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Une petite info encore confirmée ce jour
Le volume traité en bourse de Paris sur le seul fixing de clôture représente près du tiers du volume journalier .
On ne sait pas d'ailleurs s'il s'agit de débouclage de positions prises au long de la journée mais il apparaît vraisemblable qu'une bonne partie le soit
Par ailleurs ,les fonds américains ou transitant par les USA constituent également le tiers de l'encours journalier , proportion qui s'élève au fil du temps et des retraits notamment français du marché parisien .
On comprend que la tendance n'ait pas nécessairement la même résonance suivant la direction du regard , les grosses mains n'étant depuis longtemps plus nationales.
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Prochaines tenue de jours de ménage au Magix BCE Circus sous la houlette du nouveau chef de ménagerie !
La nomination de Christine Lagarde à la Tête de la BCE et du Magix BCE Circus qui entre-autre agit comme régulateur de marché ne fait pas l'unanimité dans les banques et pour cause. Si Mario Badmonay avait réussi à se faire apprécier en remplissant les pôches des banques et renflouant les matelas pneumatiques : il a même joui d'une aura de messie...
En revanche, avec Christine Lagarde, il est quasi acquis que certains auront beaucoup moins de liberté pour faire joujou avec les instruments de régulations, mais encore des comptes à rendre.
Si l'on reprend l'actualité récente, on découvre rapidement pourquoi les banquiers ne voulaient pas la voir s'installer...
La réponse est fourni par le Mr Loyal de L'économie...
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Article Les echos : "Lagarde appelle les banquiers à élever leur éthique"
Publié le 01/03/ 2019 à 09h02
Lors d'un discours au Guildhall, jeudi soir à Londres, la patronne du FMI s'est livrée à un réquisitoire contre les dérives de certains banquiers au détriment du bien commun.
La suite sur le site des ECHOS...
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Surtout depuis que l'ensemble des crédits intègrent la zone risque , donc limités au profit d'actions plus spéculatives
Quitte à risquer , autant afficher la meilleure cupidité (dit autrement "rendement espéré ")
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CRI74 ça a changé depuis que les credits font les depots et non l’inverse
Toute la connerie actuelle decoule de cette connerie
Message complété le 02/07/2019 19:46:53 par son auteur.
De cette theorie*
Message complété le 02/07/2019 19:50:25 par son auteur.
Malheureusement ils se sont rendu compte surement trop tard qu’il n’y avait pas de ruissellement finance > economie réelle.
Et ils ne peuvent pas se permettre que ça arrive car si ils font en sorte que l’argent rentre vraiment dans l’economie réelle il y aura inflation - hausse des taux - faillite - chomage
L’idée c’est de degonfler la bulle d’une traite sans que cette spirale se fasse, comme en 87, c’est le seul moyen. Mais comment faire ?
Message complété le 02/07/2019 19:51:15 par son auteur.
87 c’est une ruine boursiere tellement rapide et en meme temps circonscrite a la bourse et le monde est reparti de plus belle le mois d’apres
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On se demande réellement comment sont gérées les banques , constamment prises la main dans le sac mais toujours avec une magouille d'avance , alors que les bilans d'actifs sains s'avèrent visiblement très insuffisants .
Il n'existe sans aucun doute pas de miracle : depuis que les établissements financiers ont déserté l'alimentation de l'économie en se tournant essentiellement vers la pure spéculation , leur sort ne cesse d'empirer , justifiant un renouvellement toujours plus serré des stress tests
Comme quoi , entre apparence de résultats satisfaisants et situation réelle aux "déchets" notamment planqués dans le hors bilan , leur stratégie "consensuelle " les amène indubitablement vers les abysses
Mais pas d'inquiétude pour elles , le pigeon prêt à plumer ne fera pas défaut , lui !
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CQFD Gars d’Ain
De plus , coup double et plus avec les GB puisque les actifs tiennent beaucoup avec la finance. Ainsi atteignent -ils le cœur du moteur anglais au plus grand profit des institutions financières US en concurrence frontale
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Ooohh Monseigneur est sorti de sa crypte ? Pourtant il doit y faire frais... idéal pour un petit blanc...
