Et à la fin il ne restera plus que l'OR. - Forum Or (once en $)

TRUMP a-t-il intérêt à toucher à l'Or alors que le BTC s'affaisse tout doucement. Soyons aimable, disons qu'il stagne alors que l'Or s'envole ?

Mais dites moi voir c'est quoi le Bitcoin ?

Restons prudents.

Investing.com

Effondrement crypto : Bitcoin perd-il définitivement la bataille contre l'or ?
Marco Oehrl
Auteur
Marco Oehrl
Cryptomonnaies
Publié le 10/02/2025 15:36

Investing.com - Bitcoin, autrefois acclamé comme le remplaçant révolutionnaire de l'or, se bat actuellement contre son modèle prétendument dépassé. Alors que la crypto-monnaie a brillé ces dernières années par des rallyes époustouflants, un coup d'œil sur le rapport bitcoin-or révèle désormais une image décevante : le précurseur numérique n'arrive tout simplement pas à s'en sortir. Selon le légendaire négociant en matières premières Peter Brandt, le rêve du bitcoin comme réserve de valeur ultime pourrait déjà s'être évanoui - avant même d'avoir réellement commencé.

"Très surprenant" : le bitcoin échoue au test de l'or

Peter Brandt, dont les prévisions font bouger les marchés depuis des décennies, a commenté sobrement la récente faiblesse : "Il est très intéressant de constater que le bitcoin ne parvient pas à se démarquer de l'or". Les chiffres confirment son scepticisme : après un pic de 40 onces d'or par bitcoin fin décembre, le rapport s'est effondré à 33,85 onces actuellement - une chute de plus de 19 %. Pour Brandt, qui prédisait encore en décembre une explosion à 89 onces, c'est une défaite cuisante.

L'or contre-attaque - Un coup fatal pour le récit "or numérique" ?

Alors que le bitcoin trébuche, ce n'est qu'aujourd'hui que l'or atteint de nouveaux records : le prix a grimpé le 10 février à un sommet absolu de plus de 2.900 dollars l'once, soit une hausse de plus de 11 % depuis décembre. Pour les critiques, il est clair que la "qualité de valeur refuge" du bitcoin était un coup de marketing. David Marcus, ex-manager de Meta (NASDAQ:META) et partisan du bitcoin, demande certes que le gouvernement américain échange ses réserves d'or contre du bitcoin.

Mais la réalité montre que même après quatre ans d'adoption institutionnelle, le bitcoin reste dans l'ombre de l'or.

L'amère vérité : le bitcoin ne tue pas (encore) l'or

Les données ne mentent pas : la capitalisation boursière de Bitcoin est d'environ 2 billions de dollars - l'or domine avec 19 billions de dollars. Malgré les ETF qui ont fait fureur en 2024, il manque à l'actif numérique l'avantage décisif en matière de confiance.

Brandt souligne : "Le fait que le bitcoin ne surpasse pas nettement l'or est très surprenant". Surtout parce que l'économie mondiale regorge actuellement d'instabilité - de l'inflation aux droits de douane protecteurs annoncés par Trump.

Mais au lieu de se tourner vers le bitcoin, les investisseurs se réfugient dans le métal qui résiste aux crises depuis des millénaires.

Prophétie ou alarmisme ? Que se passera-t-il après le crash ?

Les disciples du bitcoin comme Matt Hougan (Bitwise CIO) s'y opposent malgré tout : dès que des Etats comme les Etats-Unis intégreront le bitcoin dans leurs réserves, le prix pourrait grimper à 500.000 dollars. Mais Brandt met en garde contre une rupture de tendance avec son graphique d'un "double top".

Si le rapport bitcoin/or devait passer sous la barre des 30 onces, une décennie de désillusion menacerait. Dans le même temps, l'or montre qu'il peut faire plus que briller : depuis 2020, il a déclassé le bitcoin en termes de rendement - un fait qui remet en question la thèse centrale de la communauté crypto.

La guerre des valeurs refuges est lancée

La bataille entre le bitcoin et l'or révèle une vérité brutale : l'innovation ne bat pas toujours la tradition.

Alors que l'or est considéré comme l'archétype physique de la stabilité, le bitcoin ressemble à une expérience technologique hyperactive - tantôt géniale, tantôt limite débile. Pour les investisseurs, la question reste la même : miser sur le géant séculaire qui vient de se réveiller pour de bon ou sur le nouveau venu disruptif qui trébuche depuis des semaines ?

