Bruxelles offre officiellement deux ans de sursis à la France

Quand je pense qu'on à assassiné Kennedy et que je ne sais même pas pourquoi, le tout mou mériterai bien ça 1000 fois, On organise une quette?

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La cours des comptes et Bruxelles donnent un même avertissement à l'Etat Français: réduction des dépenses!

Mais à ce jour, quels ont été les économies envisagés?
On a pas encore entendu parler de réduction des dépenses de la part de notre président, si?

Suis-je le seul citoyen à penser que l'on avance dans un brouillard épais sans capitaine pour diriger le navire?

Si la cours des compte et Bruxelle ne guidaient pas un temps sois peu notre navire nous aurions eu le même sort que le Concordia...

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et en plus il a recruté des fonctionnaires
il va lui en falloir encore plus pour piquer plus d'impôts, pardi

il met la France à plat et il continue à pomper dans un puits à sec.

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C'est un parjure , il sera contraint de faire la politique du caniche , avec Bruxelles au cul , les fonctionnaires vont comprendre , au lieu de cela sous la pseudo régle de justice sociale il aura su augmenter les impôts à leur maximum , la dette s' envole , le déficit adieu sa réduction , quant à l' inversion de la courbe du chômage , le monde entier lui dit qu' il se trompe mais lui tournant le dos à la crise , ne voit pas la réalité puisqu' il lui tourne le dos , le mur est devant lui tout comme la crise !

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pff
reculer pour mieux sauter

il va devoir faire la politique qu'il dénonçait
et il va nous expliquer qu'il est d accord avec ?

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cadeau empoisonné pour Flamby !

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La commission européenne à officiellement donné deux ans de plus à la France
pour ramener son déficit budgétaire dans les clous c'est-à-dire sous la
sacro-sainte barre des 3 % du PIB.

Cela ne constitue pas une surprise
mais en tout cas c'est la communication officielle et elle est assortie par
contre de recommandations importantes.

Afin de sortir de la procédure de
déficit excessif, l'Hexagone devra atteindre un déficit de 3,6 % du PIB en 2014
puis franchir une marche importante en 2015 pour atteindre 2,8 % selon les
demandes de Bruxelles.

La commission européenne a jugé irréaliste le
retour à 3 % de déficit en 2014 alors que les principales prévisions tablent sur
un déficit accru qui remonterait à 4,2 % du PIB. Elle préconise, on s'en doute,
une forte réduction des dépenses publiques et une simplification des rouages de
l'État. La réforme des retraites est également un pivot central de la diminution
des déficits et la commission aimerait bien que la France la mette en place dès
cette année.

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