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Energie: A Prague, l'UE cherche à sortir du piège de la désunion

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sergiobress sergiobress
07/10/2022 21:17:56
1

Et oui Moicmoi la réponse est bien là, quand on joue avec le feu parfois on se brûle :

https://www.lefigaro.fr/international/petrole-la-gifle-de-riyad-a-l-occident-20221006

Mais ne t’inquiète pas Macron va en prendre des coups bas, ce n’est que le début et c’est surtout le résultat de ses décisions absurdes, pour l’instant il est protégé mais plus pour très longtemps.

  
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moicmoi moicmoi
07/10/2022 15:13:06
2

floalain
« « Difficile d'empêcher quelqu'un de se suicider: ce qu'est entrain de faire l'Europe avec l'aide des USA »
»

Je ne partage pas à 100 % ton avis.

l'Europe veut survivre. Mais elle veut (doit) réduire les européens en l’état de larves.

l'Europe est une construction des USA , (projet élaboré dès 1948), pour faire une zone tampon entre eux et leur ennemi héréditaire . Pour éviter de se prendre des coups de poing dans la gueule. C’est plus confortable quand ce sont les autres qui les prennent. (la preuve en ce moment avec l’Ukraine). Et pour étendre leur marché.

Donc, l'intérêt est de la garder en presque l’état. Sauf qu’il faut « abbettir » sa population pour la rendre servile et chloroformée (comme dans les hôpitaux psy) . Quand le 1er du mois un ménage calcule les qqs centimes qu’il va pouvoir sauvegarder en fin du mois, il ne réfléchit pas au reste. CQFD.

« « à Lyon, il y avait la queue dans les stations service. » »

La queue, oui. Comme partout en France . Merci la CGT ! Merci de foutre dans la merde des millions de Français.

Mais, selon les grands z’élites qui savent, il n’y a pas pénurie.

Tu fais la queue pendant des heures, mais il suffit d’être patient.

Et si, quand ton tour arrive de tenir les pistolet de carburant…les cuves son vides….tu feras la queue à d’autres stations. Ça passe le temps.
Pas de pénurie , qu’ils disent !


« « L'OPEP refuse de baisser ses prix » »

Ben oui ! Quoi de plus logique ?
Ils ont beau être les rois du pétrole, ça ne les empêche pas d’avoir de quoi réfléchir entre les 2 oreilles.
L’Europe a choisi, sans réfléchir, de se saborder. Et les conneries, il faut les assumer.
Ce n’est pas à l’ OPEP de payer les pots cassés, et comme l’ ’Europe s’est foutu dans la merde, faut payer, ma brave dame. Faut payer ! Et les prix, ça peut grimper.
Ce qui est tout bon pour l’ OPEP, mais moins bon pour l’Europe.
Quand on est con, on est con ! Et on paye !

Mais qui sera le plus con XXL dans cette histoire ? NOUS. Comme d'hab.

  
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Fibopivots Fibopivots
07/10/2022 14:04:41
2

Si nous sommes les descendants de l'Empire Romain, une seconde glissade fatale ?

  
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JMPBW JMPBW
07/10/2022 13:46:55
0

Comment peut-on voir Ursula Van der Leyen faire la vedette à Prague alors que ses tentatives pour trouver des solutions à la crise énergétique ont été un fiasco.

Rien d'étonnant à cela.

On ne résout pas un problème avec les modes de pensées qui l'ont engendré. Albert EINSTEIN


Il en est de même pour le pétrole.

MBS a rencontré avec condescendance Biden, Macron, le chancelier Allemand.

Cela ne l'a pas empêché de prendre sur le pétrole, une position favorable à Moscou.

Nous étions étranglés par le prix du gaz, et il a mis un tour de plus au garrot avec le pétrole.

L'Arabie Saoudite sera le grand bénéficiaire de la crise énergétique.

Avec la hausse de ses revenus pétroliers directs, et les bénéfices liés à l'achat transformation de pétrole Russe qui nous est ensuite revendu.

La manne pétrolière permettra à MBS de financer le projet Neom, The line, grâce auquel il deviendra le pharaon du 21ème siècle.


L'occident court à sa perte.

  
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floalain floalain
07/10/2022 10:57:23
3
Difficile d'empêcher quelqu'un de se suicider: ce qu'est entrain de faire l'Europe avec l'aide des USA qui ont fourni le pistolet. De plus, cet article ne parle pas des stocks d'hydrocarbures américains qui sont au plus bas ni de l'état français qui va être obligé de puiser dans les réserves stratégiques. Hier soir à Lyon, il y avait la queue dans les stations service. Les français commencent à comprendre et je plains ceux qui ont besoin de leur véhicule pour travailler.
  
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pharm pharm
07/10/2022 10:07:07
1

L'OPEP refuse de baisser ses prix : business is business !

L'UE = l'arroseur arrose'. Evidemment, il est plus facile de "sanctionner" tel ou tel pays que de "punir" l'OPEP ...


  
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pascalle pascalle
07/10/2022 09:10:48
2

"L'économie du Vieux continent dépend totalement de ses importations d'hydrocarbures et souffre comme nulle autre des coupures de livraisons imposées par la Russie." ==> FAUX C'est l'Europe sur la pression des profiteurs de guerre Américain qui ne veut pas acheter. Il faut chercher a qui profite le crime.

  
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SUIVIABC SUIVIABC
07/10/2022 08:51:53
2
Vous écrivez : ---->> L'économie du Vieux continent dépend totalement de ses importations d'hydrocarbures et souffre comme nulle autre des coupures de livraisons imposées par la Russie. Imposées par la Russie ? ...... Vous en êtes sûr ? Je vous suggère d'arrêter de colporter la propagande désastreuse de l'UE
  
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JCLAUDIO JCLAUDIO
07/10/2022 08:46:17
2
Il manque une étincelle pour faire exploser la communauté européenne ,tant les intérets de chacun des pays sont divergents....
  
