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Les politiques sont passés maîtres dans l'art de faire de la croissance
fictive, en extorquant auprès des bons éléments économiques du cash pour le
déverser inutilement aux mauvais éléments et leur éviter de payer l'addition de
leurs erreurs passées. Dès que ces politiciens arrêtent leurs interventions
destructrices, le retour à la réalité est immédiat.
L'immobilier américain vient de perforer sur les plus bas, ses records d'absence
d'activité dans le domaine de la vente de maisons neuves...
Les stocks de biens saisis sont toujours orientés trimestres après trimestres, à
la hausse !
Quand on sait que le plan Bush de soutien aux entreprises par le biais de « tax
cut », prend fin en 2011, il ne serait pas étonnant que les bénéfices
mirobolants des entreprises composant le SP500, fassent le même plongeon en
2011...
L'immobilier ne repart pas, la consommation ne repart pas, le chômage ne diminue
pas, les stocks sont stables... tandis que la Bourse et le PIB grimpent...
bienvenue dans le monde économique merveilleux de 2010...