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Ohoooo j'ai du renfort ? Mr gars d'ain prêches ?? 😇😇
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Tu prêches à un converti de longue date... tu peux étendre ce raisonnement aux guerres qu'ils ont faites, elles ont toujours eû comme but de faire du pognon... L'Europe était sensée nous protéger de leur emprise, mais victime de politiciens carièristes ayant les mêmes travers que chez eux, l'objectif initial prend l'eau et nous finirons tous dans un grand marché américain...
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Le gendarme du monde est un "gros salopard"...
Avez-vous regardé le brexit sous l'angle du PIB ? Non, Vous allez voir, c'est fort enrichissant ...
Je vais joindre ce petit graphique de PIB affiché pour le G20 et qui permet assez facilement de résumer la situation.
QUESTION : Qui avait le plus à gagner et le plus d'intérêt à ce que ce Brexit se fasse ?...
Alors, cherchez ???? Vous voyez pas, sérieux ?
Ben tout simplement, comme dirait le pôte à Sylvester des guignols de l'info, c'est le "gentil copain américain" de la "global mondial enterprise corp."... C'est PAS joli, joli de pigeonner comme cela ses amis et partenaires économiques.
Regardez donc les chiffres de PIB en milliers de milliards de dollars affichés pour ce G20, on a :
• USA : 20,49
• Union européenne (UE) : 18,75
• Grande Bretagne (GB) : 2,83
Si vous faites UE+GB, vous obtenez un total de 21,58 milliers de milliards de dollars de PIB.
Dans ce cas là, l'UE avec la grande bretagne sans brexit serait la première économie mondiale et les USA de Trump auraient perdu leur couronne mondiale.
Au regard de cette analyse,
ça explique beaucoup de choses dans les actions pourries en suprématie économique notamment menées par Trump qui fait tout pour que les autres puissances économiques n'arrivent pas progresser.
En mettant des bâtons dans les roues de certains partenaires économiques important de l'UE, il en freine son développement.
On voit donc que l'Europe avait pleinement les moyens en plus de son Euro compétitif de devenir la première puissance économique mondiale, mais tout a été organisé pour que ça capote en appuyant et en faisant pression sur le maillon faible pour qu'il sorte de l'Europe : On a aussi d'ailleurs tablé sur le fait que sa sortie générerait des problèmes économiques importants propices à limiter les perspectives de croissance du PIB de l'UE...
Voilà, on en pense ce que l'on veut : personnellement mon idée est faite et vous l'avez sous les yeux...
Le "Gentil ricain" gendarme du monde est donc un "gros salopard" y compris en tapant sur l'Iran où la France avait de bonnes perspectives de croissance des échanges : Pétrole, automobiles, infrastructures de tramport, commerce de denrées alimentaires et autres produits manufacturés...
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Allo, Le post Précédent ???
Oui...
Vous êtes sur écoute...
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Les sbires du magic BCE circus préparent activement leur journée de deuil national pour célébrer la sortie de piste leur chef vénéré Mario Badmoney
On peut être certains qu'il aura droit à un lot témoin des palettes de billets imprimés durant son mandat. Gageons que cela ne se passe pas comme dernièrement en Australie, où les instances monétaires du pays ont imprimés quelques 46 millions de billets $ avec une faute grossière d'orthographe (assurément un coup de Gogole traduction!...) faisant ainsi passer les faussaires en monnaies pour des rigolos de sévices. l'histoire ne dit pas pour l'instant si les faussaires envisage de contrefaire les billets avec la faute, ce qui serait avouons-le une première en soi !
Délectons nous donc des fastes monétaires qui suivent dans un monde peu enclin à croiser des gilets jaunes dans les couloirs et aux bornes de taxi...
Avant de changer de capitaine, la BCE en plein débat sur son cap
AFP | Actualité publiée le 24/05/19 09:28
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Notons que "Fruit de tractations politiques, la prochaine présidence de la Banque centrale européenne se jouera dans la foulée du scrutin continental de dimanche. Mais le choix du capitaine s'accompagne d'un débat complexe: à quoi doit désormais servir la BCE?