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JCLAUDIO JCLAUDIO
07/10/2022 08:46:16
1
Infrastructures gazières à Lubmin, dans le nord-est de l'Allemagne, le 30 août 2022
Infrastructures gazières à Lubmin, dans le nord-est de l'Allemagne, le 30 août 2022 (AFP/Archives/Odd ANDERSEN)

Les dirigeants de l'Union européenne vont tenter de surmonter leurs divisions vendredi à Prague pour esquisser une réponse commune à la flambée des prix de l'énergie provoquée par la guerre en Ukraine.

Les chefs d'Etat et de gouvernement des Vingt-Sept, qui se réuniront au château de la capitale tchèque, discuteront de nouvelles mesures proposées par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.

La stratégie énergétique divise le couple franco-allemand et de vifs débats sont attendus au lendemain d'une journée plus consensuelle consacrée au lancement de la Communauté politique européenne.

L'économie du Vieux continent dépend totalement de ses importations d'hydrocarbures et souffre comme nulle autre des coupures de livraisons imposées par la Russie.

Mais elle peine à trouver une parade commune, tant les intérêts divergent entre les pays qui misent sur le nucléaire comme la France, ceux qui comptent sur le charbon comme l'Allemagne, ou ceux qui sont historiquement liés aux hydrocarbures russes en Europe centrale.

- Tentation du cavalier seul -

Frustrés par la lenteur européenne, les dirigeants des pays membres de l'UE risquent de céder à la tentation du cavalier seul.

Le chancelier allemand Olaf Scholz (à gauche) et le président français Emmanuel Macron, le 6 octobre 2022 à Prague
Le chancelier allemand Olaf Scholz (à gauche) et le président français Emmanuel Macron, le 6 octobre 2022 à Prague (AFP/Ludovic MARIN)

L'Allemagne a suscité un tollé en annonçant la semaine dernière un plan à 200 milliards d'euros pour protéger son économie. La France avait également réduit unilatéralement les prix des carburants à la pompe.

"Certains pays pensent qu'ils peuvent agir seuls, avec leur propre budget. Vous pouvez le faire pendant quelques mois. Ensuite, c'est une course à celui qui aura les poches les plus profondes. Mais, à un moment donné, même les poches les plus profondes ont leurs limites", a averti jeudi le chef du gouvernement belge Alexander De Croo.

Dans une lettre aux Vingt-Sept mercredi, Mme von der Leyen a accepté de "considérer un plafonnement des prix du gaz" payés aux pays exportateurs. Quinze Etats membres, dont la France, la réclament.

L'Allemagne traîne cependant les pieds sur ce mécanisme encore flou, estimant qu'il pourrait aggraver les difficultés d'approvisionnement. Il comporte des "risques significatifs", a estimé récemment l'Institut Bruegel, jugeant qu'il "pourrait faire monter la demande de gaz tout en minant la capacité de l'Europe à attirer les livraisons dont elle a tant besoin".

Autre sujet d'affrontement: la réforme du marché européen de l'électricité qui pénalise les consommateurs avec des tarifs élevés, indexés sur ceux du gaz.

Mme von der Leyen a proposé mercredi de discuter d'un plafonnement temporaire des prix de gros du gaz utilisés pour produire l'électricité, une mesure qui serait un premier pas avant des mesures structurelles réclamées notamment par Paris.

"Il faut que la discussion aboutisse à un message d'unité", a-t-on souligné à l'Elysée. Mais les résultats concrets devraient attendre quelques semaines.

- Camouflet de l'Opep -

Les Européens doivent aussi composer avec les réticences de leurs fournisseurs.

Vingt-trois pays producteurs de pétrole, Arabie Saoudite en tête, ont annoncé mercredi une réduction drastique de leur production pour soutenir les prix, une aubaine pour Moscou et un camouflet aux Occidentaux.

L'affaire souligne la difficulté des acheteurs à imposer leurs prix aux fournisseurs, fussent-ils "amis". Le ministre allemand de l'Economie Robert Habeck a d'ailleurs déploré mercredi les tarifs "astronomiques" réclamés pour leur gaz par des pays comme la Norvège ou les Etats-Unis.

La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, le 6 octobre 2022 à Prague
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, le 6 octobre 2022 à Prague (AFP/Ludovic MARIN)

L'UE, qui a décidé de cesser ses achats de pétrole russe par voie maritime à partir du 5 décembre, devrait aussi avoir les plus grandes difficultés à faire accepter aux pays tiers le plafonnement des prix du pétrole russe décidé avec le G7 pour sanctionner Moscou.

Mme von der Leyen propose par ailleurs de développer les achats communs de gaz, mais aussi d'aller au-delà des 20 milliards d'euros de subventions européennes déjà adoptées pour les infrastructures visant à s'affranchir de Moscou.

Il y a urgence. Depuis l'invasion de l'Ukraine en février, les prix de gros du gaz et de l'électricité ont été multipliés par 15 dans l'UE, selon Bruegel. Le patronat européen a averti fin septembre d'un risque "imminent" pour la survie de milliers d'entreprises.

Jusqu'ici, les Vingt-Sept se sont accordés pour prélever une partie des "superprofits" des producteurs d'énergie afin d'aider les consommateurs, ainsi que pour réduire ensemble leur consommation d'électricité et de gaz.

Les dirigeants européens doivent aussi réaffirmer vendredi la poursuite du soutien à l'Ukraine.

Le président français Emmanuel Macron a indiqué jeudi soir qu'il pourrait annoncer de nouvelles livraisons d'armes, en particulier de canons Caesar.

© 2022 AFP

  
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