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Hydrogène vert : Engie rejoint le projet MULTIPLHY
Fruit d’un consortium européen auquel ENGIE est désormais partie prenante, Multiplhy est un projet unique au monde de production d’hydrogène vert par électrolyse à haute température. Représentant plusieurs mégawatts, le projet est financé par le programme européen Horizon 2020.
Implanté dans la bioraffinerie de Neste à Rotterdam, cet électrolyseur haute température aura une puissance nominale de 2,6 MW et une capacité de production d’hydrogène de 60 kg/h.
Ingénierie et préparation du site pour la mise en service opérationnelle, intégration de l’électrolyseur dans la raffinerie, définition du protocole d’essai de l’installation, participation à l’approvisionnement en énergie, développement du modèle économique de l’installation, obtention de la certification de l’hydrogène renouvelable par le système CertifHy etc… Engie apportera son expertise à toutes les étapes du projet.
Electrolyse à haute température
Pour ce démonstrateur à grande échelle, Engie et ses partenaires vont mettre en place un dispositif d’électrolyse à haute température. Celui-ci permet de produire de l’hydrogène à partir d’eau sous forme de vapeur au lieu d’eau liquide. Un processus au rendement au moins 20 % supérieur à celui utilisé pour un électrolyseur basse température.
D’ici fin 2024, environ 960 tonnes d’hydrogène renouvelable devront être produits, évitant ainsi l’émission d’environ 8.000 tonnes de gaz à effet de serre chiffre Engie dans son communiqué.
Intégré au programme européen Horizon 2020, le projet Multiplhy bénéficie d’un financement global de 6,9 millions d’euros. Au-delà d’Engie, Neste, le Commissariat à l’Énergie Atomique et aux énergies alternatives (CEA), Sunfire et le constructeur d’usines Paul Wurth sont également associés au projet.
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J.P. Morgan reste à surpondérer avec un objectif de cours réduit de 19,50 à 16 EUR.
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ENGIE et Mirova, un partenariat inédit pour accélérer le développement de la filière biométhane en France
Par ENGIE - 20 avril 2020 - 18:08
ENGIE et Mirova signent un partenariat stratégique dans la filière biogaz en s’inspirant d’un modèle de développement de l’éolien et du solaire.
Mirova, filiale de Natixis Investment Managers dédiée à l’investissement responsable, acquiert 50% de DANA GAZ qui détient déjà 9 unités en exploitation (7 centrales de production de biométhane pour une capacité installée de 15,5 MWg et 2 centrales de cogénération d’une capacité installée de 2 MW), développées et construites par ENGIE.
Ce partenariat permet à ENGIE, via sa filiale ENGIE BioZ, d’accélérer le développement de ses projets de biométhane en accroissant les capacités d’investissement dans cette activité. il s’inscrit dans la continuité d’une relation durable entre Mirova et ENGIE, développée au cours des dernières années notamment par le biais de plusieurs projets éoliens, solaires et hydraulique en Europe.
Dans un contexte exceptionnel de crise sanitaire qui nécessite de réinterroger les circuits d'approvisionnement, ENGIE et MIROVA confirment leur engagement en faveur de la filière biométhane. Celle-ci contribuera à la relance d’une économie circulaire par la valorisation des déchets, par la création d’emploi et le soutien de l’agriculture, un secteur clé pour la sécurité d’approvisionnement alimentaire et énergétique.
ENGIE pérennise son rôle industriel de premier plan sur ces installations en continuant d’en assurer l’exploitation. Il poursuit ainsi le développement de son portefeuille de projets , et ambitionne de produire 5 TWh de biométhane d’origine française garantie à l’horizon 2030.
Au 1er janvier 2020, VOL-V Biomasse et ENGIE Biogaz ont fusionné et deviennent ENGIE BioZ, la filiale du Groupe ENGIE en charge du développement, de la réalisation et de l’exploitation des projets de biométhane en France. ENGIE Bioz initie, développe, finance, construit et exploite des unités d'injection de biométhane dans le réseau de gaz français, en s’inscrivant dans la durée sur les territoires.
Interview Rosaline Corinthien, Directrice Générale d’ENGIE France Renouvelables
En quoi le partenariat signé entre ENGIE et Mirova est stratégique et inédit ?
