SOITEC : nouvelles , publications ... - Page 31

230 : un peu court ? : je veux bien !

Coté AF : des contrats sont en cours de négociation , c'est le PDG qui le dit . Alors attendons un peu avant de monter l'échelle .

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On reprend l'essentiel :


«Il y a dix ans, Soitec se concentrait sur une plateforme de R & D» utilisée dans les laboratoires.


"Aujourd'hui, nous travaillons en étroite collaboration avec nos clients et les clients de nos clients.
A savoir les Apple ,Samsung , Alibaba , Tencent et consorts
Le graph ...?
Un peu court en haut !

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Un petit graph en M

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Je vais employer un gros mot méééé ...




... c'est technique !


Objectif théorique, 57/55 avec un petit gap à combler ...


Désolé !

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J'ai bien l'impression que l'affaire Dialog pèse sur Soitec alors que cela n'a strictement rien de commun .
Entre une puce particulière d'une entreprise qui travaille à 75% pour Apple (Dialog) et un substrat bien protégé par les brevets et le savoir faire spécifique d'un fournisseur des fondeurs et non d'Apple en direct (Soitec) , on fait un "joyeux" mélange de produits totalement différents .
On ne voit pas bien Apple se monter une usine dédiée sans avoir les brevets pour un support qu'ils ne parviendraient pas à maîtriser ce qui est gérable pour des puces qu'ils fabriquent déjà pour certaines

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Soitec envisage de réaliser à terme un chiffre d'affaires de plus de 1 milliard d'euros et une marge brute d'exploitation Ebitda supérieure à 30% .
A titre de comparaison, le consensus FactSet des cinq analystes couvrant la valeur en Bourse anticipe pour l'exercice en cours, qui sera clos en mars 2018, un chiffre d'affaires d'environ 308 millions d'euros et une marge brute d'exploitation Ebitda de 25,3%.
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Pour sa part, Soitec a confirmé la semaine dernière, lors de la publication de ses résultats du premier semestre, la perspective d'une hausse de 25% de son chiffre d'affaires à changes constants en 2017-2018, avec Ebitda de 25% pour son activité électronique.
Pour réaliser à terme un chiffre d'affaires de plus de 1 milliard d'euros, le spécialiste du silicium sur isolant envisage la construction d'une nouvelle usine d'une capacité de production d'un million de plaques de 300 millimètres
La décision de lancer la construction de cette usine dépendra de l'adoption des produits du groupe et de l'engagement de ses clients . La construction et la qualification d'une nouvelle usine prend de deux à trois ans .
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Capable de générer à terme un chiffre d'affaires de 450 à 500 millions de dollars, cette nouvelle usine nécessiterait un investissement de 500 millions de dollars, dont 150 millions pour le bâtiment et sa salle blanche et 350 millions pour les équipements .
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Au-delà des fonds générés par son développement, le groupe industriel envisage de multiples options pour financer cet investissement, parmi lesquels des partenariats, a-t-il souligné dans ces documents.
La perspective d'un chiffre d'affaires de plus de 1 milliard d'euros et d'un Ebitda supérieur à 30% s'appuie sur l'hypothèse d'un fonctionnement à pleines capacités des usines du groupe situées à Bernin, en France, à Singapour et dans cette nouvelle usine, dont l'implantation géographique reste à déterminer.
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Face à une forte demande, Soitec a récemment décidé un investissement de 40 millions d'euros pour augmenter les capacités de son usine de Bernin et un investissement de 40 millions de dollars dans une ligne de production destinée à la qualification dans son usine de Singapour.
"Ceci constitue la première étape vers la réouverture de l'usine de Singapour pour laquelle, si l'investissement était confirmé, un montant additionnel d'environ 230 millions de dollars serait requis", a rappelé le groupe la semaine dernière.
Résumé Agefi DJ
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On peut consulter les documents ci dessous avec un transfert impressionnant vers clients type GAFA et autres sociétés mondiales chinoises pour RFSOI et FDSOI par ex

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https://www.soitec.com/media/documents/120/file/cmd_2017.pdf

Message complété le 04/12/2017 08:58:52 par son auteur.