Une chose est sûre : dans cette confrontation, il n'y a pas de compromis - seulement des gagnants et des perdants.

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AVEZ-VOUS CHOISI VOTRE CAMP ?

Répondre

Alors l'inversion de la courbe des taux produira-t-elle ou non ses effets ? Elle mettrait du temps à se produire selon l'auteur de l'article qui suit.

Alors ?

Le marché fonctionne-t-il bien toujours avec les règles d'antan avec le déversoir d'argent fourni par les BC et surtout du fait des progrès techniques générés par l'IA, progrès qui " dérégleraient " les anciennes règles .

Faut s'ntérroger.

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Dennis Gartman reste un haussier à long terme, mais dit que le marché de l'or semble un peu encombré
Kitco Media
Par Neils Christensen
Publié :
16:03
Mis à jour :
16:16

(Kitco News) - Les prix de l'or continuent leur ascension vers les cieux sans relâche, l'objectif de 3 000 $ se rapprochant ; cependant, un investisseur en matières premières dit qu'il ne court pas après le marché.

Dans sa dernière note, le célèbre investisseur Dennis Gartman, créateur de The Gartman Letter, a déclaré que le marché de l’or semblait un peu tendu.

« Je reste optimiste à long terme sur l’or, mais le marché devient un peu encombré », a-t-il déclaré. « Pendant des mois et des années, je suis resté résolument optimiste sur l’or, mais ces derniers temps, comme l’or est devenu de plus en plus populaire, je suis devenu légèrement moins amoureux de lui et j’ai en fait commencé à vendre des options d’achat contre ce que je possède. »

Ces commentaires surviennent alors que l’or entame une nouvelle semaine avec un nouveau record, les prix dépassant solidement les 2 900 $ l’once. Les contrats à terme sur l’or ont augmenté de plus de 10 % depuis le début de l’année, l’or d’avril se négociant à 2 926,20 $ l’once, en hausse de plus de 1 % sur la journée à 8 h 45 HE.

Gartman a adopté une position similaire à la mi-octobre, avertissant les investisseurs que l’or était sur le point de subir une correction. Après les élections américaines de novembre, les prix de l’or ont chuté de plus de 7 %, puis se sont consolidés jusqu’à leur récente cassure.

En octobre dernier, Gartman avait déclaré à Kitco News qu’il recommandait aux investisseurs de rechercher des opportunités d’achat d’or lors de corrections potentielles.

Bien que l’or semble suracheté, Gartman a noté que les conditions économiques continuent de soutenir des prix plus élevés, car les risques de récession restent élevés.

« En ce qui concerne l’inversion de la courbe des taux, il est devenu presque économiquement axiomatique que les récessions suivent les inversions, mais le décalage qui existe entre le début de l’inversion et le début officiel d’une récession a souvent été d’un an ou plus… et il est certainement désormais « plus » », a-t-il déclaré.

Bien que l’inversion de la courbe des taux ait été un mauvais indicateur de récession cette fois-ci, Gartman a noté que le cycle n’est pas terminé, car l’inversion vient juste de s’inverser et la courbe redevient positive.

« Nous savons que dans l’histoire moderne de l’après-Seconde Guerre mondiale, lorsque la courbe se « désinvertit » après les inversions matérielles précédentes, les récessions ont suivi de près », a-t-il déclaré.

Dans le même temps, Gartman a noté que les guerres tarifaires en cours du président Donald Trump ajouteront à l’incertitude économique déjà élevée. Il a noté que les tarifs douaniers feront grimper l’inflation et freineront l’activité.

« Pour ceux qui ont voté principalement en fonction de l’inflation et de l’économie, il vaut mieux qu’ils s’attachent, car les mauvaises nouvelles arrivent », a-t-il déclaré.

« Si le président Donald Trump tient deux de ses principales promesses de campagne – les déportations massives et les tarifs douaniers – alors nous verrons probablement un retour des coûts plus élevés et des pénuries sélectives mais bien réelles, à commencer par les épiceries. »

Kitco Media
Neils Christensen

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En attendant l'Or en € tape les 2815 € en hausse de 1,55 %.

Pourquoi se prendre la tête pour le moment ?

Répondre

JPGRENOBLE,

Merci de ta contribution.

Le SAR devrait être surveillé comme le lait sur le feu et surtout le positionnement des opérateurs sur le fondamental mondial.

