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AU POIL !
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https://www.capital.fr/entreprises-marches/engie-realise-une-grosse-acquisition-au-portugal-1388951
Message complété le 19/12/2020 09:25:43 par son auteur.
Doucement, doucement... Ça va le faire ! 📈
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Engie réalise une première mondiale dans le gaz renouvelable
La plateforme Gaya de l'énergéticien français Engie vient de réaliser une première mondiale en produisant du gaz renouvelable à̀ partir de combustibles solides de récupération (CSR). Ces déchets de composition variée : bois, papiers, cartons ou plastiques finissent à l'enfouissement en l'absence d'une filière de recyclage viable.
Publié le 16 déc. 2020 à 7:30
L'an dernier, Gaya , démonstrateur semi-industriel construit par Engie pour défricher la filière du gaz renouvelable, avait validé sa technologie protégée par dix brevets. Représentant un investissement de 60 millions d'euros, l'« usine à gaz » avait produit ses premiers mètres cubes de biométhane à̀ partir de déchets forestiers secs. Le mois dernier, la plateforme de l'énergéticien français a réalisé une première mondiale en produisant du gaz renouvelable à̀ partir de combustibles solides de récupé́ration (CSR).
Ces déchets de composition variée : bois, papiers, cartons ou plastiques, sont issus d'activités économiques diverses. En l'absence d'une filière de recyclage viable, ils terminent à l'enfouissement. La démonstration historique de Gaya leur offre une deuxième vie sous forme de gaz « substituable au gaz naturel, avec exactement les mêmes caractéristiques », affirme Alessandra Barba, responsable du Lab biogaz, biomasse et déchet au centre de recherche Crigen d'Engie. « Ce gaz renouvelable, stockable et transportable dans les infrastructures actuelles, la meilleure valorisation possible », répond aux ambitions françaises de réduire de 50 % les déchets enfouis et de baisser de 30 % la consommation d'énergies fossiles.
Unité industrielle au Havre
Concrètement, les CSR, triés selon les normes en vigueur dans le monde des déchets, sont gazéifiés à très haute température pour produire un gaz de synthèse, ensuite épuré dans un procédé catalytique de méthanation. Cette « avancée scientifique majeure », selon Engie, ouvre la voie à la construction d'une unité industrielle au Havre. Le projet Salamandre pourrait, dès 2026, gazéifier prè̀s de 70.000 tonnes de déchets non recyclables par an, en produisant jusqu'à 150 GWh de gaz renouvelable, soit la consommation de 670 bus urbains. En outre, la chaleur coproduite dans le procédé atteindrait 45 GWh, pour servir des besoins de chauffage urbains ou industriels.
Il existe plusieurs types de CSR sur lesquels Gaya va continuer de travailler. La viabilité économique des futures usines dépend de leur adaptabilité à ces matières premières diversifiées. Malgré leur faible coût, la rentabilité du gaz renouvelable est encore lointaine. « Comme la méthanisation, cette filière aura besoin d'un soutien fort des politiques publiques pour se lancer », prévient Alessandra Barba.
Message complété le 17/12/2020 11:14:10 par son auteur.
Engagé dans une profonde transformation de ses activités, Engie change également de cap en matière immobilière. Le groupe présidé par Jean-Pierre Clamadieu n'investira que quatre des six bâtiments prévus pour son futur "eco-campus" en région parisienne.
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Elle va même aller à 16e...voire plus
Question de timing...
Sous 14e, ca reste un achat intéressant à mes yeux. Peu de risques
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L'analyste Lawson Steele du bureau de recherche Berenberg considère le titre attrayant et le recommande à l'achat.
L'objectif de cours est revu à la hausse et passe de 13 EUR à 14 EUR.
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Kepler Cheuvreux relève son objectif de cours de 14 à 16 EUR.
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ENGIE : émet 850 millions d'euros d'obligations hybrides vertes avec un coupon record
30/11/2020 | 08:25
Jeudi 19 novembre 2020, ENGIE a émis un emprunt obligataire hybride de 850 millions d'euros sous format d'obligation verte. Les titres portent un coupon annuel de 1,5%, soit le niveau le plus bas jamais atteint par une entreprise pour une maturité de 8 ans.
Le coupon annuel de cette émission a été fixé à 1,5% et sa première période de non-call est fixée à 8 ans. La prime de nouvelle émission - 0,25% en dessous du prix du marché secondaire - est également l'une des plus basse jamais observée sur le marché.
