"...nous l’avons bien cherché."
Notre Président et ses affidés wokies et progressistes jusqu'aux Insoumis, qui ont plongé la France dans cet innommable bordel en sont les principaux artisans et responsables.
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Et pendant nos chamailleries internes… l’Afrique nous indique la sortie.
Le Sénégal et le Tchad ont été clairs : plus de soldats français sur leurs territoires.
Juste amusant de constater que même le président tchadien, fils de son père, et qui doit pas mal à la France au moment de sa prise de pouvoir lâche « ses amis » Français.
Quand nos gouvernants vont-ils ouvrir les yeux : l’influence française en Afrique c’est GAME OVER.
Les mauvaises langues (et j’en suis) diront que nous l’avons bien cherché…
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Bonjour Jipes,
Pour l’instant les spécialistes de notre Constitution sont incapables de dire si une élection présidentielle anticipée autorise une nouvelle dissolution AVANT une année de la précédente dissolution.
Bref c’est pas simple. Nous voilà revenu sous la 4ème République et cela doit nous faire réfléchir sur le bien fondé de la proportionnelle…
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Salut Anjou,
Avec une nouvelle présidence, une élection de l'Assemblée Nationale pourrait se dérouler dans la foulée et on n'aurait pas à attendre la fin juin.
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Je crains vraiment qu’il soit illusoire de penser qu’une nouvelle élection présidentielle changerait grand chose. Je m’explique une fois un ou une présidente élu, il faudrait procéder dès fin juin à une élection de l’Assemblée Nationale.
Qui peut croire un instant que se dégagerait une véritable majorité ?
Par contre une certitude si un nouveau budget pour 2025 n’était pas voté, il n’y aurait ni shutdown avec des fonctionnaires qui ne seraient plus payés ni des retraites non versées ni cartes vitales bloquées comme on essaie de nous faire peur.
Par contre il n’y aurait pas de réajustement des tranches de l’IRPP et mécaniquement environ 300 000 personnes échappant à ce jour à l’impôts seraient de ce fait imposables par la non remontée des tranches du barème.
Que ce Président parte ou pas… nous ne sommes pas sortis de l’auberge.
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Je vais te contredire car, avec la poursuite de la politique actuelle, tes économies auront tendance à perdre sensiblement de leur valeur.
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Désolé, je ne suis pas là pour faire de la politique politicienne..
moi ce qui m'intéresse, c'est ce que cela implique sur les marchés financiers et donc sur une partie de mes économies.
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Qui est à l'origine de cette crise politique ? Notre Président. Il devrait l'assumer, mais.....
En dissolvant l'Assemblée Nationale, il aurait dû par la suite rester au dessus de la mêlée et ne pas participer, indirectement, au barrage contre le Rassemblement National. Il aurait été préférable de voir une France purgée d'une partie de cette gauche anti-démocratique et de ce Centre misérable.
En ce qui concerne notre situation économique, on récolte le résultat des désastreuses années passées sous Sarkozy, Hollande et Macron.
Pour remédier à cela, une grande décision s'impose, notre Président se doit de présenter sa démission et c'est ainsi que, tel le phénix, notre pays pourrait renaître de ses cendres.
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"Une crise politique comme la France n’en a que rarement connu" ( Crédit Mutuel AM)
Le 27 novembre 2024 à 16:51
"La France affronte en ce moment une crise politique comme elle n’en a que rarement connu sous la Ve République alors que sa situation économique est elle aussi préoccupante", prévient François Rimeu, stratégiste senior chez Crédit Mutuel AM. Deux scénarios se présentent. "Soit les efforts consentis sur le budget ne sont pas suffisants au goût du RN et amènent la motion de censure à passer. Soit le gouvernement Barnier fait passer un budget, plus ou moins amendé, via le 49.3 de la Constitution et survit à une potentielle motion de censure (avec sans doute un RN qui s'abstiendrait de la voter).
François Rimeu détaille le premier cas de figure. "Nous estimons aujourd'hui la probabilité de voir le gouvernement Barnier ne pas résister à une motion de censure à 50 %. Les banques d'investissement semblent un peu plus optimistes que nous avec une probabilité autour de 30 % en moyenne. Dans cette hypothèse, il nous semble probable de voir dans un premier temps le spread OAT vs Bund passer à 95-100 points de base et les actions françaises sous-performer les autres indices européens de 2 à 3 %"
Dans ce contexte, "nous sommes au précipice d'une période très incertaine, sans doute encore une fois négative pour les perspectives de croissance, avec peu de chance de voir la situation se stabiliser avant les élections en juillet". "Les agences de notation seraient logiquement sévères avec la France avec une probable dégradation de sa notation".
Dans le 2ème cas, celui où le gouvernement Barnier arriverait à survivre à une motion de censure, Crédit Mutuel AM estime qu'il y aurait inévitablement un soulagement et donc un rebond des actifs français. Un retour autour de 70 points de base sur le spread OAT vs Bund nous semble envisageable ainsi qu'une légère surperformance des actions françaises, de l'ordre de 1-2 %.
Mais ce soulagement "risque d'être d'assez courte durée", poursuit François Rimeu, avec notamment "le spectre de nouvelles élections en juillet prochain qui devrait de toute façon limiter grandement la volonté des investisseurs d'augmenter leurs allocations aux actifs français".
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