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Les banques .... no comment ...

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jipes jipes
24/05/2015 08:51:48
0
Et que pensez-vous des richesses cachées des grandes banques qui regorgent dans leurs coffres (œuvres artistiques en tout genre : peintures de grands maîtres, sculptures, tapis de soie, etc.), œuvres acquises il y a fort longtemps à des prix défiant les cours des marchés !
  
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CRI74 CRI74
23/05/2015 20:29:48
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Au fait , l'affaire Kerviel donne par ses fondements l'ordre d'idée des masses d'argent affectées quotidiennement à la pure spéculation , par "tranches" d'un à 50 MDS € suivant la météo du jour .
Pendant ce temps accrochez vous pour quelques milliers d'euros de prêt !
  
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CRI74 CRI74
22/05/2015 19:05:04
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Non seulement les amendes ne sont pas dissuasives , payées rubis sur l'ongle pour s'absoudre des "péchés" commis , mais elles ont pour effet , faute de contrôle voire règlements suffisants , d'augmenter encore leurs propensions spéculatives sinon fraudeuses .
Les gains engrangés sont autrement plus mirifiques que les menues sanctions encourues .
Evidemment , le risque crédit entreprise n'apportant guère d'écho rapide et substantiel pas plus que le particulier , l'excuse est toute trouvée .
Il faudra créer un pôle mondial anti mafia pour venir à bout de ce problème majeur pour la planète , les économies réelles ne voyant plus circuler qu'une infime partie des colossales masses d'argent soustraites à leur utilisation première
  
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shine2008 shine2008
22/05/2015 15:25:57
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par Steve Slater
LONDRES, 22 mai (Reuters) - Vingt des principales banques
mondiales ont payé plus de 235 milliards de dollars (210
milliards d'euros) d'amendes et d'indemnités sur les sept
dernières années pour une série d'infractions, de délits et de
comportements jugés répréhensibles qui empêchent le secteur de
tourner définitivement la page de la crise.
L'ampleur de ce montant, qui équivaut à une année de produit
intérieur brut (PIB) de la Grèce ou du Portugal, freine le
renforcement du bilan des banques concernées, les oblige à
réduire les dividendes versés à leurs actionnaires et limite
leur capacité à prêter.
La facture est sans doute encore loin d'être définitive et
nombreux sont ceux, parmi les responsables politiques, les
organismes de régulation et les observateurs du secteur, qui
jugent nécessaires de nouvelles mesures pour encadrer les
activités des banques.
"Certaines choses ont changé mais je ne suis pas convaincu
qu'un changement complet de culture puisse se faire sans que des
mesures soient prises", explique Mark Taylor, doyen de l'école
de commerce de l'université anglaise de Warwick.
Cet ancien trader sur les marchés des changes et conseiller
de la "Fair and Effective Markets Review" de la Banque
d'Angleterre juge que les bonus des banquiers sont trop élevés,
que la menace de la prison n'est pas assez dissuasive pour les
fraudeurs et que les dirigeants des banques ne rendent pas
suffisamment de comptes.
"Le problème, c'est que l'incitation à tricher est énorme.
Il suffit de faire varier un taux d'une fraction pour faire
gagner des millions et des millions de dollars à votre banque,
donc pour gagner des bonus."

LA NOTE RISQUE DE S'ALOURDIR ENCORE
"Quand les hauts dirigeants auront le sentiment qu'ils
courent personnellement des risques si la culture ne change pas,
quand chaque trader aura le sentiment qu'il risque d'aller en
prison, alors on assistera à un changement de culture."
Pour l'instant, en dépit de l'ampleur des sanctions
financières infligées aux banques, rares sont les salariés ou
les dirigeants des établissements concernés à avoir été
condamnés, quel que soit le pays dans lequel l'affaire a été
instruite.
La dernière série d'amendes en date, mercredi, a visé six
banques pour un montant total de près de six milliards de
dollars dans le dossier de la manipulation concertée des taux de
change. ID:nL5N0YB3Z7
La note devrait encore s'alourdir au terme des enquêtes en
cours sur les pratiques de commercialisation de certains
produits de crédit immobilier par des établissements américains.
Et plusieurs autres dossiers, concernant par exemple les taux
d'intérêt et les changes, ne sont pas encore bouclés.
Les dirigeants des banques affirment payer aujourd'hui pour
des fautes passées et assurent que les règles ont été durcies.
Mais l'autorité financière britannique estime qu'imposer de
lourdes amendes ne suffit pas à faire évoluer les comportements,
tout en admettant qu'une telle évolution requiert du temps.
La Grande-Bretagne est en train de mettre en place des
règles en vertu desquelles les hauts dirigeants et les membres
du conseil d'administration d'une banque seront directement
responsables de leurs décisions, espérant ainsi inciter le
secteur à prévenir plus efficacement les comportements
répréhensibles.

(Marc Angrand pour le service français, édité par Juliette
Rouillon)
  
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