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Des analystes positifs sur l'action
Le «free cash flow yield» est estimé à 11,7 % en 2023. L’objectif moyen du consensus calculé par FactSet est à 17,88 euros. Sur les quinze analystes référencés, tous sont positifs.
Le plus optimiste est Oscar Najar Rios chez Banco Santander Equity Research qui vise un cours à 19,20 euros. Le plus réservé est Borja Pagoaga de CaixaBank BPI qui valorise le titre à 14,20 euros.
Le titre obtient une note d’attractivité boursière de 8,6 sur 10 accordée par Equity GPS, dont 8 sur 10 pour ses ratios de valorisation et 9,2 sur 10 pour ses perspectives de profits.
L’activité trimestrielle sera publiée le 10 novembre prochain. L’action a gagné 3 % depuis un an, mais elle a perdu 10 % en trois ans, 14 % en cinq ans et 38 % en dix ans (hors dividendes).
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Avec un gaz devenu rare, des contrats à prix prédéfinis à honorer, la période est 'compliquée' pour Engie qui entame sa décrue après une dizaine d'échecs sous les 13E: le titre flirte avec les -5% vers 12,2E et risque de ne pas trouver d'appui technique avant la zone des 11,6/11,5E.
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Engie possède 12 000 MW de centrales hydroélectriques au Brésil.
Le cours du Real Brésilien est remonté à 19 centimes.
Bizarrement le cours d'Engie plafonne sur les 13 €.
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MAJ
Test oblique
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le 05/08/2022
L’énergéticien a publié des comptes semestriels en forte progression grâce à la flambée des prix de l’énergie. Mais cette performance reste exceptionnelle. Les dirigeants n’ont pas relevé leurs perspectives de profits pour l’exercice 2022.
Engie a bien profité de la crise de l’énergie.
Au premier semestre, son chiffre d’affaires a progressé de 71%, à 43,2 milliards d’euros tandis que son résultat d’exploitation grimpait dans les mêmes proportions, passant de 3 milliards à fin juin 2021 à plus de 5,3 milliards d’euros.
En Belgique, où le groupe est en discussion avec le gouvernement pour y prolonger la durée de vie de deux centrales nucléaires, Engie a profité de la forte disponibilité de son parc pour engranger d’importants profits liés à la hausse des prix de l’électricité.
De même, les activités de trading du groupe ont surfé sur la forte volatilité des prix.
L’énergéticien bénéficie d’un contexte favorable.
Mais les dirigeants ont mis en avant l’incertitude ambiante pour ne pas relever leurs perspectives de profit pour l’ensemble de l’exercice 2022, soit un résultat net récurrent compris entre 3,8 et 4,4 milliards d’euros. Décevant.
Objectif de cours : 13,50 euros.
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Il faudra jeter un œil sur Engie : les syndicats ont annoncé qu'une grève bloquait le deuxième site de stockage de gaz de France.
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EFFETS
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Engie se dégonfle avec la fermeture progressive des arrivées de gaz russe. Là c'est environ 1/3 des livraisons qui est supprimé et il va falloir rassurer les clients mais surtout trouver des sources nouvelles d'approvisionnement.
Les analystes qui recommandaient un Achat avec des objectifs à 15 et même 18 euros ont sans doute fait des victimes malheureuses.
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... En quinze jours ...
(CercleFinance.com) - Engie dérape sous 11,75E (6ème repli en 7 séances) et se dirige vers le comblement du 'gap' des 11,66E du 16 mai et probablement la zone de soutien moyen terme des 11,35E.
😫
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HSBC relève sa recommandation à "acheter" contre "conserver", avec un objectif de cours à 15,90 euros.
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... Et les volumes s'envolent...
17/05/2022 - 15:59:08
Volume 8 433 962
Message complété le 17/05/2022 17:36:24 par son auteur.
Oddo confirme sa recommandation à Surperformance sur le titre avec un objectif de cours de 18 E.
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Engie relève ses objectifs annuels après un trimestre solide
17/05/2022 | 08:49
Engie a réalisé au premier trimestre 2022 un Ebit de 3,5 milliards d'euros, en hausse de 76,4% en organique. L'Ebitda a atteint 4,6 milliards, en progression de 50,7% en organique. Le chiffre d'affaires est ressorti à 13,8 milliards, en augmentation de 84,4% en organique. L'énergéticien a profité de la volatilité des prix de l'énergie. Toutes les activités du groupe ont affiché une forte croissance.
Compte tenu de la très forte performance du premier trimestre 2022 et d'une réévaluation des hypothèses, portant notamment sur l'évolution du prix des commodités, pour le reste de l'année, Engie prévoit désormais que le résultat net récurrent, part du groupe (RNRpg) pour l'année 2022 se situera dans une fourchette de 3,8 à 4,4 milliards d'euros, sur la base d'une fourchette indicative d'Ebitda de 11,7 à 12,7 milliards d'euros et d'Ebit de 7à 8 milliards d'euros. Compte-tenu du contexte actuel de forte volatilité, la fourchette de guidance a été élargie.