La qualité de signature d'ENGIE, alliée aux caractères hybride et vert de l'émission, a permis d'atteindre un carnet d'ordre proche de 4 milliards d'euros avant révision de la guidance et de garantir une sursouscription (2,7 fois) au prix final. La Banque Européenne d'Investissement figure au premier rang des investisseurs. Les ordres proviennent du BeNeLux (29%), de France (17%), du Royaume Uni & Irlande (17%), de l'Europe du Sud (16%) et d'Allemagne (15%). Environ 80% des ordres ont été alloués à des investisseurs ESG.
Concomitamment, ENGIE a lancé une offre de rachat sur trois de ses obligations hybrides en cours. L'offre, clôturée le 25 novembre 2020, a permis à ENGIE de racheter 850 millions d'euros d'obligations existantes, soit un montant égal au montant de la nouvelle émission. L'opération permet à ENGIE d'allonger la maturité de sa dette hybride de 1,1 an tout en réduisant son coût récurrent de 0,30% à encours inchangé.
Judith Hartmann, DGA, membre de la direction collégiale et directrice financière du Groupe, a déclaré :
« La réussite de cette opération, avec son coupon historiquement bas, démontre une nouvelle fois la confiance des investisseurs dans la signature d'ENGIE et dans ses orientations stratégiques. Cette transaction confirme aussi son rôle de leader des financements verts, en contribuant à accélérer le développement de ses projets durables. »
Le contrat-cadre que le Groupe a développé pour ses émissions vertes, et qui s'applique à la présente émission, a reçu une attestation indépendante de l'agence Vigeo Eiris. Ces deux documents sont disponibles dans la section crédit du site internet d'ENGIE.
Avec un montant total de 12 milliards d'euros émis sous format vert depuis 2014, ENGIE, en tant que leader de la transition énergétique et du marché des obligations vertes, poursuit son engagement pour réduire ses émissions de gaz à effets de serre en suivant une trajectoire en ligne avec l'Accord de Paris, telle que certifiée par l'initiative Science Based Targets.
Engie SA published this content on 30 November 2020 and is solely responsible for the information contained therein. Distributed by Public, unedited and unaltered, on 30 November 2020 07:24:04 UTC
© Publicnow 2020
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Jean-Pierre Clamadieu Président du conseil d’administration - ENGIE
« Engie est reparti à l’offensive sur une base simplifiée »
LA VIE DES ACTIONNAIRES
INVESTIR.FR | LE 27/11/20 À 17:35
En marge de l’Investir Day, auquel il a participé, le président d’Engie a déroulé les nouvelles inflexions stratégiques de l’énergéticien.
Vous avez-participé, lundi, à notre événement Investir Day. Pourquoi cette participation et quelle place accordez-vous aux actionnaires individuels ?
Engie compte environ 500.000 actionnaires individuels en France et 150.000 en Belgique. Avec nos salariés, ils représentent de l’ordre de 8% du capital, et nous souhaitons bien sûr entretenir une communication directe avec eux. Cela a été difficile cette année, c’est pourquoi j’ai été très heureux de participer à cet événement.
Fin juillet, vous avez donné une nouvelle impulsion à la stratégie et porté le programme de cessions de 4 à 8 milliards d’euros. Il est déjà réalisé à 40% par la vente de 29,9% de Suez à Veolia. Pourquoi cette décision rapide au sujet de cette participation ?
Nous avions annoncé, fin juillet, que nous étions prêts à étudier toutes les options pour Suez. J’en ai averti, bien sûr, le président du conseil d’administration de Suez, Philippe Varin, mais c’est Veolia qui nous a approchés dès la fin août. L’acceptation de cette offre, relevée à 18 € par action, permet à Engie d’accélérer son plan d’investissements. Depuis 2013, notre détention dans Suez était devenue une participation financière, non consolidée dans les comptes du groupe. Il n’existe pas de lien opérationnel entre les deux sociétés. Nous réalisons aujourd’hui de 10 à 20 millions d’euros de chiffre d’affaires ensemble, ce qui est très peu par rapport aux 18 milliards d’euros de Suez et aux 60 milliards d’Engie.
Vous avez aussi annoncé le prochain désengagement d’une autre société cotée, GTT, dont vous détenez 40,4%. Pour quelle raison ?
GTT a une technologie très originale pour stocker les gaz liquéfiés. C’est une très belle société mais qui ne présente aucune synergie industrielle ou commerciale avec Engie. Nous avons donc décidé de mettre cette participation sous revue stratégique.
Vous comptez céder aussi une part importante des solutions clients. N’est-ce pas contradictoire avec l’ambition d’Engie dans la transition énergétique ?