Le groupe a prévu de présenter ses activités et ses perspectives à l'horizon 2022, soit un pas de temps de 5 ans puisque 2017 touche quasiment à son terme.
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Pour le millésime 2017/2017 clos le 31 mars prochain, la croissance du chiffre d'affaires est confirmée à 25% à taux de change constants, pour une marge d'Ebitda de l'électronique de l'ordre de 25%, tel que cela a été confirmé la semaine dernière.
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Le modèle financier de long terme visé par Soitec est un chiffre d'affaires d'1 milliard d'euros (sur la base d'un taux de change euro / dollar de 1,15) pour une marge d'Ebitda dépassant 30% et un taux d'imposition dans la région de 10%.
Ces projections sont fondées sur une capacité de 2,9 millions de wafers équivalent 300mm, ce qui implique une pleine capacité à Bernin, Singapour et dans les nouvelles fabs. Soitec veut "être reconnu comme un leader des standards d'innovation dans les semiconducteurs pour les produits qui construiront l'avenir".
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Soitec a par ailleurs révélé à toutes fins utiles le budget nécessaire à une nouvelle Fab autonome capable de produire 1 million de wafers par an. Elle nécessiterait 500 M$ de CAPEX et génèrerait 450 à 500 M$ de revenus annuels.

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200 M€ :Et pourtant c'est le chiffre qui sera retenu !

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L'article du Revenu est le même que celui du 24/11 . Ils se copient eux mêmes !
Voir page 2 de cette file pour le résumé du 24 aux données identiques .<p>Rien à attendre vis à vis de cet article déjà intégré depuis plus d'une semaine mais cela confirme encore l'avenir positif .</p>
L'Ebitda à 200m€ est un challenge interne et non une prévision , mais ce devrait être tenu , quelques charges évoluant favorablement concomitamment au CA qui décollera plus vivement (cf Chine => article EEtimes ci dessous)

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C'est l'article du revenu

J'ai retenu : "l’atteinte d’un niveau cumulé de résultat brut d’exploitation (Ebitda) de plus de 200 millions d’euros sur l’exercice en cours et sur celui clos à fin mars 2019.

Quand on a au S1 2018 34.9 millions ..... sacré challenge

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Paul Boudre : «Tous les smartphones contiennent du silicium fabriqué avec la technologie Soitec»
Publié le 02/12/2017 à 13:41 - Mis à jour le 02/12/2017 à 13:41
Paul Boudre, directeur général de Soitec, a répondu aux questions du Revenu. Désengagement du solaire, potentiel de la technologie FD-SOI, actionnariat et besoin de financements sont au programme de cet entretien exclusif.

Âgé de 59 ans, Paul Boudre est diplômé de l’École nationale supérieure de chimie de Toulouse. Il a plus de trente ans d’expérience dans le secteur des semi-conducteurs : IBM, STMicroelectronics, Atmel, Freescale et KLA-Tencor. En 2007, il rejoint Soitec, dont il a notamment dirigé le marketing et la division électronique. Il est directeur général depuis janvier 2015.

Après un recentrage drastique, Soitec renoue avec une dynamique soutenue. Pour l’exercice en cours, vous anticipez une croissance interne de 25% et une marge brute d’exploitation de 25%. Le groupe garde-t-il du potentiel ?
Paul Boudre : Lorsque j’ai pris les commandes de la société en 2015, il a fallu la restructurer en se désengageant du solaire et de l’éclairage pour se recentrer sur l’électronique, cœur de métier de Soitec. Mon objectif était aussi de créer les conditions d’une croissance profitable et pérenne de cette activité, puis d’assainir le bilan du groupe au travers d’une augmentation de capital, ce que nous avons réalisé à hauteur de 152 millions d’euros l’an passé.

Concernant le potentiel de croissance de nos résultats, il y a parmi les critères de performance inclus dans le plan d’intéressement des dirigeants l’atteinte d’un niveau cumulé de résultat brut d’exploitation (Ebitda) de plus de 200 millions d’euros sur l’exercice en cours et sur celui clos à fin mars 2019.

Bien entendu, ceci n’est pas une prévision mais cela donne un ordre de grandeur des ambitions que nous nous sommes fixées en interne. Ce montant correspond environ à un triplement de l’Ebitda par rapport à celui de l’exercice 2014-2015. Des analystes estiment que ce niveau serait atteignable si nous doublons notre chiffre d’affaires dans le même temps.

Pour y arriver, nos deux usines de Bernin [siège de Soitec près de Grenoble] doivent tourner à pleine capacité à l’échéance du plan afin d’optimiser nos coûts fixes. L’ambition est que les nouveaux produits que nous lançons nous amènent une croissance à la fois forte et régulière.





