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France: la dette publique grimpe à plus de 100% du PIB

Cours temps réel: 7 956,64  -1,10%



CRI74 CRI74
20/12/2019 17:00:46
1

La dette de la SNCF constitue un faux problème , revenant là où elle n'aurait jamais dû sortir .

L'état a imposé la construction d'un réseau maillé du territoire de lignes à grande vitesse financée intégralement par la dette de l'entreprise . Il la récupère maintenant , rien de plus normal .

Il en est de même avec la démographie impactant le régime des retraites SNCF .La reconstruction du pays après guerre s'est faîte pour partie par embauche forcée de 500 000 cheminots , retraités maintenant . D'où le déficit .

Absolument tout le monde profite de cette situation ..... mais personne ne veut assumer .

Cherchez l'erreur !


Concernant la gestion du déficit , les cadeaux perpétuels apportés aux lobbys à coups de dizaines de milliards ne permettent jamais de redescendre l'endettement . C'est bien ici qu'il faut dénicher le problème et pas ailleurs .

Message complété le 21/12/2019 09:50:30 par son auteur.

Le CICE pérennisé ,cadeau apporté à des entreprises qui versent déjà plus de 50 milliards de dividendes n'y est évidemment pour rien ....
Piquer dans le déficit pour le transférer dans les poches des fonds internationaux relève donc d'une gestion "ultralumineuse" de Bercy !!!

  
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papygaga papygaga
20/12/2019 16:34:59
0
Calcul selon les normes IFRS :

Les recettes et créances attendues ne sont pas comptabilisées tant qu'elles ne sont pas encaissées mais par contre toutes les dépenses effectuées ou programmées sont comptabilisées.

En somme cela revient à extourner toutes les créances car susceptibles de faire défaut.
  
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Srem Srem
20/12/2019 15:57:54
1

Pleurez de rire si vous voulez quoique je doute que vous soyez un patron d'entreprise !
Je n'ai rien affirmé d'autre que de dire que 100% du Produit Intérieur Brut d'une seule année ne représentent pas la richesse nationale de la France qui s'est constituée sur des siècles !
Je n'ai en outre pas parlé de compte de résultat dans lequel, d'ailleurs, ne figure pas l'endettement de l'entreprise, si ce n'est par le biais des charges financières qu'il induit.
Il n'est pas interdit et il peut donc arriver que l'endettement d'une entreprise soit égal ou supérieur à son chiffre d'affaires annuel … ce n'est alors plus qu'une question de discussions avec les banquiers de l'entreprise.

Message complété le 20/12/2019 16:00:45 par son auteur.

mon message est une réponse à millo !
pour les autres, rien à voir !

  
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ALEZE ALEZE
20/12/2019 15:37:21
0

moi j aurai licencié purement est simplement

il y a des tas de qui vive avec le RSA est qui emmerde personne ,

Message complété le 20/12/2019 15:38:29 par son auteur.

il y a des tas de personne

  
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frêne commun frêne commun
20/12/2019 15:34:38
1

Bonjour à toutes et à tous,

Il y pas si longtemps la dette était à 2 100 milliards d'euros, là elle est à 2 400 .

La France perdra inévitablement en capacité d'influencer les instances européennes et internationales.

Si elle ne fait pas d'efforts pourquoi les autres pays européens, eux vertueux, l'aideraient-ils?

Heureusement il y a l'euro. Dans les 40 ans avant l'euro, la France a dévalué 13 fois!!! Chaque fois des dévaluations soit-disant compétitives. On gagné en rien.

Depuis l'euro aucune d'évaluation .



Message complété le 20/12/2019 15:44:07 par son auteur.

Dévaluation

  
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deckard6 deckard6
20/12/2019 15:34:03
3

... qui intègre la dette de la SNCF...


Ça creuse la dette du pays et ça bloque le pays en chouinant pour que les autres payent, afin que leurs privilèges soient maintenus

Indécent !

  
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millo millo
20/12/2019 15:23:56
0
Je pense que votre affirmation ferait pleurer de rire n'importe quel patron d'entreprise à qui vous diriez que le chiffre d'affaire de son entreprise n'a pas plus de sens que son compte de résultat...
  
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millo millo
20/12/2019 15:23:50
0
Je pense que votre affirmation ferait pleurer de rire n'importe quel patron d'entreprise à qui vous diriez que le chiffre d'affaire de son entreprise n'a pas plus de sens que son compte de résultat...
  
