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Dégelée royale et journée Rock'n roll pour Engie gazée - Page 3

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JD1976 JD1976
08/02/2020 08:29:10
1

Et après ?

Contrairement aux rumeurs, Engie n'aurait pas l'intention de se séparer des infrastructures gazières.

Pour UBS cependant le scénario d'une cession de sa filiale spécialisée dans le transport (GRTgaz) à l'Etat reste envisageable.

Selon le broker, l'opération permettrait d'aider le groupe à cristalliser sa valeur, à simplifier sa structure et réallouer son capital vers les activités de croissance (le renouvelable, les solutions clients).

Au-delà, UBS et Goldman Sachs prévoient des résultats 2019 en croissance et affichent leur confiance pour les années à venir. Les observateurs n'ont pas fini de commenter le sort Isabelle Kocher.

  
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JD1976 JD1976
07/02/2020 17:40:01
1

Après l'éviction de la directrice générale Isabelle Kocher, le géant fançais de l'énergie Engie espère la fin des guerres intestines qui l'ont miné depuis des années. De nombreuses interrogations restent toutefois en suspens, de l'avenir de la participation de l'État au nucléaire belge en passant par Suez.

Après son départ, le pilotage opérationnel sera temporairement assuré par un trio de dirigeants : Paulo Almirante (directeur des opérations), Judith Hartmann (directrice financière) et Claire Waysand (secrétaire générale). possède actuellement près de 24% de l'entreprise et peut, s'il le souhaite, réduire voire liquider sa participation depuis l'adoption de la loi Pacte l'an dernier.«Ce n'est absolument pas à l'ordre du jour», a toutefois fait savoir mercredi le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire.

De son côté, le président du conseil d'administration Jean-Pierre Clamadieu avait déclaré en mai lors de l'assemblée générale du groupe qu'«à ce jour, je n'entrevois aucun signe disant que l’État va se précipiter pour réduire sa participation».

«Je pense que l'objectif est bien celui-ci, mais il le fera de manière à ne pas peser, ni sur la stratégie de l'entreprise, ni bien sûr sur la valeur du patrimoine commun de cette entreprise pour l'ensemble de ses actionnaires», avait alors détaillé M. Clamadieu.

L'action Engie, qui était tombée en février 2017 proche de 11,02 euros, valait vendredi matin 15,53 euros, en baisse de 1,18%.


Les infrastructures gazières

Une possible vente des infrastructures gazières en France a fait l'objet de rumeurs mais ce scénario redouté par les syndicats a été démenti aussi bien par M. Clamadieu que par l'Etat.

«Il n'y a aucun projet de démantèlement d'Engie», a assuré Bruno Le Maire.

Le départ de Mme Kocher pourrait toutefois relancer ces spéculations.

Cela pourrait apparaître comme «le moment optimal pour vendre les réseaux en France à prix élevé, avec une hausse de l'action à la clef, facilitant ainsi une vente complète ou partielle de la part de l'Etat», écrivaient les analystes de HSBC le mois dernier.

«Se séparer complètement des infrastructures gazières en France, ça me semble hors de question», estime toutefois Xavier Regnard, analyste chez Bryan Garnier, interrogé par l'AFP.

«Ce qu'on peut avoir c'est une ouverture du capital (du réseau de transport de gaz) GRTgaz à des investisseurs privés mais ça ne signifie pas une séparation complète du groupe», selon lui.

D'ailleurs le capital de GRTgaz est déjà ouvert aujourd'hui puisque 25% appartiennent à la CNP et la CDC. On peut ouvrir un peu le capital pour cristalliser un peu de valeur et réinvestir tout ça dans d'autres infrastructures», note l'analyste.


Le nucléaire belge

En Belgique, Engie exploite sept réacteurs nucléaires via sa filiale Electrabel, mais la gestion de ce parc vieillissant est par moment complexe et occasionne des tensions avec le gouvernement belge.

L'avenir est aussi incertain alors que la Belgique prévoit une sortie progressive du nucléaire d'ici 2025.

Un problème qui apparaît sans issue dans l'immédiat car aucun repreneur crédible n'est pour l'instant envisageable.