"Bon courage pour succéder" à l'Italien Mario Draghi, 71 ans, qui passera la main fin octobre après huit ans d'un mandat scandé par les crises à la tête de l'institution francfortoise, soulignait récemment une source européenne.
De tous les postes clés au sein de l'UE, que les Etats-membres commenceront à se répartir lors d'un sommet mardi à Bruxelles, "c'est celui qui a le plus de pouvoir", insistait le même interlocuteur.
Cité parmi les candidats à la succession de M. Draghi, Olli Rehn, gouverneur de la Banque de Finlande, réclamait en mars "un examen complet des principes directeurs, des hypothèses clés et des outils" de la BCE, pour refléter les bouleversements économiques depuis la crise de 2008.
De fait, l'institution francfortoise "pourrait marcher dans les pas de la Réserve fédérale américaine (Fed), qui mène actuellement une revue de sa politique monétaire et de ses instruments", renchérit auprès de l'AFP Eric Dor, directeur des études économiques à l'IESEG School of Management.
- Objectif manqué -
La dernière révision de la stratégie de la BCE remonte à 2003: l'objectif de "stabilité des prix" avait été défini par l'atteinte à moyen terme d'une inflation légèrement inférieure à 2%, niveau censé favoriser l'investissement et l'emploi.
Le siège de la Banque centrale européenne (BCE), le 13 septembre 2018 à Francfort en Allemagne (AFP/Archives/Daniel ROLAND)
Depuis, la crise financière puis celle des dettes souveraines ont révélé Mario Draghi en pompier de la zone euro, assurant en 2012 que son institution ferait "tout pour sauver" la monnaie unique en dégainant des instruments inédits.
Mais la BCE a très souvent manqué depuis 6 ans son objectif d'inflation, bien qu'elle ait descendu ses taux à leur plancher historique et déversé des tombereaux de liquidités sur les marchés en rachetant de la dette.
"Un nouveau président aura l'occasion de lancer un débat" sur la politique monétaire, cible "de nombreuses critiques" ces dernières années, rappelle Paul de Grauwe, professeur à la London School of Economics.
Les pays les plus riches de l'union monétaire, à commencer par l'Allemagne, ont régulièrement accusé l'institut de pénaliser les épargnants et de favoriser la formation de bulles financière ou immobilière.
Plus largement, "dans un monde toujours plus globalisé", la BCE voit les ressorts de l'inflation lui échapper, au point que "se focaliser" sur ce seul critère apparaît discutable, estime Marcel Fratzscher, président de l'institut économique berlinois DIW.
- Chasseuse de bulles -
La montée des services au détriment de l'industrie, avec sa concurrence féroce et ses salaires modestes, tend elle aussi à freiner la hausse des prix, observait récemment Benoît Coeuré, membre du directoire de la BCE.
Pour l'avenir, "veut-on aller vers une stratégie duale fondée sur l'atteinte de niveaux de prix et d'emploi, à la façon de la Réserve fédérale américaine ?", s'interroge M. Fratzscher.
Parmi les suggestions des spécialistes figure un ciblage "flexible" de l'inflation, pour atteindre le niveau visé graduellement, ou un double objectif portant à la fois sur "la croissance réelle et l'inflation", selon M. Dor.
La BCE pourrait aussi se charger de prévenir les bulles financières et superviser les fonds spéculatifs, à l'instar de celle des banques depuis 2014, ou agir sur une gamme élargie de taux d'intérêt, comme la Banque du Japon.
Mais pour M. De Grauwe, au-delà du débat académique, toute refonte de la stratégie monétaire en zone euro "sera déterminée par les circonstances économiques et des marchés".
Aussi, faute de pouvoir remonter à elle seule l'inflation, la BCE devrait voir son action complétée "par une politique budgétaire des Etats plus expansionniste", préconise-t-il, renvoyant la balle dans le camp des dirigeants européens.
