CAC40: se rapproche des 3000 sur rumeur rachat dette grecque
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toujours les mêmes commentaires !!!! certaines banques ou ets financiers sont cités et d'autres passés sous silence.La partialité existe t elle chez vous ou il est a se demander si certains arrosent mieux que d'autres....
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(CercleFinance.com) - Le CAC40 franchit la barre des +4% à la hausse (+4,4%) et s'inscrit à 2.980Pts (ex-plancher des 12 et 13 juillet 2009): les 3.000Pts sont en ligne de mire et le bilan trimestriels passe ainsi de 'désastreux' (-31%) à 'sévère' (-25%, alors que la perte annuelle s'établit à -21%).
Encore un effort d'ici vendredi pour remonter au contact des 3.130 et la perte sera ramenée à la proportion d'une 'grosse correction' (-20%).
La Bourse de Paris s'inscrit en forte hausse grâce à la multiplication de rumeurs évoquant l'établissement d'une Banque européenne d'investissement qui se spécialiserait dans les dettes souveraines... et tout le monde pense à la dette grecque.
Cet organisme aurait certaines caractéristiques d'un 'TARP' (structure spéciale mise en place aux Etats Unis en octobre 2008 pour soulager les banques du fardeau des créances douteuses).
Les 'esprits critiques' évoqueront pour l'occasion la création d'une 'bad bank' dont l'essentiel du métier consistera à collecter des fonds pour racheter de la dette grecque (ou italienne...) dévaluée.
Comme l'Allemagne refuse d'approuver l'extension du FESF (voir déclarations de W Schaüble lundi) ou d'autoriser la BCE à monétiser la dette comme le fait la FED, les solutions pour 'éponger' les retombées néfastes de la crise grecque ne sont pas très nombreuses.
L'euro profite également de ces rumeurs pour remonter vers 1,3520 dollar, après être tombé hier à un plus bas de plus de huit mois (1,3360$).
Si ces spéculations - fondées ou non - constituent un signal psychologique plutôt encourageant après les bruits de couloir préoccupants qui circulaient sur les marchés depuis maintenant un mois, bon nombre de spécialistes jugent que la correction n'est pas encore achevée.
'Les marchés d'actions n'ont de toute évidence pas encore atteint le bout du tunnel', estime ainsi Ken Van Weyenberg, chez Dexia Asset Management.
'Seules des décisions politiques claires et radicales pourront rétablir la confiance et entraîner un rebond des marchés', souligne-t-il.
En attendant, les valeurs financières continuent d'emmener le rebond des indices et BNP Paribas (+10,5% à 29E), AXA (+8,8%) et Société Générale (+8,6%) figurent tous en tête de peloton sur le CAC.
Preuve du regain d'optimisme des investisseurs, pas une seule valeur de l'indice SBF 120 ne cède du terrain mardi matin.
On note à peine une sous-performance de Casino (+2%) après une dégradation de HSBC.
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Encore un effort d'ici vendredi pour remonter au contact des 3.130 et la perte sera ramenée à la proportion d'une 'grosse correction' (-20%).
La Bourse de Paris s'inscrit en forte hausse grâce à la multiplication de rumeurs évoquant l'établissement d'une Banque européenne d'investissement qui se spécialiserait dans les dettes souveraines... et tout le monde pense à la dette grecque.
Cet organisme aurait certaines caractéristiques d'un 'TARP' (structure spéciale mise en place aux Etats Unis en octobre 2008 pour soulager les banques du fardeau des créances douteuses).
Les 'esprits critiques' évoqueront pour l'occasion la création d'une 'bad bank' dont l'essentiel du métier consistera à collecter des fonds pour racheter de la dette grecque (ou italienne...) dévaluée.
Comme l'Allemagne refuse d'approuver l'extension du FESF (voir déclarations de W Schaüble lundi) ou d'autoriser la BCE à monétiser la dette comme le fait la FED, les solutions pour 'éponger' les retombées néfastes de la crise grecque ne sont pas très nombreuses.
L'euro profite également de ces rumeurs pour remonter vers 1,3520 dollar, après être tombé hier à un plus bas de plus de huit mois (1,3360$).
Si ces spéculations - fondées ou non - constituent un signal psychologique plutôt encourageant après les bruits de couloir préoccupants qui circulaient sur les marchés depuis maintenant un mois, bon nombre de spécialistes jugent que la correction n'est pas encore achevée.
'Les marchés d'actions n'ont de toute évidence pas encore atteint le bout du tunnel', estime ainsi Ken Van Weyenberg, chez Dexia Asset Management.
'Seules des décisions politiques claires et radicales pourront rétablir la confiance et entraîner un rebond des marchés', souligne-t-il.
En attendant, les valeurs financières continuent d'emmener le rebond des indices et BNP Paribas (+10,5% à 29E), AXA (+8,8%) et Société Générale (+8,6%) figurent tous en tête de peloton sur le CAC.
Preuve du regain d'optimisme des investisseurs, pas une seule valeur de l'indice SBF 120 ne cède du terrain mardi matin.
On note à peine une sous-performance de Casino (+2%) après une dégradation de HSBC.
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