Synergie: forte hausse des ventes à l'international. - Page 3
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Je ne retrouve pas l'article que je cherche et dont j'avais tiré mes conclusions "personnelles". Il ventilait les créations d'emploi 2016 entre les différents types de contrat, les secteurs d'économie, les durées et la qualification requise. Je l'avais probablement pêché sur le site du sénat ou de l'assemblée.
Je ne crois pas avoir jamais dit que l'intérim sera menacé. Il a son rôle dans la vie économique, je te cite : " les missions, les surcroits d'activité, la difficulté à trouver de la main d'oeuvre", tout ça est vrai et peut même être complété.
Ce que je dis, c'est que la croissance de ce secteur devrait fortement ralentir l'année prochaine et que ce qu'on sait de la réforme du droit du travail ne lui est pas particulièrement favorable. La croissance économique, si elle se confirme, associée à un assouplissement des règles et une diminution du coût de travail devrait favoriser les CDD et CDI. On ne peut que le souhaiter.
Par ailleurs, je te remercie du conseil mais je suis une grande fille et je ne flippe pas particulièrement. Simplement j'avais décidé de vendre et vous m'avez convaincue d'attendre. A juste titre je le reconnais suivant vos critères puisque le cours a fortement progressé depuis. Mais je suppose que c'est pareil pour vous, investir ou rester investie à contre-courant de ma stratégie habituelle n'est pas agréable parce que je n'ai plus mes repères et objectifs.
Je ne crois pas avoir jamais dit que l'intérim sera menacé. Il a son rôle dans la vie économique, je te cite : " les missions, les surcroits d'activité, la difficulté à trouver de la main d'oeuvre", tout ça est vrai et peut même être complété.
Ce que je dis, c'est que la croissance de ce secteur devrait fortement ralentir l'année prochaine et que ce qu'on sait de la réforme du droit du travail ne lui est pas particulièrement favorable. La croissance économique, si elle se confirme, associée à un assouplissement des règles et une diminution du coût de travail devrait favoriser les CDD et CDI. On ne peut que le souhaiter.
Par ailleurs, je te remercie du conseil mais je suis une grande fille et je ne flippe pas particulièrement. Simplement j'avais décidé de vendre et vous m'avez convaincue d'attendre. A juste titre je le reconnais suivant vos critères puisque le cours a fortement progressé depuis. Mais je suppose que c'est pareil pour vous, investir ou rester investie à contre-courant de ma stratégie habituelle n'est pas agréable parce que je n'ai plus mes repères et objectifs.
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ADL ? merci
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Je voulais dire pas "suffisamment" d'emplois "pérennes" pour la majorité des chômeurs, c'est à dire "peu ou pas qualifiés" . 2016, plus forte création d'emplois, c'est vrai, mais dans le détail l'industrie et le BTP continuaient d'en perdre, et l'essentiel des emplois créés étaient des intérims ou des contrats courts.
Ca ne m'étonne pas que vous ayez la même position et moi une autre. On ne fonctionne pas de la même façon et vous êtes infiniment plus réactifs que moi. Il faut dire aussi que je serais certainement plus cool si je n'avais pas une telle proportion de PV dans cette ligne.
Ca ne m'étonne pas que vous ayez la même position et moi une autre. On ne fonctionne pas de la même façon et vous êtes infiniment plus réactifs que moi. Il faut dire aussi que je serais certainement plus cool si je n'avais pas une telle proportion de PV dans cette ligne.
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". L'économie va mieux mais ne crée pas d'emplois, : inexact ,2016 la plus forte création de postes depuis des lustres .
assez d'accord avec la position de Gars d'ain
assez d'accord avec la position de Gars d'ain
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Je ne suis pas tellement d'accord. L'économie va mieux mais ne crée pas d'emplois, ou en tout cas pas suffisamment. Et l'intérim, y compris les CDI intérimaires ou ces curieux contrats dits de chantier, a ses limites. On vient d'avoir 4 ans de très forte croissance, c'est beaucoup. Il y a encore des perspectives de croissance, mais elles se réduisent, et de toute façon l'objectif du gouvernement (que ce soit celui-ci ou celui de FH) est bien l'emploi pérenne et les mesures à venir iront dans ce sens AMHA.
