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Notez la fourberie de macron, et l’inutilité des parlementaires.
La fourberie de macron parce qu’il est le seul responsable de la hausse astronomique de l’électricité qui « flingue » notre industrie. (plusieurs PGD de grandes entreprises le dénoncent)
Mais macron n’assume pas sa traîtrise. Il veut nous faire croire que le responsable est EDF. Donc, en bon gestionnaire de l’état , il vire le PDG, (celui qu’il croyait, hier encore, être à sa botte).
Alors que les Français, et leurs « représentants » (*) devraient virer le vrai responsable: macron.
L’inutilité des parlementaires ?
Doublement inutiles :
1 ) La France a abandonné toute souveraineté à l’E.U. (traites de Maastricht et Amsterdam). Je dis bien TOUTE : Justice, Budget, immigration, liberté de circulation des personnes et des capitaux, fusions entre entreprises, liberté de pensée, etc…etc….
Donc, ce sont les directives de Bruxelles qui s’imposent, et La France (et toutes les autres) ne peuvent plus que dire : Jawoll !
Pour dire Jawoll , un seul individu suffit.
Et non pas 925 parlementaires (députés et sénateurs).
Et comme les textes sont intégralement rédigés par les lobbyistes (plus de 50 000) qui siègent à Bruxelles, une seule secrétaire suffit pour faire les C/C.
2 ) Cerise sur le gâteau : tous ces « parlementaires » , supposés cerveaux supérieurs, auraient enfin toute liberté de se rendre enfin utiles en créant leur industrie, avec force salariés.
(Vous vous imaginez ce que pourrait représenter 925 industriels supplémentaires en France ? grâce à l’économie de 925 parasites qui nous coûtent bonbon, pour rien ?)
Ces « parlementaires »français, maitnes fois humiliés par l'exécutif, , dénués de toute fierté, qui se sont entendus à maintes reprises, pour éviter la destitution de macron.
Mais, pour cela, il aurait fallu qu’ils ne craignent pas la foudre de Bruxelles.
(*) « représentants » du Peuple tant qu’ils sont en campagne électorale. Une fois élus, il ne représentent surtout que leur famille politique (avant de virer d’autre bord) , et avant tout, leur carrière que le dos du contribuable (con - tribuable). Con ? Oui, assurément. Parce qu’il contribue à mettre en place et à entretenir à vie cette engeance d’inutiles qui vit sur notre dos !
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Luc Rémont viré ? Encore un qui a du contredire le roi.
Les EPR ? Ben non hein….C’est bien plus urgent de renforcer nos armées contre le risque important de guerre .
En même temps , les millions dévolus aux armées, ça pourrait servir à rembourser une partie de la dette, en douce.
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Moralité :"Ne jamais être trop bon dans son domaine"!
Quelque part c'est lui qui l'a cherché, est-ce qu'on lui a demandé de faire autant de bénéfices ?
En faisant autant de bénéfices il s'est fait un paquet d'ennemis...
La prochaine fois il fera moins de bénéfices pour ne pas énerver les jaloux.
Cette histoire est triste pour la France pour une fois qu'on avait un bon pdg, on le vire.
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Je note : "Luc Rémont avait pris la tête d’EDF après le départ de Jean-Bernard Lévy. Sa nomination, saluée à l’époque pour son profil de gestionnaire expérimenté, intervenait dans un contexte particulièrement tendu : dette colossale d’EDF, retards sur les chantiers EPR, retour de l’État comme actionnaire unique et enjeux de réindustrialisation. "
Hors rentabilité en hausse, le problème reste entier…
Surtout que exemple, la suisse refuse de lâcher plus d'eau pour faire tourner le site nucléaire de Bugey qui doit accueillir 2 EPR…
A noter sur le graphe du timing au dessous : les hâchures blanches, c'est le retard non estimé… et donc tout ce décale comme à Flamanville…
Donc en 2035, ça ne sera pas prêt… Les voitures à moteurs thermiques vont valoir chères et devraient partir comme des petits pains, vu que normalement on aura plus d'en vendre des neuves.
Les promesses n'engagent que ceux qui les croient…
Dossiers : Le projet de construction de deux réacteurs nucléaires EPR2 à proximité de la centrale du Bugey
Mise à jour : 13 février 2025
Message complété le 21/03/2025 16:55:40 par son auteur.
A noter encore que concernant RTE, il va devoir augmenter ses tarifs de transport de l'électricité vu toute la modernisation de réseau électriques qu'il va devoir absorber, sans compter en plus les nouvelles infrastructures de raccordements et de distributions des EPR…
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L'immense connerie , mais personne et surtout pas Macron ne l'assumeront, a été de se soumettre au diktats de l'UE écolo et cie, et d'ouvrir la "distribution" de l'électricité à des opérateurs rapaces, qui au nom de la "saine concurrence" ont revendu très cher aux industriels, de l'électricité produite par EDF achetée à des prix très bas.....Ils ont tué le reste d'industrie!..
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"Il ne quitte pas" : LUC Remont est viré, suite au coup de gueule du PDG de Saint Gobain …
Ça a bien du chauffer du coté des portables dans les coulisses des ministères…
Un "bras d'honneur à l'industrie française": le PDG de Saint-Gobain dénonce l'électricité trop chère d'EDF
Hier à 18h50
Sur B FM Busi ness, le PDG de l'entreprise française critique vertement les tarifs d'éléctricité appliqués par l'énergéticien qui plombent la compétitivité des industries du pays.