Répondre

Or en € - Journalier - Ichimoku.

En attendant que la cogitation produises ses effets, on ne peut que constater que le graph journalier en Ichimoku est très haussier, et que la hausse des cours est soutenue par les deux droites tenkan et kijun, haussières, parallèles et étroites.

Le tout est au-dessus du nuage qui est lui-même haussier.

La STO, absente du graphique est toujours en sur-achat mais elle ne fait que de traduire la puissance du mouvement haussier et non pas, amha, un risque imminent de baisse.

De plus le SAR est encore loin des cours et son changement de polarité n'est pas pour demain. Interviendra-t-il une fois que les cours auront franchi la résistance des 2800 € ce qui nous permettrait de voir si les cours considèreront ce niveau des 2800 € comme un support à tester ou au contraire, si le changement de polarité se faisait avant le franchissement franc des 2800 €, alors là les cours redescendraient et seront contraints de considérer les 2800€ comme la résistance à franchir de nouveau et génèreraient une respiration dont le profondeur resterait à déterminer?

A suivre?

C'est, amha, le seul obstacle que je vois pour les cours ce matin.

Maintenant un point qui m'interpelle et dont je ne mesure pas les effets : si TRUMP taxait de 25 % à 30 % les importations de l'Or aux usa, quels seraient les effets de la valeur de l'Or côtée en € dans la zone Euro ? Seule, a priori, l'Or en $ en pâtirait ou bien celle libellée en € grimperait encore plus puisqu'il faudrait plus de dollars que d'€uros pour acheter une once d'Or ?

Sous les réserves d'usages.

Or en € en hausse de 1,40 % sur les 2808 €

Répondre

Très modestement

La sortie du triangle validé objectif :2932 plus très loin puis l’objectif principal que tout le monde attend 3000.. mais attention nous sommes sortie du trend line long terme

Le cours évolue dans un tunnel baissier bien identifiés

Répondre

Jusque comme ça,

Répondre

Vraiment désolé de vous annoncer que l’Or grimpe encore ce matin.

Je plains les shorteux.

2806 € actuellement.

On déjeune et on essaye de voir où pourra-t-il aller dans les temps qui viennent.

Change-ton de paradigme ?

Quelles sont les causes de cette hausse qui n’en finit pas ?

La guerre en Ukraine ?

Les abominables sanctions dirigées contre la Russie ?

Les dettes mondiales et américaines surtout ?

Un wokisme débridé et maladif ?

Faut bien réfléchir car si on identifie mal les causes, on ne pourra pas trouver les effets et SURTOUT LA DURÉE DES EFFETS DANS LE TEMPS.

Répondre

L’Alliance Russie-Coree du Nord est susceptible de créer un géant militaire qui pourrait donner à Pourine un poids important en permettant à la Corée du Nord de pénétrer sur la scène mondiale dont notamment en Afrique …

Répondre

Si le monde de l’Est l’emporte en Ukraine, l’Or va en tirer profit.

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Guerre en Ukraine : les missiles nord-coréens utilisés par la Russie sont de plus en plus précis

Invasion russe. "Cela peut avoir un impact majeur sur la stabilité de la région et du monde", s'inquiète un expert auprès de Reuters.

Par C.C. avec Reuters

Publié le 07/02/2025 à 11:05

afp.com/Roman PILIPEY

La nouvelle est inquiétante. Tout récemment, les autorités ukrainiennes ont annoncé avoir détecté une augmentation de la précision des missiles nord-coréens utilisés par la Russie dans ses attaques contre l’Ukraine depuis la fin du mois de décembre. Selon l’agence britannique Reuters, deux sources ukrainiennes de haut rang ont indiqué que ces missiles frappaient désormais des cibles avec une précision de 50 à 100 mètres, contre 1 à 3 kilomètres au début de la guerre. Soit une amélioration significative par rapport aux attaques précédentes.

Une source militaire ukrainienne a corroboré ces résultats, soulignant la précision notable de plus de 20 missiles balistiques nord-coréens lancés contre l’Ukraine ces dernières semaines. Ces observations ont également été confirmées par un haut fonctionnaire du gouvernement. En outre, si les frappes de missiles russes sont fréquentes et meurtrières, les autorités ukrainiennes ne divulguent pas les cibles ni les dates de celles effectuées par des missiles nord-coréens.