Accélération technologique
Plusieurs années après son développement avec STMicro, la technologie FD-SOI (Fully Depleted-Silicon On Insulator) décolle enfin commercialement. Quels marchés visez-vous ?
Paul Boudre : Nous visons à faire de nos matériaux des standards technologiques –ce que nous avons déjà réussi à faire dans la radiofréquence– avec le RF-SOI qui est devenu la norme pour les switchs [commutateurs] et les antennes. Aujour­d’hui, 100% des smartphones dans le monde contiennent du silicium sur isolant (SOI) fabriqué avec la technologie de Soitec et nous accompagnons tous les grands acteurs du domaine comme les américains Qualcomm, Skyworks et Qorvo dans la transition à venir de la 4G vers la 5G.

Concernant le FD-SOI, notre but est qu’il s’impose comme la norme pour les marchés de l’Internet des objets et de la mobilité, grâce à ses propriétés combinant très faible consommation d’énergie, excellente performance et coût réduit. Le FD-SOI commence à être adopté par un certain nombre de clients, tant les grandes fonderies [sous-traitants fabriquant les puces électroniques] comme Samsung, STMicroelectronics et Globalfoundries, que les fabless, ces sociétés de conception de puces.

Avec la percée de l’Internet des objets et de la voiture connectée, la technologie 5G est porteuse d’une très forte croissance pour Soitec.

Quel poids pourrait représenter à terme ces nouveaux produits dans l’activité de Soitec ?
Paul Boudre : Outre le FD-SOI, nos nouveaux produits incluent aussi la photonique pour le cloud computing [serveurs informatiques accessibles à distance] et les capteurs d’image. En termes de remplissage de nos usines, ils pourraient permettre d’atteindre la pleine capacité pour notre site de Bernin II à fin mars 2019, tandis que celui de Bernin I tourne déjà à plein avec nos activités traditionnelles de radiofréquence et de puissance.

Nos nouveaux produits vont renforcer notre présence dans nos marchés finaux, dont la téléphonie mobile et l’automobile qui représentent aujourd’hui respectivement 60% et 20% de notre chiffre d’affaires.

Pourquoi avoir fait entrer un fonds chinois public au capital de Soitec lors de la levée de fonds du printemps 2016 ? Est-ce risqué ?
Paul Boudre : J’ai voulu favoriser ce partenariat capitalistique car il constitue une porte d’entrée dans l’écosystème chinois. Des prévisions indiquent que, en 2020-2021, plus de 50% des semi-conducteurs y seront fabriqués et consommés. La Chine, qui devrait être leader dans la 5G grâce à son écosystème autour de China Mobile et d’Huawei, est donc un marché stratégique pour nous. On peut, par ailleurs, imaginer que les Chinois seront aussi très actifs dans la conduite assistée et la voiture autonome.

D’où également le partenariat de long terme signé, fin 2014, avec Simgui, issu d’un essaimage de l’institut de microélectronique de Shanghai, équivalent local du CEA Leti [laboratoire public grenoblois dont est issu Soitec]. Nous avons conclu un accord de licence et de fabrication avec Simgui, dont nous avions alors pris 5% du capital.

Avec nos partenaires locaux, le but est de prendre des parts de marché en Chine et d’y apporter nos nouveaux matériaux. En parallèle, l’entrée au capital du fonds d’investissement public NSIG, qui a racheté la majorité de Simgui ainsi que le finlandais Okmetic, a contribué à renforcer la structure actionnariale de Soitec. Sa participation est aujourd’hui de 11,5% et NSIG est lié par un pacte avec nos deux autres actionnaires stratégiques, CEA Investissement et Bpifrance, qui détiennent chacun 11,5%.



Relance du site de Singapour
Pourriez-vous lancer une nouvelle augmentation de capital pour financer les 270 millions de dollars nécessaires à la réouverture envisagée de votre site de Pasir Ris à Singapour ?
Paul Boudre : Nous estimons que nous aurons besoin d’une capacité de production supplémentaire au premier semestre 2019. Comme il nous faut dix-huit mois pour redémarrer et qualifier notre site de Singapour, nous avons déjà budgété 40 millions de dollars d’investissements sur l’exercice en cours et le suivant afin d’y disposer d’une ligne pilote d’ici là.

Après, en fonction des contrats que nous sommes en train de discuter et du niveau d’activité que nous anticiperons à ce moment-là, nous ajusterons le montant d’investissement restant de 230 millions de dollars en le répartissant dans le temps.