Nos activités de solutions clients représentent un chiffre d’affaires de 21 milliards d’euros et plus de 100.000 salariés. Un tiers, environ, de ces activités relève de la transition énergétique, notamment l’exploitation de réseaux de chaleur et de froid, et certains de ces métiers aident nos clients à réduire leur consommation d’énergie et à verdir leur production. Ils sont donc au cœur des préoccupations d’Engie. Mais un autre ensemble d’activités, représentant de l’ordre de 12 milliards d’euros de chiffre d’affaires et un peu plus de 74.000 personnes, concerne des installations électriques, des systèmes de climatisation ou de gestion d’immeubles. C’est un ensemble très différent des activités cœur d’Engie dans son modèle d’affaires, avec beaucoup de petites opérations et des clients de toute taille, et il doit être géré différemment. Nous allons réfléchir à la meilleure manière de lui donner son autonomie. On peut envisager une mise sur le marché ou une cession. Cet ensemble forme une très belle entreprise, qui peut se comparer à Spie, avec une taille deux fois supérieure, ou à Vinci Energies. Il nous paraît important de la conserver dans son intégrité car elle aura une position de leader en Europe et une vocation à croître. C’est aussi l’occasion d’offrir une belle aventure à nos équipes. L’enjeu de cette cession est de simplifier Engie, de concentrer le groupe sur les métiers de l’énergie et de lui assurer les moyens de financer le développement de ses priorités, les énergies renouvelables et les infrastructures.
Comment allez-vous utiliser le produit des cessions d’actifs et bénéficier des plans de relance qui font la part belle aux énergies vertes ?
La crise sanitaire est un signal d’alarme qui doit nous préparer à la prochaine crise, qui sera climatique et certainement plus sévère que celle que nous connaissons. Nous voulons repartir à l’offensive dans les renouvelables où nous avons construit en quelques années de belles positions dans le monde. La demande de nouvelles capacités s’accélère et nous voyons arriver dans ces métiers nos grands concurrents européens comme Enel et Iberdrola, mais aussi de grands pétroliers tels que Total, Shell et BP. Engie est un groupe qui consacre 4 milliards d’euros par an à ses investissements de croissance. Nous voulons utiliser les 8 milliards à venir des cessions pour accélérer ces investissements. Plus de la moitié de ce budget supplémentaire sera, probablement, alloué aux énergies renouvelables. Nous allons concentrer nos efforts sur quelques pays en priorité, comme la France, le Benelux, les Etats-Unis et le Brésil, et y créer des plateformes de développement qui nous permettront d’être encore plus efficaces dans la construction de capacités nouvelles. De plus, comme nous aimons, chez Engie, les projets fondés sur les technologies complexes que nous maîtrisons, nous avons décidé de donner une priorité particulière à l’éolien en mer, qui a pour caractéristique de produire de l’électricité de manière presque constante. C’est une forme d’énergie qui peut se substituer, par exemple, à celle des centrales nucléaires. Nous avons créé une coentreprise avec notre concurrent et aujourd’hui partenaire, le portugais EDPR, pour accélérer notre développement dans l’éolien en mer.
Vous vous employez aussi à réhabiliter le gaz, pourtant d’origine fossile... Que devient l’objectif d’un gaz à 100% vert pour Engie en 2050 ?
Une grande partie de l’histoire du groupe s’est faite autour du gaz, en effet. Dans de nombreux pays, le gaz est un élément important de la transition énergétique car le moyen le plus simple de décarboner une économie consiste à transformer une centrale à charbon en centrale à gaz, qui émet moitié moins de CO2. La situation est différente en France en raison du parc nucléaire. Cependant, pour que le pays atteigne ses objectifs climatiques à vingt ou trente ans, conserver du gaz permettra d’optimiser le coût de la transition énergétique, car c’est une énergie qui se stocke et se transforme facilement. Bien sûr, ce gaz doit être converti en renouvelable, en biogaz dès aujourd’hui et, dans un second temps, l’hydrogène vert trouvera une place de choix dans le système énergétique européen. Ce dernier se marie bien avec l’électricité, qui permet d’en produire par électrolyse de l’eau. A l’inverse, en utilisant une pile à combustible, l’hydrogène peut être converti en électricité dans une voiture, un camion, une locomotive ou dans une installation industrielle. Nous pensons possible de viser à terme un système gazier totalement décarboné.
Quel est l’avenir des centrales nucléaires belges ?
