Cours | Graphes | News | Analyses et conseils | Société | Historiques | Vie du titre | Secteur | Forum |
Répondre
|
Répondre
|
Répondre
|
Alors que vendredi l'Etat a communiqué sur le dossier Alstom et que l'affaire semblait entendue, un nouveau rebondissement vient remettre en cause le montage.
L'Élysée a fait son choix, c'est l'offre de General Electric (GE) qui est préférée à celle de l'alliance formée entre Siemens et Mitsubishi Heavy Industries. En parallèle, Arnaud Monteboug avait annoncé que l'État français allait rentrer dans le capital du groupe à hauteur de 20 % en rachetant les deux tiers de la participation de Bouygues et c'est là que se situe le problème.
D'après une information publiée par l'AFP samedi, Bouygues ne serait pas d'accord avec l'Etat sur la transaction. En effet, Bouygues souhaiterait vendre l'intégralité de sa participation et pas seulement les deux tiers. En outre il y a un achoppement sur le prix car l'Etat propose de racheter les actions du conglomérat à 28 euros pièce, soit le dernier cours coté, alors que Bouygues en voudrait 35 euros, un sérieux écart de prix.
Le temps presse car dès lundi 9h et l'ouverture de la Bourse, le plan doit être fianlisé et la transaction avec Bouygues validée. Le week-end promet donc d'être chaud pour arriver à un accord.
© www.abcbourse.com
Répondre
|