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UBS conserve son opinion positive sur le titre avec une recommandation d'achat.
Auparavant situé à 15.65 EUR, l'objectif de cours est abaissé et passe à 15.00 EUR.
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Engie a annoncé hier soir la signature d'un accord portant sur la cession de sa participation de 60,5% dans Engie EPS SA, un des principaux fournisseurs et intégrateurs de systèmes de stockage et d'e-mobilité, au groupe industriel taïwanais TCC. Cette cession s'inscrit dans la stratégie de simplification du groupe, réduira sa dette financière nette d'environ 165 millions d'euros et génèrera une plus-value d'environ 80 millions d'euros.
A suivre... 🔎
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La bonne résolution d'Engie dans le charbon
18 Avril 2021 Le groupe Engie s'oriente vers la neutralité carbone.
Il va falloir attendre le 18 mai pour connaître le nouveau plan stratégique d’Engie. Concocté par sa nouvelle directrice générale, Catherine MacGregor, il devrait refléter le désir de simplification du groupe dans les services, voulue en 2020 par le conseil d’administration présidé par Jean-Pierre Clamadieu.
Il devra aussi mettre le groupe sur la voie de la neutralité carbone. Ce qui ne sera pas chose facile. Sur ses 101 GW de capacité de production d’électricité, Engie ne compte que 30 GW de renouvelables et 6 GW de nucléaire belge, dont le parc sera fermé d’ici à 2025. Le reste est réalisé avec des énergies fossiles, gaz en tête, et encore 4 % (4,3 GW) de charbon... contre 13 % à fin 2015.
Depuis cinq ans, Engie a pu fermer trois unités et céder des actifs. Le groupe veut maintenant sortir complètement du charbon en Europe d’ici à 2025 et dans le monde d’ici à 2027. La fermeture de deux centrales au Chili d’ici à 2024 et d’une au Pérou en 2022, soit 400 MW de moins, a déjà été actée. Reste 3,9 GW. Catherine MacGregor a expliqué que l’option de conversion à la biomasse ou au gaz serait maintenant privilégiée. Et lorsque ce serait impossible, Engie cédera à nouveau des actifs.
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Bouygues et Spie sur les rangs pour les services énergétiques d'Engie. Les deux champions français envisagent de racheter l'activité de services mise en vente par l'énergéticien français. En concurrence avec des fonds d'investissement, ils font valoir un projet industriel.
Engie espère faire monter les enchères.
A suivre... 🔎
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HSBC dégrade Engie à 'conserver' et ramène son objectif de 15,7 à 13,6 euros.
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Bonjour
Suis perdu EPS e mobility est détenu par qui? Pas par EPS ? L annonce du contrôle par FCA et EPS Italie donnera des sous à qui?
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Je suis désolé! Me suis "planté de file en postant un graphe.Il est dans la file que j'ai nommé "BAISSE A PREVOIR EN DAYLI TDM - 14%".
Mais il ne faudrait plus utiliser cette file!
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Goldman Sachs maintient son opinion acheteuse sur le titre. L'objectif de cours demeure inchangé à 15.30 EUR.
Message complété le 16/03/2021 11:04:45 par son auteur.
@chatdoux
je ne suis pas sur Engie, c'est juste pour vous faire plaisir que je mets les objectifs...
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Le 'Corned-Beef' se mange sans faim...
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Oui, mais...
Depuis le temps que les analystes la mettent en "Conserve"...
Les boites vont finir par périmer !
: )
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LeRevenant
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AlphaValue reste à accumuler avec un objectif relevé de 15 à 15,50 EUR.
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Vu que maintenant c'est de plus en plus simple de faire une recommandation sans argumentation..
24/02/2021 | 17:25
Pas très positif sur le dossier, la recherche de chez Miaou-énergie et son analyste Ptitchat72 considèrent toujours le titre comme une opportunité de vente. L'objectif de cours étant situé à 12.25 EUR.
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Technologie : Orange a conclu un partenariat d'une durée de 15 ans avec Engie. Le fournisseur d'électricité sera chargé de faire passer les infrastructures de l'opérateur historique au tout renouvelable.