"On marche sur la tête." Benoit Bazin, PDG de Saint Gobain a sévèrement tancé EDF pour ses tarifs d'électricité de plus en plus élevés. Sur BFM Business jeudi 20 mars, le dirigeant estime même que l'énergéticien fait "un bras d'honneur à l'industrie française".
Des mots très durs que Benoit Bazin a détaillés. "EDF, c'est une entreprise nationale qui a une mission de service public sur la compétitivité de l'industrie française et ça a été le cas pendant des décennies", commence-t-il.
"On est en train de totalement sortir de la route. L'électricité ou l'énergie, c'est le premier facteur de compétitivité. Pour maintenir des usines, nous avons déjà différé des investissements industriels en France parce qu'on a pas de visibilité sur les tarifs de l'électricité au 1er janvier 2026."
"Je suis extrêmement choqué"
Et de pousuivre: "Ce qu'on nous dit, c'est qu'elle pourra doubler, c'est +100%. Donc il n'y aura pas de maintien de l'industrie en France voire de réindustralisation et de décarbonation si on marche sur la tête comme on est en train de marcher sur la tête".
"Le dernier exemple en date, c'est la mise en enchères de quotas d'électricité, on met aux enchères, de manière aberrante, l'industrie française, je suis extrêmement choqué", dénonce-t-il.
"C'est un bras d'honneur à l'industrie française, c'est pas possible. Et le gouvernement a été très clair il y a deux ans sur l'attente de signatures de contrat (à long terme, NDLR), il y a 1% de contrats qui ont été signés. On n'est pas du tout au rendez-vous et il y a urgence puisque c'est au 1er janvier 2026", assène Benoit Bazin.
"De fait, l'industrie française ne peut pas fonctionner avec une entreprise nationale qui a été construite avec le contribuable français et qui aujourd'hui ne remplit pas sa mission de partenariat historique avec l'industrie française".
Pourtant, le problème est connu et les dirigeants des grandes entreprises industrielles, fortement consommatrices d'énergie, ne cessent de tirer le signal d'alarme. "Nous avons des interventions auprès des ministères, moi j'attends que les décisions soient prises mais un industriel doit avancer vite".
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Le couperet est tombé ce vendredi 21 mars : Luc Rémont n’est plus le PDG d’EDF. Convoqué à Bercy en début d’après-midi, il a été officiellement remercié par le ministre de l’Économie, Eric Lombard, après des semaines de tensions grandissantes avec les poids lourds de l’industrie française.
Arrivé en novembre 2022 avec la lourde tâche de piloter la relance du parc nucléaire français, Rémont n’aura pas tenu jusqu’à la fin de son mandat initialement prévu pour cinq ans. La décision de mettre aux enchères une partie de l’électricité nucléaire a provoqué une fronde inédite des industriels, en pleine renégociation de leurs contrats de long terme. Dans les couloirs de Bercy, son départ précipité bruissait depuis plusieurs jours. Il est désormais acté.
Depuis plusieurs mois, les tensions étaient vives entre EDF et les grands consommateurs d’électricité, à commencer par les géants de la métallurgie, de la chimie ou de l’automobile. Ces derniers s’insurgent contre la nouvelle politique commerciale d'EDF, qui rend plus incertain l’accès à une électricité bon marché sur le long terme. Cette stratégie, pilotée par Rémont, visait à rendre le groupe plus rentable, mais s’est heurtée de plein fouet à l’objectif de souveraineté énergétique défendu par le gouvernement.
« La décision de vendre l’électricité nucléaire via des enchères a été perçue comme une trahison par les industriels historiques », confie une source proche du dossier. Plusieurs ministres, actuels ou passés, ont aussi exprimé leur malaise face à cette orientation. Bruno Le Maire, Roland Lescure et Marc Ferracci auraient tous fait part de leur désaccord, accélérant la mise à l’écart du PDG.
Issu de Schneider Electric, Luc Rémont avait pris la tête d’EDF après le départ de Jean-Bernard Lévy. Sa nomination, saluée à l’époque pour son profil de gestionnaire expérimenté, intervenait dans un contexte particulièrement tendu : dette colossale d’EDF, retards sur les chantiers EPR, retour de l’État comme actionnaire unique et enjeux de réindustrialisation.
Officiellement nommé pour cinq ans, son mandat d’administrateur devait être renouvelé en juin prochain. Ce point technique ne l’a pas protégé d’un limogeage express, preuve que l’Élysée a souhaité reprendre la main sans attendre, alors que la pression monte sur la facture énergétique des entreprises.
Le nom de Bernard Fontana, actuel PDG de Framatome depuis 2015, circule déjà avec insistance pour succéder à Luc Rémont. Framatome, filiale d’EDF spécialisée dans les technologies nucléaires, joue un rôle stratégique dans les projets de relance du parc atomique tricolore. Fontana, ingénieur et fin connaisseur du secteur, pourrait incarner un retour à une ligne plus technocratique et plus alignée avec les attentes de l’État.
Le changement à la tête d’EDF intervient dans un contexte de grande fébrilité : relance des EPR, crise énergétique européenne, révision des tarifs régulés, pression climatique. L’État ne peut plus se permettre de faux pas. La nomination du futur PDG sera un signal fort sur l’orientation à venir de la politique énergétique française.
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