OK
Accueil > Communauté > Forum Cac 40

SNCF: 69% des Français pour la fin du statut de cheminot

Cours temps réel: 7 988,95  0,39%



JCROIPLU JCROIPLU
27/02/2018 12:52:54
0
Heureusement que le site abcbourse ne fait pas grève...
Ou alors heureusement que les syndicats de la SNCF ne s'occupent pas de notre site ...
  
Répondre
CRI74 CRI74
27/02/2018 12:34:24
0
Mais arrêtez donc avec vos grèves servant d'argument fallacieux à chaque problème SNCF (trains supprimé pour panne par ex ou suicide ou autre ) dont les conséquences seraient équivalente avec du privé .
C'est du n'importe quoi , surtout venant de quelqu'un qui connaît cette entreprise mais visiblement allergique à certaines choses

Message complété le 27/02/2018 12:34:46 par son auteur.

équivalentes

  
Répondre
JCROIPLU JCROIPLU
27/02/2018 11:34:26
0
Le système arrive à fonctionner, car dans de très nombreux endroits sur le territoire reculé (abandonné) les familles, les voisins mettent en place tout un système local de co-voiturage.
Ce système devrait être reconnu et permettrait aux agriculteurs qui sont présents et qui constitue le vrai maillage du terroir profond, non seulement de se diversifier et aussi de pailler aux carences de la SNCF.
VL, mini-bus type TAD, à développer par exemple., sous conditions de remplir l'aptitude médicale à la conduite, annuelle et bilan sanguins ... même les simples caristes d'une entreprise ont un devoir de passer un contrôle.
(Perso en tant que retraité j'ai largement l'habitude de transporter ma famille lors des grèves à leurs plus grande satisfaction), dont ma belle-mère veuve de cheminot.... lol ....

Sur un autre sujet le nettoyage des bordures de route devrait être aussi faite par les agriculteurs locaux, volontaires à cette tâche, et rémunérés (économies monstrueuses à faire) et sans grève...Le tout organisés par la commune ou les groupements de communes.
Sécurité avec 2 ème véhicule bien sûr... cela va de soi.
Face à un défi de cette taille, au lieu de directement menacer le pays de grève (seule chose qui sort directement à côté de la salive syndicaliste), il faudrait peut-être arrivé à comprendre que mettre en place des systèmes différends, moins chers et plus près du terrain pourrait améliorer la médiocrité actuelle, auto-entretenue pour "ne pas faire de vagues" ....




  
Répondre
CRI74 CRI74
27/02/2018 10:37:42
0
Les médias dans leur ensemble étant incapables de relater la réalité du transport ferroviaire , pas même du statut et autres informations , il va de soi que le ressenti de la population vis à vis du ferroviaire est biaisé ; pire encore , il l'est aussi au niveau de l'exécutif .
Les sondages n'ont donc aucune valeur surtout basés sur des fadaises (les avantages et le statut parmi d'autres )
Je vous invite à lire cette file qui apporte un éclairage sur les enjeux réels pour les voyageurs où il n'est guère question de grève ou de statut etc.... mais de service public


https://www.abcbourse.com/forums/msg620156_sncf-une-reforme-avant-l-ete-les-syndicats-prets-a-la-greve


Après lecture , on pourra toujours en discuter , sur du concret cette fois et non des idées reçues



  
Répondre
JCROIPLU JCROIPLU
27/02/2018 09:51:30
1
L'essentiel c'est que les Français soient bien transportés avec des horaires respectés et dans de bonnes conditions.

Si les cheminots Italiens ou Allemands sont meilleurs cela me va, et laissons les Français au chômage et se reposer, sans emmerder ceux qui vont bosser ou qui partent en congés annuels.
Le dictat à la grève ça suffit.
  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
27/02/2018 09:45:10
0
Le statut des cheminots plombe-t-il vraiment la SNCF ?

