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Retraites: les sénateurs entrent en piste, la droite à la manoeuvre

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moicmoi moicmoi
28/02/2023 16:55:54
1

NAMIRO
« « Exactement ! jipes a raison !..//.. et "vieux clous" qui n'est pas tendre ! Ce qui n'est pas notre cas à nous ici..
. » »

Simple boutade de ma part.

A la limite, pour faire ressortir que ce que l’on écrit, sans arrière-pensées, peut être interprété de différentes façons.

J’ai bien compris que ce n’était pas un compliment pour les sénateurs, et je rajoute que mon mépris est étendu à toute la classe politique , à part peut-être un ou deux qui sont relativement « propres ». Ou n'ont pas encore eu le pot de confiture à portée de main.

Quant aux compétences des politicons….idem que le représentant de commerce qui vend des bosses à dents un jour et des chevaux de course la semaine suivante. Du baratin, mais aucune connaissance.

La vieillesse ? ça fait partie de la vie, avec un début et une fin. Et je suis conscient que , à mon âge, mes parents et grands-parents étaient morts depuis qqs années déjà.
Et franchement, comme je dis toujours, je préfère être près de la porte de sortie qu’à la place des jeunots de 20 à 50 ans qui ont, pour la plupart, surtout de la galère devant eux…… « grâce aux immenses compétences » de nos politicons passés, présents et, je le crains, à venir.

Quand on se connaîtra mieux, je te dirais le traitement que je souhaite voir appliqué aux politicons.

  
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NAMIRO NAMIRO
28/02/2023 16:20:07
1

Exactement !


jipes a raison !

Ce "vieux clous" c'est pour les sénateurs uniquement !

C'est une façon d'exprimer mon mépris pour eux en démontrant qu'ils sont complètement déconnectés des réalités de la vie !

C'est pour ça que je fais le distinguo entre "vieux" (qui n'est pas un gros mot) et "vieux clous" qui n'est pas tendre !

Ce qui n'est pas notre cas à nous ici...

  
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jipes jipes
28/02/2023 15:27:54
0

moicmoi,

Ce que Namiro a voulu dire ne concerne que les sénateurs. Heureusement que toi et moi n'en faisons pas partie.

  
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NAMIRO NAMIRO
28/02/2023 14:42:07
0

A 70 ans (l'âge de mon père), on est quand même plus proche du cimetière que de la maternité. :-D

A un moment, il faut accepter d'être "vieux"... Même si on a encore de belles années devant soi !

Les mots ont leur sens. Pourquoi vouloir les édulcorer, les atténuer, voire, les dénuer de leurs sens ?

Tu dirais qu'un adolescent de 14 ans est un "nouveau-né" ou qu'un adulte de 50 ans est un "vieillard" ? Non ?

Et bien, il faut accepter qu'à 70 ans, on puisse entrer dans la catégorie des "vieux"...

Nous ne sommes pas (encore) en Angleterre où il faut supprimer de l'écriture tous les mots "offensants" : gros, laid, vieux, noir...


Concernant les sénateurs :

"Avec une moyenne d’âge de 60 ans et deux mois, le nouveau Sénat est plus jeune. Avant le renouvellement, la moyenne d’âge était de 63 ans et 7 mois. On compte un seul sénateur de moins de 29 ans, 11 ont entre 30 et 39 ans."


On ne peut pas dire que ce soit "jeune" !

  
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doudouvieux doudouvieux
28/02/2023 13:55:38
2

C'est vrai que quand on est bourré, on a les idées un peu plus claires....

  
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doudouvieux doudouvieux
28/02/2023 13:54:42
2

Les débats ont été nombreux et animés à l'Assemblée nationale pendant les deux semaines d'examen de la réforme des retraites. Et pas seulement dans l'Hémicycle. À la buvette, les députés n'ont pas lésiné sur leur consommation d'alcool. Bière, vins, champagne, les serveurs de l'Assemblée ont été débordés devant la demande des élus.

