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"Les renouvelables ont déjà gagné", pour le patron de Voltalia

Cours temps réel: 7,65  -2,55%



JULIENOR JULIENOR
21/02/2022 18:22:32
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BIEN DIT !!!!

  
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MAXIMILIAN MAXIMILIAN
21/02/2022 17:59:49
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Le client ce qu'il recherche c'est de payer moins cher son électricité.

Mon électricité je la paye 115 €/ MW pour ma maison.

Si Voltalia me propose un contrat à 70 €/MW je le prends tout de suite.


  
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MAXIMILIAN MAXIMILIAN
21/02/2022 13:10:58
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Sans l'éolien le cours du MW d'électricité serait à 300 € aujourd'hui.

  
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JCLAUDIO JCLAUDIO
21/02/2022 12:58:53
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l'avenir : c'est le nucléaire.....et rien d'autre......les éoliennes sont une catastrophe dans un pays touristique comme la France ,sans compter le retraitement des éoliennes en fin de vie (les hélices sont indestructibles ) ,la pollution visuelle et les ondes électromagnétiques qui créent des problèmes environnementaux .....et tout cela est financé par les taxes sur les consommations.....les éoliennes ne créent aucun emploi en France,car tout est importé ( meme la main d ' oeuvre pour les construire) tout cela n'a aucun intéret ,sauf pour les financiers (fonds de pension américains) et ceux qui vendent le matériel.....et au final qui sont les couillons ???? les Français et les entreprises Françaises qui eux payent la facture..........
  
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JCLAUDIO JCLAUDIO
21/02/2022 12:58:20
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Une centrale biomasse Voltalia à Cacao, en Guyane, le 2 février 2022
Une centrale biomasse Voltalia à Cacao, en Guyane, le 2 février 2022 (AFP/jody amiet)

"Les énergies renouvelables ont déjà gagné" et vont se déployer partout dans le monde, mais ensuite, plus compliquée sera la seconde partie du chemin pour tendre vers 100% d'électricité verte, estime le directeur général de Voltalia, acteur du solaire et de l'éolien dans une vingtaine de pays.

Pour Sébastien Clerc, à ce jour, "les renouvelables sont un pari plus que gagné", grâce à l'effondrement des coûts.

"Aujourd'hui l'acheteur d'électricité qui s'engage sur un contrat de 10-20 ans, qu'il soit distributeur d'électricité, entreprise, État... choisit à 95% le renouvelable car c'est l'énergie la moins chère quasiment partout", dit le patron de cette entreprise française, rare société à mission cotée, présente en Amérique latine, Afrique, Europe.

Sébastien Clerc entrevoit au moins 20 ans d'essor mondial sans obstacle majeur pour le secteur.

Les investisseurs se bousculent. Et le sujet de la place n'en est pas vraiment un, dit-il: "Pour répondre aux besoins mondiaux en électricité, couvrir l'équivalent de l'Aquitaine de panneaux photovoltaïques suffit".

Il ne nie pas les contestations. "Parce que les installations se voient. C'est le phénomène +Nimby+ (not in my backyard), +pas dans mon jardin+."

L'éolien concentre à ce stade les critiques. Rien ne dit que ce ne sera pas demain le cas du solaire, dont les champs de 30 voire 100 hectares finiront par se voir, note-t-il. "Les oppositions vont finir par arriver."

Le président français Emmanuel Macron, qui veut pousser le solaire, a ainsi demandé, "un juste équilibre" entre installations au sol et sur les toits.

Sauf que poser sur les toits coûte plus cher, c'est moins efficace (panneaux pas forcément orientés idéalement, non mobiles), note le directeur de Voltalia.

"Aujourd'hui on fait encore comme si on avait le choix", ajoute-t-il. Mais face au réchauffement climatique et à la nécessité de verdir l'énergie, "in fine, on va faire tout ce qu'on peut. "Et il y aura plein de renouvelable, partout dans le monde", assure-t-il.

- Préparer les nuits sans vent -

Pour lui, c'est surtout la suite de l'aventure, dans 20 ans, qui porte les grandes inconnues, quand les renouvelables auront atteint une part critique: comment fera-t-on la nuit en l'absence de vent?

"Aujourd'hui les énergies renouvelables avancent toutes seules, et c'est notre job, développeurs, industriels, de faire que cela se passe au mieux. Mais à un certain point, disons au-delà de 50% de parts de marché, les gouvernements auront leur rôle à jouer". Par exemple contribuer à assumer le surcoût du stockage sur batteries, quand ni gaz ni charbon ne seront plus là pour servir de "tampon".

Une première réponse, "encore sous le radar", est qu'il faudra adapter l'heure de nos consommations, insiste Sébastien Clerc.

Par exemple, faire marcher les ballons d'eau chaude quand il y a du soleil et/ou du vent. Idem pour le chauffage, en faisant monter la température aux bonnes heures pour ensuite stocker la chaleur dans la pièce (ce qui imposera des bâtiments mieux isolés). Moduler aussi les horaires de l'industrie.

Quid du stockage à grande échelle? Aujourd'hui le stockage du courant est assuré essentiellement par des "step" ("stations de transfert d'énergie par pompage", installées entre deux retenues d'eau). Une solution mature, mais qui suppose d'avoir des montagnes, note M. Clerc.

Pour le moment plus chères, les batteries devront prendre le relais, suggère le développeur, également acteur dans le stockage, qui évoque aussi l'hydrogène, mais son rendement moindre.

"Quand je mets 100 kWh pour stocker de l'énergie avec de l'hydrogène, j'en récupère environ 30%. Avec la batterie, je récupère plus de 80%, et environ 90% avec la step", décrit-il.

Ces sujets ne sont pas forcément les plus urgents pour un pays comme la France, largement adossée au nucléaire, ajoute-t-il. Mais ils le sont par exemple en Grande-Bretagne, lancée dans un vaste programme renouvelable pour échapper à sa dépendance au gaz: le pays a investi l'an dernier plusieurs milliards d'euros dans les batteries.

"Il faut réfléchir à tout cela, mettre de la recherche-développement... C'est un vrai problème conceptuel: s'approcher du 100% renouvelables, on ne sait pas encore comment on fait. Mais on le fera".

© 2022 AFP

  
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