Mme Kocher aurait bien tenté de proposer de vendre ce parc à son concurrent EDF, sans succès. La dirigeante a démenti une telle offre mais celle-ci a été confirmée par une autre source bien placée.


Suez

Dernier gros dossier : l'avenir de la participation de 32% du groupe dans le géant de l'eau et des déchets Suez.

Engie avait indiqué fin 2018 avoir l'intention de conserver «son niveau actuel de participation», alors que les relations actionnariales entre les deux entreprises font l'objet de spéculations récurrentes. «C'est une option que nous garderons pour quelques années», indique le président Jean-Pierre Clamadieu dans Les Echos.

«Le départ de Mme Kocher pourrait être une bonne opportunité pour revenir sur le sujet d'autant plus que côté Suez on va avoir le départ (du président) M. Chaussade au mois de mai» estime pour sa part Xavier Regnard.

«Je pense qu'il n'y aura pas de retour de Suez dans le giron d'Engie parce qu'aujourd'hui ce n'est pas la stratégie d'Engie. Les deux groupes collaborent sur certains sujets mais il n'y a pas vraiment de synergies à en tirer. Je pense qu'on ira plutôt vers un scénario de sortie du capital», estime l'analyste.


Le Revenu, avec AFP



  
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gars d'ain gars d'ain
07/02/2020 12:13:40
0

Jean-Pierre Clamadieu : pourquoi Engie se sépare d'Isabelle Kocher

Engie va changer de patron. Le conseil d'administration de l'énergéticien français a décidé jeudi de ne pas renouveler le mandat de la directrice générale Isabelle Kocher. Le président du conseil d'administration, Jean-Pierre Clamadieu, explique ce choix controversé et promet que l'intégrité du groupe sera préservée.

....

https://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/jean-pierre-clamadieu-pourquoi-engie-se-separe-disabelle-kocher-1169808

  
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gars d'ain gars d'ain
06/02/2020 10:28:55
0

Total cède à Elengy (Gpe Engie) sa part dans le terminal gazier de Fos


PARIS (Reuters) - Total (PA:TOTF) a annoncé jeudi avoir cédé sa part de 27,5% dans Fosmax LNG, opérateur du terminal méthanier de Fos Cavaou, à Elengy, qui détient déjà le solde de la société.

Le montant de la transaction est de l’ordre de 260 millions de dollars, précise dans un communiqué le groupe pétrolier, ajoutant que cette opération contribuera à la réalisation de l’objectif de cession de cinq milliards de dollars sur 2019-2020.

Elengy est une filiale du groupe Engie (PA:ENGIE).

  
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avis1 avis1
05/02/2020 13:54:16
0

2022 décision sur edf nucléaire. Le bébé au suivant.. marre de cette incurie on a besoin d energie force de l indépendance de la france . Qui dirige quoi .pays de GJ

  
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avis1 avis1
05/02/2020 13:52:29
0

Areva 2 le retour

  
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avis1 avis1
05/02/2020 13:51:42
0

L agressivite commerciale était telle que engie a été condamné à 900 000 € d amende ..

Pour ma part ma fille a été insulté par ses services avec une signature détournée.

La patronne a bien promu des amis j espère. Cette société n a pas une grande valeur capitalistique.du service et du vent .le développement de total me semble plus cohérent avec les besoins nationaux .


Aller à acheter des centrales hydrauliques au portugal.. c est dingue

  
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Bill17 Bill17
05/02/2020 13:46:20
0

Vous voulez faire rugir l'arrière garde Conservatrice.

Pronocez le nom de cette femme: Sego......

Message complété le 05/02/2020 13:48:11 par son auteur.

Pur hasard? le nom de cette femme est dans le titre de cette file....
un signe??

  
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CRI74 CRI74
05/02/2020 12:17:14
2

.....et d'après les Echos , mandat non renouvelé .En remerciement du travail de fond pour faire évoluer Engie vers de bien meilleures pratiques et avancer vers des énergies bien plus propres

Mais l'arrière garde conservatrice , malheureusement soutenue par un état pitoyable lorsqu'il s'agit d'environnement ,veille .

Non actionnaire et pas près de l'être , si cela se confirme

  
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JD1976 JD1976
05/02/2020 12:09:07
0

Par Le Figaro avec AFP

Publié il y a 18 min

Un conseil d'administration d'Engie a été convoqué jeudi pour se prononcer de manière anticipée sur le renouvellement ou non de la directrice générale Isabelle Kocher, ont indiqué des sources concordantes mercredi.

