Thales: décroche sur une note défavorable.
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Qui sont ces gens qui se permettent de dénigrer des entreprises qui travaillent ? Juste des courtiers qui veullent s'en mettre plein les poches a rien faire.
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(CercleFinance.com) - Thales décroche de 3,8% à 27,3 euros, miné par une lourde dégradation de la part d'UBS: il est passé de 'achat' à 'vente' avec un objectif de cours ramené de 38 à 25 euros, considérant que les attentes du consensus pourraient être trop optimistes.
'Alors que Thales continue de mettre en lumière des incertitudes sur les charges, notamment au sujet de l'A400, le consensus table toujours sur une marge opérationnelle de 3,9% en 2010, soit le haut de la fourchette cible du groupe de 3-4%', note le broker.
Le courtier juge 'optimiste' aussi l'attente du marché d'une amélioration de la rentabilité à environ 5,7% en 2011, année qui devrait être marquée selon UBS par une augmentation des coûts de restructuration. UBS prévoit désormais une marge opérationnelle de 3% en 2010 et de 4,8% en 2011.
Plus largement, l'intermédiaire pense que les actions du secteur de la défense comme Thales sont susceptibles de continuer de s'échanger sur des valorisations déprimées.
'Aussi longtemps que les investisseurs s'inquiéteront des déficits publics, les budget de défense et les résultats dans le secteur seront perçus comme à risque', explique UBS.
Copyright © 2010 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
'Alors que Thales continue de mettre en lumière des incertitudes sur les charges, notamment au sujet de l'A400, le consensus table toujours sur une marge opérationnelle de 3,9% en 2010, soit le haut de la fourchette cible du groupe de 3-4%', note le broker.
Le courtier juge 'optimiste' aussi l'attente du marché d'une amélioration de la rentabilité à environ 5,7% en 2011, année qui devrait être marquée selon UBS par une augmentation des coûts de restructuration. UBS prévoit désormais une marge opérationnelle de 3% en 2010 et de 4,8% en 2011.
Plus largement, l'intermédiaire pense que les actions du secteur de la défense comme Thales sont susceptibles de continuer de s'échanger sur des valorisations déprimées.
'Aussi longtemps que les investisseurs s'inquiéteront des déficits publics, les budget de défense et les résultats dans le secteur seront perçus comme à risque', explique UBS.
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