Concernant les conséquences de la guerre en Russie, Engie indique que son exposition à la hausse des prix est, par construction, limitée aux livraisons à court terme qui sont fixées un mois à l'avance.
En ce qui concerne les volumes livrés par Gazprom, l'exposition directe est au maximum de 15 TWh.
Engie est en discussion avec Gazprom au sujet de la demande russe de modification du schéma de paiement pour la fourniture de gaz. Le groupe a pris les mesures nécessaires pour être prêt à exécuter ses obligations de paiement, pour autant que cela soit conforme au cadre des sanctions européennes et ne modifie pas l'équilibre des risques pour la société.
Par ailleurs, Engie se dit en bonne voie pour accélérer son développement dans les Renouvelables avec 4 GW de capacités supplémentaires en moyenne chaque année et ce, jusqu'en 2025.
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Mise en place par Engie Green, la centrale installée à La Tieule est équipée de 35.000 panneaux photovoltaïques pour une puissance installée de 15 MWc. Sa production annuelle, estimée à 20.250 MWh, répondra à l’équivalent de 10 % de la consommation électrique résidentielle de la Lozère.
La plus grande centrale photovoltaïque du département de la Lozère en Occitanie se met en route ! Inaugurée le vendredi 29 avril par Emmanuel Castan, maire de La Tieule et président du Syndicat Mixte Lozérien de l’A75 (SMLA75), William Arkwright, Directeur général d’Engie Green, Philippe Castanet, Préfet de Lozère, Jean-François Carenco, président de la Commission de régulation de l’énergie, Xavier Pintat, président de la Fédération Nationale des Collectivités Concédantes et Régies (FNCCR), Alain Astruc, président du Syndicat Départemental d’Energie et d’Equipements (SDEE) de la Lozère, et Jacques Blanc, président de l’association Le Clos du Nid, la centrale solaire de La Tieule s’étend avec ses 35.000 panneaux photovoltaïques sur 18 hectares. Dotée d’une puissance installée de 15 MWc, elle produira chaque année près de 20.250 MWh et couvrira l’équivalent de 10 % de la consommation électrique résidentielle du département.
Initié en 2015 par le SMLA75, ce projet de centrale solaire est confié à Engie Green qui remporte l’appel d’offres en 2018. La construction du site a débuté en septembre 2019 et s’est achevée fin 2020 pour un investissement total de 13 millions d’euros. Le projet a été financé par Auxifip et la Caisse régionale du Crédit Agricole Languedoc. Dans une démarche d’inclusion, les habitants ont été invités à prendre part au financement de ce parc lors d’une campagne de crowdfunding lancée en 2020. Celle-ci s’est conclue par une collecte de 100.000 euros.
Diversité des usages
Au-delà de son étendue, la spécificité de ce projet réside aussi dans la conciliation des activités. Dans cette logique de co-usages, le parc de La Tieule qui produit une énergie décarbonée et renouvelable, laisse le champ libre au développement de l’aromathérapie et de l’apiculture. En effet, 900 mètres de haies paysagères aromatiques (lavandin, sauge, mélisse…), ont été plantées aux abords du projet. Ces plantations sont confiées à l’entreprise locale Essenciagua pour la production d’huiles essentielles.
De plus, une trentaine de ruches ont été essaimées à côté de la centrale solaire. Ces installations sont notamment exploitées par des travailleurs en situation de handicap de l’ESAT la Colagne de l’association Le Clos du Nid. Des plantes mellifères aromatiques ensemencées entre les rangées de panneaux favoriseront quant à elle la production de miel local qui sera vendu en ligne par l’enseigne <a href="http://bienmanger.com">bienmanger.com</a>.
Soucieuse des impacts environnementaux de ce projet, Engie Green a créé des noues (petites fossés) pour la gestion des eaux pluviales, ainsi qu’un hibernaculum pour les reptiles. Le parc accueille également un pâturage ovin. « Cette centrale solaire photovoltaïque est une référence pour Engie Green. Elle traduit mieux que jamais notre vision des énergies renouvelables et notre manière d’en développer. Nous contribuons ainsi efficacement à la lutte contre le dérèglement climatique tout en créant avec les acteurs locaux, des projets pleinement intégrés à leur territoire, respectueux de l’environnement et utiles à leurs habitants », commente William Arkwright, Directeur général d’Engie Green.