  
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gars d'ain gars d'ain
05/02/2020 11:10:31
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Levée de boucliers des syndicats d’Engie face au risque de scission

PUBLIÉ LE 06/12/2019

https://www.capital.fr/entreprises-marches/levee-de-boucliers-des-syndicats-dengie-face-au-risque-de-scission-1357085

  
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JD1976 JD1976
05/02/2020 10:59:00
1

Engie : Isabelle Kocher fait du bruit pour garder son poste

Par Franck Bouaziz — 4 février 2020 à 20:43

Seule femme patronne d'une entreprise du CAC40, la directrice générale d'Engie se bat pour son renouvellement à la tête du groupe spécialisé dans l'énergie au prix d'un conflit désormais ouvert avec le président, Jean-Pierre Clamadieu. Et tous les coups de com sont permis.

La boîte à gifles est désormais ouverte. Depuis plusieurs semaines, le Tout-Paris du monde affaires bruissait de la possible éviction d’Isabelle Kocher à la tête d’Engie. En cause, les divergences stratégiques entre la directrice générale et le conseil d’administration du groupe de services énergétiques, au premier rang duquel son président Jean-Pierre Clamadieu.

Depuis dimanche et l’interview donnée par Isabelle Kocher au Journal du dimanche pour «répondre aux attaques qui la vise», la tension est montée d’un cran. Celle qui dirige l’ex-GDF Suez depuis 2016 et bataille maintenant depuis des semaines pour obtenir un nouveau mandat de quatre ans contre vents et marées s’y dit «motivée pour poursuivre [sa] mission». On ne saurait être plus clair. Hasard ou coïncidence, Engie s’offre une pleine page de pub dans ce même numéro du JDD. Le lendemain de la sortie de Kocher, c’est le chef de file des Verts, Yannick Jadot, qui déclare sans crier gare sur LCI : «Je soutiens cette femme qui est en train de faire changer un grand groupe énergétique français vers ce que nous portons, la révolution climatique, la révolution énergétique.»

Et mardi, une tribune signée par 53 personnalités de la vie politique ou du monde des affaires vole à son secours dans le journal les Echos : «Le non-renouvellement d’Isabelle Kocher à la tête d’Engie serait incompris et incompréhensible bien au-delà de la seule gouvernance d’entreprise», écrivent de concert des personnalités aussi diverses que Xavier Bertrand, Myriam El Khomri, Luc Ferry, Anne Hidalgo, Yannick Jadot ou encore Cédric Villani. La seule femme du CAC 40 menacée par un complot d’hommes en costumes gris… Tout cela sent évidemment le plan com bien huilé. «J’ai signé sans hésitation», indique à Libération Gonzague de Blignières le PDG du fonds d’investissement Raise. «Elle a le soutien de toutes les parties prenantes de l’entreprise que ce soient les clients ou les salariés», renchérit David Layani dirigeant de la société de services One Point et autre signataire.

Bataille de com

Un ministre important du gouvernement y va également de son soutien : «J’aurais pu signer la tribune. Je trouve qu’Isabelle Kocher fait un travail remarquable à la tête d’Engie et qu’elle a transformé l’entreprise à moyen et long terme.» De fait, en quatre ans, Kocher a désengagé l’ex-GDF Suez du charbon et a vendu pour 15 milliards d’euros d’actifs pour recentrer le groupe sur le gaz, les énergies vertes et les services liés à la transition énergétique. Avec quelques succès puisque le cours de Bourse de Engie a bondi de 42% depuis début 2017. Mais le camp Clamadieu considère que la directrice générale d’Engie ne met pas en musique comme il le faudrait la stratégie décidée par le conseil d’administration et pointe «un problème de confiance». En revanche, Bruno Le Maire, en première ligne sur ce dossier en tant que ministre de l’Economie se montre beaucoup plus prudent, pour ne pas dire distant vis-à-vis d’Isabelle Kocher : «C’est uniquement et exclusivement au regard des critères économiques que nous prendrons ou non la décision de renouveler ou non le mandat de la directrice générale d’Engie», a-t-il répondu lors des questions d’actualité à l’Assemblée nationale.