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à suivre donc !....
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Et on comprend pourquoi :)
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Petites et grandes magouilles consistant à faire croire que les salaires augmentent....
ou comment les mauvaises surprises des réductions d'impôts de Donald Trump servent à masquer une confiscation supplémentaire de la richesse créée...
L'Amérique a 2 vitesses : une pour les riches, une pour les autres... Et les mécréants et les péones de la croissance américaine pipeau, basé sur une hausse colossale de la dette par réduction de l'imposition des bénéfices des entreprises ne profitent de rien du tout. Non seulement, le salaire horaire moyen n'augmente quasi pas, mais de plus, ils viennent amèrement de constaté que leur cher président les arnaquent un peu plus au portefeuille...
Il est vrai que le canard à trompette national est plus préoccupé à satisfaire ses amis électeurs du KKK et du lobby pro armes en obtenant grâce à la préssion du Shut-doown de quoi réaliser encore 90 km de mur à la fontière avec le Mexique.
Vous aller voir au dessus comment on se débrouille pour faire avaler les couleuvres indigestes aux mécréantes classes moyennes et aux péones de la croissance... Tout ce qu'il faut espérer maintenant, c'est que ça n'arrivera pas en France...
Quelle merveilleuse invention du XXIème siècle, ce Bonneto fiscal... Je te prends 2 grosses poignées et je t'entendrais une demi, à toi de trouver dans quelle main!...
Notons que :
De nombreux contribuables américains ont eu la mauvaise surprise de découvrir que leurs remboursements d'impôts ne sont pas aussi replets que le leur avait promis Donald Trump en faisant voter "la plus grosse réduction d'impôts de l'histoire".
Des milliers d'entre eux ont ces derniers jours déversé leur mécontentement sur Twitter autour de hashtags comme #GOPTaxscam ("#arnaquefiscaleduPartiRépublicain"), certains menaçant même de ne plus voter pour Donald Trump.
"Le pire remboursement d'impôts jamais vu depuis dix ans! J'ai voté pour @realDonaldTrump mais il vient officiellement de perdre ma voix pour 2020", lance une électrice.
Aux Etats-Unis, où l'impôt est retenu à la source, les contribuables aiment avoir recours à une forme d'épargne forcée en déclarant moins de parts ou de déductions, ce qui entraîne une rémunération mensuelle un peu plus faible mais une jolie somme de trop-perçu à la fin de l'année. Ce remboursement est versé entre février et mi-avril de l'année suivante.
Pas moins de trois quarts des quelque 130 millions de foyers fiscaux américains choisissent cette formule, attendant chaque année le fameux "refund" qui leur permet de faire un achat important ou de rembourser des emprunts.
Mais les règles ont changé avec la réforme de décembre 2017 du code fiscal par Donald Trump, censée bénéficier à la classe moyenne.
- Confusion -
"Le remboursement est inférieur à ce que les contribuables attendaient, mais ce n'est pas la même chose que la somme dont ils sont redevables. Les gens ont tendance à confondre les deux", explique à l'AFP Mark Mazur, ancien secrétaire adjoint au Trésor de l'administration Obama.
"Certains ont, dans un sens, déjà touché leur réduction d'impôts sous forme d'une augmentation sur leur fiche de paie", qu'ils ont à peine remarquée, ajoute-t-il.
L'IRS, ou fisc américain, a reconnu qu'en ce début de saison des déclarations d'impôts, le remboursement moyen accordé aux contribuables avait baissé de 8,4%, à 1.865 dollars au lieu de 2.035 dollars l'année dernière, selon des chiffres provisoires.
Pour d'autres, la chute est encore plus violente, certains devant allonger une forte somme en fin d'année alors qu'ils espéraient un retour.
Néanmoins, si 80% des contribuables américains vont payer moins d'impôts, 5% vont en effet en acquitter davantage. "5%, cela fait 7,5 millions de personnes, c'est beaucoup et il semble qu'ils ne soient pas contents", affirme M. Mazur, vice-président de l'Urban Institute, un centre d'études sur la politique budgétaire.