Le financement ne devrait pas être un problème. La société dégage de nouveau de la trésorerie et son faible niveau d’endettement laisse d’importantes marges de manœuvre. Si nous devions accélérer nos dépenses d’investissement, il serait effectivement possible de recourir à des outils comme les obligations convertibles ou une augmentation de capital, mais ce n’est qu’une hypothèse de travail parmi d’autres. Aujourd’hui, Soitec est dans une situation financière extrêmement saine. Tout va finalement dépendre de la vitesse à laquelle nos technologies, en particulier le FD-SOI, vont se diffuser sur le marché.

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A lire article sur Revenu . com

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un grand pavé très instructif concernant les évolutions futures et les produits de Soitec

Une nouvelle tendance dans l'industrie de la microélectronique en Europe est le retour des entreprises françaises , comme en témoigne une part croissante de la technologie française dans l'iPhone X d'Apple . Les médias locaux sont presque étourdis par les avancées de ST Microelectronics et Soitec sur le nouveau modèle d'iPhone phare.
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Les bonnes nouvelles coïncident avec l'amélioration des opérations commerciales des deux sociétés au cours des derniers trimestres, avec une augmentation des revenus et des bénéfices nets.
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D'un côté , aux yeux entraînés de la Silicon Valley , cette histoire centrée sur la France semble un proverbe provincial. D'autre part, de l'extérieur de la propre bulle de la Silicon Valley, il n'est pas si difficile de comprendre pourquoi iPhone X représente une nouvelle étape pour la France. Les Français voient leurs prouesses technologiques, soutenues par des décennies de R & D fondamentale par des chercheurs et des ingénieurs de renom, dépassant les limites d'une vallée de l'imagerie nichée près des Alpes françaises et gagnant une reconnaissance mondiale.
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Jusqu'à présent, STMicroelectronics et Soitec sont toutes deux sur leurs récents succès en matière de design. Cependant, le dernier démontage de l'iPhone X effectué par Yole Développement en collaboration avec son partenaire, System Plus Consulting, a trouvé le capteur NIR de ST dans le module TrueDepth de l'iPhone X . Il a été construit en utilisant des tranches de silicium sur isolant (SOI) développées par Soitec.
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Quelle est la particularité des plaquettes SOI dans les capteurs NIR de ST ? En quoi sont-ils différents des autres wafers SOI ? Au cours des derniers mois , Soitec a également été occupé à parler non seulement de RF-SOI et de FD-SOI, mais aussi de Photonics-SOI, d'Imager-SOI et d'autres. Quels sont-ils, comment sont-ils conçus et à quoi servent-ils?
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A Paris, EE Times s'est entretenu récemment avec Paul Boudre, le PDG de Soitec .
Interrogé sur l'évolution des technologies de substrat de Soitec , P Boudre nous a d'abord rappelé que Soitec n'est pas seulement un fournisseur de plaquettes .
Sa création de valeur réside dans le développement de substrats techniques.
"L'innovation est notre cœur de métier", a déclaré M. Boudre. La mission de Soitec est de trouver de «nouvelles solutions» demandées par les clients , et les clients de ses clients . "Nous concevons de nouveaux matériaux, et nous concevons les coûts" pour répondre à leurs besoins, a-t-il expliqué.
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Bien que Soitec ne parle pas de ST ou d'Apple, la clé de la grande victoire de Soitec sur iPhone réside dans les plaquettes SOI spécifiques développées par la société pour les capteurs NIR de ST .
Pierre Cambou, responsable des activités d'imagerie et de capteurs chez Yole, en déduit que SOI a joué un rôle crucial dans l'amélioration de la sensibilité des capteurs NIR afin de répondre aux exigences rigoureuses d'Apple en matière de qualité et de délais de commercialisation.
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Les collaborations étroites de Soitec avec des instituts de recherche comme le CEA-Leti, l'IMEC et l'Université Catholique de Louvain l'ont maintenu à la pointe de l'innovation dans les substrats SOI .
Soitec adopte une approche de boîte à outils. «Nous construisons une plate-forme commune où les outils de ces organismes de recherche et les outils et l'expertise de Soitec sont combinés», a déclaré M. Boudre. Cela vaut la peine de développer des produits sur mesure spécifiques aux clients de Soitec et à leurs propres clients.
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Les technologies "Smart Cut" et "Smart Stacking" de Soitec ne manquent pas. Elles sont essentielles dans le transfert d'une couche mince de matériaux à un autre substrat pour produire une gamme de plaquettes rentables de haute qualité. "Nous regardons la résistivité d'un matériau donné, l'épaisseur d'une couche et son uniformité", explique M. Boudre. "Notre travail consiste à le modéliser, à piloter des pilotes et à valider avec nos clients."
En conséquence, Soitec a introduit de nouveaux matériaux pour les substrats et a amélioré le coût des plaquettes, tout en lançant une gamme de nouvelles plaquettes SOI pour une variété d'applications. Ils comprennent: RF-SOI, FD-SOI, Power-SOI, Photonics-SOI et Imager-SOI.
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RF-SOI pour les modules frontaux : par exemple , 5G RF-SOI, est largement utilisé pour l'intégration de modules frontaux dans les communications de très faible puissance.
Au cours de la dernière décennie, les types de matériaux et la structure des couches des plaquettes RF-SOI ont évolué, permettant à Soitec de développer un substrat accordé offrant les meilleures performances RF requises par une nouvelle génération de normes cellulaires.
