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Boeing dépasse les 100 milliards de dollars de chiffre d'affaires en 2

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tirelire19 tirelire19
13/03/2019 15:51:14
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Cela faisait partie du communiqué : la catastrophe d' octobre déjà citée rajoutez y celle de mars , Il faut préserver la valorisation du titre malgré les deux catastrophes .

Si seulement les compagnies pouvaient renoncer à leurs commandes , vous verriez les conséquences sur le cours .

Tout çà est bien une histoire de FRIC . On se moque des 346 morts et de tout le reste du moment que l' on continue à vendre des Boeing de ce type .

  
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tirelire19 tirelire19
13/03/2019 15:42:06
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Evènement , NEWS tombé le 30 janvier dernier
  
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tirelire19 tirelire19
13/03/2019 15:42:06
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(FILES) Un 737 MAX 9 de Boeing le 7 mars 2017 après un vol test à Renton (nord-ouest) (AFP/Archives/Jason Redmond)

L'avionneur américain Boeing a atteint pour la première fois de son histoire le seuil symbolique des 100 milliards de dollars de chiffre d'affaires annuel en 2018 et table sur des livraisons record d'avions cette année.

Le titre bondissait de près de 7% à Wall Street vers 18H10 GMT, les marchés semblant soulagés de voir que le constructeur aéronautique ne prévoit pas de perturbation particulière de son activité malgré les tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine et le ralentissement économique mondial.

Le groupe, basé à Chicago, veut livrer entre 895 et 905 avions civils cette année, en hausse d'au moins 11% comparé à l'année écoulée, ce qui serait un record absolu et lui permettrait de maintenir sa place de leader, devant son éternel rival Airbus.

Il vise un chiffre d'affaires annuel compris entre 109,5 et 111,5 milliards de dollars et un bénéfice par action ajusté des éléments exceptionnels, référence en Amérique du Nord, de l'ordre de 19,90 à 20 dollars.

Ce tableau suggère que Boeing est convaincu que les goulots d'étranglement rencontrés par ses sous-traitants et fournisseurs l'an dernier sont dans le rétroviseur au moment où il prévoit d'augmenter les cadences de production du long courrier 787 "Dreamliner" (14 exemplaires par mois contre 12 l'an dernier) et du monocouloir 737 (57 unités par mois contre 52 en 2018) pour répondre à la croissance du trafic aérien mondial.

"Il reste des endroits où nous devons encore faire des efforts comme les moteurs", a déclaré Dennis Muilenburg, le PDG, lors d'une conférence téléphonique, ajoutant que l'avionneur allait déployer ses salariés dans les usines de CFM, la co-entreprise entre General Electric et Safran qui fabrique le réacteur de nouvelle génération LEAP.

- Nouvel avion en 2020 ? -

Boeing s'attend par conséquent à ce que le premier trimestre soit le plus faible en termes de livraison, selon M. Muilenburg, qui a par ailleurs réaffirmé que le groupe allait se prononcer cette année sur le lancement d'un nouvel avion de "milieu de marché". La date de lancement serait 2020.

L'avionneur se distingue des autres multinationales américaines comme Apple, Caterpillar et Ford, qui ont averti que le coup de mou de l'économie chinoise allait affecter leur activité dans les prochains mois.

Fleuron industriel et une des marques américaines les plus connues, l'avionneur est pourtant une des cibles idéales pour tout pays voulant répliquer aux taxes douanières supplémentaires imposées sur les importations par le président, Donald Trump.

Le groupe se présente lui-même comme le plus gros exportateur américain car environ 80% de ses avions sont destinés à l'export.

De janvier 2016 à janvier 2018, la Chine, où il a ouvert mi-décembre sa toute première usine d'assemblage, a représenté 20% des avions livrés, soit 303 sur 1.511 appareils réceptionnés par les compagnies aériennes, selon l'avionneur.

Boeing assemble en outre une grande partie de ses avions avec des pièces fournies par des équipementiers répartis à travers le globe.

"La Chine reste pour nous un marché où l'on peut réaliser de la croissance à terme", a souligné Dennis Muilenburg.

L'optimisme du constructeur aéronautique repose sur une bonne santé de sa division aviation civile, dont le carnet de commandes présentait au 31 décembre 5.900 appareils, évalués à 412 milliards de dollars. La marge bénéficiaire s'est améliorée à 15,6% au quatrième trimestre, contre 11,6% un an plus tôt.

Boeing mise également sur la hausse des dépenses militaires à travers le monde, en raison d'une recrudescence des tensions géopolitiques, et sur son offre de services à l'industrie aéronautique.

Outre le Pentagone, le constructeur aéronautique a engrangé auprès du gouvernement japonais une commande portant sur son avion ravitailleur KC-46 tandis que l'Espagne l'a retenu pour moderniser 17 hélicoptères Chinook.

L'an dernier, l'avionneur a atteint pour la première fois de son histoire le seuil symbolique des 100 milliards de dollars de chiffre d'affaires sur une année, à 101,1 milliards (+7,6%), grâce à des livraisons dynamiques d'avions civils.

Il a livré 806 avions commerciaux, contre 800 pour Airbus, et a également engrangé beaucoup plus de commandes nettes, 893 contre 747.

Le bénéfice net annuel a par conséquent bondi de 24,2%, à 10,1 milliards de dollars, dont 3,4 milliards de dollars au quatrième trimestre.

Boeing doit toutefois encore répondre aux questions sur le crash d'un 737 MAX de Lion Air ayant fait 189 morts en octobre dernier au large de l'Indonésie. Une des boîtes noires avait pointé des problèmes d'indicateur de vitesse, un coup dur pour cet avion, version modernisée du best-seller 737.

© 2019 AFP

  
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