Une chose est sûre : après plusieurs semaines de silence et d’attentisme Isabelle Kocher a décidé de ne plus subir et de passer à l’offensive. Il faut dire que le temps est compté : le conseil d’administration chargé de statuer sur son sort est normalement programmé pour le 26 février. Selon des informations qu’a pu recueillir Libération, deux gros cabinets de conseil en communication sont désormais mobilisés pour mener le combat en faveur de son renouvellement. Par ailleurs des dossiers censés déstabiliser Jean-Pierre Clamadieu, le président d’Engie, commencent à faire surface. Notamment un rapport auquel il a participé pour l’institut Montaigne et qui prend position en faveur de l’exploitation du pétrole issu des gaz de schiste. «Pas vraiment en phase avec une entreprise qui se veut pleinement impliquée dans la transition énergétique», fait remarquer un défenseur d’Isabelle Kocher. Ambiance…

Différend stratégique

Du côté des proches du président d’Engie, Jean Pierre Clamadieu, on s’étonne de voir la directrice générale «aller chercher une légitimité à l’extérieur de l’entreprise» tout en rappelant que «c’est au conseil d’administration de faire le boulot» à propos du renouvellement ou non d’Isabelle Kocher. L’organe en question compte 14 membres, dont trois représentants de l’Etat, premier actionnaire d’Engie avec 26,4% du capital. Leur vote sera donc déterminant pour le maintien ou l’éviction de la seule femme à diriger à ce jour une entreprise du CAC 40. Mais il est pour le moment difficile de prévoir dans quel sens la balance penchera.

Mais il y a quelques indices. A ce jour, le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, qui parle pour l’Etat actionnaire, n’a pas affiché le moindre soutien à Isabelle Kocher, ou alors comme la corde soutient le pendu. Faut-il y voir le signe que le sort de Kocher est déjà joué ? À la querelle de personnes entre les deux têtes d’Engie, s’ajoutent en, tous cas des divergences stratégiques. Isabelle Kocher serait favorable à une prise de contrôle de la filiale de services aux collectivités locales Suez, dans laquelle Engie possède une participation de 32%. Elle aurait même soumis l’idée une OPA (offre publique d’achat) d’Engie sur Suez au Premier ministre lors d’une rencontre en septembre à Matignon. Objectif : consolider le groupe et renforcer son bilan financier. Or le conseil d’administration d’Engie est vent debout contre cette idée et ne manque pas de le rappeler.

Le premier résultat tangible de la zizanie dans laquelle est plongé Engie pourrait néanmoins être une accélération du calendrier. Un conseil d’administration extraordinaire pourrait être convoqué dans les tout prochains jours, bien avant la date prévue du 26 février, de manière à trancher sans attendre le sort de la directrice générale. Il y a visiblement urgence à refermer rapidement la boîte à baffes.

A suivre... 🤔


  
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vlfr006 vlfr006
04/02/2020 19:42:24
3

Des fois ,je me demande si il est bon de connaitre le sexe de la personne qui dirige la boite , la compétence devrait être le seul atout . Enfin ,je dis ça ......

  
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gars d'ain gars d'ain
04/02/2020 19:38:54
2

Comme j'avais dit, ça confirme bien que c'est l'état qui dirige ce push, selon moi pour divergence de points de vues.


A mon avis il se trame un projet de scission en 2 entités comme chez EDF vert / EDF Bleu... ça sent mauvais !...

: (

  
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JD1976 JD1976
04/02/2020 17:38:37
1

L’avenir d’Isabelle Kocher à la tête d’Engie sera déterminé par son bilan, avertit Le Maire

PUBLIÉ LE 04/02/2020 À 17H00 MIS À JOUR LE 04/02/2020 À 17H12

C'est le bilan économique d'Isabelle Kocher qui déterminera son maintien à la tête du géant de l'énergie Engie, a indiqué le ministre de l'économie, alors que l'Etat détient 23% du capital.