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Historiquement, le GaAs était le substrat principal des commutateurs de modules frontaux cellulaires. Soitec est à l'origine sur le marché des smartphones avec des substrats en silicium sur saphir et SOI haute résistivité (HR SOI).
L'utilisation précoce du saphir dans le substrat pour les plaquettes RF-SOI - utilisées par les circuits intégrés RF de Peregrine Semicondcutor - a fini par passer au silicium, a expliqué Boudre, afin de réduire les coûts.
Grâce à la collaboration de Soitec avec l'Université Catholique de Louvain , les nouvelles plaquettes RF-SOI ont maintenu une faible perte d'insertion RF et réduit la diaphonie , similaire aux substrats de quartz, a expliqué Soitec .
Les deux parties ont uni leurs forces pour développer une «couche riche en pièges» pour les plaquettes RF-SOI, qui a finalement permis de combiner des circuits CMOS silicium sur un substrat RF .
RF-SOI, désormais standard dans les modules frontaux, est "utilisé dans 100% des smartphones", selon Soitec. Mais l'entreprise ne reste pas immobile.
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Bourdre a déclaré : "D'autres développements de la technologie sont en cours pour répondre aux exigences RF suivantes. " Pensez avancée LTE , l'agrégation de la liaison montante, massive MIMO, 5G avec mmWave, a-t-il noté.
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Pour les commutateurs, les antennes et les tuners de 4G et 5G, sous-GHz front-end , Soitec estime que RF-SOI est critique .
Les opérateurs cellulaires poussent les chaînes d'approvisionnement , y compris les sociétés de systèmes et de puces sans usine. Les fournisseurs de plaquettes RF-SOI comme Soitec travaillent sur de nouveaux matériaux . P Boudre a également mentionné que Soitec travaille actuellement sur un nouveau substrat artificiel en utilisant des matériaux tels que piézoélectrique - pour développer "piézoélectrique sur isolant". Cela sera utilisé pour les filtres SAW, a déclaré Boudre.
Photonics-SOI pour centres de données
Soitec compte également sur la croissance des wafers Photonics-SOI, la demande pour les liaisons optiques à haut débit dans les centres de données et les infrastructures de communication .
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Il y a des avantages évidents à tirer parti de Photonics-SOI . Il permet un trajet pour le multiplexage en longueur d'onde, rapprochant l'émetteur-récepteur optique de la puce (réduisant ainsi la perte de propagation). Photonics-SOI fournit également un débit plus élevé que la modulation directe de la lumière et permet des "émetteurs-récepteurs 100G et 400G", selon la société. Le plus important est peut-être le coût. Les wafers photoniques-SOI permettent aux usines CMOS standard de produire des puces émetteurs et récepteurs optiques .
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Des sociétés comme Intel et Cisco ont été activement engagées dans la modélisation photonique-SOI pour leur photonique au silicium.
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Imager-SOI pour les capteurs NIR
De toute évidence, Soitec voit une opportunité croissante pour son Imager-SOI .
Sans nommer les clients, Soitec a énuméré un certain nombre d'avantages d'Imager-SOI .
Ceux-ci incluent la capacité à réduire la consommation d'énergie de l'illuminateur NIR, une meilleure performance grâce à un rapport signal sur bruit plus élevé et un coût réduit - en raison de sa «taille de puce inférieure» pour une même résolution.
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Selon Cambou de Yole, «l'adoption par Apple des capteurs NIR de ST marque le début de SOI dans la production de masse pour les capteurs d'image.» Il ajoute : «Les capteurs d'image sont caractérisés par une grande surface due à la taille physique de la lumière. C'est donc un grand marché pour un fournisseur de substrat "comme Soitec.
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Une stratégie commerciale en évolution
Soitec, fondée en 1992, a connu quelques changements de direction, ainsi que des stratégies commerciales et des marchés cibles.
Dorian Terral , analyste financier chez Bryan , Garnier & Co . a écrit il y a un an dans une note de recherche que "bien que Soitec ait connu une histoire complexe, l'arrivée d'une nouvelle équipe dirigeante en 2015 et le travail effectué depuis ont clairement renouvelé le profil du groupe. "
Boit affirme que le redressement de Soitec «est derrière nous». Alors que Soitec «ne peut pas se permettre de tout tester» pour de nouveaux substrats, il dit que son entreprise est aujourd'hui mieux équipée pour lire le marché et optimiser ses technologies. .
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Boudre a expliqué: «Il y a dix ans, Soitec se concentrait sur une plateforme de R & D» utilisée dans les laboratoires. "Aujourd'hui, nous travaillons en étroite collaboration avec nos clients et les clients de nos clients.
Nous avons amené beaucoup de gens capables de parler avec des clients dans des domaines tels que la RF, les imageurs, l'alimentation et l'IoT, et de comprendre ce dont les clients ont besoin.
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Pour demain, "Soitec prévoit de se concentrer davantage sur le développement de plates-formes d'innovation." Un exemple concret est le projet de Soitec de travailler en étroite collaboration avec China Mobile. Pour être un acteur efficace, Soitec doit être à l'écoute du processus de décision 5G.
Plus tôt cette année, Qorvo est devenu le premier fournisseur RF à rejoindre le China Mobile 5G Innovation Center - une alliance créée pour développer des solutions 5G pour la Chine. Soitec est également en train de rejoindre l'alliance.
Le projet est de "créer la plate-forme d'innovation pour la 5G avec China Mobile, et de qualifier la technologie d'ici 2019", a déclaré M. Boudre.
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Reconnaissant l'évolution rapide de l'industrie de la technologie, le PDG de Soitec a déclaré: «Nous voulons savoir ce que China Mobile veut, ce que recherche Alibaba et ce que Google fait.
https://www.eetimes.com/document.asp?doc_id=1332643&page_number=1