Meilleur système de navigation

Comment expliquer de tels changements dans la précision ? Selon les sources militaires contactées par Reuters, les analyses médico-légales menées sur les débris des missiles n’ont pas permis d’identifier des changements dans la conception des missiles, même s’il restait très peu de débris à analyser. Deux explications sont alors possibles. La première serait que les missiles sont désormais équipés de meilleurs systèmes de navigation. La seconde qu’ils soient appareillés d’un mécanisme de direction pour faciliter les manœuvres.

Selon l’expert militaire Yang Uk, d’autres facteurs pourraient améliorer la précision, notamment de meilleures informations de ciblage pour les équipages, de nouveaux composants du système de guidage fournis par la Russie ou encore des améliorations basées sur les données et l’expérience que les scientifiques nord-coréens ont recueillies.

La Russie a commencé à tirer des missiles balistiques de courte portée nord-coréens K-23, K-23A et K-24 vers l’Ukraine vers la fin de 2023 et en a depuis tiré une centaine, selon les autorités ukrainiennes. En octobre dernier, la Corée du Sud, en pointe sur les observations militaires du Nord, déclarait que Pyongyang avait fourni plus de "1 000 missiles" à la Russie, en plus des troupes qui s’y trouvent pour combattre en Ukraine. Les missiles balistiques nord-coréens ne représentent qu’une petite partie des frappes de missiles russes, selon les autorités ukrainiennes. Néanmoins, ils sont dotés d’une charge militaire pouvant atteindre une tonne et d’une portée de 800 kilomètres. Là où l’Iskander-M, un missile russe équivalent, est doté d’une charge utile plus petite et a une portée plus courte de 500 kilomètres.

Menaces pour le Japon, les Etats-Unis, la Corée du Sud

Les programmes militaires de la Corée du Nord se sont développés rapidement ces dernières années, avec notamment des missiles à courte et moyenne portée qui, selon Pyongyang, peuvent être équipés d’ogives nucléaires. Cependant, jusqu’à son implication en Ukraine, le pays, longtemps isolé, n’avait jamais testé ces nouvelles armes au combat.

Dans son bulletin numéro 122, daté de l’été dernier (2024), la Fondation pour la recherche stratégique indiquait qu’en matière de dissuasion, "ces exportations et cette exhibition de missiles ont évidemment comme premier effet de montrer le potentiel des forces nord-coréennes, les systèmes en question ayant comme caractéristique de pouvoir emporter des armes nucléaires". La multiplication des options de frappes de la Corée du Nord est de plus en plus inquiétante pour la Corée du Sud et les Etats-Unis, qui investissent d’ailleurs fortement dans la défense antimissile.

En outre, de nombreux experts avertissent que les progrès observés sur les missiles balistiques nord-coréens constituent une menace importante. Yang Uk, expert en armement à l’Institut Asan d’études politiques de Séoul, a ainsi déclaré à Reuters que de telles améliorations des capacités de missiles nord-coréennes avaient des implications inquiétantes sur le potentiel du pays à menacer la Corée du Sud, le Japon et les Etats-Unis ou à vendre des armes améliorées à des Etats "en faillite" ou à des groupes armés. "Cela peut avoir un impact majeur sur la stabilité de la région et du monde", poursuit-il.

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Trump aura beau jeu de dire que la guerre en Ukraine n’est pas sa guerre.

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Si le monde de l’Est l’emporte en Ukraine, l’Or va en tirer profit.

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Guerre en Ukraine : les missiles nord-coréens utilisés par la Russie sont de plus en plus précis

Invasion russe. "Cela peut avoir un impact majeur sur la stabilité de la région et du monde", s'inquiète un expert auprès de Reuters.

Par C.C. avec Reuters

Publié le 07/02/2025 à 11:05

afp.com/Roman PILIPEY

La nouvelle est inquiétante. Tout récemment, les autorités ukrainiennes ont annoncé avoir détecté une augmentation de la précision des missiles nord-coréens utilisés par la Russie dans ses attaques contre l’Ukraine depuis la fin du mois de décembre. Selon l’agence britannique Reuters, deux sources ukrainiennes de haut rang ont indiqué que ces missiles frappaient désormais des cibles avec une précision de 50 à 100 mètres, contre 1 à 3 kilomètres au début de la guerre. Soit une amélioration significative par rapport aux attaques précédentes.

