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Virulente passe d'armes entre Macron et Le Pen sur la sortie de l'euro - Page 2

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colet colet
04/05/2017 16:02:53
2
Macron pense que l'éleveur du cantal qui achète à l'étranger ne pourrait pas payer en euros à l'extérieur et ses employés en franc
c'est une énormité que personne ne relève ?


mais comment un ancien ministre des finances peut-il affirmer haut et fort une telle chose ?
allo !
en quelle monnaie on achète le pétrole ? et en quelle monnaie est vendu les produits raffinés ?
et comment on faisait avant l'euro ?
on payait pas en monnaie étrangère à l'étranger ?
il est trop jeune pour avoir connu cela ou quoi ? ou c'est de l'intox ?

Message complété le 04/05/2017 16:03:39 par son auteur.

perso çà me fait peur !

  
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david070 david070
04/05/2017 13:51:19
2

Bonjour à tous
Macron n'y connait rien en ce qui concerne les pbs des agriculteurs, du personnel hospitalier, des médecins etc : il n'a communiqué aucune étude chiffrée sérieuse de ce point de vue là, pas plus que MLP.
Il est aussi incompétent qu'elle pourtant les économistes qui les conseillent devraient quand même leur chiffrer la démonstration des chiffres qu'ils avancent ! pas une démonstration !
Moi je doit fournir les chiffrages à mon patron : des "chiffres justifiés" de production de coûts d'économies réalisées...
pitoyable





  
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millo millo
04/05/2017 09:17:27
2
millo
Si si si on a appris quelque chose: MLP ne maitrise pas bien les chiffres du financement de son programme certes mais il faut dire pourquoi...
-Comment chiffrer le départ de milliers de patients dans nos hôpitaux et cliniques, non ressortissants mais soignés gratuitement,puis bénéficiaires de l'aide sociale, de l'aide au logement
de la nourriture gratuite en prison(69% de l'univers carcéral est constitué d'émigrés)de l'exonération d'impôts, de l'école gratuite, de vacances gratuites en centres de vacances,de prestations sociales infinies octroyées par des centaines d'associations caritatives, financées par l’état, donc par nous,et qui apportent leur soutien en retour a l'état en votant consciencieusement pour la gauche de EM qui les protège..toujours avec notre argent.
Alors messieurs les spécialistes financiers, si vous savez compter , dites moi si ces milliards récupérés ne restaureraient pas le niveau de vie indécent de nos ressortissants, salariés ou retraités ayant toujours donnés leur santé pour la France, leur cœur pour la patrie,et leur argent pour les impôts. Il n'y a plus besoin de compter!!
  
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sergiobress sergiobress
04/05/2017 09:11:18
1
Encore que en economie (qui était son ministère) il était pas trop mauvais sauf pour tous ceux qu'il a laissé sur le carreau chez SFR ; par contre pour le reste et bien il y connaît rien, grave docteur 👎🏾
Quoique maintenant on peut peut-etre se présenter Président sans rien n'y connaître grand chose puisque c'est Bruxelles qui commande.
  
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sm72 sm72
04/05/2017 08:57:26
2

J'ai un avis qui vaut ce qu'il vaut, en dehors du débat navrant d'hier soir (ou est donc passée la culture française ??):
depuis 30 ou 40 ans, la France est dirigée par des technocrates / 1ers de la classe tous aussi bons les uns que les autres dans les idées-théories-théorèmes de ce qui est bon pour nous. De ce qui va "sauver la France".
Ces idées-théories-théorèmes sont généralement séduisantes et pleines de bon sens.
Hors, force est de constater que cela ne fonctionne pas. 3.5 millions de chômeurs "officiels", plus de 2000 milliards de dettes, crise des subprimes qui a coûté ce que l'on sait (assez peu aux banquiers au final), bidouillages en tous genres, arrangements entre amis, etc...
Tout cela pour dire que les 1ers de la classe, l'establishment dans son ensemble ne semblent pas être "la solution".
D'ailleurs De Gaulle, à qui tout le monde se réfère aujourd'hui, n'appartenait pas à ces castes et cela lui a fort bien réussi (l'époque était bien différente il est vrai).
Peut-être est-ce le moment de renverser la table..?
  
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cigale11210 cigale11210
04/05/2017 08:55:44
1
Mlpen agressive nulle zero sur les dossiers pas de crédibilité présidentielle. Macron sera le president et rdv dans 5 ans
  
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cythere cythere
04/05/2017 08:55:28
2
RIEN????
désolé de vous répondre ceci.

  
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sergiobress sergiobress
04/05/2017 08:34:06
1
A part les insultes et contradictions, qu'avez-vous appris de nouveau qui pourrait faire pencher la balance ?