Vers 400 MW en service
Par ailleurs, Engie Green a jouit d’une forte croissance en 2021. D’après les propos de son Directeur général William Arkwright, la filiale a atteint « près de 300 MW de solaire en service, avec l’inauguration de 26 projets dont la taille moyenne correspond à 10-15ha. »
L’année 2022 s’annonce positive pour l’énergéticien qui s’attend au déploiement d’une trentaine de projets solaires lui permettant ainsi d’atteindre un total de 400 MW.
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Engie possède 34 000 MW de capacités de production d'électricité verte en ce moment.
Les ventes de GAZ Russes représentent moins de 15 % du chiffre d'affaire.
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Publié le 27/04/2022 à 12h13
(AOF) - Engie (- 1,87% à 11,23 euros)
Le secteur des utilities liées à l'énergie est sous pression à la suite de la décision de Gazprom de suspendre les livraisons de gaz à la Pologne et à la Bulgarie à partir d'aujourd'hui, faute d'avoir été payée en roubles.
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Engie : Deutche Bank passe à l'Achat
25/04/2022 11:29 | AOF
Deutche Bank a relevé sa recommandation sur Engie de Conserver à Achat et confirmé son objectif de cours de 13,5 euros. Le broker recommande depuis juin dernier les réseaux réglementés, qui offrent un important potentiel de créateur de valeur. Le bureau d'études note qu'Engie a sous performé le secteur pendant des années alors que ses fondamentaux s'améliorent.
Points clés
- Groupe né en 2008 de la fusion GDF-Suez, leader mondial de la transition énergétique, premier producteur mondial d'électricité non nucléaire, premier fournisseur de services d’efficacité énergétique, deuxième fournisseur de services à l’environnement ;
- Activité de 57,9 Mds€ avec de fortes positions en Europe d’où proviennent 64 % des revenus, dont 36 % pour la France, devant les Amérique (16 %) ;
- Modèle d'affaires fondé sur le contrôle de la chaîne de valeur et sur le recentrage sur 5 métiers : les renouvelables, les infrastructures, Solutions énergies, la production & fourniture d’énergie et la gestion de l’énergie et du nucléaire ;
- Capital contrôlé à 23,64 % par l'Etat, aux côtés de la Caisse des dépôts (4,59 %), et à 3,2 % par les salariés, Jean-Pierre Clamadieu présidant le conseil d'administration et Catherine MacGregor assurant la direction générale ;
- Structure financière maîtrisée avec 25,2 Mds€ de dette nette donnant un effet de levier de 3,6 et qui sera renforcée au 2nd semestre par la cession d’Equans,.
Enjeux
- Stratégie de croissance annuelle des Renouvelables portée à 4 GW entre 2022-25 et 6 GW entre 2026-30 via :
- simplification du groupe avec 4 Business Units contre 25 et une présence internationale ramenée à 30 pays contre 53,
- déploiement de « BRIGHT », spécialisé dans les services multi-techniques,
- 11 Mds€ au moins de cessions et 15 à 16 Mds€ d’investissements de croissance ;
- et débouchant sur une hausse des bénéfices (3,2 à 3,4 Mds€ en 2023 et 3,3 à 3,5 Mds€ en 2025) et sur un effet de levier de la dette inférieur à 4 ;
- Stratégie d'innovation organisée en feuilles de routes transversales : Horizons : 1 / efficacité des process, 2/ diffusion des nouvelles technologies, 3/ veille et recherche pour la croissance future / Ecosystèmes : 23 Labs thématiques, Engie Factories, plateformes internes (DigiPlace, Common Data, Hub, Inner Source) ;
- Stratégie environnementale visant la neutralité carbone en 2045 : 2 objectifs 2030 : recul de 70 % des émissions de CO2 par rapport à 2016 et montée à 58 %, vs 34 % à fin 2021, des énergies renouvelables dans la production d'électricité,
sortie totale du charbon en Europe en 2025 et ailleurs en 2027 / articulée entre la croissance des activités durables et la gestion des risques dans la production / financée par des emprunts verts ;
- Forte croissance de la rentabilité grâce à la position de leader au Brésil, marché clé pour le groupe, à la flotte de CCGT (la plus grande d'Europe), aux renouvelables et aux partenariats de long terme avec les producteurs de gaz, tel Gazprom.
Défis
- Pour compenser l’arrêt des centrales nucléaires belges en 2025, impératif de croissance de la rentabilité venant des investissements dans les renouvelables, des performances d’Energy Solutions et de la contribution des infrastructures ;
- Redressement de EVBox, leader des solutions de recharge, handicapé par la pénurie et l’inflation des composants ;
- Réalisation des ambitions de long terme : dans les renouvelables, 50 GW de capacité installée d’ici 2025 et 80 GW d’ici 2030, dans les infrastructures, croissance annuelle de 1,5 % jusqu’en 2024 et, pour Energy solutions, pipeline en croissance à 14 Mds€ ;
- Objectifs 2022 : résultat net récurrent entre 3,3 et 3,5 Mds ;
- Taux de distribution de 65 à 75 % jusqu’en 2023 et dividende de 0,85 € au titre de 2021.