Une source militaire ukrainienne a corroboré ces résultats, soulignant la précision notable de plus de 20 missiles balistiques nord-coréens lancés contre l’Ukraine ces dernières semaines. Ces observations ont également été confirmées par un haut fonctionnaire du gouvernement. En outre, si les frappes de missiles russes sont fréquentes et meurtrières, les autorités ukrainiennes ne divulguent pas les cibles ni les dates de celles effectuées par des missiles nord-coréens.

Meilleur système de navigation

Comment expliquer de tels changements dans la précision ? Selon les sources militaires contactées par Reuters, les analyses médico-légales menées sur les débris des missiles n’ont pas permis d’identifier des changements dans la conception des missiles, même s’il restait très peu de débris à analyser. Deux explications sont alors possibles. La première serait que les missiles sont désormais équipés de meilleurs systèmes de navigation. La seconde qu’ils soient appareillés d’un mécanisme de direction pour faciliter les manœuvres.

Selon l’expert militaire Yang Uk, d’autres facteurs pourraient améliorer la précision, notamment de meilleures informations de ciblage pour les équipages, de nouveaux composants du système de guidage fournis par la Russie ou encore des améliorations basées sur les données et l’expérience que les scientifiques nord-coréens ont recueillies.

La Russie a commencé à tirer des missiles balistiques de courte portée nord-coréens K-23, K-23A et K-24 vers l’Ukraine vers la fin de 2023 et en a depuis tiré une centaine, selon les autorités ukrainiennes. En octobre dernier, la Corée du Sud, en pointe sur les observations militaires du Nord, déclarait que Pyongyang avait fourni plus de "1 000 missiles" à la Russie, en plus des troupes qui s’y trouvent pour combattre en Ukraine. Les missiles balistiques nord-coréens ne représentent qu’une petite partie des frappes de missiles russes, selon les autorités ukrainiennes. Néanmoins, ils sont dotés d’une charge militaire pouvant atteindre une tonne et d’une portée de 800 kilomètres. Là où l’Iskander-M, un missile russe équivalent, est doté d’une charge utile plus petite et a une portée plus courte de 500 kilomètres.

Menaces pour le Japon, les Etats-Unis, la Corée du Sud

Les programmes militaires de la Corée du Nord se sont développés rapidement ces dernières années, avec notamment des missiles à courte et moyenne portée qui, selon Pyongyang, peuvent être équipés d’ogives nucléaires. Cependant, jusqu’à son implication en Ukraine, le pays, longtemps isolé, n’avait jamais testé ces nouvelles armes au combat.

Dans son bulletin numéro 122, daté de l’été dernier (2024), la Fondation pour la recherche stratégique indiquait qu’en matière de dissuasion, "ces exportations et cette exhibition de missiles ont évidemment comme premier effet de montrer le potentiel des forces nord-coréennes, les systèmes en question ayant comme caractéristique de pouvoir emporter des armes nucléaires". La multiplication des options de frappes de la Corée du Nord est de plus en plus inquiétante pour la Corée du Sud et les Etats-Unis, qui investissent d’ailleurs fortement dans la défense antimissile.

En outre, de nombreux experts avertissent que les progrès observés sur les missiles balistiques nord-coréens constituent une menace importante. Yang Uk, expert en armement à l’Institut Asan d’études politiques de Séoul, a ainsi déclaré à Reuters que de telles améliorations des capacités de missiles nord-coréennes avaient des implications inquiétantes sur le potentiel du pays à menacer la Corée du Sud, le Japon et les Etats-Unis ou à vendre des armes améliorées à des Etats "en faillite" ou à des groupes armés. "Cela peut avoir un impact majeur sur la stabilité de la région et du monde", poursuit-il.

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Trump aura beau jeu de dire que la guerre en Ukraine n’est pas sa guerre.

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L'immobilier c'est " l' emplacement, l'emplacement, l'emplacement "

L"OR c'est " les BC, les BC, les BC "

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L'appétit insatiable des banques centrales pour l'or est fermement ancré
Kitco Media
Par Neils Christensen
Publié :
07 févr. 2025 - 22:55
Mis à jour :
07 févr. 2025 - 23:13

(Kitco News) - Les banques centrales ont commencé la nouvelle année exactement comme elles ont terminé 2024 : en augmentant leurs réserves d'or.

Krishan Gopaul, analyste senior pour la zone EMEA au World Gold Council, était actif sur les réseaux sociaux vendredi, documentant les achats d’or des banques centrales le mois dernier.