Pierre Benhamou
Lors de la présentation de son plan stratégique Engage 2025, qui doit le porter au cours des prochaines années, la direction d'Orange indiquait viser la neutralité carbone en 2040, tout en assurant que son mix d'énergie renouvelable passerait le cap des 50 % d'ici à 2025. L'opérateur historique vient de donner un tour plus concret à ces promesse via un partenariat conclu pour les quinze prochaines années avec le fournisseur d'énergie Engie
Celui-ci sera chargé d'opérer le passage au renouvelable du mix énergétique de l'approvisionnement d'Orange en électricité. Le partenariat conclu entre les deux groupes français comprend notamment la création de nouveaux sites d’énergie solaire dans les Hautes-Alpes d'ici au 1er janvier 2023, la gestion de la production d'énergie renouvelable des fournisseurs d'Orange et la fourniture de volumes complémentaires pour répondre à la consommation effective de l'opérateur historique.
"L’ambition du Groupe pour 2025 est de réduire de 30% ses émissions de CO² directes par rapport à 2015 et d’atteindre 50% d’énergies renouvelables dans son mix électrique. La signature de notre accord avec Engie est à cet égard très importante ; elle témoigne de notre volonté d’être un acteur majeur des acheteurs d'électricité en France", a fait savoir le CEO d'Orange France Fabienne Dulac lors de la conclusion de cet accord. Du côté du fournisseur d'électricité, on se félicite d'un " contrat innovant qui illustre l’expertise d’Engie sur l’intégralité de la chaîne de valeur de l’électricité renouvelable".
Alors que les entreprises multiplient les promesses d'accélération de leur transition énergétique, les opérateurs et les acteurs du secteur des télécommunications sont observés de très près. Dans une étude publiée en fin d'année dernière, le Haut conseil pour le climat expliquait que le déploiement de la 5G devrait faire exploser la facture carbone du numérique. « la 5G est susceptible d'augmenter significativement » l'empreinte carbone du secteur du numérique, qui représente actuellement environ 2 % de l'empreinte totale de la France (soit à peu près autant que le secteur aérien), faisait alors savoir l'institution présidée par la climatologue franco-canadienne Corinne Le Quéré.
Et de regretter le rejet par le gouvernement et Emmanuel Macron de la demande de moratoire sur le déploiement de la 5G souhaité à l'été par la Convention citoyenne pour le climat. Pour rappel, le président de la République avait opposé une fin de non-recevoir à cette demande, la qualifiant de « retour à la lampe à huile »... En qualifiant au passage ses contradicteurs de promoteurs d'un « modèle Amish »... De quoi écorner sérieusement l'image de la 5G au cours d'un débat qui méritait certainement mieux.
De son côté, l'Arcep a également publié un rapport dédié sur la question en fin d'année dernière, suggérant 11 pistes à suivre pour accélérer la transition écologique du numérique qui représenterait aujourd'hui de 3 à 4 % des émissions de gaz à effet de serre dans le monde, et environ 2 % des émissions au niveau national.
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EFFERVESCENCE AUTOUR DE LA VENTE DES SERVICES D’ENGIE
Matthieu Pechberty
Le 09/02/2021 à 6:10 | MAJ à 8:49
Plusieurs fonds d’investissement s’intéressent à "Bright", dont la vente sera la plus grande opération de l’année en France. Engie promet de garder un pied dans sa filiale pour éviter une fronde syndicale.
Engie provoque l’agitation de ce début d’année dans le monde financier. Le groupe a enclenché la vente de ses activités de services à l’énergie qu’elle a filialisé l’an passé dans une société baptisée "Bright". Le processus officiel sera lancé cet été, après la consultation des représentants de salariés. Mais déjà, les candidats au rachat de cette division se multiplient. Selon plusieurs sources proches du dossier, de nombreux fonds d’investissement s’intéressent à la vente de Bright comme Advent, Clayton Dubilier, Carlyle, Bain Capital ou encore CVC. Le nom de ce dernier fait déjà jazzer alors que l’ancien PDG d’Engie, Gérard Mestrallet, en est conseiller. Apollo et Blackstone seraient également sur les rangs, selon Les Echos.