La réforme a par exemple limité les déductions du revenu imposable d'autres impôts des Etats, comme l'impôt foncier. Il en résulte que de nombreux foyers de la classe moyenne propriétaire, dans des Etats où les impôts sont importants, comme les Etats démocrates, voient leur facture fiscale s'alourdir.
"Les gens sont en colère, déçus, se sentent trahis", dit à l'AFP Neil Frankel, un comptable fiscal de New York. Il ne cache pas avec ses clients "avoir droit à de longues diatribes sur leur haine du gouvernement".
L'administration Trump aurait-elle manqué de communiquer suffisamment sur les arcanes de sa réforme? Sur la pointe des pieds durant l'année, Steven Mnuchin, secrétaire au Trésor, avait invité les contribuables à simuler leur feuille d'impôts sur un "calculateur" sur internet afin d'éventuellement modifier leurs retenues à la source.
Le Trésor en tout cas a contesté lundi sur Twitter "les informations trompeuses" sur les diminutions de "refunds", relevant qu'il est encore trop tôt dans la saison pour tirer des conclusions alors que seulement 10% des contribuables ont effectué jusqu'ici leur déclaration.
Comme le rappelle Mark Mazur, tout est dans la perception.
Quand l'administration de George W. Bush avait décidé un rabais d'impôts en 2001, elle avait envoyé un chèque à tous les contribuables et "tous s'en souviennent".
En revanche, lorsque sous Barack Obama une réduction des taxes, lissée sur les paies au cours de l'année, avait aussi été offerte, "la plupart des Américains pensaient ne pas avoir eu de ristourne d'impôts", reconnaît cet ancien de l’administration Obama. "
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Article "Les mauvaises surprises des réductions d'impôts de Donald Trump"
© 2019 AFP
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Bpifrance n'est pas prêt à sauver tous les canards boiteux malgré sa bonne santé...
Et manifestement, il semble que les dossiers soient étudiés avec soin pour éviter la gabgie financière. Pourtant, au gré des navigation sur les actionnaires des sociétés cotées : on pourra contester que la BPI est pour l'instant embourbé jusqu'au oreilles sur certaines participations tels Vallourec, Parrot,
On attendra de voir les résultats pour constater si oui ou non elle va renouveler l'exploit de publication 2018 : "Bpifrance double quasiment ses plus-values en 2017'" (article)
Pour leur voici le premier bilan de 2018....
Bpifrance: forte croissance du crédit et de l'investissement en 2018
31/01/2019 | 08:22
Notons que " La banque publique Bpifrance a vu la plupart de ses activités croître fortement en 2018, que ce soit pour les crédits accordés aux entreprises ou l'investissement direct dans celles-ci, selon un bilan présenté jeudi.
Les crédits à l'investissement ont progressé de 8,1% à 7,5 milliards d'euros tandis que le financement à court terme des entreprises a bondi de 14% à 8,7 milliards d'euros. En tout, 80'000 entreprises ont été financées.
L'investissement direct dans les PME ainsi que les entreprises de taille intermédiaire (ETI) a crû de 13% à 435 millions d'euros, alors que les achats d'actions dans les grands groupes ont été limités à 96 millions d'euros, sans montant exceptionnellement élevé comme cela avait le cas en 2017 avec une prise de participation dans le constructeur automobile PSA.
Malgré cette forte croissance, "on ne va pas sur toutes les cibles" et "on est très sensibles aux valorisations", a souligné le directeur général de Bpifrance, Nicolas Dufourcq.
Au total, l'investissement de Bpifrance s'est élevé à 2 milliards d'euros en 2018, dont près de la moitié en souscriptions dans des fonds partenaires. Les cessions d'actifs ont atteint 740 millions.
Le financement de l'innovation par des aides et des subventions a reculé de 10,2% à 1,2 milliard d'euros à cause "d'une part de la baisse des ressources financières de l'Etat reçues par Bpifrance, et d'autre part de la sélectivité des programmes nationaux, avec des exigences fortes", selon un communiqué.