La journée a commencé tôt lorsque Gopaul a noté que la Chine avait une fois de plus augmenté ses réserves d’or en janvier, en achetant cinq tonnes de métal précieux.

Les analystes se sont particulièrement concentrés sur la Chine. Il s’agit du troisième mois consécutif où la Banque populaire de Chine a augmenté ses réserves officielles d’or, après une pause de six mois après une frénésie d’achats de 18 mois.

« L’achat du mois dernier a contribué à porter les réserves d’or à 2 285 tonnes », a déclaré Gopaul.

Bien que la Chine ait considérablement augmenté ses avoirs en or, le métal jaune ne représente toujours qu’environ 5 % de ses réserves de change totales. Les analystes suggèrent que la Chine a largement la possibilité d’augmenter ses avoirs en or à 10 %, ce qui la rapprocherait des autres banques centrales des marchés développés.

La Chine n’était pas le seul pays à acheter de l’or. Gopaul a noté que les données de la Banque nationale de Pologne montrent qu’elle a acheté trois tonnes d’or en janvier.

« Cela porte ses réserves totales d’or à 451 tonnes, soit 26 % de plus qu’en janvier 2024 et 97 % de plus qu’en janvier 2023 », a déclaré Gopaul.

La Pologne a été le premier acheteur d’or l’année dernière, sa banque nationale ayant augmenté ses réserves de 90 tonnes.

Ailleurs en Europe, Gopaul a signalé que la Banque nationale tchèque avait également acheté trois tonnes d’or en janvier.

« Ses réserves d’or totalisent désormais 53 tonnes, soit 63 % de plus qu’à la fin janvier 2024 », a-t-il déclaré. « L’or représente désormais également plus de 3 % du total des réserves internationales. »

Enfin, l’Ouzbékistan a été le plus gros acheteur d’or le mois dernier, sa banque centrale ayant acheté huit tonnes d’or.

« Ses réserves d’or totalisent désormais 391 tonnes, le niveau le plus élevé depuis février 2023 (393 tonnes) », a déclaré Gopaul.

Les achats souverains ont dominé le marché de l’or l’année dernière, les banques centrales ayant collectivement acheté 1 045 tonnes de métal précieux, selon le rapport annuel et des tendances du quatrième trimestre du World Gold Council publié mercredi.

« Il est remarquable que 2024 soit la troisième année consécutive au cours de laquelle la demande a dépassé les 1 000 tonnes, dépassant de loin la moyenne annuelle de 473 tonnes entre 2010 et 2021 et contribuant à la performance annuelle de l’or », a déclaré le WGC.

Pour l’avenir, le WGC s’attend à ce que les banques centrales continuent de soutenir le marché de l’or.

« Les banques centrales ont été des acheteurs nets au cours des 15 dernières années, mais leur soif d’or ne montre aucun signe d’apaisement », ont déclaré les analystes. « Et bien qu’il soit particulièrement difficile de prévoir le niveau de demande pour une banque centrale spécifique, étant donné qu’il est souvent dicté par la politique, nous pouvons nous pencher sur l’environnement macroéconomique, en plus de leurs actions collectives et des facteurs qui les motivent, pour nous guider sur ce qui pourrait arriver. »

Dans une interview avec Kitco News, Joseph Cavatoni, stratège de marché au WGC, a déclaré qu’étant donné le niveau élevé d’incertitude géopolitique, il n’est pas surprenant que les banques centrales se diversifient en s’éloignant du dollar américain.

« Les cas d’utilisation de l’or sont clairs et compris », a-t-il déclaré. « Lorsque nous examinons la demande des banques centrales, leur justification de la possession d’or reste très forte. Le fardeau croissant de la dette publique et l’évolution radicale du paysage géopolitique suggèrent que les banques centrales continueront d’acheter de l’or. »

Cavatoni a ajouté qu’il ne s’attend pas à ce que la hausse du prix de l’or dissuade les banques centrales d’acheter de l’or jusqu’en 2025.

Kitco Media
Neils Christensen

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CE QUI CONFORTE LA QUESTION QUE J’ÉMETS DEPUIS PLUSIEURS JOURS : FAUT-IL PROFITER DE CHAQUE REPLI DANS LE TREND HAUSSIER POUR EN RACHETER ENCORE ?

Nous sommes, en gros à 3 000 $, certains évoquent, sur des arguments graphiques ,( Mike Roy ) les 200 000 $ vers les 2042.