Une pratique qui n'est pas nouvelle: "Je confirme que ça picole à l’Assemblée nationale" assure ce mardi sur le plateau des "Grandes Gueules" l'ancien ministre des Transports Jean-Baptiste Djebbari.

"Les députés vont dîner à la buvette ou y prendre une pause et c’est vrai qu’il y a des champions du bouchon, ce sont toujours les mêmes. Il y en a un peu partout mais il y a quelques groupes spécialistes notamment côté gauche de l’hémicycle, on en connaît quelques-uns des champions", tacle-t-il.

"Quand certains sont un peu trop allumés, les huissiers les empêchent de rentrer dans l’hémicycle"

Interrogés, sur le groupe de gauche en question, il évoque à demi-mot "les insoumis". Mais le problème concernerait tous les groupes, de l'aveu de députés issus de tous bords et qui se sont confiés à RMC. Certains élus expliquent que cette surconsommation leur aurait permis de "décompresser", voire même de tenir devant l'âpreté des débats.

ET CA GAGNE 5711 EUR / MOIS !!!!!!

  
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moicmoi moicmoi
28/02/2023 13:35:17
1

NAMIRO
« « Les sénateurs, ce sont ces vieux clous qui sont épargnés par la réforme des régimes spéciaux ?
» »

https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/sexe-age-profession-a-quoi-ressemble-le-nouveau-senat-184770

Vieux clous ?
Merci pour les septuagénaires de ce forum.
On serait donc bons pour la poubelle ? Objets à vendre dans les brocantes ? Le cimetière ?
Le poids des mots ! Le choc des vieux clous !


  
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millo millo
28/02/2023 10:08:58
3
Si la constitution prévoit deux chambres c"est qu'elles ont chacune un rôle déterminant, par contre vu la carence de l'assemblée dans sa mission pour l'examen de loi sur les retraites, in faudrait que le senat reste strictement dans son rôle et lui renvoie d'abord la loi pour accomplir sa mission
  
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NAMIRO NAMIRO
28/02/2023 09:34:47
1

Les sénateurs, ce sont ces vieux clous qui sont épargnés par la réforme des régimes spéciaux ?

  
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papygaga papygaga
28/02/2023 09:31:00
1
Les Français doivent savoir qui a voté quoi. Ainsi, s'ils ne sont pas d'accord en majorité, ils pourront "dégager" les politicards qui se représenteront devant les urnes en prétendant défendre les intérêts de leurs électeurs.... Les sénateurs, ces vieux grabataires, ne sont pas concernés mais pas nos députés et candidats maires, eux, le sont.
  
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papygaga papygaga
28/02/2023 09:30:25
0
Vue générale de l'hémicycle du Sénat à Paris, le 1er février 2023
Vue générale de l'hémicycle du Sénat à Paris, le 1er février 2023 (AFP/Archives/Ludovic MARIN)

La réforme controversée des retraites arrive mardi au Sénat pour un premier examen en commission. La majorité de droite, favorable à un report de l'âge de départ à 64 ans, entend bien peser sur la réforme en améliorant les pensions des femmes ou en encourageant l'emploi des seniors.

Privé d'un vote de l'Assemblée nationale par l'obstruction des députés de La France insoumise, l'exécutif table sur le Sénat pour conférer une légitimité démocratique à un texte dont la gauche et les syndicats exigent le retrait.

Après le passage en commission, qui débute à 14H30 à huis clos, les sénateurs se retrouveront jeudi pour le coup d'envoi des débats dans l'hémicycle.

Les gestes d'ouverture se sont multipliés ces derniers jours à l'égard de la majorité sénatoriale. "Je souhaite que le Sénat puisse enrichir" le texte "avec ce qui lui paraît utile", a déclaré samedi Emmanuel Macron dans les travées du Salon de l'agriculture.

"On va écouter les propositions du Sénat et on va trouver un chemin ensemble", a affirmé lundi Elisabeth Borne, dont la cote de popularité accuse une nouvelle baisse de deux points en février à 29%, selon un sondage Odoxa paru mardi.

