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Je te trouve étonnamment stupide sur la situation pour un syndicaliste :)
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En tant que syndicaliste je me demande qui pousse la CGT à aller au combat ?
A mon avis de représant du personnel je pense que la CGT est a été réveillée par un parti politique.
J'ai une petite idée.
A votre avis qui veut ou qui à intérêt de voir des grèves se multiplier ?
J... M...
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Ou alors cette grève est là car de toute façon il n'y a pas de diesel ? :)
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angeloysse
« « et dire que tout sa cette merde c'est a cause des choix de macon sans avoir meme consulter la poupulation . » »
Macron n’est pas le seul coupable. Faut voir aussi du côté de l’ E.U.
Et remonter jusqu’à Giscard , pour débusquer tous ceux qui ont livré la France à l’E.U.
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Il faut être prudent avec les dires des journaleux. Même les plus « premiers de la classe ».
Souvent, ils ne vérifient pas leurs infos, ils prennent ce qu’on leur dit de dire pour argent comptant.
C’est malheureux à dire, mais parfois je me demande pourquoi, avec de tels cancers (impôt excessif et CGT), des sociétés du CAC ne s’installent pas sous des cieux plus cléments.
A moins d’accords et « gentillesses » » secrets ?
Les syndicats sont nécessaires, mais ils ne doivent pas être politisés comme certains.
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et dire que tout sa cette merde c'est a cause des choix de macon sans avoir meme consulter la poupulation .
La colère est la et sa devient dangereux trés dangereux la révolte est proche et macron le minoritaire sera le premier a quitté la France pour sauvé ses fesses
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Moi je m'attendais à ce que la cgt fasse pression sur les pétroliers pour que les ouvriers puissent rouler moins cher.Que nenni!! ils veulent se prendre une part du gâteau sur le dos de la population.Ils sont pires que les capitalistes, ces faux culs!
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Moi perso j'étais au smic quand j'étais a total, je devais être l'exception mdr
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vous savez le revenu moyen d'un simple opérateur chez TOTAL?? 5 000 € par mois, primes incluses c'est ça le SMIC? Alors il faut le faire savoir: c'est des salariés nantis qui foutent le bordel et non des gens qui ont des difficultés à joindre les fins de mois §§
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La CGT est l'arbre qui cache la forêt.
Les salaires sont trop bas.
Le SMIC me rattrapera en 2023.
J'ai 20 ans d'ancienneté.
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Malgré les pressions croissantes du gouvernement, la CGT et la direction de TotalEnergies n'avaient toujours pas ouvert les négociations lundi sur une hausse des salaires, après près de deux semaines de grève qui provoquent des pénuries de carburants dans presque un tiers des stations-service de France.
TotalEnergies a proposé dimanche d'avancer les négociations salariales prévues en novembre au mois d'octobre (sans date précise), à condition que les raffineries et dépôts actuellement bloqués reprennent le travail. Un "chantage", a répondu le syndicat lundi, en attendant une prise de position avec les grévistes à la mi-journée.
La situation dans le plus grand groupe pétrolier français, qui contrôle le tiers des stations-service du pays, tranche avec celle chez Esso-ExxonMobil, dont les deux raffineries sont à l'arrêt mais chez qui une réunion doit avoir lieu avec les syndicats dès lundi.
"TotalEnergies essaie d'imposer une suspension de la grève avant toute réunion de négociation et donc avant toute proposition d’augmentation salariale. Cette tentative est perçue comme un chantage par la CGT et ne garantit en rien la satisfaction des revendications exprimées et donc la reprise du travail", a estimé le syndicat dans un communiqué transmis à l'AFP.
"La Coordination des Syndicats CGT de TotalEnergies réaffirme sa volonté de négocier le plus rapidement possible, sans subir de chantage. Pour cela, elle appelle à une réunion immédiate sur la question des salaires et à la mise en place d’un calendrier pour répondre aux revendications sur l’emploi et les investissements", a indiqué la coordination, qui ne semblait donc pas vouloir lever les blocages dans l'immédiat.
"Le chantage, actuellement, ce sont les Français qui le vivent, donc l'objectif c'est bien de sortir de cette situation", avait déclaré un peu plus tôt sur BFMTV Jean-Marc Durand, directeur du raffinage Europe de TotalEnergies.
"On souhaite que ceux qui embêtent les Français cessent le plus tôt possible, donc on souhaite que pour s'asseoir à la table des négociations, on puisse le faire dans une atmosphère sereine, et pas sous un système de blocage des approvisionnements des Français", a-t-il poursuivi.
- L'exécutif "met la pression" -
Selon un dernier point de situation diffusé par le ministère de la Transition énergétique à 15h dimanche, près d'un tiers (29,7%) des stations-service en France manquaient d'au moins un carburant (contre 21% samedi).
De quoi provoquer une certaine inquiétude jusqu'au sommet de l'Etat, qui a poussé le président Emmanuel Macron à appeler vendredi, depuis Prague, pétroliers et syndicats à la "responsabilité" et les automobilistes au calme.
Cette grogne intervient en effet à quelques jours d'une marche "contre la vie chère", à laquelle appellent les forces d'opposition de la Nupes, dimanche prochain.
"On met la pression pour que le dialogue puisse se nouer le plus tôt possible", a dit lundi sur France Inter le ministre des Comptes publics Gabriel Attal.
"Je trouve toujours assez curieux de faire une grève préventive alors même qu’une discussion est annoncée", a-t-il ajouté.
La direction du groupe veut que les négociations portent sur les salaires de 2023. Mais compte tenu de la forte inflation, c'est de 2022 que souhaite parler la CGT, qui réclame depuis plusieurs semaines une renégociation des mesures salariales accordées en début d'année, équivalant à une augmentation moyenne de 3,5%.
Elle demande pour cette année 10% d'augmentation sur les salaires - 7% pour l'inflation, 3% pour le partage de la richesse - le géant de l'énergie ayant engrangé 10,6 milliards de dollars de bénéfice au premier semestre 2022.
En attendant, donc, la mobilisation se poursuivait à la raffinerie de Normandie, près du Havre, la plus grande de France, la "bio-raffinerie" de La Mède (Bouches-du-Rhône) et le dépôt de carburants de Flandres près de Dunkerque (Nord), alors que la raffinerie de Feyzin (Rhône) est également à l'arrêt en raison d'un accident technique.
Du côté d'Esso-ExxonMobil, les deux raffineries de Notre-Dame-de-Gravenchon en Normandie et de Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône) étaient toujours à l'arrêt, les grévistes ayant décidé lundi de reconduire le mouvement, a expliqué la CGT.
© 2022 AFP
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