Le consensus 2018 est similaire pour Synergie et Groupe CRIT : hausse modeste de CA et baisse drastique du BNPA (-15% pour Synergie, -25% pour CRIT).
Le consensus 2018 est similaire pour Synergie et Groupe CRIT : hausse modeste de CA et baisse drastique du BNPA (-15% pour Synergie, -25% pour CRIT).
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Les efforts faits sous le gouvernement Hollande sont en passe de payer. il y a une relance des investissement et l'économie en france et en europe se redresse... ça va passer pas l'intérim, et les nouveaux contrats de chantier et autres...
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M'enfin, qu'est-ce qui se passe dans ce secteur ? En clôture Synergie + 3,69% et Groupe CRIT + 3,17%
Et les 2 gagnent environ 15% sur le mois de juin. Si il y a une raison fondamentale à tout ça, elle m'échappe.
Et les 2 gagnent environ 15% sur le mois de juin. Si il y a une raison fondamentale à tout ça, elle m'échappe.
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v'ooof... 47 euros déjà!
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Visiblement c'est vous deux qui aviez raison, l'AT a gagné ... temporairement.
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@ cha
" Il va sans doute être temps pour moi de réduire cette ligne devenue pléthorique ".:
Pourquoi ? En approche graph , il y a encore du grain a moudre de même que pour Crit
" Il va sans doute être temps pour moi de réduire cette ligne devenue pléthorique ".:
Pourquoi ? En approche graph , il y a encore du grain a moudre de même que pour Crit
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Belle sortie haussière, certes, mais je ne vois pas pourquoi, pas plus que pour CRIT. D'autant plus que ce qui fuite de la future loi travail n'est pas tellement favorable à l'intérim.
J'avoue que je suis perplexe devant le projet de CDI de projet qui ressemble à un emploi précaire, mais sans les primes de précarité. Je doute que ce genre de réformes puisse passer sans faire d'éclats (euphémisme ....).
Finalement je crois que je vais attendre un peu pour faire une PPB
J'avoue que je suis perplexe devant le projet de CDI de projet qui ressemble à un emploi précaire, mais sans les primes de précarité. Je doute que ce genre de réformes puisse passer sans faire d'éclats (euphémisme ....).
Finalement je crois que je vais attendre un peu pour faire une PPB
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Très belle sortie haussière à +4.97% en clôture.
On est bien parti pour viser les 50 d'ici cette fin d'année...
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On est bien parti pour viser les 50 d'ici cette fin d'année...
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Salut Gars d'Ain (je fais attention à ne pas écorcher ton pseudo pour une fois
Et ... je te bats nettement : prix d'achat 13,43€ en 2011 soit une PV potentielle de 235%. Il va sans doute être temps pour moi de réduire cette ligne devenue pléthorique.
Et ... je te bats nettement : prix d'achat 13,43€ en 2011 soit une PV potentielle de 235%. Il va sans doute être temps pour moi de réduire cette ligne devenue pléthorique.
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Salut, les copains...
Je suis placé aussi sur Synergie.
Prix d'achat : 20.77
Plus value réalisable à la dernière clôture : +91,84%
Je suis placé aussi sur Synergie.
Prix d'achat : 20.77
Plus value réalisable à la dernière clôture : +91,84%
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"ce qui devrait encore favorable à Synergie " et au Group Crit 
; je suis en "compet" avec Cha sur le sujet, chacun sa valeur
; je suis en "compet" avec Cha sur le sujet, chacun sa valeur |
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Fortes créations d'emplois salariés en France au 1er trimestre (AFP/Archives/PHILIPPE HUGUEN)
Notons que "L'économie française a connu un dixième trimestre consécutif de créations nettes d'emplois salariés, avec 89.700 nouveaux postes (+0,4%) au 1er trimestre, grâce au dynamisme des services, selon des données définitives publiées mardi par l'Insee.