Isabelle Kocher parviendra-t-elle à rester la patronne d'Engie ? L'Etat prendra sa décision sur le renouvellement ou non de son mandat de directrice générale "uniquement" au regard de critères économiques, a déclaré le ministre de l'Economie et des Finances Bruno le Maire, rapporte cet après-midi Reuters. Cette annonce survient après la publication d'un article du Monde qui revient sur la guerre de gouvernance que se livre Isabelle Kocher et son conseil d’administration, présidé par Jean-Pierre Clamadieu.

Le journal rappelle que l'Etat, premier actionnaire d'Engie avec 23,64 % du capital, avait fait savoir jusque-là qu'il entendait laisser le conseil d'administration faire son travail. Mais rappelle Le Monde, dimanche 2 février, dans un entretien au Journal du dimanche, Isabelle Kocher a dénoncé une " campagne " contre elle et a insisté sur le fait qu'elle s'inscrivait dans la ligne droite des engagements du président de la République sur le climat. Dans la foulée précise le quotidien, un collectif allant d'Anne Hidalgo à Xavier Bertrand en passant par Cédric Villani, a publié une tribune dans Les Echos pour vanter la " réussite " d'Isabelle Kocher leader " indispensable " à Engie.

Pour Le Monde, "ce déballage en place publique a pour objectif avoué de pousser les pouvoirs publics à intervenir. "

L'intervention de Bruno le Maire signifie-t-il que l'Etat a tranché en faveur de la seule femme à diriger une entreprise du CAC 40 ? Toujours est-il que les résultats 2019 d'Engie, attendus jeudi 27 février, devraient être bons.



  
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moicmoi moicmoi
02/02/2020 14:25:56
2

Je ne vois pas l’intérêt de ce ramdam.

De toutes façons, vu son cursus et la protection de l’ombre ailée de l'état...., son avenir n’est en aucune façon menacé. Il lui sera toujours proposé un fauteuil doré pour aller jusqu’à son 80 eme anniversaire. Sans problème.

Alors, chez Engie, ou chez EDF, ou à la tête d’un consortium des énergies (à créer), ou n'importe quel autre "bidule" créé pour la circonstance ….ça roule ma poule !

Je me fais moins de soucis pour elle que pour l'avenir de mes petits-enfants.

  
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JD1976 JD1976
02/02/2020 08:54:09
1

Kocher confiante dans le conseil d'administration dEngie et le soutien de lEtat-JDD


PARIS, 2 février (Reuters) - La patronne d’Engie Isabelle Kocher, en difficulté à la tête du groupe industriel énergétique français, affirme sa confiance dans le conseil d’administration pour la reconduire dans ses fonctions et assure que “rien” dans ses relations avec l’Etat actionnaire ne lui permet de penser qu’elle n’est pas soutenue.

Dans un entretien au Journal du Dimanche, la dirigeante précise travailler “étroitement” avec le président du conseil d’administration Jean-Pierre Clamadieu et confirme son intention de renforcer son rôle en lui soumettant “systématiquement les nominations au sein du comité exécutif”.

Le conseil d’administration du géant de l’énergie doit se prononcer en février sur le renouvellement du mandat d’Isabelle Kocher, en poste depuis 2016, dont le mandat arrive à échéance en mai.

Priée de dire si elle croit en ses chances, elle répond avoir “confiance dans le conseil d’administration” et précise ne pas se placer dans la “perspective” d’un échec.

A la question de savoir si elle dispose du soutien de l’Etat, actionnaire à 23,6%, Isabelle Kocher déclare : “Rien dans mes relations avec l’Etat ne me permet de penser le contraire. Mes contacts avec ses représentants sont nombreux et constructifs”.

Elle ajoute que l’évaluation à laquelle elle s’est prêtée sur la demande de Jean-Pierre Clamadieu est “positive et confirme que j’ai le profil adéquat pour diriger Engie.”

“Elle identifie aussi des points qui peuvent être améliorés et c’est pour cela que j’ai fait des propositions au conseil (...). Ils se sont montrés très disponibles pour y travailler avec moi”, assure-t-elle.

La directrice générale d’Engie se dit surprise de ce qu’elle présente comme “une campagne de presse” à son encontre.

“Sauf s’il y a un projet stratégique que je ne connais pas, cette campagne négative est pour le moins surprenante pour tout le monde. Les résultats sont là. L’entreprise est en croissance, le cours de Bourse également, nos carnets de commande sont pleins”, dit-elle. (Rédaction de Paris)

A suivre...

