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Ou bien les joueurs se sont accomodés de cette liberté historique.
Il y a une oblique baissière depuis novembre 2023.
Le cours est juste en limite de cette oblique.
"Shadows" va t'il lui donner le souffle nécessaire pour la traverser ?
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Les nouvelles semblent bien contradictoires en tout cas et aujourd'hui les acheteurs semblent donner tort aux vendeurs de Vendredi dernier.
On est arrivé à un plus haut sur les +11% !!! Donc les japonais ne sont pas les vrais clients de la nouvelle saga d'Ubisoft.
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Ce sera l'occasion de sortir un petit Dlc pour avoir un Samourai d'origine ;)
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Vous devriez aller discuter avec des paysans, vous pourriez découvrir le fameux bon sens "paysans" 😊😊😊
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@Ptitchat72
Trinque donc, c’est dimanche 🥂
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Encore une fois, ma file "infos/recos"
va se transformer en bar de quartier
où le paysan du coin va tenter de refaire le monde !
désespérant !
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Je n'ai fait que relayer une information :)
Néanmoins tout ce qui est woke ce casse la tronche, même Disney fait du rétropédalage tout comme Mark Zuckerberg qui vient de se mettre au MMA et à la musculation car il vient de découvrir que d'être un mec avec des attributs de mec c'était génial 🤣
Faire un jeu sur l'univers samouraï et ne pas mettre un Japonais autant faire un jeu qui se passe au wakanda au moins on adhère a l'imaginaire et comme vous le dites si bien les ventes seront le juge de paix.
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Z’ont qu’à pas y jouer.
Épicétou !
😊
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Pour les japonais, c'est pire qu'une erreur, c'est une faute !!!
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Vous avez peut être raison.
Mais les jeux doivent à la fois faire en sorte que tout le monde se reconnaisse et s'imagine en héros et à la fois ne déplaire à personne.
Ce n'est manisfestement pas si simple.
Les ventes dans une semaine nous dirons si Ubisoft a visé juste avec Shadows.
D'ici là, le cours risque d'être malmené comme aujourd'hui.
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malgré tout c'est une erreur d'Ubisoft de choisir un Africain pour représenter un Samouraï. J'attendais également de pouvoir jouer dans la peau d'un Jap. Néanmoins ce jeu est parfaitement au niveau, superbe, au delà de ces choix Wokistes.
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Je ne suis pas sûr que le premier ministre japonais ainsi que les 100 000 signataires de la pétition soient des acheteurs de jeux vidéo.
Ils se seraient alors rendus compte que les jeux, tout comme le cinéma, ne reflètent pas la réalité et n'ont jamais revendiqué de détenir la vérité.
Faux procès de gens qui ne savent plus quoi dire.
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Selon SCMP, le Premier ministre japonais Shigeru Ishiba a critiqué le jeu vidéo Assassin’s Creed Shadows pour son insensibilité culturelle et ses inexactitudes historiques. Le jeu présente un personnage samouraï africain, Yasuke, qui détruit un sanctuaire shinto, suscitant l’indignation de plus de 100 000 signataires d’une pétition. Ishiba a déclaré que son gouvernement n’accepterait pas de tels actes et envisage des mesures légales pour traiter cette question.
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UBISOFT annonce plus d'un million de joueurs en moins de 24h.
C'est le même rythme que les meilleures ventes de l'éditeur.
Le premier juge de paix sera les ventes de la première semaine.
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Et bien la sortie attendue semble ne pas remonter le moral des investisseurs qui déjà semblent vendre le titre sans attendre même un chiffre concernant les commandes et les achats du nouveau jeu !!!
A 12,42 euros et -5% c'est de nouveau les Vadeurs qui doivent avoir repris les commandes.
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ça passe... ça passe...
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Assassin's Creed Shadows, le jeu de la dernière chance pour Ubisoft en Bourse ?
Aujourd'hui à 06:00
(BFM Bourse) - Le dernier opus de la célèbre franchise de l'éditeur de jeux vidéo sort officiellement ce jeudi 20 mars. Son succès est vital pour que le groupe puisse tenir ses objectifs sur l'exercice clos à la fin du mois. La pertinence de sa stratégie est également en jeu.
Ubisoft n'est guère spécialisé dans les jeux d'argent. Pourtant la sortie, ce jeudi 20 mars, de son dernier jeu, "Assassin's Creed Shadows", ressemble beaucoup à un quitte ou double pour l'éditeur franco-canadien de jeux vidéo. Et par la même pour ses actionnaires, au premier rang desquels le concert formé par la famille Guillemot (15,4%) et le géant chinois du numérique Tencent (9,9%).
Ce nouveau volet de la saga Assassin's Creed, qui a rassemblé environ 230 millions de joueurs depuis ses débuts en 2007, selon Ubisoft, a pour théâtre le Japon féodal. Le joueur pourra contrôler deux personnages, à savoir Naoe, une kunoïchi, c'est-à-dire une femme ninja, et Yasuke, un samouraï d'origine africaine.
