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Mais quelle pertinente analyse économique. Ca mériterait le Nobel d'économie.
Mais quelle engeance, quelle pauvreté de connaissances en économie, un vrai non sens.
Je pense que vous avez oublié d'intégrer les cures dent de la cantine dans votre calcul.
Affligeant !!!
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Offre de Veolia: le président de Suez pointe "la menace de pertes d'emplois". Soit.
Voyons :
Valorisation Suez au cours OPA de 15,50 E/action = 9,631 Mds E pour 90 000 collaborateurs dans le monde. Ce qui donnerait (calcul épicier), un coût moyen/job de : 9,631Mds E/90 000 jobs = 107 012 E/job
Valorisation Véolia au dernier cours de 19,30 E/action = 10,948 Mds E pour 178 780 collaborateurs dans le monde. Ce qui donnerait (calcul épicier), un coût moyen/job de : 10,948Mds E/178 780 jobs = 61 239 E/job
Conclusion. Pour Véolia en relatif surplus coût par job de : (107 012 E – 61 239 E)/61 239 E = 74,7% !! = bluff poker menteur de Véolia?
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Engagé dans un bras de fer contre le projet de rachat "très hostile" de Veolia, le président de Suez Philippe Varin met en garde dimanche contre un risque de plan social si son rival parvenait à ses fins.
Juste avant la rentrée, Veolia, leader mondial du traitement de l'eau et des déchets, a annoncé vouloir racheter son concurrent historique Suez, en commençant par la reprise de l'essentiel des parts (29,9%) détenues par Engie.
"Pour nos 90.000 collaborateurs, dont 30.000 en France, c'est la menace de pertes d'emplois", affirme Philippe Varin dans une interview au Journal du Dimanche. "On ne peut pas annoncer 500 millions de synergies et dire qu'il n'y aura pas d'impact. Je ne l'ai jamais vu de ma vie. Si on regarde Alcatel-Lucent, LafargeHolcim, GE-Alstom, chaque fois, des promesses ont été faites. Chaque fois, il y a eu des plans sociaux après", poursuit-il.
Entre les deux groupes, la bataille d'influence porte particulièrement sur l'emploi, sur lequel l'Etat, actionnaire de référence d'Engie, a prévenu qu'il serait vigilant sans pour autant s'opposer à l'opération.
"Je compte bien convaincre le Premier ministre que sur le fond, ce projet a des failles. Il comporte de considérables risques d'exécution", avance M. Varin, qui parle d'une offre "très hostile" de Veolia. "Je comprends tout à fait que le conseil d'administration d'Engie veuille traduire en cash sa participation dans Suez. Mais pour résoudre ce problème, la décision d'Engie sur la proposition de Veolia déterminerait le futur de Suez et consisterait notamment à démanteler le groupe Suez en France", déplore-t-il.
En début de semaine, le président d'Engie avait annoncé qu'il étudierait attentivement un "nouveau projet" de Suez s'il parvenait à lui présenter rapidement "une offre alternative".
"Le management est en train de bâtir une solution alternative que le conseil (d'administration de Suez, ndlr) encourage. Les travaux sont en cours et, pour leur sérénité, je ne peux pas en dire plus", souligne Philippe Varin.
© 2020 AFP
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