Atos: le groupe n'est pas vendeur de sa division cybersécurité

Véritables montagnes russes pour le groupe de technologies qui encaisse un repli de plus de 4,5 % ce matin à la bourse de Paris et qui retombe sous les 34 euros par action. Ce net repli fait suite à une envolée de 8,16 % lors de la séance d'hier.

Ces mouvements sont liés à une spéculation sur le dossier alors que l'on a appris hier que le groupe Thales avait approché des investisseurs et des cabinets de conseil pour s'intéresser à la division cybersécurité d'Atos.

Depuis, le soufflé est un peu retombé puisque ce dernier a indiqué que sa division cyber sécurité n'était pas à vendre. On comprend d'ailleurs la position du management alors que c'est vraiment la pépite du groupe qui se délesterait plus volontiers d'autres activités moins rentables et avec moins de potentiel.

Il n'en fallait donc pas plus pour que les investisseurs reviennent à une position neutre sur le dossier et que la spéculation se calme. Malgré tout sur le fond, l'affaire reste valorisée assez faiblement alors que la communauté financière attend beaucoup du nouveau management.

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