Le succès de ce jeu est impératif pour Ubisoft, qui a enchaîné les revers sur ses dernières sorties "AAA" (les blockbusters du jeu vidéo). Star Wars Outlaws notamment. La direction du groupe a reconnu à plusieurs reprises que les ventes n'avaient pas été à la hauteur des attentes sur ce titre. Le jeu de piraterie "Skull and Bones" n'a pas non plus déchaîné les passions, de même qu'"Avatar: Frontiers of Pandora" ou "Prince of Persia: The Lost Crown", pourtant très bien accueilli par les journalistes.
Des notes encourageantes
L'embargo sur les notes de la presse sur "Assassin's Creed Shadows" a été levé mercredi. Le jeu a obtenu un score Metacritic de 81 (87 sur Xbox, 81 sur PS5 et 78 sur PC), un chiffre qui se compare à celui d'"Assassin's Creed Valhalla", qui avait dégagé plus d'1 milliard de dollars de revenus sur 14 mois, souligne TP ICAP Midcap. Assassin's Creed Odyssey avait de son côté obtenu une note globale un peu plus élevée (84) et s'était vendu à plus de 10 millions d'unités en 18 mois, rappelle aussi le bureau d'études. "Le résultat est très encourageant et augure d’un bon lancement", déduit-il.
"Côté ventes, les signaux sont à ce stade encore limités mais le jeu est numéro 1 des ventes sur Amazon UK, Amazon France et aux États-Unis. Côté PC le jeu est numéro 4 des ventes sur Steam, performance difficile à lire en raison de la puissance de la plateforme propre au groupe, Ubisoft Connect", ajoute TP ICAP Midcap.
"Les notes publiées sur Metacritic sont plutôt bonnes, dans la lignée des précédents jeux de la franchise, et semblent offrir ce que l’on peut attendre d’un titre Assassin’s Creed, sans pour autant révolutionner la série malgré quelques nouveautés. Il est rassurant de voir qu'a priori, il ne présente pas de problèmes techniques ni de bugs", estime, pour sa part, Adrien Brasey, analyste chez le bureau d'études indépendant Alphavalue.
De leur côté, nos collègues de Tech & Co ont apprécié le jeu le qualifiant de "bouffée d'air" pour la saga avec des "nouveautés bienvenues" et une "beauté à couper le souffle".
Dans une note publiée en févier, UBS indiquait s'attendre à 10 millions d'unités vendues, répartis entre 7 millions sur la fin de l'exercice 2024-2025 (qui sera clos fin mars) et 3 millions sur le premier trimestre de l'exercice 2025-2026. La banque suisse rapportait que la direction d'Ubisoft voyait les pré-commandes d'Assassin's Creed Shadows être en ligne avec celles d'Assassin's Creed Odyssey.
Des objectifs à risque
Le marché attend évidemment de voir, mais les investisseurs paraissent quand même un peu nerveux. Mercredi le titre a terminé en baisse de 5,6% à la Bourse de Paris, après que les avis Metacritic, bons mais pas dithyrambiques, ont été publiés.
"Je ne pense pas qu'il faille accorder trop d'importance à la variation du titre de mercredi. Ubisoft reste une valeur assez volatile et a connu un rebond depuis la mi-février, porté par des spéculations sur la création d'une nouvelle société qui rassemblerait ses propriétés intellectuelles et ferait entrer de nouveaux actionnaires. Mercredi, l'action a ainsi pu connaître une baisse technique ainsi qu’une potentielle prise de bénéfices avant la sortie d’Assassin’s Creed Shadows", explique Adrien Brasey.
Les premières tendances seront évidemment importantes tant "Shadows" revêt un caractère crucial pour l'entreprise.
"Assassin's Creed Shadows est le lancement le plus critique de l'histoire récente d'Ubisoft, dont la direction s'est recentrée sur les IP (propriétés intellectuelles) principales en septembre 2022, après des efforts infructueux pour diversifier son portefeuille (c'est-à-dire vers le free-to-play)", prévient Deutsche Bank.
De la bonne réception du jeu dépendra l'atteinte des objectifs de l'entreprise. Pour l'exercice actuel, qui sera donc clos à la fin du mois, le groupe de jeux vidéo prévoit des "nets bookings" (le chiffre d'affaires retraité de certains revenus) d'1,9 milliard d'euros ainsi qu'un résultat opérationnel et un flux de trésorerie à l'équilibre. Ce serait la première fois depuis l'exercice 2020-2021 qu'Ubisoft ne brûlerait pas de cash au cours d'un exercice.
