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L'Élysée veut installer Luc Rémont à la tête d'EDF pour relancer le nu

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moicmoi moicmoi
30/09/2022 11:30:58
1

Attendons déjà de savoir si cette annonce sera suivie d'effet !

Contre l'avis des verts et de l'E.U., je ne serais pas surpris que les choses trainent, trainent, trainent......jusqu'à l'implosion de l'E.U.

L' E.U. (ou la BCE) ne mettra pas un kopeck pour le financement, contrairement à l'éolien .

  
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JMPBW JMPBW
30/09/2022 11:19:16
0

Attendons de savoir à qui la construction de nouvelles centrales nucléaires sera confiée.

J'ouvre les paris.

  
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moicmoi moicmoi
30/09/2022 11:15:24
1

La construction de nouvelles centrales nucléaires

Depuis l’envolée du Prix de KW/H chez le « usagé », le sujet de l’énergie devient très sensible.

On en parle très peu dans la presse, (et seulement dans la presse locale) mais les manifestations anti-éoliennes sont fréquentes.

Les Français comprendront encore plus quand ils devront baisser leur chauffage,( voire s’en priver quelquefois) cet hiver.

Donc, l’annonce de macron est de la poudre aux yeux, pour calmer les choses.
Mais entre l’annonce et la mise en chantier il y a un fossé énorme.

Quand, dans la presse, je peux lire :

« nommer à la tête d'EDF Luc Rémont,..// pour relever le défi majeur de la relance de la production nucléaire. »
Je rigole.

Qui me fera croire que Macron qui a viré Jean-Bernard Lévy - qui était en désaccord avec macron, et qui défendait bec et ongle le nucléaire - pour mettre en place un PDG aux ordres chargé de relancer de la production nucléaire ?

Pour relancer la production nucléaire en France, une seule solution : sortir du marché européen de l’électricité et faire jouer une vraie concurrence , éventuellement avec une parfaite égalité de subventionnement des opérateurs (à l’euro près), abandon de l’idée idiote de l’arrêt d’une partie du parc nucléaire existant .

Ce serait tout bénéfice pour la France, EDF , et les clients français.

  
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floalain floalain
30/09/2022 10:20:38
1
Le pauvre, il doit avoir des instincts suicidaires. La construction de nouvelles centrales nucléaires aurait dû être décidé il y a 10 ans et pas des EPR qui sont un cauchemar pour les techniciens comme pour les financiers. Il faut utiliser le dernier palier N4 cad Civaux qui a fait ses preuves.
  
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moicmoi moicmoi
30/09/2022 00:07:24
0

ZIMMOUR
« « L'état et toute sa clique d'incompétents a plutôt intérêt à se bouger le cul ..//.. leur incompétence de plus en plus INSUPPORTABLE à tous point de vue....
» »

Il semblerait que macron en ai pris un peu la mesure. Il commence à annoncer un méli-mélo de mix énergétiques.

La France étant très riche, il annonce trois modèles de production conjoints, soit multiplication par 3 ou 4 , ou 5 fois le montant de l’investissement (payé par nous).

A moins qu’il ne s’agisse encore de l’une de ses manoeuvres trompeuses, ou d’un nouveau « en même temps ».

Ne pas perdre de vue que c’est l’E.U. qui commande, et que l’E.U. impose le recours massif à l’énergie éolienne (industrie allemande) , et la diminution massive du nucléaire.

  
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ZIMMOUR ZIMMOUR
29/09/2022 22:10:42
0
L'état et toute sa clique d'incompétents a plutôt intérêt à se bouger le cul très très vite et remettre les centrales en route, parce que les Français trouvent leur incompétence de plus en plus INSUPPORTABLE à tous point de vue......
  
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Bob1000 Bob1000
29/09/2022 21:19:50
0

Mr Macron = un guignol chanceux et qui hélas aura été néfaste pour la France avec ses décisions "économiques" et sanitaires (covid avec politique enfermements pro chinoise) prises imbéciles quoi qu'il en coûte sauf pour lui super bien planqué

  
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Bob1000 Bob1000
29/09/2022 21:19:47
1
Luc Remont (D) le 4 septembre 2014, alors président de Schneider Electric France, avec la ministre de l'Écologie Ségolène Royal, et le président-directeur général de Schneider Electric Jean-Pascal Tricoire, à Rueil-Malmaison, en région parisienne
Luc Remont (D) le 4 septembre 2014, alors président de Schneider Electric France, avec la ministre de l'Écologie Ségolène Royal, et le président-directeur général de Schneider Electric Jean-Pascal Tricoire, à Rueil-Malmaison, en région parisienne (AFP/Archives/Miguel MEDINA)

L'Élysée a proposé jeudi de nommer à la tête d'EDF Luc Rémont, actuel dirigeant de Schneider Electric, en remplacement de l'actuel PDG du géant de l'électricité Jean-Bernard Lévy, pour relever le défi majeur de la relance de la production nucléaire.