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Engie peut "se passer du gaz russe", dit son président dans un entretien au Figaro
20/04/2022 | 23:03
PARIS (Reuters) - Le président d'Engie, Jean-Pierre Clamadieu, a déclaré dans un entretien au Figaro publié mercredi sur le site internet du quotidien que le groupe français pouvait se "passer du gaz russe", alors que le président russe Vladimir Poutine a demandé le mois dernier des paiements en roubles.
"À ce jour, le sujet n'est pas réglé", a-t-il fait savoir. "La question se pose pour le prochain règlement, qui surviendra en mai. Rien ne nous oblige à payer en roubles. Nous n'avons en tout état de cause aucune raison de prendre sur nous le risque de change ou de rompre l'équilibre du contrat", a-t-il poursuivi.
D'après son patron, "Engie peut se passer du gaz russe, qui représente 20 % de son approvisionnement". "L'Europe dans son ensemble serait sans doute capable de remplacer la moitié du gaz russe", a ajouté Jean-Pierre Clamadieu. "L'autre moitié serait amortie par des arrêts et des réductions de consommation supportés par le secteur industriel".
Jean-Pierre Clamadieu a évoqué par ailleurs l'hypothèse qu'Engie se positionne pour les activités renouvelables d'EDF, si celles-ci venaient à être cédées.
"L'État, actionnaire très majoritaire d'EDF, devrait dans les prochaines semaines fixer le cadre lui permettant de se consacrer à la priorité essentielle que constitue le nucléaire. Nous verrons alors si cela se traduit ou non par des opportunités (...) Nous sommes dans une situation où nous pouvons saisir les opportunités si elles se présentent", a-t-il dit.
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ENGIE : Le groupe a annoncé la mise en place d'un partenariat avec Alstom. Après une chute le titre a fortement rebondi (+25%). Actuellement en phase de consolidation, le cours évolue dans un canal compris entre 11,5€ et 12,4€. Une sortie vers le haut initierait un mouvement vers les 14€. Un mouvement contraire pourrait amener le titre vers les 10,2€.
par Antoine Fraysse-Soulier, Financial Market Analyst
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L'UE capable de remplacer à court terme la moitié des importations de gaz russe, selon le président d'Engie
Les Européens sont sous pression pour décréter un embargo sur le gaz russe, après le massacre commis par l'armée russe à Boutcha, dans le nord de l'Ukraine. Se pose également la question de l'impact potentiel de cette mesure sur l'économie de l'UE. «Ce qu'on dit aux dirigeants européens, c'est que si les importations de gaz russes cessaient, nous serions probablement capables d'en remplacer à peu près la moitié», a déclaré Jean-Pierre Clamadieu, président du conseil d'administration d'Engie, interrogé sur Radio Classique jeudi 7 avril. Avant la guerre, l'Union européenne importait 40% de son gaz depuis la Russie.
«Mais le reste, à très court terme, devrait être compensé par une réduction des consommations, particulièrement dans les secteurs industriels», a souligné le dirigeant du géant français du gaz naturel. «L'essentiel de l'effort et de l'ajustement sera fait sur le secteur industriel», a-t-il répété, soulignant que ce dernier représentait 25% de la consommation de gaz.
Ainsi, dans un tel scénario, Jean-Pierre Clamadieu s'attend à un impact «très significatif» sur l'économie européenne, «pas dans les prochains mois mais lors de l'hiver prochain». «Il n'y aura pas d'impact dans l'immédiat. Nous arrivons dans la saison d'été en matière gazière, c'est-à-dire celle dans laquelle on reçoit plus de gaz qu'on en consomme et donc on le stocke», a-t-il expliqué. Aujourd'hui, «tout l'enjeu est d'arriver à reconstituer nos stockages pour passer le prochain hiver avec le moindre impact possible», a-t-il précisé.
Pour l'heure, l'hypothèse d'un embargo de l'UE sur le gaz russe «n'est pas encore (...) sur la table», a déclaré mercredi le premier ministre italien Mario Draghi. En revanche, la Commission européenne a proposé de bannir le charbon russe de l'UE. «Je pense que des mesures sur le pétrole et même le gaz seront nécessaires tôt ou tard », a menacé mercredi le président du Conseil européen Charles Michel, alors que l'Allemagne, particulièrement dépendante du gaz russe, a affirmé ne pas pouvoir se passer de ces livraisons «à court terme». Une nouvelle salve de sanctions européennes, la cinquième, est attendue dans les prochaines heures.
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Un ptit décompte
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