"Ubisoft joue gros sur le plan opérationnel. La sortie du jeu est importante pour le respect des objectifs, notamment sur le flux de trésorerie, car les ventes des onze prochains jours et les précommandes génèrent du cash", explique un analyste. "C'est important pour leur crédibilité", ajoute-t-il.
"Il faudra qu'Assassin's Creed Shadows rencontre un succès populaire important pour qu'Ubisoft tienne ses objectifs pour l'exercice 2024-2025. Le risque d'un raté sur ce point existe. La société doit dégager au moins 956 millions d'euros de 'net bookings' (le chiffre d'affaires retraité de certains éléments) sur le quatrième trimestre 2024-2025. Ce qui constituerait un trimestre record pour le groupe", estime pour sa part Adrien Brasey.
La dette et l'avenir boursier en question
S'agit-il du jeu de la dernière chance pour Ubisoft? "Je ne pense pas qu'ils risquent la faillite mais il est important pour eux de ne pas brûler trop de cash", nuance l'analyste anonyme précédemment cité.
"Un succès mitigé d'Assassin's Creed Shadow ne serait pas une bonne chose mais ne remettrait pas en cause l'existence d'Ubisoft. Mais la société doit à tout prix éviter un flop", juge de son côté Adrien Brasey. "Assassin's Creed reste une franchise clef pour Ubisoft et pour sa valorisation, et donc un échec pèserait logiquement sur l'action", ajoute-t-il.
Deutsche Bank estime qu'un succès du jeu crédibiliserait la stratégie de l'entreprise et de la famille Guillemot. Mais en cas d'échec, Ubisoft devra "probablement prendre des mesures stratégiques majeures pour éviter de briser les 'covenants' (des engagements en matière de ratio d'endettement pris auprès des créanciers, NDLR) avant le refinancement d'échéances de dette (500 millions d'euros arrivant à échéance en 2026)", prévient Deutsche Bank.
En creux, la question de l'avenir en Bourse d'Ubisoft pourrait se poser. Des informations de presse ont fait état à l'automne d'une volonté de la famille Guillemot de sortir le titre de la cote parisienne.
En janvier, la société a annoncé effectuer une "revue" de ses options stratégiques et capitalistiques, un processus qui peut parfois déboucher sur ce type d'opération même si la société n'a donné aucun indice sur le contenu de cette revue.
Depuis Bloomberg a rapporté que l'entreprise cherchait à créer une nouvelle société pour regrouper certaines des ses licences phares et pourrait vendre une participation minoritaire dans cette nouvelle entreprise. Ubisoft n'a pas souhaité commenter ces informations.
Si une sortie de la cote devait être effectuée, elle se ferait certainement avec Tencent, le puissant allié chinois d'Ubisoft. Ce, car les accords noués entre la famille Gulesillemot et Tencent ont de quoi repousser les velléités de rachat de la part d'acteurs tiers.
"Un échec d’Assassin's Creed Shadows pourrait affaiblir la position d’Ubisoft dans ses négociations avec Tencent, réduisant ainsi les perspectives de vente et le caractère spéculatif de l’action.", prévient sur ce dernier point Adrien Brasey.
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une sortie à haut risque pour Ubisoft
Actualité publiée le 19/03/25 16:31
(AOF) - Ubisoft joue gros avec la sortie demain du nouvel opus de sa franchise vedette, Assassin's Creed Shadows. En Bourse, l’action de l’éditeur de jeux vidéo n’a cessé de creuser ses pertes depuis ce matin, reculant désormais de 7,72% à 12,315 euros, soit le plus fort repli du SBF 120. Le groupe français a accumulé les déboires en 2024 dans un contexte difficile pour le secteur : perte semestrielle, avertissement, performance décevante de Star Wars Outlaws et décalage à 2 reprises de la sortie d’Assassin's Creed Shadows.
" Le prochain Assassin's Creed Shadows sera décisif pour l'exercice ", soulignait récemment AlphaValue.
Dans une note publiée aujourd'hui, TP Icap Midcap souligne que le score Metacritic de 82 sur 100 pour Assassin's Creed Shadows " est très encourageant et augure d'un bon lancement ". L'analyste rappelle qu'il se compare avec celui identique de 82 obtenu par Valhalla (plus d'un milliard d'euros de revenus en 14 mois) ou le 84 d'Odyssey (plus de 10 million d'unités vendues en 18 mois).
" Nous suivrons avec attention les prochains signaux de vente mais l'histoire est peut-être en train de s'inverser. C'est déjà un grand ouf de soulagement pour le management ", ajoute le spécialiste.
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je comprends pas il a l'air vraiment réussi ce jeu, pour avoir eu 1 des précédents... les décos sont sublimes, beaucoup de travail de fait, game play, mode découverte, etc... je ne sais pas ce qui leur faut et il est possible que ça cartonne en europe ou dans le reste du monde...
PRU à 19,8 €, j'y crois encore
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