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Pareil, je me suis allégé lors de la hausse d'hier matin, pour me racheter plus bas aujourd'hui donc j'ai pas vraiment à me plaindre. Mais sur le principe, toute cette manipulation ne sent vraiment pas bon.
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Perso ça me va très bien d'acheter du Atos pas cher !
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Si les petits porteurs s'organisaient comme ils le font aux USA, les vendeurs à découvert réfléchiraient à 2 fois...
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Actionnaire, PRU 54.5
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une societe qui arrive pas a se faire certifier ses comptes , le risque est enorme la chute brutale du cours est a redouter
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Pareil, après 3 jour de flirt, mon ordre d'achat à 52.9 est passé ce jour pour compléter ma ligne.
Je peux me tromper mais à ce prix là, le risque ne me parait pas bien grand si on n'est pas trop pressé.
wait & see
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Bonjour
j'indiquai le 20 mai dernier que le cours du titre Atos risquait d'atteindre 56.50 puis 52.50/53€ comme support majeur, et que c'est à ce niveau que je complèterai ma ligne (voir plus)
On y est, et c'est ce que j'ai fait
Il n'y a pas e signal d'achat à proprement parler, seulement un support majeur ainsi qu'un Rsi proche de sa zone de survente
La tendance est archi-baissière, mais à ce niveau de valorisation et à l'aide une certaine confiance dans la capacité du groupe à dissiper les doutes légitimes de la communauté financière (Atos accumule les boulettes ces dernières années), il m'apparait opportun de renforcer cette valeur
C'est mon avis bien sûr
@+
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8ème séance consécutive de bais(s)e...
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- Et au passage, c'est aussi bien marrant de voir qu'on a peur des investissements étrangers alors qu'on se réjouit de s'adresser en priorité aux marchés Us et Chinois. -
C'est vrai que la guerre technologique que se livrent chinois et américains à coup de protectionnisme et bannissement, c'est pour savoir qui la plus grosse...
Quand à l’excédent commercial français, j'ai même pas envie d'en parler.
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"La France et la souveraineté numérique..."
La souveraineté en employant les réseaux de Microsoft.. O_o
Hum elle a déjà du plomb dans l'aile rien qu'en créant l'idée.
ils sont entrain de construire un plan européen sur le cloud et sont même pas capable de faire appel aux boites européennes pour justement jouer "la souveraineté".
Et au passage, c'est aussi bien marrant de voir qu'on a peur des investissements étrangers alors qu'on se réjouit de s'adresser en priorité aux marchés Us et Chinois.
manque plus que le cul de la crémière quoi
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Opéable pour une bouchée de pain par un opérateur étranger et ça semble déranger personne. La France et la souveraineté numérique...
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Aucun nouvel actionnaire n'a pris une participation significative dans le groupe français des services numériques Atos, a déclaré l'Autorité française des marchés financiers (AMF).
Les déclarations selon lesquelles Dylan Dariah a pris une participation dans Atos ne "correspondent à aucune réalité", peut-on lire dans un avis publié mercredi sur le site internet de l'AMF.
Atos, qui est sous le feu des projecteurs pour des problèmes de comptabilité, a annoncé la semaine dernière avoir contacté le gendarme de la Bourse concernant l'identité incertaine d'un nouvel actionnaire qui a déclaré détenir plus de 5% du capital du groupe.
Selon un avis publié le 17 mai par l'AMF, la société Finsur, basée dans l'Etat du Delaware et présentée comme appartenant à Dylan Dariah, a déclaré détenir 5,08% du capital d'Atos, une participation qui en faisait l'un de ses principaux actionnaires.
Le 21 mai, le gendarme boursier a fait savoir que Finsur était repassé sous le seuil de 5%, avec 4,23% du capital.
Atos a exprimé ses inquiétudes sur Finsur et l'authenticité du document concernant la taille de sa participation.
L'affaire intervient alors que Atos mène actuellement une revue complète des bilans de deux de ses filiales aux Etats-Unis après avoir identifié des erreurs comptables.
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Bon, c'est déjà une épine en moins sur le dossier. On attend maintenant la suite sur les filiales américaines.
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Si on considère vague abc baissier v1 101-50 v2 50-80 ciboire donne v3
Tendance Baissière
+ Haut (a) + Bas (b) Point C (c) Calculer
}
Retracement
138,2% 120,482
100% (a) 101
76,4% 88,964
61,8% 81,518
50% 75,5
38,2% 69,482
23,6% 62,036
0% (b) 50
Extension
23,6% 67,964
38,2% 60,518
50% 54,5
61,8% 48,482
100% 29
138,2% 9,518
161,8% -2,518
200% -22
261,8% -53,518
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L ’action a terminé en baisse à la Bourse de Paris, en repli de 1,53%. Le titre a fini à 54,00€ contre 54,84€, la veille.