Sur un an, l'emploi a augmenté de 284.100 postes (+1,2%), pour atteindre 24,93 millions de postes. Les effectifs atteignent ainsi leur plus haut niveau depuis 2010, année où l'indicateur a commencé à être mesuré.
Ces chiffres définitifs ne peuvent pas être comparés avec l'estimation provisoire publiée à la mi-mai, car l'indicateur de l'Institut national de la statistique a entre temps changé de champ. L'Insee publiait jusque-là les chiffres de l'emploi salarié dans les secteurs marchands non agricoles. L'indicateur a été étendu à l'ensemble des salariés (agricoles et services non marchands compris) et aux départements d'outre-mer (hors Mayotte).
Si l'on prend le champ le plus proche de l'indicateur précédent - industrie, construction, tertiaire marchand et intérim -, l'emploi a finalement augmenté de 75.700 personnes au 1er trimestre. L'Insee n'avait recensé que 49.400 postes supplémentaires dans ses chiffres provisoires.
De janvier à mars, les services marchands (+54.600 hors intérim, +0,5%) et non marchands (+13.100, +0,2%), ainsi que l'intérim (+17.000, +2,5%) ont vu leurs effectifs croître.
Les services marchands, principale locomotive de l'emploi privé, sont en progression constante depuis mi-2013. Quant à l'intérim, avec 687.600 salariés, il flirte désormais avec son record de 691.200 atteint début 2007.
Les services et l'intérim font plus que compenser les nouvelles destructions de postes dans l'industrie (-5.200, -0,2%), dont l'érosion des effectifs se poursuit. Les usines ont perdu près d'un million de postes depuis début 2001.
Quant à la construction, qui a détruit près de 200.000 postes depuis fin 2008 et qui n'avait plus connu de trimestre positif depuis début 2012, elle a connu un net rebond au 1er trimestre (+9.300, +0,7%).
Les effectifs salariés agricoles ont, eux, augmenté de 800 personnes (+0,3%) sur le trimestre.
Les tendances sont identiques sur l'année, avec une forte progression de l'emploi tertiaire marchand (+153.700, +1,4%) et non marchand (+50.500, +0,6%), agricole (+4.900, +1,6%), de la construction (+1.700, +0,1%) et de l'intérim (+93.000, +15,6%), et une baisse dans l'industrie (-19.700, -0,2%)."
Le secteur de l'intérim est en bonne place, ce qui devrait encore favorable à Synergie qui devrait se diriger vers 45 euros d'ici cette fin d'année.
Notons que "L'économie française a connu un dixième trimestre consécutif de créations nettes d'emplois salariés, avec 89.700 nouveaux postes (+0,4%) au 1er trimestre, grâce au dynamisme des services, selon des données définitives publiées mardi par l'Insee.
Sur un an, l'emploi a augmenté de 284.100 postes (+1,2%), pour atteindre 24,93 millions de postes. Les effectifs atteignent ainsi leur plus haut niveau depuis 2010, année où l'indicateur a commencé à être mesuré.
Ces chiffres définitifs ne peuvent pas être comparés avec l'estimation provisoire publiée à la mi-mai, car l'indicateur de l'Institut national de la statistique a entre temps changé de champ. L'Insee publiait jusque-là les chiffres de l'emploi salarié dans les secteurs marchands non agricoles. L'indicateur a été étendu à l'ensemble des salariés (agricoles et services non marchands compris) et aux départements d'outre-mer (hors Mayotte).
Si l'on prend le champ le plus proche de l'indicateur précédent - industrie, construction, tertiaire marchand et intérim -, l'emploi a finalement augmenté de 75.700 personnes au 1er trimestre. L'Insee n'avait recensé que 49.400 postes supplémentaires dans ses chiffres provisoires.
