Alstom: début de séance en baisse après l'offre Siemens-MHI.
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il y a quelques jours je proposais de demander l'avis du pdg de Total dans cette affaire Il est spécialiste des coentreprises dans sa propre activité je pense qu'il faut approfondir la solution de MITSUBISHI qui sauvegarderait l'entreprise et permettrait une alliance technologique et commerciale avec une grande société japonaise Quand on voit la réussite de l'alliance RENAULT NISSAN je ne peux que recommander cette solution
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il y a quelques jours je proposais de demander l'avis du pdg de Total dans cette affaire Il est spécialiste des coentreprises dans sa propre activité je pense qu'il faut approfondir la solution de MITSUBISHI qui sauvegarderait l'entreprise et permettrait une alliance technologique et commerciale avec une grande société japonaise Quand on voit la réussite de l'alliance RENAULT NISSAN je ne peux que recommander cette solution
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(CercleFinance.com) - Alstom a ouvert en baisse mardi matin alors que l'allemand Siemens et le japonais Mitsubishi Heavy Industries (MHI) ont dévoilé hier les contours de leur offre commune.
Le comité indépendant d'Alstom présidé par Jean-Martin Folz a d'ailleurs reçu hier les dirigeants des deux groupes avant d'examiner leur proposition 'dans les jours qui viennent'.
Dans le détail, MHI a expliqué vouloir former une alliance industrielle élargie à travers la création de trois coentreprises avec Alstom et l'injection de 3,1 milliards d'euros en numéraire.
De son côté, Siemens souhaite acquérir 100% des activités de gaz, incluant les contrats de service, pour 3,9 milliards d'euros en numéraire.
'Nous sommes sceptiques', indiquent ce matin les analystes d'Aurel BGC.
'MHI n'apporte pas ses actifs et propose une solution complexe qui verrait le japonais détenir à la fois des participations différentes dans divers actifs de la branche énergie, tout en demeurant concurrent d'Alstom', souligne le bureau d'études.
Aurel rappelle en outre que Bouygues a déclaré ne pas souhaiter se défaire de sa participation dans Alstom.
'L'offre de GE a le mérite de la clarté et de la cohérence', résume l'analyste.
Vers 9h30, l'action Alstom perdait 1,3% à moins de 29 euros. A Francfort, Siemens grappillait 0,4% à 99,2 euros.
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Le comité indépendant d'Alstom présidé par Jean-Martin Folz a d'ailleurs reçu hier les dirigeants des deux groupes avant d'examiner leur proposition 'dans les jours qui viennent'.
Dans le détail, MHI a expliqué vouloir former une alliance industrielle élargie à travers la création de trois coentreprises avec Alstom et l'injection de 3,1 milliards d'euros en numéraire.
De son côté, Siemens souhaite acquérir 100% des activités de gaz, incluant les contrats de service, pour 3,9 milliards d'euros en numéraire.
'Nous sommes sceptiques', indiquent ce matin les analystes d'Aurel BGC.
'MHI n'apporte pas ses actifs et propose une solution complexe qui verrait le japonais détenir à la fois des participations différentes dans divers actifs de la branche énergie, tout en demeurant concurrent d'Alstom', souligne le bureau d'études.
Aurel rappelle en outre que Bouygues a déclaré ne pas souhaiter se défaire de sa participation dans Alstom.
'L'offre de GE a le mérite de la clarté et de la cohérence', résume l'analyste.
Vers 9h30, l'action Alstom perdait 1,3% à moins de 29 euros. A Francfort, Siemens grappillait 0,4% à 99,2 euros.
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