XEU - Page 2

“What is true is that when the euro was valued at $1.50 or $1.60, it was too much,” he said. “Now I think that’s close to the reality.”

Pour reprendre les mots de DSK

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Plan d'austérité. La zone euro va se serrer la ceinture.

Les Allemands mangeurs de patates vont également se mettre au régime.

Cela suffira t-il à redonner à l'euro un peu de crédibilité sur sa capacité à surmonter la crise de confiance actuelle.

Rien n'est moins sûr tant que ses Etats membres ne se mettront pas d'accord sur une véritable gouvernance économique en Europe, acceptés par leurs électeurs.

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Signe de stabilisation avec cette bougie en forme de marteau inversé. Ce support est à confirmer.

Personnellement je ne suis pas loin de penser qu'un rebond pourrait bien se mettre en place sur ce niveau à condition que les mauvaises nouvelles cèdent le pas à plus d'optimisme raisonné sur la croissance européenne au cours des prochains mois.....

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En principe la sortie du canal haussier a atteint son objectif: retour sur le bas de celui-ci. Mais l'euro n'est pas à l'abri d'excès baissiers. On observe que la zone de survente d'Octobre 2009 a duré 2 mois. Celle qui préocuppe actuellement les investisseurs n'en est qu'à ses débuts. Probablement encore deux à trois mois de pression vendeuse avant que le marché ne revienne sur ses frayeurs et convictions baissières concernant la zone euro.

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je regarde (il est tard) mais intéressant le club de l'économie sur TF1 (2ème partie) avec cette femme qui me plaît Présidente de l'Attac.

Message complété le 17/05/2010 01:47:22 par son auteur.

Susan George Conseil scientifique d’Attac.

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Remettre tout à plat. S'engager dans la voie des réductions des déficits, cela demande du courage politique. Je doute encore de sa capacité et volonté à le faire. Il n'y a qu'à regarder ce qui se passe chez nous ; aucun gouvernement en 10 ans ne s'est véritablement attaqué au problème de la dette.

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Il faut voir tout, logement, nourriture, déplacement, habillement, défraiement... tout ce qui est mis gratuitement à disposition pour la haute administration.

les rémunérations des pdg, dans le privé, se sont alignées sur les USA, sous le prétexte que c'est comme cela que ça fonctionne et qu'il faut garder les meilleurs. C'est vrai mais le problème c'est que leurs salaires auparavant X40 sont devenus X200 voire X1000 ou 2000 (pdg de GS en 2008). Le conseil d'administration même acabit.

Actionnaires, bof (à part quelques rebuffades) c'est comme les élections; tu votes mais c'est pareil au niveau résultat espéré. Les puissants de ce monde font la pluie et le beau temps, et cela n'est pas prêt de changer.

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Dans l'Administration, la fonction publique les salaires et avantages, au plus niveau, sont 'alignés' sur ceux du privé où le rapport de 1 à 15 existe couramment.

Dans le privé, le PDG justifie sa rémunération par le bas de son bilan et devant ses actionnaires. Et son Conseil d'Administration peut le révoquer ad nutum.

Il y a certainement quelque chose à faire dans ce domaine mais pas seulement dans la fonction publique et au niveau de l'Etat en n'excluant aucun échelon de la hiérarchie dirigeante. Sans cela la révolte est au coin du bois...

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Ces investisseurs ne veulent pas croire à la capacité des Européens à défendre leur monnaie le moment venu.

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