, le PDG de Total, s’en est d’ailleurs fait l’écho récemment : selon lui, dans les conditions actuelles, nous risquons de manquer de 10 millions de barils par jour, soit 10% de la consommation pré-pandémie, en 2025. Cela veut dire que le problème se posera bien avant cette date !

Le souci est que nous devons relancer notre économie, si possible en tenant compte des nouvelles contraintes environnementales, mais que nous ne sommes pas encore prêts. Les énergies fossiles représentent toujours environ 80% de notre consommation d’énergie, et les infrastructures d’énergies décarbonées ne sont pas prêtes à prendre le relais. Comme nous devons relancer l’économie le plus vite possible, le problème climatique passe au second plan. C’est le sens des remarques faites récemment par le Haut Conseil pour le Climat, qui indiquait que la France consacrait une part trop faible de son plan de relance à l’économie propre, ou de l’ONU, qui rappelait il y a quelques jours que les mesures annoncées par les pays de l’OCDE ne permettraient de réduire leurs émissions que de 0,5% à horizon 2030, là où ces pays se sont engagés à des réductions de 45% !

Les prix du pétrole devraient donc poursuivre leur hausse pour retrouver possiblement les 100 dollars le baril dans les 12 mois qui suivront la fin de la crise, même si d’ici là ils pourraient connaître une grande volatilité… Il en va de même pour les métaux de base. Là aussi, le manque d’investissement ces dernières années est patent. Montés sans doute trop vite, ils sont en train de connaître une correction qui pourrait se poursuivre quelques semaines ou quelques mois, avant de revenir sur une tendance que l’on pourrait qualifier de super-cycle. Pourquoi ? Parce que la transition énergétique est en train de transformer notre dépendance aux énergies fossiles en dépendance aux métaux, indispensables à la transition énergétique. Contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, on ne fait pas d’électricité avec du vent ! Le vent contient de l’énergie, mais il faut un transformateur pour la convertir en électricité. Pareil pour le soleil ! Il va donc falloir construire énormément d’éoliennes et de panneaux solaires, tous énormément consommateurs de métaux. Cuivre pour les réseaux et les voitures électrique, argent pour les panneaux photovoltaïques, nickel, cobalt, lithium pour les batteries, platine pour l’hydrogène etc…

Si ces métaux peuvent donc connaître une pause à court terme, c’est sans doute ce secteur qui bénéficie réellement de perspective de super cycle à long terme : la transition énergétique ne se fera pas sans métaux, qu’ils soient de base ou précieux ! Il y a donc de bonnes raisons d’espérer un nouveau super cycle des matières premières. Mais il faut garder en tête que celui-ci devrait être court, du fait de la sortie impérative des énergies fossiles… La hausse prévisible du cours du pétrole à court terme permettra d’accélérer la transition, ce qui devrait progressivement pousser leurs prix à la baisse. C’est une bonne nouvelle ! Les métaux quant à eux pourraient connaître un super cycle long, étant donné l’impréparation de nos économies au changement de modèle énergétique et aux besoins que cela implique. Super cycle oui, probablement, mais nous n’en sommes sans doute qu’aux prémices et celui -ci pourrait connaître des disparités importantes selon les matières premières, sur le plus long terme.

Benjamin Louvet, gérant matières premières chez OFI AM

  
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fipuaa fipuaa
06/01/2022 18:34:33
5

là c'est +40% à venir ça parait inévitable vraiment après ce throwback sur la ROB

  
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fipuaa fipuaa
06/01/2022 18:00:10
3

oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui

pour le graphe en cours terme c'est pas très clair..

  
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