Souvenez-vous, on était sur les 1800/1900 quand JP MORGAN nous annonçait les 2500 $ ...

Faites vos comptes.

Il est difficile pour certains d'admettre que nous sommes sortis d'un univers pour en entrer dans un autre.

La Chine commence à payer certaines de ses dettes chinoise en Or ...

Répondre

Retour au boulot !

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Ne vous attendez pas à ce que la hausse de l'or s'arrête la semaine prochaine, les analystes visent 3 000 $
Kitco Media
Par Neils Christensen
Publié :
07 févr. 2025 - 20h00
Mis à jour :
07 févr. 2025 - 20h46
Kitco News

(Kitco News) - L'or est en pleine course alors que la demande de valeurs refuges domine le marché et pousse les prix vers des sommets records ; de nombreux analystes gardent désormais un œil sur 3 000 $ l'once.

Bien que les prix de l'or semblent un peu surchargés, certains analystes ont déclaré que les investisseurs ne peuvent ignorer la dynamique haussière du marché. Après avoir maintenu un support initial critique à 2 800 $ l'once lundi, le marché a réussi à atteindre des sommets intra journaliers historiques tout au long de la semaine.

Les données économiques décevantes de vendredi, qui ont montré une baisse significative de l'optimisme des consommateurs et une augmentation des craintes d'inflation, ont brièvement poussé les prix de l'or au-dessus de 2 900 $ l'once. Bien que l'or soit en retrait de ses sommets de séance, il cherche toujours à terminer la semaine avec des gains solides. À 13 h 43 HE. Français, les contrats à terme sur l'or d'avril se négociaient à 2 884,70 $ l'once, en hausse de près de 2 % par rapport à la semaine dernière.

Alex Kuptsikevich, analyste en chef du marché chez FxPro, a déclaré que le rallye de l'or ne faisait que commencer et qu'une poussée vers 3 000 $ en était le début.

« D'un point de vue technique, l'or entame un modèle d'extension de Fibonacci. ( soi ligné par MITTE 😏)

Le rallye mondial a commencé en octobre 2023 après les premiers signaux de la Réserve fédérale indiquant un assouplissement de la politique monétaire et un ralentissement ultérieur du rythme des hausses de taux. Entre octobre et novembre 2024, après s'être apprécié de 55 % pour atteindre le niveau de 2 790 $, l'or a connu d'importantes prises de bénéfices, entraînant un repli à 2 550 $, ce qui représente 76,4 % du rallye initial. Cela a été suivi de plusieurs semaines d'échanges intenses entre les acteurs du marché haussiers et baissiers », a-t-il déclaré dans une note vendredi. « À la fin du mois de décembre, une dynamique d'achat constante était revenue sur le marché de l'or. Un mouvement au-dessus de 2 800 $ fin janvier a donné lieu à des discussions sur le début potentiel d'une nouvelle vague de croissance mondiale. Si cette tendance se poursuit, le prix de l'or pourrait potentiellement atteindre la zone des 3 400 $ l'once troy entre août et octobre de cette année. »

Dans un commentaire à Kitco News, Jesse Colombo, analyste indépendant des métaux précieux et fondateur du BubbleBubble Report, a déclaré que le récent rallye montre que l'or a beaucoup de potentiel.

« Dans un marché haussier, les prix des actifs restent souvent surachetés pendant une longue période, et c'est à ce moment-là que les meilleurs gains sont à réaliser. En fait, c'est un signe de force plutôt que de faiblesse. « Je veux voir une clôture solide au-dessus de 2 900 $ sur les contrats à terme du COMEX pour confirmer la reprise et, après cela, une clôture au-dessus de 3 000 $contrats. C'est essentiellement l'effet de cliquet. Si l’or ne parvient pas à clôturer au-dessus de 2 900 dollars pour le moment, dans le pire des cas, je le vois stagner pendant encore une semaine environ dans une fourchette comprise entre 2 800 et 2 900 dollars, puis faire une nouvelle poussée plus haut. »

Ole Hansen, responsable de la stratégie des matières premières chez Saxo Bank, a déclaré qu’il voyait également une dynamique solide pour l’or.