« Il s’agit d’une première dans le secteur du biogaz : Mirova et ENGIE dupliquent un business model qui a fait ses preuves dans l’éolien et le solaire pour l’appliquer à cette filière. Ce modèle, appelé aussi DBSO pour Develop Build Sell & Operate, permet à ENGIE, dans les marchés les plus concurrentiels, d’améliorer la compétitivité et la rentabilité de ses offres en cédant partiellement ses actifs renouvelables à des investisseurs financiers après construction tout en gardant la maîtrise industrielle des actifs. ENGIE pérennise son rôle industriel de premier plan sur ces installations en continuant d’en assurer l’exploitation, la maintenance et la gestion en ressources humaines. »
Quel est le bénéfice pour ENGIE ?
« Il s’agit d’une stratégie d’intensification du développement de la filière biogaz sur le territoire en France. En effet, ce partenariat va nous permettre de décupler le potentiel de développement du portefeuille de projets de biométhane et d’accompagner l’ambition du Groupe de produire 5 TWh à l’horizon 2030. »
ENGIE renforce un partenariat de long terme avec Mirova dans les énergies renouvelables ?
« Oui, Mirova, qui est déjà notre partenaire dans l’éolien et le solaire, investit par l’intermédiaire de son fonds Mirova Eurofideme 4 dédié à la transition énergétique en Europe et prend une position significative dans le biogaz en France. Par ce partenariat, nous démontrons notre conviction que le biogaz est au cœur de la transition énergétique des territoires. »
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Et HSBC revoit l' objectif à 10€
UBS à 9€
autant dire que les avis sont partagés...
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Bernstein continue de conseiller le titre à l'achat dans une note de recherche publiée par Meike Becker.
L'objectif de cours est abaissé de 16.80 EUR à 13.50 EUR.
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(AOF) - 24/03/2020 | 10:47►ENGIE : Citi abaisse son objectif de cours
Citi a abaissé son objectif de cours sur Engie de 16,7 à 11,8 euros tout en réitérant sa recommandation d'Achat dans l'hypothèse d'une normalisation de la situation au cours du second semestre.
Le broker estime que le groupe sera significativement pénalisé par le Covid-19. Dans ce cadre, il doute fortement qu'Engie puisse atteindre ses objectifs 2020 et 2022. L'analyste s'attend à une baisse des dividendes dans le sillage de la baisse des résultats, avec un dividende de 0,65 euro par titre jusqu'en 2022, et ce d'autant plus que le ratio dette nette/Ebitda pourrait atteindre 4,3 cette année.
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AlphaValue passe d'accumuler à acheter avec un objectif de cours relevé de 18,80 à 19,10 EUR.
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Deutsche Bank passe d'acheter à conserver en visant 16,50 EUR.
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20 ans sur du photovoltaïque ...
c est aberrant
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oui c'est une belle tentative la ou je suis perplexe pourquoi c'est les italiens qui ont un savoir faire supérieur .
engie est donc dépendant .
cela me confirme qu'un revirement vers l industriel de engie était nécessaire .
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Les paris sont ouverts pour la prochaine opération de croissance externe d'Engie !
Je mets un jeton sur NEOEN.
Message complété le 07/02/2020 15:17:39 par son auteur.
Mais pas de sous car elle est déjà 'over the top' au niveau valorisation.
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Goldman Sachs reste à l'Achat
07/02/2020 | 12:09
Goldman Sachs a confirmé sa recommandation d'Achat et son objectif de cours de 17 euros sur Engie après l'éviction d'Isabelle Kocher. Le broker ne commente pas cette actualité. Il rappelle que le titre a chuté de 58% depuis 2009, pénalisé par la chute des matières premières, la faiblesse des prix de l'énergie et des évolutions réglementaires. Mais ces vents contraires sont en train de tourner, estime le bureau d'études. Ce dernier table sur une hausse de 25% du bénéfice net sur la période 2018-2021, soit un changement radical par rapport à la tendance des 10 dernières années.
L'analyste observe qu'Engie est moins cher de 14% que ses concurrents alors qu'il offre un rendement 14% plus élevé.
Par ailleurs ajoute Goldman Sachs, de prochaines rotations d'actifs pourraient accroître la valeur.
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UBS a confirmé sa recommandation d'Achat et son objectif de cours de 16,50 euros sur Engie
Message complété le 07/02/2020 13:56:57 par son auteur.
UBS ne pense pas que le scénario d'une scission complète des actifs gaziers soit sur la table, comme l'a exclu le président Jean-Pierre Clamadieu en décembre et une nouvelle fois hier soir. Il a également rejeté un éventuel rachat de Suez.
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Barclays passe de surpondérer à pondération en ligne en visant 17 EUR.
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Vents porteurs.