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millo millo
20/12/2019 15:21:37
1
Je pense que votre affirmation ferait pleurer de rire n'importe quel patron d'entreprise à qui vous diriez que le chiffre d'affaire de son entreprise n'a pas plus de sens que son compte de résultat...
  
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Srem Srem
20/12/2019 13:56:51
0
Qu'en pensez-vous ?
D'abord, ces 100% ne représentent pas du tout la "richesse nationale" (heureusement !) ce n'est qu'un nombre certes symbolique mais qui ne veut pas dire grand-chose, comme les 3% de déficit qu'il ne faut pas dépasser !
  
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Srem Srem
20/12/2019 13:56:51
0

L'endettement public a progressé entre fin juin et fin septembre de 39,6 milliards d'euros à 2.415 milliards d'euros (AFP/Archives/Philippe HUGUEN)

La dette publique de la France a fortement augmenté au troisième trimestre pour atteindre 100,4% du PIB, dépassant la richesse nationale pour la première fois depuis 2017, a rapporté vendredi l'Insee, mais le gouvernement maintient sa prévision de 98,8% pour la fin de l'année et anticipe une décrue pour 2020.

L'endettement public a progressé entre fin juin et fin septembre de 39,6 milliards d'euros à 2.415 milliards d'euros, a précisé l'Institut national des statistiques. Ce n'est pas la première fois que la dette publique française dépasse les 100% du PIB, du moins selon le nouveau mode de calcul, qui intègre la dette de la SNCF.

En 2017, elle avait ainsi atteint 100,5% au premier trimestre puis culminé à 100,8% au deuxième trimestre, selon les derniers chiffres révisés de l'Insee. Mais cette année-là, la dette publique annoncée était restée en dessous de la barre des 100% car la dette de l'opérateur public des chemins de fer n'avait pas encore été intégrée. Les ratios avaient été recalculés a posteriori l'année suivante.

Malgré la hausse de 0,9 point de PIB de l'endettement public au troisième trimestre, le gouvernement maintient sa trajectoire de désendettement.

"Cela ne remet donc pas en cause les prévisions du gouvernement, à 98,8% du PIB fin 2019, car le ratio de dette en fin d'année 2019 sera inférieur, après des remboursements de capital importants en octobre et en novembre", a appris l'AFP auprès du ministère des Comptes publics après la publication des chiffres de l'Insee.

"Il n'en sera rien", a toutefois prédit Bruno Retailleau, le chef de file des Républicains du Sénat qui juge que "la situation ne cesse de se dégrader" et parle d'une dérive "dangereuse", qui sera aggravée par une "réforme des retraites qui va coûter cher aux Français".

- "Raisons techniques" -


La dette publique (AFP/Jean Michel CORNU, Thomas SAINT-CRICQ)

Le gouvernement explique lui que "cette hausse de la dette au troisième trimestre était attendue" et "provient de raisons techniques liées à la gestion de la dette". "Plus spécifiquement, elle provient du calendrier des émissions et des amortissements de titres de dette", détaille-t-on de même source. Le gouvernement rappelle anticiper "que le ratio de dette amorcera sa décrue à compter de 2020".

L'Insee explique pour sa part qu'à la fin septembre, la "hausse provient principalement de la dette négociable à long terme (+35,8 milliards d'euros) et dans une moindre mesure de la dette négociable de court terme (+4,1 milliards)".

"Cette progression de l'endettement de l'État s'accompagne d'une augmentation importante de sa trésorerie (+22,5 milliards)", ajoute l'Insee dans un communiqué.

L'institut avertit que "la variation de la dette ne permet pas de déduire le déficit public", et que la dette publique brute n'est pas exactement la même que la dette au sens du traité de Maastricht, de laquelle est exclue "la variation des actifs financiers et des passifs".

Le traité de Maastricht stipule que l'endettement public des Etats de la zone euro ne doit pas dépasser 60% du PIB, et que le déficit public doit être contenu sous la barre de 3% du PIB.

En France, la dette n'a plus été inférieure à 60% du PIB depuis le troisième trimestre 2002.

En 2018, une croissance légèrement plus forte qu'attendu, à 1,6% au lieu de 1,5%, avait permis à la dette publique de se stabiliser à 98,4% du PIB.

En 2019, la hausse du PIB attendue n'est que de 1,3%, et le déficit public, limité à 2,5% l'an dernier, devrait remonter à 3,1% en raison du remplacement du CICE par un allègement de charges pérenne pour les entreprises, qui entraîne en 2019 un manque à gagner temporaire pour l'Etat de l'ordre 20 milliards d'euros, ou 0,9 point de PIB.

© 2019 AFP

  
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