De janvier à mars, les services marchands (+54.600 hors intérim, +0,5%) et non marchands (+13.100, +0,2%), ainsi que l'intérim (+17.000, +2,5%) ont vu leurs effectifs croître.
Les services marchands, principale locomotive de l'emploi privé, sont en progression constante depuis mi-2013. Quant à l'intérim, avec 687.600 salariés, il flirte désormais avec son record de 691.200 atteint début 2007.
Les services et l'intérim font plus que compenser les nouvelles destructions de postes dans l'industrie (-5.200, -0,2%), dont l'érosion des effectifs se poursuit. Les usines ont perdu près d'un million de postes depuis début 2001.
Quant à la construction, qui a détruit près de 200.000 postes depuis fin 2008 et qui n'avait plus connu de trimestre positif depuis début 2012, elle a connu un net rebond au 1er trimestre (+9.300, +0,7%).
Les effectifs salariés agricoles ont, eux, augmenté de 800 personnes (+0,3%) sur le trimestre.
Les tendances sont identiques sur l'année, avec une forte progression de l'emploi tertiaire marchand (+153.700, +1,4%) et non marchand (+50.500, +0,6%), agricole (+4.900, +1,6%), de la construction (+1.700, +0,1%) et de l'intérim (+93.000, +15,6%), et une baisse dans l'industrie (-19.700, -0,2%)."
Le secteur de l'intérim est en bonne place, ce qui devrait encore favorable à Synergie qui devrait se diriger vers 45 euros d'ici cette fin d'année.
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Excellents résultats. 18% de hausse de CA après une année record en 2016, c'est bien.
Et les 13,5% de hausse en France, c'est encore une fois bien supérieur aux 10,5% du dernier baromètre connu de Prism'emploi en février. Par comparaison, le même CA hexagonal du groupe CRIT ne progresse que de 11,3%.
Parallèlement la croissance à l'international est spectaculaire, y compris en Europe du sud. Alors que la France représentait près de 52% du CA en 2016, elle est désormais à égalité avec l'international et donc proportionnellement en baisse. Le CICE comptant pour beaucoup dans l'amélioration des marges et l'effet devises étant aléatoire à l'international, ça peut avoir un impact sur les marges, mais priorité à la croissance.
Et les 13,5% de hausse en France, c'est encore une fois bien supérieur aux 10,5% du dernier baromètre connu de Prism'emploi en février. Par comparaison, le même CA hexagonal du groupe CRIT ne progresse que de 11,3%.
Parallèlement la croissance à l'international est spectaculaire, y compris en Europe du sud. Alors que la France représentait près de 52% du CA en 2016, elle est désormais à égalité avec l'international et donc proportionnellement en baisse. Le CICE comptant pour beaucoup dans l'amélioration des marges et l'effet devises étant aléatoire à l'international, ça peut avoir un impact sur les marges, mais priorité à la croissance.
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T1 / 2017 : Hausse de +18% du CA Trimestriel de SynergieTrès bon début d'année pour Synergie, qui a annoncé ce mercredi post-Bourse avoir généré un chiffre d'affaires de 516,1 millions d'euros au titre des 3 premiers mois de 2017, soit une hausse de 18% sur un an (+17,8% à périmètre et changes constants).
L'activité a été dynamique tant en France (+13,8%, soit une nouvelle surperformance du marché) qu'à l'international (+22,7%), où le groupe réalise la moitié de son chiffre d'affaires.
Dans le détail, les ventes hors d'Europe (Australie/Canada) ont bondi de 41,8%. Elles ont par ailleurs grimpé de 30,8% en Europe du Sud et se sont inscrites en hausse de 13% en Europe du Nord.
Grâce à sa solidité financière, Synergie dit poursuivre activement sa stratégie de développement en France et à l'international. La société examine en particulier des projets de croissance externe.