À 53 ans, l'actuel responsable des opérations internationales de Schneider Electric va devenir le nouveau pilote du vaisseau EDF, fragilisé par sa situation financière et sa production électrique en panne.

L'Élysée a officialisé son choix, sur "proposition de la Première ministre", en précisant que le Parlement devra donner son aval à cette nomination.

Le futur PDG remplacera Jean-Bernard Lévy, aux manettes depuis 2014, bientôt atteint par la limite d'âge mais dont le départ anticipé a été annoncé dès cet été en même temps que la renationalisation d'EDF à 100%.

Peu connu du grand public, Luc Rémont présente toutefois un profil public-privé "très complet" pour diriger le géant industriel bientôt renationalisé, souligne une source proche du dossier. Bon connaisseur des rouages de l'État pour être passé dans des cabinets ministériels dont Bercy, il a acquis aussi une "légitimité d'entreprise".

Emmanuel Da Cruz, coordinateur syndical FO Groupe Schneider, salue une "personne très compétente, ingénieur, reconnu chez Schneider Electric, bienveillant vis-à-vis de ses équipes".

Avec son passage de plus de huit ans chez Schneider, d'abord comme directeur France puis à l'international où il a piloté "des dizaines de sites industriels et des dizaines de milliers de salariés", selon la source proche du dossier, il connaît désormais bien ce secteur de l'énergie français et mondial aujourd'hui en plein bouleversement.

"Ce n'est pas tant l'homme que l'on jugera, c'est son projet", a réagi de son côté Amélie Henri, secrétaire nationale CFE-Unsa énergies pour EDF.

Pour l'instant, Luc Rémont sera le seul capitaine à bord, les statuts actuels de la société prévoyant une gouvernance unique dans les mains d'un PDG. Mais Bercy reste favorable à l'idée d'une dissociation entre les fonctions de président et directeur-général, un temps évoquée par l'Élysée. Sa rémunération fixe restera "dans le cadre de la loi", soit un maximum de 450.000 euros brut par an, selon une autre source proche du dossier.

– Défis colossaux –

Luc Rémont va devoir relever un nombre de défis colossaux, tant financiers qu'industriels, alors que la France fait face à sa pire crise énergétique depuis des décennies.

Dossier au sommet de la pile : relancer une production électrique en berne, en raison de problèmes sur certains réacteurs nucléaires, mais aussi de la sécheresse qui a fragilisé la production hydroélectrique.

Sur 56 réacteurs, environ la moitié sont à l'arrêt en raison de problèmes de corrosion ou pour des maintenances, ce qui devrait faire chuter pour 2022 la production à un plus bas historique de 280 TWh. Or tout l'enjeu sera de faire redémarrer suffisamment de réacteurs pour faire face aux pics de consommation, notamment en cas d'hiver très froid.

D'autres chantiers plus structurels attendent le nouvel homme fort d'EDF. À moyen et long terme, le nouveau patron aura aussi à gérer le branchement de l'EPR Flamanville, qui accuse dix ans de retard, et de faramineux investissements à venir pour relancer le nucléaire, selon la feuille de route fixée par Emmanuel Macron en février 2022.

L'exécutif veut doter la France de six nouveaux EPR de seconde génération, avec une option pour huit autres tout en prolongeant la durée de vie d'un parc vieillissant au-delà de 50 ans, pour accroître la sécurité énergétique de la France, alors qu'il faudra de plus en plus se passer des énergies fossiles. Et le gouvernement veut presser le pas.

Des défis d'autant plus compliqués à affronter que la situation financière du groupe est plombée par une dette colossale qui pourrait culminer à 60 milliards d'euros fin 2022. Une situation due à l'écroulement de la production, aggravée par la décision du gouvernement de faire vendre à EDF davantage d'électricité à prix cassé à ses concurrents pour protéger la facture des ménages.

Dans ce contexte, il aura fort à faire pour rassurer salariés et syndicats. "On a de grosses craintes", a indiqué Amélie Henri, chez CFE-Énergie, qui redoute une "vente à la découpe des différentes activités d'EDF" et la fin du "modèle intégré de l'entreprise", après la renationalisation.

Sa feuille de route est attendue avec impatience.

© 2022 AFP

  
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