Dans un extrait d'un entretien au magazine Elle, diffusé mardi, la cheffe du gouverment avance une piste: "étudier l'évolution vers des bonifications avant le troisième enfant, pour compenser les différences d'évolution salariale que subissent encore de trop nombreuses femmes".

- "Pas de surenchère" -

La droite sénatoriale peut difficilement se déjuger en ne votant pas une réforme qu'elle appelle de ses voeux depuis plusieurs années. Mais elle entend bien formaliser ses propres propositions.

"Le gouvernement sait qu'il ne pourra y avoir d'accord du Sénat que s'il respecte deux lignes rouges", a indiqué lundi à l'AFP le président des sénateurs LR Bruno Retailleau: "ne pas accumuler de déficits" et ne pas négliger la politique familiale. Il propose notamment "une surcote de 5%" pour les mères de famille qui auraient une carrière complète.

Le sénateur Bruno Retailleau s'exprime au Sénat à Paris le 1er février 2023
Le sénateur Bruno Retailleau s'exprime au Sénat à Paris le 1er février 2023 (AFP/Ludovic MARIN)

"On ne sera pas dans la surenchère", assure le sénateur de Vendée, alors que le gouvernement a eu fort à faire avec les députés LR, notamment avec Aurélien Pradié, démis depuis de ses fonctions de numéro 2 des Républicains.

Bruno Retailleau a annoncé mardi sur CNews revoir la Première ministre mercredi avec Gérard Larcher, le président LR du Sénat.

"Il ne faudra pas que le gouvernement nous explique +dites-nous de quoi vous avez besoin, on vous dira comment vous en passer+", prévient aussi le président du groupe Union centriste Hervé Marseille.

Les députés, empêtrés dans des débats houleux ponctués d'incidents de séance à répétition, n'ont pu examiner entièrement que deux des vingt articles du texte en deux semaines.

C'est donc sur le texte du gouvernement, à peine modifié, que va plancher la commission des Affaires sociales du Sénat, sous la houlette de sa rapporteure générale Elisabeth Doineau, centriste Macron-compatible, et du rapporteur de la branche Vieillesse René-Paul Savary, le "M. Retraite" du groupe LR.

- "CDI seniors" -

Contrairement aux députés, les sénateurs siègent en commission à huis clos. Seuls seront examinés mardi les amendements des rapporteurs.

LR et centristes reconnaissent des "différences" entre eux sur certains sujets, comme les carrières longues ou les régimes spéciaux de retraite, mais sont confiants dans leur capacité à "les surmonter".

Outre un aménagement en faveur des mères de famille, la majorité sénatoriale devrait proposer un CDI nouvelle formule pour faciliter l'embauche des seniors, afin de leur permettre d'atteindre une carrière complète.

Le président français Emmanuel Macron (gauche) et le président du Sénat Gérard Larcher assistent au Congrès des maires à Paris le 18 novembre 2021
Le président français Emmanuel Macron (gauche) et le président du Sénat Gérard Larcher assistent au Congrès des maires à Paris le 18 novembre 2021 (POOL/AFP/Archives/Thibault Camus)

Le Sénat a "une vraie carte à jouer" par rapport à l'Assemblée nationale en se montrant comme "un contrepouvoir responsable et respectueux des sensibilités", souligne-t-on du côté du Petit Luxembourg.

Mais, forte de près d'une centaine de sénateurs, la gauche va faire entendre son opposition. Les trois groupes - PS, CRCE à majorité communiste et écologiste - présenteront ensemble leur stratégie mercredi.

"Nous souhaitons que les 20 articles de la loi soient traités", a affirmé le chef de file socialiste Patrick Kanner dans une interview aux Echos dimanche. Clap de fin des séances le dimanche 12 mars à minuit.

Entretemps, le bras de fer social va se durcir. Tous les syndicats de la SNCF appellent désormais à une grève reconductible à partir du 7 mars, date d'une nouvelle journée d'action qui s'annonce très suivie.

L'intersyndicale a aussi appelé "à se saisir du 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, pour dénoncer partout l'injustice sociale majeure de cette réforme des retraites envers les femmes".

© 2023 AFP

  
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