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Plus de détails ce matin :
Hier soir j'étais un peu déçue de la marge opérationnelle et j'ai repris les comptes. Le taux de marge était de 4,9% en 2015, 4,38% au S1 2016, et 4,81% sur l'année 2016. Mais en recalculant ce taux sur le seul S2 on arrive à 5,2% (54,7M€ de RE pour un CA de 1.049M€), ce qui est au contraire excellent et en forte progression.
Pourquoi un tel écart entre les 2 semestres ? Plein de raisons, à commencer par le cours de la livre et l'impact du CICE sur la fin de l'année. Mais aussi ce qui avait été annoncé lors de la publication semestrielle, des investissements « dont les effets bénéfiques sur la rentabilité sont attendus sur le second semestre". Promesse tenue donc.
Tu t'inquiétais à juste titre du Brexit et de l'impact du cours de la livre. Tu avais raison de croire que cet impact serait plus faible au S2. On avait des pertes de change de 2,1M€ au S1, elles sont de 2,3M€ sur l'année et donc négligeables au S2. Mais il faut se méfier des turbulences prévisibles pendant les négociations sur le Brexit, et j'espère des précisions sur la stratégie de Synergie à ce propos.
Dernier point important : la trésorerie est passée en un semestre de 66,5 à 111,8M€. On n'a pas de souci à se faire sur la solidité du bilan, ni sur la capacité financière de développement interne ou externe. Ils auraient quand même pu faire un effort sur le dividende, un rendement de 1,5% c'est peu.
Je ne sais pas si on retournera à 40 et plus dans l'immédiat, le marché décidera. Mais je garde mes titres à plus long terme. Bonne journée
Hier soir j'étais un peu déçue de la marge opérationnelle et j'ai repris les comptes. Le taux de marge était de 4,9% en 2015, 4,38% au S1 2016, et 4,81% sur l'année 2016. Mais en recalculant ce taux sur le seul S2 on arrive à 5,2% (54,7M€ de RE pour un CA de 1.049M€), ce qui est au contraire excellent et en forte progression.
Pourquoi un tel écart entre les 2 semestres ? Plein de raisons, à commencer par le cours de la livre et l'impact du CICE sur la fin de l'année. Mais aussi ce qui avait été annoncé lors de la publication semestrielle, des investissements « dont les effets bénéfiques sur la rentabilité sont attendus sur le second semestre". Promesse tenue donc.
Tu t'inquiétais à juste titre du Brexit et de l'impact du cours de la livre. Tu avais raison de croire que cet impact serait plus faible au S2. On avait des pertes de change de 2,1M€ au S1, elles sont de 2,3M€ sur l'année et donc négligeables au S2. Mais il faut se méfier des turbulences prévisibles pendant les négociations sur le Brexit, et j'espère des précisions sur la stratégie de Synergie à ce propos.
Dernier point important : la trésorerie est passée en un semestre de 66,5 à 111,8M€. On n'a pas de souci à se faire sur la solidité du bilan, ni sur la capacité financière de développement interne ou externe. Ils auraient quand même pu faire un effort sur le dividende, un rendement de 1,5% c'est peu.
Je ne sais pas si on retournera à 40 et plus dans l'immédiat, le marché décidera. Mais je garde mes titres à plus long terme. Bonne journée
Message complété le 06/04/2017 09:50:00 par son auteur.
Je n'arrive pas à trouver le CA réalisé en Grande-Bretagne, dans aucun communiqué. Ils donnent des chiffres pour la France, le Benelux ou encore l'Europe du sud, mais rien au Royaume-Uni.
Au Royaume-Uni Synergie est implanté sous l'enseigne Acorn qui compte 40 agences et 6000 employés réguliers. Pas énorme donc par rapport aux 600 agences au total.
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Donc... Excellent ! Merci de tes infos précises.
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Message complété le 05/04/2017 19:53:41 par son auteur.
On devrait retourner sur 40 au nord !
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