>Économie|Vincent Vérier| 26 février 2018, 13h33 | MAJ : 26 février 2018, 23h39 |78
http://www.leparisien.fr/economie/le-statut-des-cheminots-plombe-t-il-vraiment-la-sncf-26-02-2018-7580124.php


Le statut offre notamment la garantie de l’emploi, des billets de train à tarif préférentiel, l’accès à des centres médicaux gratuits, ou encore un système de retraite avantageux. LP/Thibault Chaffotte
Selon le gouvernement, le statut des cheminots va fragiliser la SNCF lorsque le marché ferroviaire sera ouvert à la concurrence.


Pour le gouvernement, il est un des problèmes qui fragilisera les comptes de la SNCF lors de l’ouverture à la concurrence à partir de 2020. Pour les syndicats, il est la garantie de bonnes conditions sociales. Mais que contient vraiment le statut des cheminots, pour que le président de la République fasse de sa suppression un enjeu majeur de sa réforme ferroviaire, tandis que les syndicats en font un casus belli pour déclencher une grève illimitée ?


D’où vient le statut ?
Selon l’historien et sociologue Georges Ribeill, spécialiste du monde ferroviaire, il est apparu au début du XXe siècle. Il s’agit alors pour certaines compagnies ferroviaires privées de fidéliser leurs employés, dont la formation coûte cher, en multipliant les avantages sociaux. En 1920, le statut est généralisé à l’ensemble des compagnies ferroviaires par les dirigeants eux-mêmes. En harmonisant le cadre social des employés du rail, ils espèrent limiter l’inflation des salaires, à une période où les cheminots sont très courtisés. Le statut survivra à la création de la SNCF en 1937.


Que contient-il ?
Tout d’abord la garantie de l’emploi. Impossible pour un cheminot, sauf faute grave, de se faire licencier. Dans son rapport, Jean-Cyril Spinetta pointe du doigt cet avantage qui génère du sureffectif et des frais de formations importants. Autre spécificité, la rémunération. En fixant le déroulement de carrière, le statut provoque mécaniquement des hausses des salaires plus élevées. Selon un expert, elles sont de 2,4 % par an à la SNCF contre 1,5 % ailleurs. Au final, d’après le rapport Spinetta, le statut génère « un écart potentiel de compétitivité d’au moins 30 % par rapport aux règles du marché ».
Une analyse contestée par les syndicats. « Il faut arrêter de mettre tous les maux de la SNCF sur le statut, critique Fabien Villedieu, délégué SUD-Rail. En 2015, il y a eu 452 licenciements pour fautes à la SNCF, 135 ruptures conventionnelles, 614 démissions sans compter les 640 départs volontaires, énumère le syndicaliste. Si la SNCF, c’était le Club Med, il n’y aurait pas autant de départs. »
Reste la rémunération. « Le salaire moyen brut est d’un peu plus de 3 000 € à la SNCF contre 2 900 € en France, assure Fabien Villedieu. Environ 100 € ou 150 € de plus pour un cheminot aux qualifications spécifiques, qui est parfois obligé de découcher, qui ne peut pas prendre ses vacances quand il veut, qui travaille en horaires décalés, les week-ends comme les jours fériés, par tous les temps, notamment par -5 °C en ce moment, je ne trouve pas ça scandaleux. »
A tout cela, il faut également ajouter une journée de congé supplémentaire, des billets de train à tarif préférentiel ou encore l’accès à des centres médicaux gratuits.