662 983 actions ont été échangées ce mardi, c’est-à-dire 0,60% de la capitalisation.
Sur les sept derniers jours, l’action Atos a enregistré une baisse de 1,71%. En un an l’action a connu une très forte baisse de 19,43%, valant 54,00€ contre 67,02€. A titre de comparaison, le CAC 40 a gagné 36,25% sur la même période.
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Malgré beaucoup de nouvelles aujourd'hui qui auraient pu faire rebondir le titre c'est l'inverse que l'on a pu constater. Est ce l'attente de la prochaine publication avec un éclaircissement sur les comptes des filiales américaines qui bloque tout ? On ne sent pas pour le moment une attaque de fonds vadeurs comme sur Solution 30 mais une méfiance qui bloque les acheteurs.
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Le graphique d'Atos me semble bien difficile à interpréter. On dirait que le titre campe sur un support autour des 54 euros depuis pas mal de temps et dans une attente d'explosion vers le haut ou vers le bas. Si un spécialiste pouvait nous en dire plus ce serait intéressant.
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Atos a obtenu la note triple A, la plus haute notation, dans le classement RSE 2021 de l'agence Morgan Stanley Capital International (MSCI), qui analyse les pratiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) de milliers d'entreprises dans le monde. Atos se positionne ainsi parmi les 4% d'entreprises les plus performantes de son secteur, dans la catégorie 'Logiciels et Services'. Le groupe, qui conserve la note triple A depuis 2017, a obtenu cette année son meilleur score. Cette évaluation confirme "l'excellence des pratiques environnementales, sociales et de gouvernance d'Atos". Fort d'une offre de décarbonation unique sur le marché et de son ambitieux objectif 'zéro émission nette 2028', Atos dit s'imposer aujourd'hui comme "un leader du numérique décarboné".
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Parfait sur le plan ESG, mais reste à certifier les comptes des filiales américaines et à ne pas se laisser faire par des investisseurs troubles comme celui qui vient de faire son apparition avec des sociétés peu transparentes basées au Delaware.
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@cosmo2,
« vu que ça laisse de glace les autorités compétentes »
Le problème de ces autorités « compétentes », c’est peut-être l’incompétence de ses membres 😉
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... Sa société Finsur est enregistrée dans l’Etat américain du Delaware, réputé pour sa discrétion, voire son opacité.
Manquerait plus que ce soit Muddy Waters. Ah bah non, c'est vrai que MW est propre et se cache pas dans les paradis fiscaux...
https://sec.report/CIK/0001674192
Il lance seulement des rumeurs sans preuves. En même temps il aurait tort de s'en priver, vu que ça laisse de glace les autorités compétentes...
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Il y a dix jours, un investisseur a déclaré avoir acheté 5% du capital de la société de services informatiques. Personne ne connait ce Français dont la société est domiciliée dans un petit village du Loiret. Atos s’inquiète de la situation et a saisi l’Autorité des marchés financiers.
Un investisseur fantôme vient de prendre pied chez Atos. L’entreprise est plongée dans l’incertitude depuis dix jours et l’entrée annoncée à son capital d’un nouvel actionnaire de taille mais tout aussi mystérieux. Le 14 mai, la société Finsur Corp a déclaré à l’Autorité des marchés financiers (AMF) avoir pris 5,08% du capital d’Atos. Un ticket de plus de 300 millions d’euros qui hisserait son propriétaire, Dylan Dariah, au niveau du géant américain BlackRock, entré en février dernier.
Sauf que cet investisseur est totalement inconnu. L’absence d’informations sème le doute et alimente l’inquiétude chez Atos. Sa société Finsur est enregistrée dans l’Etat américain du Delaware, réputé pour sa discrétion, voire son opacité.
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Atos a demandé une enquête à lAMF et s’inquiète surtout d’un "risque de manipulation de cours" alors que Finsur a déjà vendu une partie de ses actions vendredi dernier pour n’en détenir plus que 4,23%. Désormais sous le seuil de 5% du capital, elle n’est plus obligée de déclarer ses positions au régulateur.
L’AMF botte en touche et se borne à rappeler que ces déclarations de franchissement de seuil ne sont pas de sa responsabilité, mais de celui qui les fournit. Leurs publications ne sont pas soumises à son "contrôle" et ne valent pas "authentification".
La peur d'une arnaque et de fausses déclarations ne vont faire qu'accentuer la méfiance sur Atos.
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Ils lui maintiennent carrément la tête sous l'eau...
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Je crois que malheureusement l'AT commande de rester prudent effectivement. Si l'on revient sur les 52 euros ce serait sans doute pas mal mais au point où l'on est arrivé j'attendrai personnellement un retournement avant d'y revenir. La nouvelle sur les filiales américaines devrait arriver d'ici Juin je pense et c'est elle qui pourrait tout changer.
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