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Pour continuer sur mon post précédent de décodage :
Et donc sur une base de cours d'achat à 28 euros, on besoin que le cours monte à 34 euros pour financer la fiscalité du détachement de titre dont tous les détenteurs hors PEA devront s'acquitter afin de faire une opération blanche en vue de converser les 2 lignes.
le reste, c'est beaucoup de pipeau et surtout ça va assurer une remonter un étage plus haut des bénéfices d'OMG dans la galaxie Bolloré. Le coût fiscal sera entièrement compensé par le gain de dividende UMG à distribuer en gros...
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Derrière les imbécillités hautes de niveau de valorisations, se cache surtout un problème de fiscalisation du détachement qui est prélevé directement après détachement.
Pour rappel : Le régime fiscal désormais applicable aux dividendes est celui de la « flat tax » à 30 %. Elle se compose d'un prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 12,8 % et de 17,2 % de prélèvement sociaux.
Si le titre vaut 30, et que le détachement se fait sur :
• 18 euros pour UMG : Fiscalité hors PEA 5,4 euros, soit 540 euros à provisionner pour 100 titres
• 16 euros pour UMG : Fiscalité hors PEA 4,8 euros soit 480 euros à provisionner pour 100 titres
Et contrairement à ce qui est affirmé, la décote n'est aussi importante qu'on voudrait bien nous le montrer et elle reste surtout à démontrer par un retour important et obligatoire à la rentabilité pour ce qui va rester comme actifs à Vivendi.
En cas d'échec de redressement, c'est la chute assuré pour vivendi...
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(CercleFinance.com) - BofA Securities a conservé jeudi sa recommandation d'achat et son objectif de cours de 38 euros sur Vivendi après la validation du projet de scission d'Universal Music Group (UMG).
Dans une note de recherche, la banque privée américaine fait remarquer que l'acquéreur du label musical, Pershing Square, se montre particulièrement optimiste quant aux perspectives de la société.
Alors qu'UMG est aujourd'hui valorisé autour de 33 milliards d'euros, BofA s'attend à ce que l'actif entame une phase de revalorisation qui pourrait le conduire à quelque 48 milliards d'euros.
Un processus qui s'annoncerait avantageux pour Vivendi, appelé à conserver une participation de 10% au sein de l'entité, poursuit la firme de Wall Street.
'Nous savons bien que les investisseurs ont un point de vue négatif sur les actifs restants, mais nous nous attendons à ce que le produit de la scission soit déployé dans un programme de rachats d'actions portant sur 10% du capital, même si des opération de fusions-acquisitions (M&A) pourraient également être envisagées', explique BofA.
Quant à Canal+, la banque d'affaires pense que les perspectives de la chaîne cryptée restent 'compliquées', mais qu'elles s'améliorent.
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