Soc Gén - Recapitalisation 'toute seule' ; besoin de personne, na ! :-
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Comment veux-tu que je le sache ?
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Bonjour,
C'est elle qui a vendu son or?
C'est elle qui a vendu son or?
Message complété le 26/10/2011 13:33:17 par son auteur.
Une vente d'or exceptionnelle.
Une banque centrale de la zone euro a vendu la semaine dernière une quantité d'or exceptionnelle. Le BCE a déclaré mardi qu'une seule banque de la zone euro a vendu de l'or pour 181 millions d'euros
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L'État avait prévenu. Les banques doivent se débrouiller seules, sans l'aide de l'argent public. Les dirigeants de la Société Générale l'ont bien compris et ont décidé d'agir avec leurs propres moyens. C'est l'annonce qui a été faite ce mercredi. La banque française a décidé de se recapitaliser en mettant en réserve ses résultats, voire en faisant appel à ses actionnaires. Son PDG Frédéric Oudéa, l'a confirmé.
Mais l'hypothèse de renoncer aux bonus et aux dividende a été rejetée par Frédéric Oudéa, au micro de la radio Europe 1. « Attendez, les dividendes heureusement que ce n'est pas forcément fini », a-t-il dit, ajoutant que les bonus seraient « modérés et raisonnables ». Si le PDG a dit ne pas savoir à l'heure actuelle le montant de recapitalisation qui serait nécessaire à sa banque, il a insisté sur sa capacité à trouver cet argent sans aide publique.
« On attend le chiffre mais c'est quelque chose qui sera complètement gérable grâce à nos résultats ; on va continuer à faire des profits, on va garder ces profits dans notre banque », a-t-il déclaré. Il a ajouté que dans l'hypothèse où les résultats du groupe serait insuffisants pour recapitaliser sa banque, ce serait les actionnaires de la Société générale qui seraient sollicités et pas l'Etat. « Si jamais il y avait besoin, ce dont je doute, on pourrait faire appel à nos actionnaires, et en tout cas nous ne demandons pas d'argent public », a-t-il assuré.
Société générale mais également BNP Paribas et Crédit agricole ont annoncé une forte réduction de la voilure dans la banque de financement et d'investissement et une réduction de la taille de leur bilan afin de réduire leurs besoins de financement. Frédéric Oudéa n'a pas explicitement dit si ces mesures se traduiraient par des suppressions nettes d'emplois à la Société générale ou dans les autres banques françaises.
Mais l'hypothèse de renoncer aux bonus et aux dividende a été rejetée par Frédéric Oudéa, au micro de la radio Europe 1. « Attendez, les dividendes heureusement que ce n'est pas forcément fini », a-t-il dit, ajoutant que les bonus seraient « modérés et raisonnables ». Si le PDG a dit ne pas savoir à l'heure actuelle le montant de recapitalisation qui serait nécessaire à sa banque, il a insisté sur sa capacité à trouver cet argent sans aide publique.
« On attend le chiffre mais c'est quelque chose qui sera complètement gérable grâce à nos résultats ; on va continuer à faire des profits, on va garder ces profits dans notre banque », a-t-il déclaré. Il a ajouté que dans l'hypothèse où les résultats du groupe serait insuffisants pour recapitaliser sa banque, ce serait les actionnaires de la Société générale qui seraient sollicités et pas l'Etat. « Si jamais il y avait besoin, ce dont je doute, on pourrait faire appel à nos actionnaires, et en tout cas nous ne demandons pas d'argent public », a-t-il assuré.
Société générale mais également BNP Paribas et Crédit agricole ont annoncé une forte réduction de la voilure dans la banque de financement et d'investissement et une réduction de la taille de leur bilan afin de réduire leurs besoins de financement. Frédéric Oudéa n'a pas explicitement dit si ces mesures se traduiraient par des suppressions nettes d'emplois à la Société générale ou dans les autres banques françaises.
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