« Il semble que la plupart des routes mènent à Rome (3 000 dollars) ces jours-ci, ce qui me rend évidemment un peu nerveux par peur d’avoir raté quelque chose », a-t-il déclaré. « Mais pour l’instant, la dynamique et le niveau général d’incertitude continueront probablement de soutenir et de soutenir les prix. »

Bien que les incertitudes géopolitiques et économiques mondiales soutiennent l’or en tant qu’actif refuge, certains analystes avertissent également les investisseurs que le marché pourrait connaître une certaine volatilité renouvelée alors que les prix se négocient en territoire record, même si la Réserve fédérale devrait maintenir les taux d’intérêt actuels au moins pendant le premier semestre de l’année.

Les données sur l'emploi publiées vendredi ont montré que l'économie américaine a créé 143 000 emplois le mois dernier. Bien que le rapport n'ait pas répondu aux attentes, il a également montré que les salaires ont augmenté plus que prévu et que le taux de chômage est tombé à 4,0 %.

Certains analystes notent que malgré l'échec des gros titres, le marché du travail américain reste assez sain même si la dynamique ralentit.

Dans le même temps, les données préliminaires de l'Université du Michigan ont montré une forte baisse du sentiment des consommateurs, tandis que les attentes d'inflation à un an ont augmenté d'un point de pourcentage à 4,3 %.

Lors de sa première réunion de politique monétaire de l'année le mois dernier, la Réserve fédérale a déclaré qu'elle n'était pas pressée de réduire les taux d'intérêt, car la menace d'inflation reste élevée et le marché du travail reste sain.

Naeem Aslam, directeur des investissements chez Zaye Capital Markets, s’attend à ce que les prix de l’or continuent de grimper alors que les craintes d’inflation continuent de croître.

« Le fait est que la croissance des salaires montre que la guerre de la Fed contre l’inflation n’est pas terminée, et le métal jaune sert de couverture parfaite contre l’inflation. Ce fait même soutient fortement le prix du métal brillant », a-t-il déclaré. « En plus de cela, les menaces de tarifs douaniers du président Trump sont toujours d’actualité car beaucoup pensent qu’un mois n’est pas assez proche pour être proche de la mise en place d’une quelconque solution. Donc, pour l’instant, la dynamique est forte et il est probable qu’elle continue de pousser les prix à la hausse. »

La semaine prochaine, les marchés écouteront attentivement le président de la Fed, Jerome Powell, pour toute orientation prospective potentielle lors de son témoignage devant le Congrès.

Lukman Otunuga, responsable de l’analyse de marché chez FXTM, a déclaré que les investisseurs en or devraient se préparer à une certaine volatilité la semaine prochaine.

« La réaction de Trump aux mesures de rétorsion douanières de la Chine, le témoignage de Jerome Powell et le dernier rapport sur l’inflation aux États-Unis pourraient façonner les perspectives de l’or. Les craintes croissantes d’une guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine et les paris sur une baisse des taux américains pourraient pousser l’or vers de nouveaux sommets historiques.

Cependant, l’atténuation des inquiétudes concernant les menaces de droits de douane de Trump et un Powell agressif pourraient déclencher une correction des prix de l’or », a-t-il déclaré. « En regardant les graphiques, une clôture hebdomadaire au-dessus de 2 880 $ pourrait ouvrir la porte au prochain niveau psychologique à 2 900 $ et 2 950 $. Si les prix terminent la semaine en dessous de 2 850 $, cela pourrait signaler une baisse vers 2 815 $ et 2 800 $. »

Données économiques à surveiller la semaine prochaine :

Mardi : Jerome Powell, président de la Fed, témoigne devant le Comité sénatorial des banques
Mercredi : IPC américain, Jerome Powell, président de la Fed, témoigne devant le Comité des services financiers de la Chambre des représentants
Jeudi : IPP américain, demandes hebdomadaires d'allocations chômage aux États-Unis
Vendredi : Ventes au détail aux États-Unis
Kitco Media
Neils Christensenr

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Chimène,

Elle fait parie " des nôtres ", y-a pas photo. Point barre.

https://youtu.be/j54Kw1Fyekg?si=JvU7YkkfADAR7kd_

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https://youtu.be/Go0mVxgTjo0?si=M5AgHJAMlm44Uzfn

L'Amour, TOUJOURS L'Amour ❤️

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https://youtu.be/khLhwIFVBOs?si=hN31teus6Bsc8gd8

Le wokisme qui veut changer le monde ! LOL !!!

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https://youtu.be/rQrymEccqCw?si=_IBE6uEHObC078FQ