Engie a créé une coentreprise 50/50 avec EPDR pour combiner leurs entités d'éolien en mer, qui représente 1,5 GW de capacités installées et 3,7 GW en projet. Le projet doit encore recevoir certaines autorisations, notamment celle de la Commission européenne. Toutefois, les partenaires espèrent que l'entité sera opérationnelle d'ici la fin mars. Elle comprendra notamment le projet de 992 MW sur la zone du Tréport et de Noirmoutier.
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(CF) - 23/01/2020 | 10:01►Engie : remporte un contrat important au Brésil
Engie annonce avoir remporté l'appel d'offres lancé par Sterlite pour un projet de concession de 30 ans au Brésil. Le projet comprend la construction, l'exploitation et la maintenance d'une ligne de transport d'électricité de 1 800 km, d'une nouvelle sous-station et l'extension de 3 autres sous-stations dans le nord du Brésil. La construction devrait débuter en 2020.
Le coût total de l'investissement dans le projet devrait s'élever à 750 millions d'euros. Il s'agit du deuxième projet de transport d'Engie au Brésil.
' Engie confirme ainsi sa position d'acteur majeur dans le secteur des infrastructures électriques en Amérique latine, avec près de 3 000 km de lignes déployées d'ici 2022 au Brésil et 2 200 km déjà déployés au Chili ' indique le groupe.
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22/01/2020 | 18:00
Le groupe Engie et Edelweiss Infrastructure Yield Plus Fund (EIYP) annoncent ce soir la signature d'un partenariat stratégique relatif aux actifs solaires en Inde.
'Engie vendra à EIYP et à Sekura Energy Limited, une société du portefeuille d'EIYP, une participation de 74% dans 12 actifs solaires totalisant 813 MWc de capacités installées', explique Engie.
La finalisation de cette transaction devrait intervenir au cours du premier semestre 2020. Elle permettra à Engie de réduire sa dette nette de plus de 400 millions d'euros.
Copyright (c) 2020 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
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La Tunisie a attribué à plusieurs consortiums dont le français Engie la construction et la gestion sur 20 ans de cinq centrales photovoltaïques, qui pourront produire 500 mégawatts d'électricité solaire.
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AVEC GAYA, ENGIE PASSE À LA VITESSE SUPÉRIEURE SUR LE BIOGAZ
Le 14 janvier 2020 à 11:47
Engie a mis en service avec succès la plateforme de production de biométhane Gaya, utilisant le bois comme énergie principale.
C'est un lancement on ne peut plus encourageant deux ans après l'inauguration officielle : la plateforme de production de biométhane Gaya a généré ses premiers mètres cubes de gaz renouvelable en exploitant les résidus de biomasse sèche. Le bois est en effet utilisé dans cette unité pour produire du biométhane, confirmant ainsi tout le potentiel des résidus de l'industrie forestière non exploitable autrement et dont le potentiel est conséquent en France.
La nouveauté de la plateforme Gaya réside dans le fait qu'elle est à ce jour la seule infrastructure capable de transformer la biomasse sèche en biométhane : copeaux de bois, écorces, débris de plaquettes, déchets de papier, noyaux d'olives, chutes issues de l'industrie d'ameublement, coques de noix et même paille.
Si pour l'heure la plateforme implantée à proximité de Lyon fait office de site pilote, le déploiement de la technologie à échelle industrielle est l'objectif visé par Engie. D'autant qu'en l'état actuel des choses, le biométhane obtenu est suffisamment qualitatif pour être injecté dans le réseau gazier et utilisé en chauffage sanitaire notamment mas aussi en guise de carburant.
Une fois n'est pas coutume, l'enjeu à présent est de parvenir à réduire les coûts de revient de la plateforme, afin que le biométhane produit soit financièrement attractif ou du moins rentable.
Soutenue par l'Ademe, Axelera ou encore Tennerdis au côté de 9 autres partenaires techniques et financiers, la plateforme Gaya est appelée à un bel avenir pour autant qu'elle puisse "réduire les coûts de production en vue d'une industrialisation" comme le souligne Guillaume Peureux de chez Engie Lab.
C'est dans cette optique que d'autres matières sont envisagées, à l'instar de déchets plastiques voire même de pneumatiques. La technique est d'ores et déjà opérationnelle mais seulement en laboratoire pour le moment. Pour rappel, Engie vise la distribution de 100% de biogaz d'ici 2050, aussi les dernières expérimentations en date ont de quoi mettre l'entreprise en capacité d'y parvenir. D'ailleurs, dès 2023, le groupe envisage de mettre sur pied la première unité de production industrielle de France qui pourrait à terme produire 50 fois plus de biométhane que la plateforme Gaya.
Affaire à suivre.
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