Quels sont les autres avantages ?
D’abord, la retraite. Jusqu’en 2016, les conducteurs de train pouvaient arrêter de travailler dès 50 ans et à 55 ans pour les autres cheminots. Soit 7 ans de moins que la moyenne nationale. Un écart qui diminue progressivement. En 2024, les conducteurs devront avoir 52 ans et 57 ans pour les autres. Enfin, contrairement au secteur privé, où les pensions sont calculées sur les 25 meilleures années, celles des cheminots sont établies sur le salaire des six derniers mois.
« C’est très théorique, peste Fabien Villedieu. Faute d’avoir cumulé suffisamment d’annuités, les cheminots partent en moyenne à 57 ans et six mois contre 58 ans pour le reste des Français ».
Dernier avantage, l’accès à des logements, propriétés de la SNCF. « C’était vrai avant, nuance Fabien Villedieu. La vérité c’est que le nombre de logements de la SNCF a été divisé par deux depuis dix ans et qu’ils sont de moins en moins réservés aux cheminots ». Et de conclure : « Comment peut-on dire que les cheminots, avec leur statut, sont des privilégiés alors que la SNCF peine déjà à recruter ?
  
Répondre
Phoeniix Phoeniix
27/02/2018 09:24:06
2
Quand il s' agit de supprimer les "avantages" des autres, il y a du monde ...
au contraire il faut être solidaire car le nombre fait la force.
Rien compris !

mais bon, depuis un certain temps déjà, on ne dira plus que tout est bon dans le cochon mais plutôt que tout est bon pour du pognon !!!
  
Répondre
jipes jipes
27/02/2018 08:53:07
0

Encore 4 ans à supporter le régime que veut nous imposer le Président Macron.
Enfin, bien d'entre nous l'ont voulu.
  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
27/02/2018 08:43:04
3
Cher Eric21400,


J'espère qu'on vous supprimera aussi bien vite la convention collective dont vous dépendez, ça donne des avantages révolus auquels vous ne devriez pas avoir droit...


Et oui, Le Statut Cheminot, c'est l'équivalent d'une convention collective sectorielle, donc si on supprime le statut cheminot, il faudrait supprimer toutes conventions collectives. C'est peut-être ce que l'on veut aussi d'ailleurs...


Quel monde de merde...

Message complété le 27/02/2018 08:43:17 par son auteur.

: (

  
Répondre
Eric21400 Eric21400
27/02/2018 07:59:23
0
Enfin. .Pas trop tôt! !
  
Répondre
Eric21400 Eric21400
27/02/2018 07:59:23
0

Un employé de la SNCF lors d'une grève le 25 mai 2016 à Donges (AFP/Archives/JEAN-SEBASTIEN EVRARD)

Près de sept Français sur dix (69%) sont pour la fin du statut de cheminot, comme l'envisage la réforme par ordonnances de la SNCF que le gouvernement veut faire adopter "avant l'été", selon un sondage Harris interactive pour RMC et Atlantico publié mardi.

D'après cette enquête d'opinion, 54% des Français se montrent favorables au recours aux ordonnances pour faire adopter cette réforme, comme le veut le gouvernement, alors que 46% y sont opposés.

Une nette majorité de 69% se prononce pour un abandon du statut de cheminot, contre 31% qui y sont opposés.

Selon les sondés, cette réforme permettra avant tout de "réduire la dette de la SNCF" (pour 69%), "d'assurer une bonne qualité de service pour les clients" (66%), "d'assurer des prix attractifs pour les clients" (56%) et, à un degré moindre, "de conserver les lignes de train peu fréquentées présentes sur tout le territoire" (50%).

Plus de la moitié des Français disent avoir confiance dans le gouvernement (53%) et la direction de l'entreprise ferroviaire (52%) "pour faire des propositions de réformes de la SNCF qui vont dans le bon sens". Ils sont une minorité (45%) à faire confiance aux syndicats.

Alors que les organisations syndicales doivent décider mardi d'une riposte unitaire, 43% des personnes interrogées affichent leur soutien à d'éventuelles grèves et manifestations à venir, 38% y étant opposées et 19% étant indifférentes.

Sondage réalisé en ligne le 26 février auprès d'un échantillon de 1.010 personnes, représentatif des Français âgés de 18 ans et plus (selon la méthode des quotas).

© 2018 AFP

  
Répondre

Forum de discussion Cac 40

201802271252 620162

Investir en Bourse avec Internet

Ma liste