La situation est complexe. Selon la loi belge, les installations nucléaires doivent s’arrêter en 2025, mais il y a un débat sur la nécessité de prolonger ou pas certains réacteurs. D’après nos analyses techniques, deux des sept tranches pourraient être prolongées pour dix ou vingt ans. Le nouveau gouvernement belge a dit qu’il se prononcerait en 2021, selon l’avancée des investissements dans les capacités qui visent à remplacer ces réacteurs par d’autres sources d’énergie. Pour notre part, nous sommes un opérateur responsable et nous étudions les deux options mais, plus le temps passe, moins cela rend l’hypothèse d’une prolongation impossible.
Vous avez présenté une nouvelle stratégie sans attendre l’arrivée de la future directrice générale, Catherine MacGregor, le 1er janvier. Quelle brique peut-elle encore apporter à l’édifice ?
Sa contribution sera essentielle ! C’est elle qui va construire la maison, nous avons simplement fait les plans. Je souhaitais que le conseil d’administration aille au bout de sa réflexion stratégique, traduite par les orientations que nous avons présentées fin juillet. La responsabilité de la directrice générale sera d’élaborer un plan détaillé à partir de ces orientations et de conduire sa mise en œuvre en précisant nos objectifs de croissance pour chacun de nos métiers. Engie est vraiment reparti à l’offensive, sur une base simplifiée, pour devenir un leader de la transition énergétique et climatique.
LA QUESTION QUI DÉRANGE
Après l’annulation du dividende 2019, quel retour aux actionnaires pour 2020 ?
Nous avons dû prendre cette décision difficile de supprimer le dividende, poussés par la conviction que l’année allait comporter beaucoup d’incertitudes, ce qui a été le cas. Nous l’avons aussi décidé pour des raisons de solidarité et avec la volonté de garder la plus grande flexibilité financière. Nous avons demandé un effort à nos actionnaires, et je sais que, pour les actionnaires individuels en particulier, il s’agit d’un gros effort. Nous avons annoncé, le 13 novembre, le retour de notre politique de dividende pour 2020 dans les mêmes conditions qu’auparavant, avec un taux de distribution de 65% à 75%. Il n’est pas prévu de dividende exceptionnel malgré les cessions d’actifs.
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Des supers dividendes en vue ?
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Tout chaud... (L e R e v e n u )
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Oddo BHF a réitéré sa recommandation d’Achat sur le titre Engie (- 1,27 % à 12,05) et relevé son objectif de cours de 14 à 16.
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Goldman Sachs reste acheteur avec un objectif relevé de 13,30 à 13,90 EUR.
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13/11/2020 | 08:47 ZB
Engie a publié un résultat opérationnel courant neuf mois de 2,8 milliards d'euros, en baisse de 27,9 %, et de 24,3 % en organique, pénalisé par la crise sanitaire. L'Ebitda s'élève à 6,2 milliards d'euros, en baisse de 13 % en brut et de 9,7 % en organique. Le chiffres d'affaires s'établit à 39,6 milliards d'euros, en baisse de 8,5 % en brut et de 8,1 % en organique. Cette baisse organique est principalement due à la crise de la Covid-19 et aux températures élevées, affectant principalement le Supply et, dans une moindre mesure, les Solutions Clients dans toutes les zones.
Elle s'explique également par l'expiration d'un contrat de GNL en Amérique du Nord et, dans une moindre proportion, par la baisse des revenus de distribution dans les Infrastructures.
Pour autant, Engie confirme l'atteinte du ROC et du résultat net récurrent part du groupe dans les fourchettes indiquées pour 2020.
De même, le groupe réaffirme son intention de rétablir le paiement d'un dividende, dans le cadre de la politique annoncée l'année dernière, soit une fourchette de 65 % à 75 % de ratio distribution sur la base du résultat net récurrent part du groupe.
Concernant son programme de cessions. Après la vente de sa part dans Suez, Engie a entamé une revue stratégique de sa participation dans GTT, dont il détient 40,4 % du capital. Le groupe envisagera de vendre tout ou partie de cette participation soit par le biais d'un processus de vente formel à un tiers soit par une vente sur les marchés.
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03/11/2020 | 16:09
Paris (awp/afp) - Le groupe français Engie a renoncé à un contrat géant d'importation de gaz américain, qui était contesté par des défenseurs de l'environnement et l'Etat actionnaire, a-t-on appris mardi auprès de l'entreprise.
"Engie a décidé de ne pas donner suite aux discussions commerciales avec NextDecade sur ce projet de fourniture de gaz", a indiqué une porte-parole d'Engie, confirmant une information du Monde.