Une tendance qui devrait s'inverser en 2019 grâce au plan "Deeptech" de création d'entreprises par des scientifiques et universitaires de haut vol qui va être lancé cette année, a souligné M. Dufourcq. Bpifrance va "contribuer à la création de 2000 start-up +deeptech+ en cinq ans", a-t-il estimé.
En attendant, les prêts aux entreprises innovantes ont bondi de 35% en 2018, à 442 millions d'euros.
Le segment de financement des très petites entreprises (TPE, moins de dix salariés), avec seulement 44 millions d'euros de crédits répartis sur 1000 entreprises l'an dernier, "va croître fortement" en 2019 grâce à une plateforme en ligne développée par Younited Credit, "qui va devenir un partenaire stratégique", a annoncé le directeur général de Bpifrance.
Bpifrance a prévu de porter de 5,7% à près de 15% sa participation dans cette société spécialisée dans le prêt en ligne qui dispose de l'agrément bancaire.
La plateforme doit permettre de commercialiser sur une plus grande échelle des prêts de 10'000 ou de 50'000 euros à l'intention des petites entreprises. Ils seront bonifiés par les conseils régionaux et sans collatéral ni garanties, a précisé M. Dufourcq.
La banque publique d'investissement ambitionne aussi de porter à 900 le nombre d'entreprises accompagnées en 2019, contre 500 l'an dernier, grâce à des programmes "d'accélérateurs" pour faire émerger des ETI, en ligne avec la volonté du gouvernement de rattraper le retard français dans cette catégorie de sociétés.
Enfin, M. Dufourcq considère comme "hyper-prioritaires" les prises de participation dans les groupes d'enseignement privé. A propos du groupe Inseec, actuellement à vendre, il a précisé que Bpifrance garderait ses parts.
Publication de résultat annuel donc à suivre !
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Le SUPER Flop pour les investisseurs des introductions en bourse de Paris pour 2018.
Bilan 2018 des introductions :
• 18 Valeurs nouvelles introduites
• 1 en positif depuis l'introduction : Neoen
• 1 sans gains : Audiovalley
• 1 ajournée... Elsalys Biotech
• 15 en perte nette.
La palme des pertes est pour : Oxatis, suivi de près par Navya et Volontis qui perdent entre les 2/3 et les 3/4 de la valeur de souscription des titres...
Le Tableau Bloomberg...
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Pourquoi on n'a plus d'argent pour entrenir le réseau routier de France...
Comment les contribuables se sont faits expropriés de leurs biens autoroutiers...
Chroniques d'un scandale avéré.
Podcast "Secret d'infos" : La privatisation très rentable des autoroutes / Poursuites contre la pollution du diesel
https://www.franceinter.fr/emissions/secrets-d-info/secrets-d-info-15-octobre-2016
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Analyse graphique du morale des ménages (Courbe fourni par l'INSEE) :
Support haussier cassé et retour dans le cartouche de latéralisation au plus bas en vue sur 82.
La chûte va se poursuivre : je dis retour au niveau de 2008...
Maintenant que les français seront équipés de toutes les dernières merdes gouvernementales :
• Transfert de l'imposition des personnes morales sur les personnes physiques
• Radar, limitation à 80,
• Linky, Gazpar, Aquarus,
• Taxe carburant, iniquité de l'impôt,
• Croissance de la pauvreté et destruction du poivoir d'achat des classes moyennes et des bas salaires,
... il va falloir payer l'addition, et ça devrait être CASH...
Reste à la louche : -10 points et ils vont faire mal... Prochain Krack 2022.
Soit 2008 +7 +7 = 2022 (Eh, oui... la malédiction des 7 ans). 2015 ayant donné lieu au krack bousier du CSS de Shanghaï le 24 Août après des révélations de bidonnage des taux de croissance et des chiffres économiques officiels de la Chine. Le journaliste avait d'ailleurs été immédiatement arrêté...
Et donc ça coïncidera avec la fin de mandat... Et on pourrait comme souvent en rechûte casser le support vers 82...
: (
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