  
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cythere cythere
04/05/2017 08:00:32
0
pour information,concernant un lieutenant de E.MACRON.



http://lpld.fr/index.php/la-une/rapport-accablant-jean-paul-delevoye
  
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aliqujus aliqujus
04/05/2017 07:45:40
2
La France est bien mal partie , ce face à face aura mis en évidence au moins deux facteurs:

M.L.P : ne surf que sur les mécontentements et propose des solutions intenables
E.M : perd ses nerfs , ne maîtrise pas son sujet à tel point qu'il empêche l'autre de parler

Conclusions : aussi nuls l'un que l'autre. ENTRE AUTRES EN CALCUL!!!

Un face à face MELENCHON / FILLON aurait eu autrement d'intérêts, même si leurs pensées sont largement divergentes.

Nota : je n'ai pas été jusqu4AU FINAL, je me suis endormi dans mon fauteuil avant la fin quand à ma femme au bout d'une heure elle est partie se coucher.
  
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aliqujus aliqujus
04/05/2017 07:45:40
0

Marine Le Pen (g) et Emmanuel Macron, le 3 mai 2017 à La Plaine-Saint-Denis près de Paris (POOL/AFP/Eric FEFERBERG)

Emmanuel Macron et Marine Le Pen se sont livrés mercredi soir à une virulente passe d'arme sur la sortie de la France de l'euro, s'accusant mutuellement de jouer avec "les peurs" lors du débat télévisé d'entre-deux-tours de la présidentielle.

"L'euro, c'est la monnaie des banquiers, ce n'est pas la monnaie du peuple", et "c'est la raison pour laquelle il faut que l'on arrive à s'arracher à cette monnaie", a affirmé la candidate du Front national, défendant son projet "essentiel" de passage d'une monnaie unique à une monnaie nationale mais assurant qu'elle ne voulait "pas créer le chaos".

Plaidant que "ce que les Français doivent comprendre, à la limite, ça ne les regarde même pas, cet euro monnaie commune sera une facilité entre les Etats", cette eurodéputée a affirmé que "les Français auront une monnaie dans leur portefeuille, une monnaie qui permettra de retrouver un niveau adapté de notre économie et de partir à la conquête du monde".

"Une grande entreprise ne pourra pas payer en euros d'un côté et payer ses salariés de l'autre en francs. Ca n'a jamais existé, Mme Le Pen. C'est du grand n'importe quoi", a rétorqué le candidat d'En Marche !

La présidente du FN a accusé son rival d'agiter un "projet peur" comme pour le Brexit alors que selon elle, "l'économie britannique ne s'est jamais aussi bien portée que depuis que les Britanniques ont décidé de reprendre leur liberté" en sortant de l'Union européenne.

M. Macron lui a aussitôt riposté: "La grande peur, qui la manipule depuis le début? C’est vous. Qui joue sur les peurs? C’est vous. La grande prêtresse de la peur, elle est en face de moi".

"La Grande-Bretagne n’a jamais été dans l’euro. Vous proposez d’en sortir, je dis que c’est un projet mortifère et c'est un projet dangereux", a aussi lancé l'ancien ministre de l'Economie à l'adresse de son adversaire. Il a dénoncé son "bidouillage dans le week-end avec Nicolas Dupont-Aignan", jugeant qu'il "n'a aucun sens" et "manifeste une impréparation crasse".

M. Dupont-Aignan, président du parti souverainiste Debout La France (DLF), s'est rallié pour le second tour à Marine Le Pen, qui lui a promis Matignon si elle accède à l'Elysée.

"Ma vision, c'est de construire un euro fort et une politique européenne forte et dans laquelle nous défendrons les intérêts de la France", a ajouté l'ex-conseiller de François Hollande.

Il a enchaîné avec quelques exemples: "l’éleveur du Cantal achète ses produits à l'étranger, donc en euros, mais il paiera ses salariés en France ? S’il est éleveur, il a des broutards qu’il envoie engraisser en Italie. Les Italiens, il les paiera en euro mais ses salariés en francs?" "Oulala, ça va être compliqué, a-t-il ironisé.

"A Toulouse, Saint-Nazaire ou ailleurs en France, un tiers de la valeur est faite dans d’autres pays européens car nous sommes intégrés. Le jour d’après de la sortie, on sera en francs et vous allez baisser leur compétitivité", a aussi affirmé M. Macron.

Mme Le Pen a contesté, disant entre autres: "Nous allons gagner de la compétitivité, car le mark va s’apprécier".

© 2017 AFP

  
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