Ce contrat en discussion avec le groupe américain NextDecade était estimé à près de 7 milliards de dollars et portait sur du gaz naturel liquéfié (GNL) qui aurait transité via le terminal méthanier en projet Rio Grande LNG au Texas.
Il aurait été issu de gaz de schiste produit par fracturation hydraulique, un mode d'extraction très critiqué par les défenseurs de l'environnement et interdit en France.
L'Etat français, qui est actionnaire d'Engie à près de 24%, s'était aussi opposé à cet accord. "Ça ne correspondait pas à notre politique de transition écologique", a indiqué mardi une source gouvernementale.
"Le rejet par le gouvernement et Engie de ce contrat est une nouvelle reconnaissance explicite des ravages climatiques, environnementaux et sociaux du gaz de schiste", a commenté Lorette Philippot, chargée de campagne aux Amis de la Terre France, dans un communiqué.
L'ONG appelle aussi la banque française Société Générale "encore conseiller financier pour le développement de Rio Grande LNG, à se retirer définitivement du projet et à arrêter tout soutien à l'industrie du schiste".
Des parlementaires américains avaient écrit lundi au président français, Emmanuel Macron, afin que le gouvernement renonce à faire pression sur Engie dans ce dossier. Les membres du Congrès avançaient que le LNG américain émettait moins de gaz à effet de serre que le gaz russe et algérien importé par la France.
afp/rp
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Gaz naturel 3.35 USD +11.10% (dernier cours)
Tarif réglementé du gaz naturel : la loi mettant fin aux tarifs réglementés du gaz entre en application
La loi Energie-Climat du 8 novembre 2019 entérine la fin des tarifs réglementés de vente du gaz naturel au 30 juin 2023 pour les particuliers. Cette loi prévoit la fin de la commercialisation des tarifs réglementés de vente du gaz naturel.
Depuis le 20 novembre 2019, il n'est plus possible de souscrire un contrat de gaz aux tarifs réglementés.
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Engie. HSBC reprend le suivi avec un conseil d’achat pour viser 13,90 euros.
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Engie (cours de clôture vendredi 11,74 euros): Morgan Stanley reprend le suivi du titre en suggérant une surpondération en portefeuille. Le bureau d'études fixe un objectif à 15 euros.
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Engie: aucun obstacle juridique à la vente des parts dans Suez à Veolia
Par Le Figaro avec AFP
Publié hier à 20:03
La vente de l'essentiel des parts d'Engie dans le groupe d'eau et de déchets Suez à son concurrent Veolia ne sera pas remise en cause par des contentieux juridiques, a estimé mardi le président d'Engie, Jean-Pierre Clamadieu, quelques jours après un coup de théâtre judiciaire.
«A ce jour nous n'avons identifié aucun contentieux qui pourrait conduire à remettre en question la vente», a déclaré M. Clamadieu lors d'un événement organisé par le journal Le Revenu.
Engie avait décidé le 5 octobre d'accepter une offre de Veolia et de lui vendre l'essentiel de ses parts (29,9%) dans son concurrent Suez pour 3,4 milliards d'euros. Mais le tribunal judiciaire de Paris a ordonné vendredi en référé la «suspension de l'opération» d'acquisition, ainsi que de l'OPA à venir de Veolia sur Suez. Cette suspension a été décidée tant que les comités sociaux et économiques (CSE) de Suez et Suez Eau France, à l'origine de la procédure, n'auront pas été «informés et consultés» sur les «décisions déjà prises», selon l'ordonnance de référé.
Cette décision «impose simplement une obligation de consultation et dit en gros que Veolia ne pourra pas jouir pleinement et utiliser tous les droits que sa position d'actionnaire lui donnent aujourd'hui tant qu'il n'a pas été procédé (...) à la consultation de ces instances», a indiqué M. Clamadieu.
«Il y a des contentieux suite à une décision du collège de l'AMF qui confirmait que l'approche de Veolia était la bonne. A ce jour, à nouveau, aucun contentieux qui conduira à mettre en question cette vente, qui est aujourd'hui réalisée», a aussi indiqué le président d'Engie. Suez avait en effet saisi l'Autorité des marchés financiers (AMF), qui ne lui avait pas donné raison. Suez avait annoncé dans la foulée le dépôt d'un recours devant la Cour d'Appel de Paris.
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Deutsche Bank reprend le suivi de la valeur avec une recommendation à "conserver" et un objectif de cours à 13 euros.
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Message complété le 13/10/2020 15:24:38 par son auteur.
J'avais bien compris Ribo, ça n'est pas exclu...
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