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Des rumeurs d'humeurs syndicales sur bourso ...


Date à venir, le 15/12/17 ...

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pas de liquidité pour le faire et de plus SOITEC représente un fort % de mon portefeuille

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C'est toujours la consolidation des Gafa côté USA puisqu'on sait maintenant que certains gros débouchés de Soitec se situent chez Apple mais aussi , on l'oublie , Samsung et l'Asie .
Renforcé ce jour à 61.32

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Pour le LT , pleine confiance ; mais pour le CT qui peut m'expliquer ?

Message complété le 01/12/2017 09:12:47 par son auteur.

Ou plutôt qui a une explication ?

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Une rob pleine de poils hérissés ???
Revenons à nos moutons du jour :
<p>

https://www.soitec.com/fr/news/communiques-de-presse/soitec-annonce-une-avancee-majeure-avec-un-substrat-dedie-aux-appareils-de-detection-d-images-3d
Encore un domaine en pleine croissance où les substrats SOI feront gagner en performance par rapport à l'existant .Plus on miniaturise , plus Soitec est performant (conso , échauffement , puissance , qualité , rendement , etc ... )
Une corde de plus pour une adoption accélérée du SOI </p>

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@ Antoine


désolé pour cet oublie...


UTH hebdo, cloturer au dessus de la M7 car sinon souvent c'est la M20 ensuite ( autour de 57 la semaine prochaine...) d'autant que le sar va passer dessus et devenir " attirable" ...?...


Mais dans cette UT, ces 2 MM sont haussières et le rsi5 s'est bien détendu. Donc ça peut très vite redevenir explosif, surtout avec les news.


@ CRI,


la combinaison de l'AT , AF et chance me permettent de swinguer avantageusement jusqu'à présent en d'augmenter le nombre de mes actions SOI avec le même K ...
Vive la rob !!!

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C'est certain , poil au delà du hérissement !!!!
Qu'est ce qu'on a à faire de 66 ou 67 ?
On verra ça l'année prochaine et celle d'après aussi pour un CA X 3 mini

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