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Anjou49
Ton calcul n’est pas bon. Tu considères la Meuse comme référence et tu appliques le potentiel d’un parc PV installé là-bas à toute la France. C’est limite le pire endroit pour faire du solaire, dans le sud on peut (à la louche) avoir un productible 50% meilleur.
Le truc gerbant dans l’industrie PV c’est qu’on pourrait recouvrir d’abord tous les toits des centres commerciaux, bâtiments de grandes envergures (public, privé) mais on ne le fait pas (ça demande plus de logistique, plus ça va et moins on est bon là-dedans).
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@Jcroplu
100 000 ans ? Mais il y aura longtemps que l’humanité aura disparu de la Terre. Resteront juste quelques
« privilégiés » réfugiés sur Mars ou ailleurs qui s’emmerderont à mourir en se faisant quelques petites guéguerres en
souvenir du bon vieux temps...
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le terme de "déchets" a été employé car on ne sait pas encore s'en servir.
Le progrès scientifique est tel, qu'avant 100.000 ans ce ne seront plus des "déchets" mais peut-être un produit ou un carburant utile, et très recherché.
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Faut-il y voir un lien ?
Cela fait de nombreuses années qu’un comité s’oppose au centre d’enfouissement profond de déchets nucléaires, à BURE – Meuse. (par l’ ANDRA)
Le choix du site est-il innocent ?
Ce site ne sera t’il pas présenté comme un argument pour faire passer la pilule BURE , en sous-entendant ou faisant valoir que l’ ANDRA y est partie prenante ?
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et encore ils ont utilisé un terrain déjà plat (ancien aéroport). Pourrons pas au prochain coup faire pareil, sans avoir à aplanir du terrain.
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tes chiffres sont pas si impressionnants que ça en fin de compte pour le solaire mais moi je mettrais tout dans le sud !
le nucléaire avec le général permettait d'atteindre une certaine indépendance énergétique
nos cadors sont pourtant en train de démanteler le nucléaire, industrie où nous avions une vraie expertise. Un vrai drame pour le pays!
sans le nucléaire nous irons acheter notre énergie comme des cons mais avec quel argent?? Une folie...
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Quelques chiffres pour rire (ou sourire) :
La centrale photovoltaïque de Malville c’est 155 hectares au sol pour fournir l’électricité à 23 000 habitants.
Surface totale nécessaire pour une consommation annuelle française de 500 TW.h en tout photovoltaïque ?
444 780 hectares soit 4 447,80 kilomètres carrés.
Soit une bande de la frontière Belge à la frontière Espagnole de... 1000 km de long sur 4 km de large.
Jolie balafre dans le paysage. Même les écolos purs et durs n’en voudraient pas.
Ceci dit il faudrait avant de démarrer ce merveilleux projet régler le problème de stockage car le soleil est capricieux.
Alors dirons-nous que faire ?
Et si on passait au tout éolien ? (cf étude de Jean Marc JANCOVICI)
Alors là on c’est 25 000 km2 qu’il nous faut.
Notre bande s’élargit et ses dimensions deviennent vertigineuse... Toujours 1000 km de long mais cette fois 25 km de large.
La encore avant de se lancer il faudra régler le problème de stockage car les vents aussi sont capricieux.
Bon mes chiffres ne sont que des chiffres mais j’ai comme le sentiment qu’un mixe avec le nucléaire semble bien nécessaire pour pas mal de temps non ?
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"Combien une centrale nucléaire de dernière génération, occupant la même surface au sol, génèrerait-elle de puissance et pour comparer à votre comparaison, combien d'habitants pourrait-elle soutenir."
Plutôt que ces questions, moi j'aurais demandé :
Combien une centrale aurait-elle couté ?
Combien de temps aurait mis sa construction ?
Combien de dépassements de budgets cela aurait-il engendré ?
Ou mettre les déchets nucléaires produits ?
Les habitants du lieu de la centrale auront-ils été consulté ?
Tant de questions !
Le bordel d'HINKLEY POINT et de FLAMANVILLE devrait faire réfléchir.
Le nucléaire, c'est has been depuis bien longtemps. La preuve, on ne sait même pas quoi faire de nos déchets à part les enterrer ou les envoyer sous la mer...
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La deuxième plus grande centrale photovoltaïque de France, installée dans la Meuse sur une ancienne base aérienne de l'Otan, va commencer à fournir de l'électricité au réseau samedi: elle va produire à terme de quoi subvenir aux besoins de 23.000 habitants.
En bordure des pistes qui accueillaient jadis les avions de chasse, sur cette ancienne base utilisée par les forces armées canadiennes, les panneaux solaires s'étendent à présent à perte de vue: environ 364.000 modules solaires sont installés sur une surface de 155 hectares.
Deux sociétés se partagent les lieux, TSE et Enerparc. La première va "commencer à intégrer progressivement de l'énergie dans le réseau à partir de samedi, et fonctionnera dans son intégralité à partir du 1er juin", a expliqué une porte-parole.
L'autre moitié de la centrale, gérée par Enerparc, a pris un peu de retard et entrera en service à son tour vraisemblablement en septembre.
"Avec une puissance installée de 152 MWc (Mégawatt-crête), la centrale dégagera une production totale d'environ 156 Gigawattheures par an, soit l'équivalent de la consommation annuelle de 23.000 habitants", précise TSE dans un communiqué.
Les deux entreprises ont investi au total 80 millions d'euros dans ce projet, à parts égales.
Particularité de l'installation, "TSE a délégué la gestion des espaces enherbés à un jeune éleveur ovin local en agriculture biologique qui a pu s'installer grâce à ce projet", indique encore l'entreprise.
Concrètement, ce sont donc ses moutons qui désherberont les pelouses au pied des panneaux solaires.
"Plusieurs éléments font qu'on ne peut que se ravir de ce projet", souligne Eric Dumont, président de la communauté de communes du Pays de Montmédy, propriétaire du terrain.
"Au niveau transition énergétique c'est une excellente contribution: la deuxième centrale photovoltaïque de France, ce n'est pas rien. Et cela nous permet de maîtriser une friche militaire, ce qui n'est pas simple à gérer", ajoute l'élu qui chapeaute 25 communes pour un bassin de population de 7.300 habitants.
M. Dumont insiste en outre sur "le double aspect écologique", avec l'installation du jeune berger, et une partie de l'ancienne base également convertie en petite réserve ornithologique pour la protection du passereau.
La communauté de communes touchera 375.000 euros de loyer annuel.
La plus grande centrale solaire photovoltaïque de France reste à ce jour celle de Cestas, en Gironde, gérée par la société Neoen, avec une puissance installée de 300 MWc.
© 2021 AFP
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