  
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gars d'ain gars d'ain
29/01/2020 18:14:55
2

Merci, JD1976 !


En sous-mains et téléguidé, personne n'est dupe...

en gros, on va enlever des boules et des guirlandes au sapin de noël que l'on va revendre au marché pour faire mettre des sous dans certaines tirelires...


La direction prise par Kocher semblait plutôt porter ses fruits. On va nous faire le même coup que chez Renault... Tout simplement parce qu'elle partage pas les vues de l'Etat ????

Une fois, l'Etat démontre toutes ses qualités de piètre actionnaire et de gestionnaire à la petite semaine au gré du vent qui rempilerait les caisses de suffrages...


Pitoyable et affligeant...

  
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JD1976 JD1976
29/01/2020 18:07:51
2

Engie : Jean-Pierre Clamadieu pourrait remplacer Isabelle Kocher

29/01/2020 12:14 | Boursier

Les jours d'Isabelle Kocher à la tête d'[FR:FR0010208488:0]Engie[:FR] semblent bel et bien comptés. Si aucune annonce n'est attendue à l'issue du Conseil d'administration prévu aujourd'hui, le non-renouvellement du mandat d'Isabelle Kocher pourrait être officialisé le mois prochain. Très critiquée en interne, et guère soutenue par Bercy, la dirigeante pourrait être remplacée de façon intérimaire par Jean-Pierre Clamadieu, l'actuel président d'Engie. Citant une source proche du gouvernement 'BFM Business' affirme que "tout le monde est contre elle". La nomination de Jean-Pierre Clamadieu à la tête du groupe énergétique permettrait à l'entreprise d'avoir un peu de temps pour choisir son nouveau patron.

Selon le site d'informations, le départ d'Isabelle Kocher serait suivi de celui de plusieurs cadre-dirigeants. Le DRH, Pierre Deheunynck, et le responsable du digital, Yves Le Gélard, très proches de la directrice générale, pourraient notamment faire leur valise, tout comme la directrice financière, Judith Hartmann.

Au niveau opérationnel, le départ d'Isabelle Kocher pourrait enclencher le processus de scission des infrastructures gazières de l'ancien Gaz de France et remettre en jeu la participation de 32,1% d'Engie dans Suez. Alors que la patronne actuelle souhaitait accroître sa participation dans Suez, Jean-Pierre Clamadieu voudrait, à l'inverse, se désengager du capital du spécialiste de la gestion de l'eau et des déchets.

A suivre...

  
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gars d'ain gars d'ain
25/01/2020 10:55:32
2

Engie: Forte croissance auprès des villes et entreprises en France


24/01/2020 | 13:03

ENGIE: FORTE CROISSANCE AUPRÈS DES VILLES ET ENTREPRISES EN FRANCE

Engie a vu ses prises de commandes croître de plus de 10% en 2019 auprès des entreprises et des collectivités locales en France, un marché sur lequel le groupe vient de se réorganiser dans un souci de simplification et d'efficacité.

Wilfrid Petrie, directeur général adjoint chargé d'Engie Solutions, qui rassemble depuis le 1er janvier toutes les activités de services "BtoB" d'Engie en France, a également dit lors d'une conférence de presse que les ventes de la nouvelle entité avaient atteint un peu moins de dix milliards d'euros l'an dernier, enregistrant une croissance organique supérieure à 5%.


"Sur les prises de commandes, nous avons connu une accélération sur le dernier trimestre", a précisé le dirigeant.


La création d'Engie Solutions correspond à la spécialisation du groupe dans les services à haute valeur ajoutée et les énergies renouvelables pour les entreprises et les collectivités locales dans le cadre d'un plan stratégique sur trois ans, présenté début 2019, axé sur le souhait de ses clients de réduire leurs émissions de CO2.

La nouvelle entité regroupe des activités aussi diverses que le génie climatique, le génie électrique, des services énergétiques et techniques ou encore des réseaux de chaleur et de froid.

Avec plus de 900 implantations sur l'ensemble du territoire français et quelque 50.000 salariés, Engie Solutions propose des services de conception, de financement, d'installation, d'exploitation et de maintenance à destination des villes, des industries et du secteur tertiaire.

  
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