Ils ont commencé à étudier le marché de ces nombreuses sociétés qui vont de l’installation de matériel énergétique à la maintenance en passant par l’efficacité énergétique. "Tous les plus grands fonds d’investissement du monde vont regarder cette transaction qui sera la plus importante de l’année en France" décrypte une source. Pour le moment, sa valorisation reste floue car la société n’a pas encore fourni de données sur son activité, même de manière confidentielle. Chez Engie, on estime qu’elle vaudra environ 4 milliards d’euros.
Engie conservera 20% ou 25%
Une occasion rare pour les fonds d’investir une somme importante d’un coup alors que la plupart a levé des montants astronomiques ces deux dernières années. Le dernier fonds de CVC s’élève à 21 milliards d’euros quand celui de son rival Advent atteint à 15 milliards. Surtout, Bright est une accumulation d’une centaine de sociétés de services à l’énergie, parfois sans grande cohérence. Ce qui permet au fonds d’en céder certaines pour améliorer la rentabilité de la division.
"Il y a beaucoup de marges à extraire car ces sociétés n’étaient pas très bien gérées au sein d’un grand groupe comme Engie", explique froidement le responsable d’un de ces grands fonds.
Une source d’inquiétude pour les 74.000 salariés qui craignent de lourdes restructurations. Pour tenter d’apaiser le climat social, Engie prévoit de rester au capital de Bright, à hauteur de 20% à 25%, pendant deux ou trois ans. Malgré cela, le groupe d’énergie espère récupérer un nouveau chèque de 3 milliards d’euros après celui de 3,4 milliards d’euros déjà engrangé par la vente de sa part de 29,9% dans Suez à Veolia.
Les industriels en embuscade
Selon nos informations, plusieurs industriels ont aussi envoyé des marques d’intérêts pour quelques-unes des sociétés. Ineo, spécialisée dans le génie électrique pour les villes, intéresse notamment les groupes de construction Bouygues et Eiffage. Spie, le concurrent direct de "Bright" lorgne plutôt Fabricom, une société belge de performance énergétique. Selon plusieurs sources, Veolia et Ortec se seraient aussi manifestés.
Mais Engie est clair: "nous vendrons Bright d’un bloc et pas à la découpe" assure une source proche du groupe. Ces industriels se positionnent pour la suite et restent en embuscade. Ils seront inévitablement des candidats futurs pour racheter quelques-unes de ces entreprises quand les fonds d'investissement auront racheté "Bright".
Matthieu Pechberty
Journaliste BFM Business
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Engie : HSBC revalorise de 14,10 à 15,70 EUR.
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Javier Garrido de chez JP Morgan a maintenu sa recommandation sur le titre et le conseille à l'achat.
L'objectif de cours continue d'être situé à 17 EUR.
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C'est devenu une mode de scinder ses activités en plusieurs entitées distinctes..
d'un côté, les profits.. de l'autre, la branche pourrie.
on sait jamais des fois que cette vieille branche intéresse quelqu'un d'autre
Donc après EDF, Technip.. Engie prépare le terrain à son tour.
le Cac40 est quand même bien représenté par toutes ces belles sociétés d'avenir. tsss
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Tri drastique d'Engie dans ses services
PUBLIÉ LE 27/12/2020 À 18H00 L'usine Nouvelle
Engie fait le ménage dans ses services. Le groupe de 170 000 salariés a finalisé une revue stratégique et défini les activités qui seront conservées et celles « dont l’actionnariat pourrait évoluer ».
Resteront les réseaux urbains de chaleur et de froid, la production d’énergie décentralisée, l’efficacité énergétique, la ville intelligente, la mobilité verte et l’ingénierie. Pour beaucoup logées au sein de la filiale Cofely, ces activités concernent 35 000 personnes et rapportent entre 7 et 8 milliards d’euros.
Les activités d’installation électrique, de chauffage, de ventilation et de climatisation, ainsi que celles liées à l’information et à la communication seront, elles, rassemblées dans une nouvelle entité, temporairement baptisée New Solutions, qui sera scindée. Elles emploient environ 74 000 personnes et pèsent entre 12 et 13 milliards d’euros.
Engie cherche aussi à vendre sa filiale de maintenance industrielle Endel et tout ou partie de sa participation de 40,4 % dans GTT, spécialiste des réservoirs GNL.
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Cela ressemble à l'acquisition de l'année dernière.
C'est du réchauffé.
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