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Pourquoi pas. P'têtre que les Finlandais ont maintenant des spécialistes du béton au top niveau...
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Si ça nest pas une réussite les responsables devront se baigner dans la piscine du circuit primaire...
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Cours temps réel: 12,315 6,76% sa se positionne !
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C'est quand même incroyable qu'ils arrivent à vendre une technologie qui n'a jamais fonctionné (pour l'instant, faut rester optimistes, ils savent ce qu'ils font les gars...) avec un facteur Pi entre le coût de réalisation final et le coût annoncé.
On pourrait tout de même rester optimiste en imaginant que les erreurs réalisés à Flamanville et Olkiluoto ne seront pas commises une seconde fois.
Rien n'est signé, il est fort possible que les chinois fassent une proposition, sûrement moins cher qu'EDF aux indiens !
Concernant l'aspect bourse, pour moi, le succès de Flamanville et Olkiluoto n'est pas du tout pricé.
Si ça marche on va vers 20€ l'action, si ça foire, ce sera la piscine du RSI comme dirais gars d'ain ;) !
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Je note "De son côté, EDF met l'accent sur les bienfaits sociaux, estimant que la construction du site donnera un emploi à des dizaines de milliers de personnes sur place."
Oh le vilain "greenwashing",
EDF, il est gentil ... Il compte se rémunèrer au prix ou il va payer les indiens ?
AH, c'est vrai que c'est fait pour faire de la marge pour redresser le gros bidule en déconfiture comptable dont on n'arrive plus à suturer les fuites déficitaires...
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Vu les surcoût et les problèmes de conformités de Flamanville et d'Hinky-Point, ça promet...
: (
On donne pas le prix de la cocotte minute ???
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Le géant français de l'électricité EDF a annoncé vendredi avoir franchi un tournant en vue de la construction d'une centrale nucléaire en Inde présentée comme la plus grande au monde, esquissant un accord prochain sur ce projet controversé et retardé depuis plusieurs années.
EDF a remis au groupe nucléaire public indien "l'offre technico-commerciale engageante française en vue de la construction de six (réacteurs) EPR sur le site de Jaitapur", a annoncé dans un communiqué le groupe français.
Ce n'est pas encore un accord mais c'est une étape cruciale. En s'engageant ainsi, le groupe public français, seul en lice, donne la base nécessaire pour conclure un accord d'ici à quelques mois.
Cela permettrait de lancer enfin la construction d'un chantier évoqué depuis plus d'une décennie et surveillé de près par les autorités françaises et indiennes.
Les premiers accords avaient été signés sous la présidence française de Nicolas Sarkozy, à l'époque avec le géant nucléaire Areva dont EDF a hérité d'une part des activités, mais la catastrophe japonaise de Fukushima en 2011 y avait mis un coup d'arrêt, comme à d'autres grands projets nucléaires.
Depuis, les deux pays ont relancé l'affaire en 2018 mais, alors que la construction devait vite commencer, un accord s'est à nouveau longtemps fait attendre, malgré le soutien du gouvernement indien de Narendra Modi.
Le projet, qui vise à alimenter en électricité 70 millions de foyers, fait l'objet depuis des années d'oppositions locales dont, jusqu'à récemment, le parti au pouvoir dans l'Etat de Maharashtra où se trouve Jaitapur.
Les critiques se concentrent sur le risque de séismes dans l'Etat du Maharashtra, où se trouve Jaitapur, et les conséquences pour la pêche locale de l'évacuation des déchets nucléaires.
De son côté, EDF met l'accent sur les bienfaits sociaux, estimant que la construction du site donnera un emploi à des dizaines de milliers de personnes sur place.
"Le projet générerait également d'importantes retombées économiques pour la filière nucléaire française sur toute la durée du projet - environ 15 ans -, avec la création de plusieurs dizaines de milliers d'emplois au sein d'une centaine d'entreprises", a ajouté le groupe.
© 2021 AFP
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